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 Morand de Bale (Terminé)

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Morand de Bale



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MessageSujet: Morand de Bale (Terminé)   Morand de Bale (Terminé) EmptyLun 8 Fév 2016 - 17:14




Morand de Bale




Identité



Nom : Né d'Aivegrisle, dit "de Bale"
Prénom : Morand
Surnoms : Chevalier en guenilles, Héraut de Boète
Âge : Trente-quatre ans
Sexe : Masculin
Rang : Noble - Chevalier d'un Châtelain déchu, Fils de Banneret ... En quête d'un nouveau seigneur.

Carrière envisagée & tableau de départ avec les 4 PCs :
■ Carrière choisie : Voie du chevalier
■ Points dépensés : +1 HAB, +1 END, +2 PAR

Compétences et objets choisis :
■ Arme de Prédilection (Epée longue), Couverture, Esquive, Discernement
■ Armure : Camail(Tête), Gambison (Torse), Jambières de cuir (Jambes), Gants de cuir (Mains), Rondache(Bouclier), Epée Longue (Arme).
■ Vêtements : Capuchon (Tête), Hoqueton de soie doublé de fourrure (Torse), Braies (Jambes), Bottes à armer (Pieds)



Physique



Celui que "l'élite" de Marbrume se plait aujourd'hui à surnommer "le Lige de Bale" ou le Chevalier en guenilles, est le légataire d'une châtellerie dévorée par les miasmes, embaumée par l'humus et frappée du sigil méphitique de l'idéologie "putrificatrice". Il est porteur d'un étendard informe et sans couleurs ; Un vassal frappé d'anathème, marqué par les accablantes phalanges de son feu Sire, honni et maudit par les voix de la trinité.

En dépit de tous ces titres de disgrâce, de sa nimbe d'ignominie, le condamné semble libéré de ses faix, il conserve un port altier et le dos droit. Sous son hoqueton gris élimé et maculé, au capuchon rabattu, le masque de l'infamie ne peut que se deviner et se redouter. Si sa noblesse partage, son éducation, elle, se révèle dans sa démarche, qu'il veut assurée ; Elle s'impose dans les contours de son blason, passablement estampillé sur la livrée qu'il arbore : Une escarboucle de sable aux rais de lames et bâtons sur champ de cendres.
Silencieux, le réprouvé endure ; Des battement de son fourreau sur le cuir de sa senestre, que le froid a rendu ardent ... Jusqu'à l'assaut lapidaire de la bruine, que le crépuscule automnal approvisionne, en cruel étapier. Parvenu au Goulot, il observe l'enseigne branlante, où les fleurs éteintes exhalent toutes les senteurs les plus aigres. Les murmures qui lui parviennent ne sont guère ceux du vent et sur le tapis de bourbe les pieds-légers s'engoncent. Les trois silhouettes s'insinuent, se voulant sans doute menaçantes. Le chevalier en guenilles lève bientôt la main, écartant un large pan de son habit, révélant une charpente puissante, bardée d'un doublet matelassé noir à sangles de cuir ; Achevant ce geste placide, il rabat son camail doublé d'un capuchon d'étoffes d'une dextre assurée, sa chevelure brune coupée de près, perle déjà sous l'averse. Sous son front volontaire, au creux de ses orbites creusés, luisent deux billes d'obsidienne ... Puits sans fond, en contraste avec la pâleur mortifère de sa peau. Ses pommettes hautes et saillantes, soulignent la composition austère de ses traits ainsi que les contours anguleux de son visage. La tête penchée, il expose un nez aquilin ; Ce bec surmonte des lèvres ténues, presque inexistantes tant elles sont pincées. Tavelant sa joue, l'infâme marque du Chastelain de Cornières, expose sur le marbre de son derme, un bas-relief noirâtre, quasi tentaculaire ; Ces armoiries gravées au fer rouge zèbrent le zygomatique du supplicié, ébauchant un éternel demi-rictus sur ce visage si austère. Ce qui aurait dû ressembler à une ramure de gueules sur champ de fer, héritage d'une pieuse lignée de serviteurs de Serus, n'évoque plus que l'ombre d'une branche d'arbre mort.

Le dernier de la courte lignée d'Aivegrisle, ne s'attend pas a voir les ladres blasonner, l'ignorance rend parfois les évocations plus redoutables encore, que la vérité. Il n'y aura donc ni clameurs, ni mort au bril de la nuit pour l'annoncer, pour proclamer sa venue au sein de Marbrume, juste le bruissement de l'eau et le pragmatisme silencieux des parias de la cité.

Personnalité



Le Lige de Bale ne peut être évalué et estimé que par les cœurs les plus audacieux, les esprits les plus acérés et par dessus tout, les hommes les plus valeureux. D’un naturel taciturne, mais loin d’être pragmatique, le suivant n’est pas dominé par le mutisme. Il utilise le silence, l’emploie pour écouter, assimiler, comprendre et par dessus tout : Réfléchir. Un talent que bien peu de nobles maitrisent, confondant l’art oratoire et « l’habileté a l’oral » ; Quand ces bons seigneurs se font des politesses, se cajolent et s’enivrent du timbre de leurs feulements, il tranche. Alors que les Mondains conspirent, suggèrent, susurrent et flattent ; Il arbitre, conseille, révoque et condamne.
Depuis que les gisants ont repris leurs droits et édifié leur empire sur les sens des vivants, il accorde aux « Nobles » une fidélité proportionnelle à leur véritable valeur. Le droit du sang, absolu ou divin n’a plus lieu d’être dans un monde où l’humain voit son âme mise à nu ; Il révèle aux yeux des plus démunis, la pauvreté de l’être. Plus que la survie, plus que la vie elle même, la quête poursuivie par Morand est celle d’une justice que l’instinct et la vanité ont si tôt fait, d’estomper. Cette ferveur alimente un dangereux trouble, une vision noircie et souillée du monde qui l’entoure ; Trahi par les idéaux et croyances qu’il nourrissait jadis, il peine à prendre position. Sa foi est vacillante, sa confiance émoussée et son humanité éprouvée à chaque seconde. Le fragile équilibre qui l’empêchera de sombrer dans la plus élémentaire ou froide des folies, il le cherche … Cette balance ne pourra être tenue à bout de bras, que par un meneur d’hommes digne, loyal et moral.
Désireux de rendre à ses armoiries tout leur éclat, à laver l’affront fait à ses ancêtres et à honorer le nom outrageant d’Aivegrisle, il sillonne la cité, cherchant comme bien d’autres … La place qui est la sienne. De l’espérance, il lui en reste suffisamment pour nourrir ce désir, si futile puisse-t-il paraitre.

Jadis féal, courtois, enjoué et conciliant, il est désormais acerbe, incisif et rude ; De son instruction ne demeure plus qu'un semblant d'étiquette et une discipline de fer. Celui qui profitera de ces restes de vertus, devra avoir un cap solide, car une poigne ferme ne lui sera d'aucun secours.

Histoire



I - Ce qui prit racine dans la bourbe …

C’est en l’an de grâce 1130, au déclin des longues journées et à l’approche des grands froids, que naquit Morand, fils d’Aguenor et de Cléanthe ; En lieu et place du domaine d’Aivegrisle, exploitation de marais salants placés sous la régence du Chastelain de Cornières … Est-il besoin d’évoquer le comté auquel il fut rattaché ? Cela n’a plus d’importance, car ce lopin de Langres, comme bien d’autres, n’est plus qu’un fugace souvenir. La terre dont le Chevalier de Boète est aujourd’hui légataire, n’est rien de plus qu’une lieue de ruines mousseuses et de tourbières infectées, perdues dans une végétation aussi prolifère que les créatures qui l’arpentent.
A cette époque, le jeune Aguenor, père en devenir, n’avait pas plus de titres que de reconnaissance, juste des possessions terrestres aux abords de trous d’eaux stagnants et une exploitation que sa seule opiniâtreté permettait de maintenir au delà des ondes saumâtres. Le domaine d’Aivegrisle fournissait en effet une denrée indispensable pour nombre de châtelains et baronnies : Le sel. Placé sous la régence du Châtelain de cornières et plus globalement le comté, le conscrit pris les armes pour prouver son allégeance à son châtelain en l’an 1137, ainsi il soutint le pouvoir établi, alors opposé au soulèvement de quelques coalitions arrivistes. Ses faits d’armes lors de cette courte campagne, attirèrent l’attention des plus hautes instances, un intérêt dérangeant pour Ormoy de Cornières. Ainsi Aguenor fut anobli par le Roi, sur demande de son Chatelain ; Devenu Banneret d’Aivegrisle son serment d'allégeance permit a son Seigneur de le brider et de conserver sa plus grande source de revenus. Il alla plus loin encore pour s’assurer la fidélité de son nouveau vassal en devenant précepteur de son unique fils.
C’est ainsi que Morand fut éduqué, rompu aux arts de l’escrime et du combat à pieds ; On priva cependant le jouvenceau de nombreux savoirs, jugés trop … séditieux et nocifs pour son « épanouissement ». Son enfance au Château de Cornières, fut principalement jalonnée par les entrainements, les messes et prières, de trop maigres initiations aux arts des lettres et enfin quelques relents d’histoire, déformés et viciés.
Morand parvenu à sa majorité et alors écuyer du châtelain, vit son idéalisation et sa fidélité remises en doute, lorsque son seigneur lui refusa le droit, qu'il avait légitime, de regagner ses terres. Suffisamment rusé et conscient pour comprendre ce qui pourrait advenir de lui et des siens, il se résigna. Feignant l’allégeance, tendant l’oreille, analysant et évaluant les possibilités, il planifia sa retraite … Même si celle-ci devait se solder par l’assassinat du Châtelain. Les aspirations de son suzerain, ses manœuvres et sa véritable personnalité, se révélèrent à lui, dans ce jeu de dupe. Dans ce climat délétère, il devint homme, plus encore, chevalier et promesse lui fut faite, qu'il détiendrait bientôt l'exploitation de son feu père. Un homme que la colère menait droit vers un nouveau soulèvement, et que le succès rendait aussi difficile à déloger qu'à mater.
Ce qui arriva la funeste nuit d'aout 1164 cependant, personne ne l'augura, si ce n'était l’œil dément d'Ormoy de Cornières.


II - La Nuit des Halebois ou La purge des Cornières

Ormoy de Cornières, fils de pieuse et noble lignée, comptait parmi ses pairs, nombre de représentants du Clergé ; Longtemps ses ancêtres, serviteurs de la trinité, avaient partagé l’église et plus globalement les hommes de foi. Leurs visions du dogme et leur adoration non-dissimulée pour Serus, avaient fait grand bruit. On redouta que ces mystificateurs génèrent conflits et dissidences au sein de l’Ordre établi en précipitant nombre de dévots vers le culte d’un dieu unique. Pour cette raison sans doute, les hautes instances muselèrent le châtelain et freinèrent considérablement son ascension ; En dépit de sa richesse et de la fertilité de sa lignée, on lui refusa bien des alliances. L’on devine que cette frustration, le plongea plus profondément encore dans la démence et le fanatisme, les simples manoeuvres politiques devinrent à ses yeux, autant de conspirations alimentées par l’impiété et la peur de sa vérité. « La vérité » à son sens. L’oppression de 1137, n’avait guère servi ses intérêts et la seule once de puissance et d’abondance qui lui restait, se trouvait aux salants d’Aivegrisle. Le vieillard avait beaucoup misé sur Morand, mais ce qui lui avait alors permis de museler et brider son empire, était devenu un grain de sable, dans les rouages qu’il avait passé près de vingt ans à mettre en place.
Serus avait cependant répondu à ses prières, envoyant sur ses ennemis, un terrible fléau … La chute des domaines voisins, priva Aguenor des nombreux soutiens qu’il avait obtenu pour assiéger les Cornières. Piégé entre les remparts et les morts, l’armée dressée par le traitre périclitait … Se mourrait. Tenace pourtant, et toujours brave, Le banneret garda position, coupant l’approvisionnement de la place forte, alimentant l’insurrection des paysans de la châtellerie abandonnés à leur sort à l’extérieur de l’enceinte. Affamée, éprouvée, la population du château chemina elle aussi vers l’insurrection, retranchant Ormoy de Cornières dans la folie. C’est ainsi que commença la Purge des Cornières, ou le terrible crépuscule des Halebois, marquant l’un des événements les plus ignobles et sanglants du royaume de Langres.

Le chastelain endoctrina rapidement la basse extrace piégée dans ses murs, les petites gens, les illettrés et les belliqueux aux crânes creux ; Annonçant que la cause de ces plaies était un culte païen ordonné par Aguenor, que ses serviteurs du mal oeuvraient autour mais aussi dans l’enceinte de la forteresse. Cette fameuse nuit, il captura vingt-sept de ses hommes, et les agenouilla sur le chemin de ronde, exposés aux yeux de son ennemi. Parmi ces condamnés, Morand fut bien volontairement placé en première ligne. Battus, marqués au fer rouge du blason des Cornières et humiliés ; les suppliciés pour la plupart, réclamèrent clémence.
Dans un élan de désespoir, Aguenor se résolu à mettre la forteresse à feu, quitte à abandonner ce fils pour lequel il avait tout sacrifié. Dans la panique générale, les captifs qui trouvèrent la force de se dresser, s’éparpillèrent. Dans le brasier et le chaos, Ormoy s’abandonna, ordonnant à ses nouveaux adorateurs d’ouvrir grand les portes … Celles qui permettrait aux impies d’entrer, mais aussi, au châtiment de Serus de sortir … Le Chatelain fou, s’engouffra vers les cryptes condamnées depuis l’aube du siège alors que son adversaire franchissait l’enceinte. Il fut le premier à recevoir son juste châtiment, ses hurlements dominèrent les cris d’exhortation et le chant des flammes. Les hommes désorientés tombèrent, en dépit de leur camp, idéaux et croyances. Aguenor et nombre de ses hommes furent fauchés ; Le banneret sombra, sans pouvoir entendre une dernière fois, la voix de son unique fils. Ivre de rage et de chagrin, le « Chevalier en guenilles » meurtri, employa ses dernières forces pour aller au devant des fangeux. Il y eut ceux qui désertèrent, sans véritable espoir de revoir l’aurore, et ceux qui se souvinrent qu’ils avaient encore le luxe, de choisir comment mourir : Dressés et dignes. Aidés par les flammes et peut-être pardonnés par les icônes la trinité, Morand et quatre hommes parvinrent à survivre à cette sombre veillée, témoins de l’inexorabilité de cette force, de la faiblesse de l’homme, ils quittèrent la châtellerie à jamais profanée, sans un regard en arrière. Rejoignant un convoi d’exilés plus à l’ouest, le « Lige de Bale » prit la route de Marbrume, il fut cependant surpris d’amener avec lui sa terrible chronique. Un ou plusieurs des premiers fuyards avaient de toute évidence survécu, viciant la véritable histoire, de la lignée d’Aivegrisle. C'est sous une fausse identité que Morand parvint à franchir l'enceinte, se dérobant aux regards. Alors que le blason qui le condamnait n'était pas encore lisible et distinct ... Rien de plus qu'une informe brulure ; Le temps se chargea de le trahir, bientôt reconnu par celui qu'il surnomma "le corbeau des Halebois", il dut se retrancher dans le quartier le plus mal famé du royaume. Depuis le goulot, il ronge son frein, traquant le ou les félons responsables de sa condition.

Soi réel




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Dernière édition par Morand de Bale le Jeu 11 Fév 2016 - 18:14, édité 7 fois
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MessageSujet: Re: Morand de Bale (Terminé)   Morand de Bale (Terminé) EmptyMer 10 Fév 2016 - 14:31
Fiche terminée, je me soumets donc humblement et craintivement, au jugement du staff.

Edit : Ajout du choix de carrière, mea culpa pour cet odieux oubli.


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MessageSujet: Re: Morand de Bale (Terminé)   Morand de Bale (Terminé) EmptyJeu 11 Fév 2016 - 17:50
Coucou et bienvenue sur le forum !

Alors tout d'abord, j'aime beaucoup, beaucoup le style de cette fiche. Si quelques fautes traînassent (sous la forme d'oublis de majuscules ou d'ajouts incongrus de celles-ci) la plume en elle-même est vraiment savoureuse. J'ai toutefois quelques remarques à formuler.

Le père de Morand a été anobli par le châtelain de Cornières mais ce privilège est réservé au roi ! Cependant, Ormoy peut avoir persuadé le souverain de le faire.

Et une question : je ne suis pas très certaine des motivations qui poussent Aguenor à se rebeller contre le châtelain alors que celui-ci détient littéralement son fils. Tu peux me le détailler un peu plus ?

Hormis ça, je n'ai rien à redire. Validation proche !
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MessageSujet: Re: Morand de Bale (Terminé)   Morand de Bale (Terminé) EmptyJeu 11 Fév 2016 - 18:27
Bonjour Iseult ^^

Alors j'ai édité et corrigé la partie relatant l'anoblissement d'Aguenor.
En ce qui concerne la motivations de l’intéressé :
Lorsque son fils a achevé son instruction et que son Seigneur lui a refusé un retour sur ses terres, Ormoy a bien fait comprendre à son vassal qu'il n'avait nullement pris son fils son sous aile, avec le désir sous-jacent de l'introduire à la noblesse , mais qu'il en faisait un "otage" pour garder le contrôle sur son exploitation.
(Ledit Aguenor est un homme d'armes et non d'intrigue, d'où sa "grande candeur")
Raison pour laquelle il décide de rompre ses vœux et de lever une insurrection. Le second argument, plus oppressant encore, c'est qu'il entend avec les années, les rumeurs concernant la décrépitude, le fanatisme et la folie grandissante de l'homme auquel il a confié son fils. Ainsi "le" moteur de sa quête désespérée, est l'affect, celui qui le partage finalement entre l'amour de son royaume et celui qu'il porte à son fils.



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MessageSujet: Re: Morand de Bale (Terminé)   Morand de Bale (Terminé) EmptyJeu 11 Fév 2016 - 19:00
Oukay, tout me va ! Je te mets ton rang et ta couleur.

Ta fiche de personnage se situe ici (pour ce qui est des vêtements, équipement usuel... ils ne sont pas notés car tant qu'il est plausible que le personnage possède en RP ces objets, il n'y a aucun souci, d'autant qu'ils n'apportent pas de dégâts/protection) : https://marbrume.forumactif.com/t725-morand-de-bale-carriere-du-chevalier#9541

Je t'invite à jeter un œil aux demandes de RP en cours si l'une d'elles t'inspire ou à en poster toi-même à cette adresse (bien que la cb fonctionne également très bien pour ça) : https://marbrume.forumactif.com/f11-demandes-de-rps

N'oublie pas de renseigner dans ton profil la case "Ma fiche" avec le lien de ce sujet et de faire lorsque tu en auras le temps ton journal d'aventure : https://marbrume.forumactif.com/f45-journal-d-aventure

À nouveau bienvenue et bon RP sur Marbrume !

Appelle-moi encore Iseult avec un I et je t'étripe. Cordialement.
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