Marbrume


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 Ombeline [Validée]

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OmbelineProstituée
Ombeline



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MessageSujet: Ombeline [Validée]   Ombeline [Validée] EmptySam 27 Oct 2018 - 23:24





Ombeline, « On dit que la colère, la fortune et l’amour sont aveugles. »




Identité



Nom : L'Aveugle

Prénom : Ombeline

Age : 20 ans

Sexe : Femme

Situation : En galère

Rang : Prostituée

Lieu de vie : La Balsamine, quartier de la Hanse

Carrière envisagée & tableau de départ avec les 4 PCs : (voir topic Système Rp & Xp - Carrières)
Carrière de la prostituée
+2 END +1CHAR +1INI

Compétences et objets choisis : (voir topic Système Rp & Xp - Compétences)
SIXIEME SENS
PRINCESSE EN DÉTRESSE
LANGAGE SECRET – MORSE
ACUITE AUDITIVE


Apparence

Une énième prostituée dans une énième maison de passe à peine plus fréquentable que les autres. Des catins il y en a assez pour qu’elles finissent par toutes se ressembler alors pourquoi celle-là serait différente des autres ? Elle est pas bien vilaine, elle est pas bien grande, elle est pas bien grosse non plus et elle est pas bien éduquée. Ce qu’elle a de joli, elle le tient de sa jeunesse, mais un jour ses cheveux noir corbeau seront ternes, ses joues douces seront creuses et ses lèvres boudeuses se décharneront ou retomberont mollement dans une grimace ingrate. Alors à quoi bon ?
Ombeline est comme toutes les jeunes filles de son âge : elle est jolie parce qu’elle est fraîche et pleine d’une vie qu’on va rapidement presser hors de sa chair pour la rendre fade et défraichie. C’est le lot de beaucoup d’autres prostituées. Elles sont bien peu nombreuses les catins qui restent belles longtemps. Et ça, Ombeline le sait bien. Ses cuisses et ses fesses ne resteront pas fermes éternellement, sa peau ne demeurera pas souple et chaude pour toujours. Heureusement pour elle, elle ne verra jamais les rides creuser son visage dans le reflet du miroir tout simplement parce qu’elle ne le voit déjà plus.

Enfant, Ombeline avait de grands yeux bleus innocents. Et puis un jour elle s’est mise à voir un peu flou quand elle regardait au loin. De plus en plus les lignes autour d’elle se sont tordues jusqu’à disparaitre, les détails se noyèrent alors dans la masse et désormais il ne reste plus que des flaques de couleur impossible à délimiter. Ses grands yeux bleus ont viré au gris sous un voile de brouillard qui ne se lèvera jamais.
Du coup elle marche plus lentement, si possible près des murs, elle ne regarde personne dans les yeux ou alors c’est sans le vouloir, elle a appris à chanter et raconter des histoires plutôt qu’à jouer aux cartes ou danser. Ce sont les autres qui lui diront un jour qu’elle n’est plus bonne à faire la catin, parce qu’elle ne s’en rendra pas compte elle-même. Alors il lui faudra un plan B, quelque chose pour gagner sa croute autrement. Et ça, Ombeline le sait bien.

Personnalité

Pauvre, pauvre petite chose au destin souillé, si jeune et déjà presque aveugle. Vous voulez la plaindre ? Ne vous en privez pas, parce qu’elle ne le fera pas à votre place !
Ombeline est une fille de joie, et alors ? Elle est bien contente d’avoir un toit, des repas réguliers et une simili famille pour veiller sur elle. S’il faut pour ça s’asseoir sur les genoux d’un milicien ivre et lui accorder quelques baisers ou une main baladeuse, peu lui importe. Elle, au moins, elle aura de quoi payer si elle attrape la fièvre.
Ombeline n’y voit rien, et alors ? L’avantage c’est qu’elle ne fait pas la difficile avec ses clients, elle ne peut pas se dégoûter au premier regard et se moque bien de ce qu’on pense d’elle. Si les gens se retourne dans la rue pour la regarder avec un drôle d’air, elle ne le voit pas et c’est mieux comme ça. De toute façon, qu’est-ce que Marbrume a de beau à voir dernièrement ?

La vie n’a peut-être pas été tendre avec elle, mais la drôlesse n’est pas prête à se laisser abattre si facilement. Déterminée à s’en sortir, Ombeline aime réussir là où l’on n’attendait qu’un échec. Être élevée par une maquerelle et ses filles vous met du plomb dans la tête rapidement. Elle a appris à être impliquée dans ce qu’elle fait, à gérer ses dépenses et ses économies, à saisir chaque opportunité et à mesurer la valeur de chaque relation. D'ailleurs, perdre la vue l'a rendue particulièrement clairvoyante à propos des gens et Ombeline flaire rapidement la vraie personnalité de ses interlocuteurs comme personne. Elle a également appris à se montrer bienveillante avec qui mérite de l’aide ou une nouvelle chance, mais également à réclamer son dû avec férocité lorsque l’on tente d’abuser d’elle. Ombeline ne peut malheureusement pas se reposer sur ses yeux, mais elle a des oreilles et elle les laisse traîner avec une grande efficacité. Elle ne peut pas se défendre, mais elle sait à qui elle peut faire confiance pour l’aider ou la protéger. Bien sûr il lui arrive d’être parfois lasse et de se renfermer sur elle-même en cherchant la solitude, comme il lui arrive d’être mauvaise et rancunière après avoir été blessée. Mais peut-on lui en tenir rigueur lorsque le poids de son existence se fait un peu trop lourd et qu’elle cède à son mauvais caractère ? N’a-t-elle pas le droit de faire acte de faiblesse de temps à autre pour mieux se reprendre et continuer d’avancer ?


Histoire

L’histoire d’Ombeline n’est ni très longue, ni très palpitante. Née quelque part dans les petites maisons près du port, elle est la benjamine d’une fratrie de trois. Ses deux frères aînés n’ont jamais manifesté d’attachement particulier envers elle, le fossé de presque huit ans les séparant sans doute trop. Parfois ils faisaient l’effort de l’emmener avec eux dehors quand ils avaient du temps libre et veillaient bien sûr à ce qu’elle ne se blesse pas, mais ils ne manquaient pas non plus de l’asticoter dès qu’ils en avaient l’occasion, s’y mettant à deux pour lui voler ses affaires ou lui faire peur avec des histoires de fantôme ou de monstres. Ombeline rentrait alors systématiquement en larmes pour aller trouver refuge dans le giron maternel, ce qui avait pour conséquence une bonne rouste pour chacun de ses frères.
Son enfance aurait pu être parfaitement ordinaire si vers ses sept ans, elle ne s’était pas mise à perdre la vue progressivement. Ce qui débuta comme une gêne oculaire au début de l’automne évolua très rapidement en véritable handicap à peine l’hiver terminé. À cela s’ajouta l’infortune pour le père de famille de passer par-dessus bord lors d’une vilaine tempête, lors d’un jour de pêche. La principale source de revenus de la maisonnée faisait à présent des bulles avec Anür au fond de l’océan et aucun de ses fils n’avait encore de travail bien établit. Quant à Ombeline, elle était désormais une bouche inutile à nourrir qu’il ne fallait pas espérer employer à quoi que ce soit dans un avenir proche.

Lorsque la faim commença à creuser les ventres quotidiennement, la petite surprit de plus en plus souvent des conciliabules dans le salon, lorsqu’elle n’y était pas présente et qu’on la pensait hors de portée de voix. Ses frères parlaient doucement, d’un air concerné et soupiraient beaucoup. Elle ne saisissait pas tout ce qu’ils pouvaient se dire, mais dès qu’elle faisait grincer le plancher en approchant, ils se taisaient immédiatement et faisaient mine de rien. Après quelques temps, sa mère se joignit aux chuchotements inquiétants. Il ne fallut alors pas compter plus d’une semaine avant qu’on ne prenne la petite par la main pour l’emmener dans le quartier de la Hanse. L’absence d’une présence maternelle et d’un panier d’osier la troubla plus que le silence obstiné de son aîné lorsqu’elle posait des questions, mais elle n’était alors pas en mesure d’imaginer ce qui allait suivre.
Ensemble ils gravirent le perron d’un bâtiment dont elle devina les couleurs vives et une femme ouvrit, laissant s’échapper des odeurs de parfum, de fumée de tabac et de relents d’alcool. L’échange fut incompréhensible pour la gamine qu’elle était alors, c’était des « affaires de grandes personnes », mais lorsque son frère s’agenouilla pour la prendre par les épaules, elle écouta avec beaucoup d’attention.

— P’iote, tu vas rester ici avec mon amie, d’accord ? Elle va bien s’occuper de toi.

L’enfant fronça les sourcils, le regard déjà voilé de nuages et fixé sur un point au-dessus de l’épaule de son grand frère.

— Tu viens me chercher quand ?
— Tu comprends pas, c’est ici que tu vas vivre maintenant, d’accord ? Alors t’es sage, tu aides avec le ménage et la cuisine comme tu fais avec maman et tu écoutes ce qu’on te dit.

Sa voix était tout à coup plus agacée, plus impatiente. Il n’aimait visiblement pas perdre du temps avec cette histoire. Ombeline se mit à chouiner :

— Je veux pas ! Je veux que maman vienne me chercher ! Je vais tout lui rapporter, t’as pas le droit d’être méchant avec moi !

La secousse lui fit balloter la tête d’avant en arrière et elle se sentit aussi impuissante qu’une poupée de chiffon.

— Maman viendra pas te chercher, tu piges ? On a pas d’quoi te donner à bouffer ! Alors maintenant faut t’y faire, c’est ici ta maison. Et t’as intérêt à pas faire de conneries ! lui beugla son aîné, provoquant immanquablement des sanglots chez la petite.

Ce furent des mains beaucoup plus douces qui prirent le relais et l’inconnue qui avait ouvert poussa même le vice jusqu’à soulever l’enfant dans ses bras. Elle sentait fort un parfum inconnu et portait un corsage en dentelle, mais elle parlait avec bienveillance. Elle promit que tout irait bien, qu’il y avait ici de quoi manger à condition qu’elle travaille bien. Qu’à partir de maintenant elle aurait plein de grandes sœurs. Ombeline hocha misérablement la tête en promettant d’être sage et ne prêta pas attention au bruit de pièces lorsque la femme donna une bourse à son frère. Le dernier souvenir qu’elle conserva de cet homme fut une silhouette très floue aux épaules voûtées qui repartait en sens inverse tandis qu’elle entrait dans cette maison étrange et pleine d’odeurs.

Au début, il fallut beaucoup de patience pour que toutes les locataires du bâtiment acceptent la présence de l’enfant. Elle était maladroite, se cognait souvent, était lente à la tâche. Certaines s’étaient sans doute attendue à avoir une petite esclave personnelle et se retrouvaient finalement avec un chaton aveugle et malhabile. La déception était grande. Mais Ombeline put compter sur le soutient de la gérante qu’elle apprit très vite à appeler Madame (ça sonnait presque comme Maman) et de quelques autres femmes qui semblaient épancher sur elle toutes leurs pulsions maternelles. À force d’entêtement et d’entraînement, la gamine prit ses marques dans toute la maison close et se montra finalement très efficace dans l’accomplissement de ses tâches. Elle devait aider en cuisine, laver les sols, étendre le linge, tirer de l’eau, parfois apporter un plateau jusqu’à une table.
Il y avait toujours beaucoup de monde au rez-de-chaussée, généralement des hommes mais aussi quelques femmes sans compter celles qui vivaient ici. On venait pour jouer aux cartes, pour passer une soirée agréable, pour manger le soir et pour boire. En soirée, Ombeline n’avait pas le droit d’aller aux étages. Le matin, elle entendant des hommes descendre et repartir. Il fallut attendre quelques années de plus avant qu’elle ne comprenne vraiment ce qui se jouait ici.

On lui mit la main aux fesses pour la première fois à ses quatorze ans. Une claque retentissante, plutôt, qui déclencha une agitation sans pareille chez les filles dès le matin suivant, lorsque la nouvelle fut partagée. Dès ce jour, Ombeline eut de nouvelles tâches en plus de ses corvées quotidiennes. La phase d’apprentissage fut courte et se résuma surtout à des conseils pratiques, des règles élémentaires et une invitation pressante à se découvrir elle-même avant que quelqu’un ne le fasse à ses dépens. Sa carrière débuta quelques semaines plus tard.
Malgré un tempérament plutôt serviable, Ombeline n’avait jamais été quelqu’un de particulièrement enthousiaste et rayonnant. Volontaire, ça oui, et elle savait se faire des amis, mais ce n’était pas ce genre de fille à sautiller partout du soir au matin, le sourire aux lèvres et bonne humeur en écharpe. Elle était plus tranquille, plus réservée, et ce brutal changement de responsabilités ne l’encouragea pas à être plus pimpante. Si avec les années son décolleté se fit un peu plus généreux, elle ne se montra jamais aussi excentrique que certaines de ses consœurs, ni aussi aguicheuse. Elle ne se changea pas en cocotte insouciante pour le simple plaisir de ses clients et ne leur grimpait jamais sur les genoux pour roucouler à leur oreille. Son métier, elle le faisait bien mais pas par plaisir.
Il y eut cependant ce jeune homme qui attira son attention : un garçon presque de son âge, peut-être dix-huit ans, qui venait chaque semaine pour passer du temps avec elle. Il n’avait pas grand-chose dans ses poches pour payer, mais il était toujours au rendez-vous et la donzelle lui réservait alors toute son attention. Il la faisait rire, acceptait de payer une pinte de plus pour rester en sa compagnie même s’il ne pouvait jamais économiser assez pour l’accompagner à l’étage. Il travaillait sur un bateau de pêche depuis peu mais ses parents vivaient à Menerbes. Puis un jour il cessa de venir. Oh il ne lui était sans doute rien arrivé, peut-être qu’il n’avait juste plus assez d’argent ou peut-être avait-il croisé le chemin d’une fille bien, tout simplement.
Les filles bien, Ombeline se mit à les envier.

Lorsqu’on découvrit l’existence des fangeux, la jeune femme ne trembla pas plus qu’à l’annonce d’un nouveau corps qu’on aurait découvert sans vie dans le Goulot. Une menace de plus ou de moins, quelle différence ? Elle qui était incapable de se défendre seule contre un homme, quelle chance pouvait-elle avoir contre un monstre ? Cela faisait longtemps qu’elle n’était plus inquiète de sa façon qu’elle aurait de mourir. En revanche, elle vit une opportunité lorsque le chaos se mit à régner en ville. Une chance de tirer doucement mais sûrement son épingle du jeu en rachetant pour de bon la dette qui la liait à cet endroit.


Résumé de l’établissement La Balsamine :

La maison close où travaille Ombeline se trouve dans le quartier de la Hanse, assez proche du port. C’est un établissement assez abordable pour que la milice puisse faire partie de la clientèle mais trop cher pour que le moindre pouilleux puisse y trainer ses bottes.
On compte 7 gagneuses au total, dont Ombeline est la plus jeune. Le rez-de-chaussée est un grand salon avec un bar où il est possible de consommer à boire, parfois à manger et où sont organisés régulièrement des jeux d’argent. Les deux étages au-dessus sont réservés aux chambres des filles ainsi qu’à la maquerelle. Il y a une personne en cuisine pour faire à manger et préparer les boissons ainsi qu’un garde près de la porte d’entrée pour sortir les indésirables.

L’établissement jouit d’une réputation appréciable à la fois en temps que maison close et en temps que taverne. On ne lui connait officiellement aucun lien avec les bas-fonds ou une quelconque activité criminelle.

Derrière l'écran


Certifiez-vous avoir au moins 18 ans ? Depuis bien longtemps

Comment avez-vous trouvé le forum ? Je ne me souviens plus du tout… Partenariat sans doute.

Vos premières impressions ? On est bien ici, entre la Fange et la Famine ~

Des questions ou des suggestions ? Si je trouve un chien guide d’aveugle dans la rue, je pourrais le garder, maman ?

Souhaitez-vous avoir accès à la zone 18+ ? Je suis tentée de dire non mais ça me frustre de ne pas avoir accès à toutes les zones rp alors oui, s’il vous plaît ♥️


Modèle de fiche codé par Aure et Séraphin Chantebrume



Dernière édition par Ombeline le Dim 28 Oct 2018 - 19:29, édité 3 fois
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Sydonnie de RivefièreSergente
Sydonnie de Rivefière



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MessageSujet: Re: Ombeline [Validée]   Ombeline [Validée] EmptySam 27 Oct 2018 - 23:28
Re-bienvenue parmi nous ♥️
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InvitéInvité
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MessageSujet: Re: Ombeline [Validée]   Ombeline [Validée] EmptySam 27 Oct 2018 - 23:44
Re bienvenue ♥️
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Séraphin ChantebrumeAdministrateur
Séraphin Chantebrume



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MessageSujet: Re: Ombeline [Validée]   Ombeline [Validée] EmptySam 27 Oct 2018 - 23:59
Bienvenue à toi et bon courage pour ta fiche!
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GrayleGarçon de passe
Grayle



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MessageSujet: Re: Ombeline [Validée]   Ombeline [Validée] EmptyDim 28 Oct 2018 - 2:35
Bienvenue, camarade de travail !
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OmbelineProstituée
Ombeline



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MessageSujet: Re: Ombeline [Validée]   Ombeline [Validée] EmptyDim 28 Oct 2018 - 19:31
Merci à tous ♥️

J'ai terminé ma fiche, elle est prête à passer entre vos mains pour une correction. La fin de l'histoire est volontairement ouverte à toutes les possibilités, je préfère orienter mes plans d'avenir selon les rencontres faites inRp.

Je me suis aussi permis de transformer la partie résumé en résumé de la maison close, pour mes futurs partenaires d'écriture. Ou si certains sont intéressés par un des postes actuellement occupés par des PNJ sans nom ~
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Sydonnie de RivefièreSergente
Sydonnie de Rivefière



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MessageSujet: Re: Ombeline [Validée]   Ombeline [Validée] EmptyDim 28 Oct 2018 - 20:55
Bonsoir jeune fille,

Pour commencer, je vais te souhaiter la bienvenue avec cette troisième tête. Ombeline [Validée] 2494957974

Je dois avouer être très agréablement surprise par ta fiche. Le personnage est intéressant et son handicap est à mes yeux un vrai plus. Elle reste simple, pas surhumaine, très honnêtement, ça fait du bien d'avoir des personnages comme ça. J'adhère complètement.

Je n'ai aucun reproche à faire à ta fiche, bien au contraire. Ta plume est agréable. Je vais donc t'offrir ta couleur sans tarder.

Tu connais la maison, je ne vais pas te redonner les liens, je te laisse juste découvrir ta carrière qui se trouve ici.

Merci de ta confiance et de l'intérêt que tu portes à Marbrume, puisse trouver beaucoup de plaisir avec cette petite femme de joie ♥️
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MessageSujet: Re: Ombeline [Validée]   Ombeline [Validée] Empty
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