Nom : Sanglacé
Prénom : Lucien
Âge : 21 ans
Sexe : Homme
Rang : Assassin/voleur devenu milicien (conscrit) en soutien dans l'escorte des convois.

Carrière envisagée & tableau de départ avec les 4 PCs :

Carrière : Voie du milicien

Distribution : Habileté +1. Endurance +1. Points de vie +10 (2PC).

Compétences et objets choisis :

Compétences :

• Dressage
• Empathie Animale
• Enseignement
• Langage secret - Morse

Equipement Armes :

• Gantelet clouté (x1 : Main gauche)
• Dague (x1)

Equipement Armure :

• Veste de cuir
• Jambière de cuir

Digne d'un assassin aux penchants de voleur, Lucien a toujours été très discret. Autant dans ses contacts dans l'ombre, autant dans sa démarche.

Selon la situation, vous le verrez arriver en courant ou en marchant. Au premier abord, sans cicatrices ni expression faciale négative, il dégage suffisamment de confiance et maîtrise de lui-même pour pouvoir oser l'accoster sans crainte. S'il fait chaud, il sera vêtu de cuir du torse aux au pied, par souci de confort et de légèreté. S'allourdir pour un rien, c'est prendre le risque d'être bruyant plus que d'ordinaire. Son corps s'approchera dans une allure calme aux pas de félin en toutes circonstances. Il sera aisé de voir que sa carrure est elancée et svelte, sans muscles aussi saillants qu'un bûcheron. L'assassin aux cheveux mi-longs bruns à plutôt l'habitude de s'entrainer à améliorer son endurance plutôt que sa résistance physique.

Tout le monde s'y trompe au premier regard, hormis ceux qui le connaissent, car ils ont l'impression de faire face à un trentenaire. Il est vrai que son visage au teint pâle n'aide pas car les cernes trop marqués qui le constituent le vieillissent beaucoup. Imberbe, cela dépend des jours et du temps disponible. Sinon, il se laisse pousser la barbe et ce, pouvant dater d'une semaine donc cela ne le rajeunit pas. Loin de là. Arrivé à ce stade, il se rase généralement avec sa fidèle dague acérée, obtenue de ses parents. Minutieux, celle-ci est toujours resplendissante.

Pour en revenir au visage, les vastes poches noires qui soulignent son regard noir, il trahit ses émotions. Ami ou ennemi, rien qu'en le regardant, vous devinerez aisément son humeur ou sa réaction, et par conséquent, ce qu'il pense. Bien qu'en premier lieu, c'est la fatigue qu'incarne le visage de l'insomniaque.

Bavard, Lucien l'est peu. Souvent il arrive que les interlocuteurs se croient ignorés tant sa réponse tarde à venir ou même, qu'il décide d'effectuer une action quelquonque avant de répondre. Cela lui permet de déterminer chez les personnes leurs patience et leur respect. En aucun cas il ne faut croire qu'il perd la mémoire ou que c'est une manie irrespectueuse, ce n'est pas le cas. Disons que c'est stratégique.

Forcément, il lui arrive tout de même de parler. Certes davantage aux animaux avec qui son feeling inné passe mieux, mais aussi avec les hommes. (Oui, il ne parle pas aux femmes. Tel un muet qui utilise uniquement des gestes, qui eux, laissent comprendre qu'il essaie de couper court à la discution unilatérale.) Ceux-ci entendront alors une voix virile, calme et peu portante. Il n'est pas rare et plutôt fréquent qu'il parle dans sa barbe. Le faire répéter est necéssaire, bien que parfois ce sont seulement des pensées dévoilées à basse voix, ce qu'il ne se gêne pas de faire.

Habitué à murmurer à l'oreille des souris, il ne faut pas croire que les faibles décibels dégagés de sa fine bouche sont la preuve d'un menteur ou d'un homme indécis. Au contraire, il n'est pas menteur, trop honnête car franc autant que sa franche poignée de main.

C'est d'ailleurs par ce geste qu'il, si vous le percevez, vous fera comprendre qu'il est un homme de confiance, sûr de lui et maître de sa force naturelle. (Il ne s'incline pas devant les femme, ne leur baise pas la main ou leur vagin, et se contente d'une poignée similaire aux hommes. Cela fait parfois hausser un sourcil suite à l'incompréhention de ce geste qui peux, dans ce cas-là, déplacer des phalanges.)

Vous constaterez alors que le droitier à cette même main nue, et que l'autre est gantée pour se défendre au corps à corps. En vérité, celle-ci cache son terrible secret. Une marque au fer rouge, celle des bannis, sur le dos de la main. Par chance, celui qui lui a faite était bourré et Lucien s'est empressé de le tuer pour ensuite dissimuler ce qui pourrai l'expulser de sa ville natale, Marbrume.

Une dague est également en sa possession, quelque part sur son corps, en dessous des légers vêtements, amples et bleus, de bonne facture empruntés à un macabé masculin. (Ceux-ci recouvrent son armure de cuir mais il ne les porte pas tout le temps. Selon la chaleur, il ne garde que l'armure.)

Ne soyez pas étonnés s'il fouille ceux qui gisent inertes au sol à la recherche de choses récupérables, tout le monde fait ça chez les pauvres. Suffit d'être le premier sur les lieux. Le mieux, c'est d'y être avant que le corps soit à même le sol, histoire d'être sûr de s'emparer des objets convoités (babioles, monnaie, vêtements etc..).

(Pour résumer) Lucien est un homme curieux, malicieux, perspicace, réfléchi et très organisé, qui vénère Rikni et s'énerve s'il n'a pas sa dose de chocolat.

[en cours]

En l'an 1144, Léo et Liona Sanglacé se disputèrent lors du choix du prénom de leur nouveau-né. Croyants, ils trouvèrent un terrain d'entente en laissant Rikni choisir.
Le jeune Sanglacé fut déposé à l'entrée de l'église, aujourd'hui détruite à cause du Fléau, en guise d'offrande pour la Déesse du ciel. La mère couturière plaça alors deux tissus, l'un à gauche et l'autre à droite du berceau. Les prénoms "Lucas" et "Lucius" y étaient brodés. Tout deux se saisirent d'une dague, se placèrent au dessus du garçon et main dans la main, lancèrent l'arme blanche en l'air.

Rikni, devait simplement faire dévier l'arme d'une légère brise de vent pour qu'elle se plante dans un tissu, une fois retombée. Sauf que, bien que les parents soient defidèles croyants, Rikni décida autrement. Une véritable bourrasque intervint tandis que l'arme brillait au clair de lune. La dague retomba sur un chien qui passait malheureusement non loin. De cette manière, jamais les parents n'auraient eue de rancune à ce que leur fils ait "Lucas" ou "Lucius" en premier prénom. En dérivé de "Le chien", il fut prénommé Lucien.

[en cours]

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