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 Aegard Creuse-Tombe [Terminé]

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Aegard Creuse-TombeHaut-Prêtre d'Anür
Aegard Creuse-Tombe



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MessageSujet: Aegard Creuse-Tombe [Terminé]   Aegard Creuse-Tombe [Terminé] EmptyLun 2 Mai 2016 - 3:12




Aegard Creuse-Tombe




Identité



Nom : Creuse-Tombe
Prénom : Aegard
Âge : 51 ans
Sexe : Masculin
Rang : Haut-Prêtre d'Anür
Carrière envisagée & tableau de départ avec les 4 PCs : Carrière "Haut-Prêtre"
+2 INT, +1 CHA, +1 FOR
Compétences et objets choisis :
Compétences :
  • Alphabétisation
  • Doctrine de culte
  • Mémoire
  • Eloquence

Objets :
  • Baton
  • Alternativement : Tenue de lin (correspondant à la toge) // Veste de cuir, Jambière de cuir, Gant de cuir usé, Capuchon de cuir.



Physique



Avoir Aegard en face de soi procure la même sensation que d’être au pied d’une montagne. Il impose le respect par sa taille. On ne saurait dire quelle taille il fait, personne n’a encore osé le lui demander, ou mieux encore, la calculer. Dépassant largement d’une tête et demie la plupart des gens, l’homme d’âge mûr peut se permettre de jeter un regard inquisiteur à qui le dévisage.

Pour un prêtre de son âge on s’attendrait à un physique moins effrayant, quelque chose de plus rachitique, de plus rabougri, pourquoi pas même de loufoque. Que nenni ! Aegard est une masse imposante. Ses épaules larges et carrées, ses bras virils semblant toujours être tendus et son visage marqué par de longues années d’existence font de lui une force qu’on préférait avoir de son côté. Malgré les longues années de vie, le Haut-Prêtre n’a rien perdu de sa force d’antan. Plus, les rides sur son front et son air sévère lui donnent un air bien plus effrayant aujourd’hui qu’une décennie auparavant.

Indépendamment de sa taille et de sa carrure, ce qui marque tout de suite chez lui, c’est son regard. Là où des yeux il y aurait dû avoir, on a l’impression d’observer deux saphirs d’un bleu éclatant jetant sur son interlocuteur un regard d’un autre monde. Comme si Anür elle-même vous dévisageait au travers de son héraut. Telle la gorgone, peu de monde n’ose regarder le vieil homme directement dans les yeux, de peur de voir un châtiment, spirituel bien sûr, mais aussi physique, tomber.

Aegard dégage une aura particulière. Pour un prêtre, il n’a vraiment rien de rassurant de prime abord. Ce n’est pas vers lui que l’on va instinctivement pour confesser des pêchés. De lui, on ne comprend qu’on n’obtiendra que réprimande et sanction. Sa taille, son allure et ses coups de bâtons (très connus des fesses des enfants de la ville) le tiennent généralement éloigné des altercations et des diverses bagarres.

À vrai dire, seule la barge d’Aegard, longue et blanche, trahit son âge. Une barbe étrangement sévère, hirsute, marquant plus la férocité que la sagesse.

Le Haut-Prêtre ne s’ennuie pas tellement avec les histoires vestimentaires. Lorsqu’il s’occupe de ses activités religieuses, il est toujours vêtu d’une longue toge à capuchon bleu cachant une partie de son visage. Seuls ses yeux et leurs lueurs bleutés transparaissent de cette sombre mine. Toujours accompagné d’un vieux bâton en bois sur lequel est sculpté d’anciennes runes renvoyant au culte d’Anür, il l’utilise plutôt pour frapper ceux qui le dérangent plus que comme un soutien à la marche. Lorsque d’autres activités demandent son attention, il doit parfois s’aventurer dans de dangereux coins pour différentes raisons, il porte – par dessus sa toge – quelques éléments d’armures. L’armure se portant plutôt près du corps, ce genre d’équipement fait ressortir ce qu’il y a d’imposant chez lui (et qui est généralement caché par sa toge) ce qui n’est pas pour lui déplaire.

Pour le reste, il ne porte aucun ornement et n’accepte pas les signes distinctifs de classe. Bien que faisant partie du haut de la caste des dignitaires de Marbrume, il n’aime guère s’affichait en tant que tel et préfère laisser son physique ou sa voix faire le reste. Cette dernière ne fait, par ailleurs, pas défaut à cette description. Sa voix est forte, profonde, imposante, rocailleuse parfois, elle est semblable au bruit de la naissance d’un fleuve au pied d’une montagne. Elle force généralement le respect ou, a minima, l’écoute.

Personnalité



Aegard est un Haut-Prêtre d’Anür. Cette caractéristique, ce rang, ce métier, cette vocation est l’élément essentiel de la personnalité de celui-ci. De tous les Haut-Prêtres, et des autres membres du Clergé, il doit faire partie de ceux qui « croient » le plus. Sans être ni un fanatique ni un extrémiste, il croit dur comme fer aux enseignements et à la parole d’Anür qu’il considère comme la divinité des divinités. L’homme reconnaît évidemment Serus et Rikni, mais seule la Déesse de la mort a une place dans son cœur, c’est la seule qui dirige son âme. Cette croyance absolue envers la divinité peut parfois lui valoir des ennemis, certains voient en son comportement un fanatisme, parfois même une hérésie dans son indifférence aux deux autres dieux. N’étant pas spécialement homme à s’expliquer, ces tensions subsistent et finissent par s’intensifier si bien qu’il est souvent seul.

Le vieux prêtre est pourtant un homme respectable et respecté. Il suit à la lettre les préceptes de la religion et occupe la majeure partie de son temps aux tâches qui lui sont confiées. Aegard est d’ailleurs un bon conseiller, il peut débloquer des situations qui – aux yeux de certains – passent pour étant impossible à démêler. Néanmoins, son air féroce et sa taille imposante ont souvent pour conséquence que personne n’ose lui demander quoi que ce soit. Il dira parfois, dans un moment de confession que ça peut le rendre triste de ne pas pouvoir réaliser sa vocation pleinement, mais, les trois quarts du temps ça l’arrange bien que personne ne vienne le********.

Aegard est en fin de compte quelqu’un de très solitaire. L’est-il par choix ou cela lui est-il imposé ? Un mélange des deux. Il est certain que sa personnalité et son physique n’aident pas à ce qu’on l’aborde, même lorsqu’il est disposé à discuter. Néanmoins, il préfère, la plupart du temps être seul. La solitude l’aide à entrer en communion avec Anür sans être dérangé par le monde extérieur dont l’impiété commence à corrompre les esprits.

Par amour pour sa déesse, il ne peut supporter le blasphème et les hérésies, si bien qu’il lui arrive de s’énerver pour un rien. Colérique, il l’est clairement. Son visage est toujours serré comme si une boule d’énervement était bloquée dans sa gorge, n’osant pas sortir.

Il est aussi brutal, violent, parfois même distant et froid. Il peut donner l’impression d’être complètement incompatissant avec le malheur d’autrui. Tout cela n’est qu’une façade. Aegard est surtout profondément juste et bon. Rien ne saurait l’énerver plus qu’une sanction injustifiée ou un coup donné seulement pour le plaisir de faire mal.

Sa parole, ses mots, sont souvent pris comme de la sagesse. Il est très demandé par la noblesse et par la caste dirigeante pour donner quelques conseils et clarifier certains points. Érudit du culte et homme de grande mémoire, il sait prodiguer quelques sagesses menant vers une issue favorable lors de sombres évènements. Ayant toujours été plus ou moins là (à Marbrume), il est comme le pilier d’une communauté religieuse qui ne saurait où donner de la tête en des temps difficiles et ô combien sombres !

Pour un ministre du culte, il reste tout de même au fait de la chose martiale. Il sait se battre, et plutôt bien en plus avec son bâton et sa force brute. Il reste néanmoins un homme d’esprit et préfère utiliser la ruse et l’intelligence pour parvenir à des fins heureuses. Il aimerait donner des conseils d’ordres militaires, mais il n’existe que peu de militaires sachant écouter les conseils d’un vieil homme. Certains pourtant, les plus pieux, sont avides du conseil de l’homme à la longue barbe blanche. Il n’en est jamais avare.

Au final, les yeux d’Aegard, si sévère, si pénétrant, cachent de nombreuses autres facettes qui nécessitent un grand effort pour être découvertes. Lorsqu’on l’observe, parfois, lors d’un office ou plus simplement en le croisant dans la rue, hors de son statut, de sa carrure, de sa posture, on peut voir dans ses yeux saphir une forme de mélancolie, un peu de tristesse.

Histoire



Du début de sa vie, de sa naissance – si précieuse à Serus, Aegard ne sait pas grand-chose. Trop jeune pour se souvenir, malgré une mémoire impressionnante, il ne sait des premiers jours de son existence que ce qu’on a bien voulu lui rapporter. Il était l’un de ses enfants abandonnés comme l’on en croise des centaines dans la cité de Marbrume. Le vieil homme ne sait toujours pas aujourd’hui s’il est originaire initialement de la ville ou si, au détour d’un voyage, il a été abandonné là. De fait, il ne connait pas non plus les raisons de cet abandon. Toujours est-il qu’une nuit, il y a de cela une cinquantaine d’années, un prêtre aussi vieux que sénile entendit des bruits étranges dans le hall principal du Temple de la ville. Là, au pied de la statue gigantesque d’Anür, gisait le corps à moitié mort d’un petit être aux yeux saphir, un nouveau-né. Rendu quasiment bleu par le froid, celui-ci n’était entouré que d’un fin drap du même bleu que ses yeux ne portant aucune marque particulière.
Le petit être ne portait sur lui aucune marque permettant de le distinguer, rien ne montrait des abus ou des sévices, rien ne semblait le démarquer d’un autre nouveau-né.

Le vieux prêtre sénile attrapa de ses mains tremblotantes le bébé et chercha, en l’approchant de son propre corps, à le réchauffer un peu, espérant – dans un sursaut de lucidité – sauver de la mort cet innocent. La suite est floue. Le prêtre jura avoir vu du bâton de pierre que tient la statue d’Anür jaillir un flot de flamme entourant petit à petit le fragile être et le soulevant petit à petit dans les airs. Bien sûr, chacun affirma que l’homme n’avait plus toute sa tête. Quand bien même, le jeune garçon fut sauvé, et que ce soit par la chaleur d’une divinité ou par les simples soins d’un homme de foi le résultat en fut de même.

Les quelques années séparant un nouveau-né de l’âge où il pouvait se rendre utile furent difficiles pour le jeune garçon. Le vieux prêtre l’ayant recueilli le cachait dans sa cellule de peur de se voir enlever le seul être qui voyait en lui autre chose qu’un gâteux que l’on gardait par charité. Partageant avec lui les faibles rations de nourritures qu’il avait, le vieil homme continua à le nourrir et à le chérir. Il lui donna une affection particulière, dénuée d’intérêt, pure.

Petit à petit le bébé devint un enfant et l’heure de lui faire découvrir autre chose qu’une cellule froide et spartiate était arrivée. Implorant le haut dignitaire du Clergé, le vieux prêtre réussit à faire accepter l’enfant comme un membre, très précoce de l’ordre, à condition que celui-ci se rende utile à la cause. Il fut alors assigné à des tâches difficiles, relevant parfois de la maltraitance, mais jamais il ne se plaignit.

Il était un enfant réservé, pas spécialement timide, mais plutôt dans sa bulle. Le vieux prêtre lui avait appris, au fur et à mesure, les rudiments de la langue commune qu’il maitrisait – à l’exception évidemment des fantaisies de langage que l’âge et la folie avaient entrainé. Pourtant, le jeune homme ne parlait à personne en dehors de son bienfaiteur. Il faisait son travail, allait manger puis il retournait dans la cellule se cloitrait le reste du temps. Un jour, un prêtre supervisant son travail – il nettoyait les latrines – lui demanda entre deux changements de sceaux quel était son prénom. Le concept de prénom lui était quelque peu étranger bien qu’il savait qu’elle était l’utilité de la chose. N’en ayant pas, son sauveur ne l’appelant que par des surnoms tantôt affectueux tantôt incompréhensibles, il n’avait jamais acquis de patronyme. Rentrant le soir dans la cellule, il demanda à celui-ci s’il avait un prénom et si oui, lequel. Le prêtre lui donna un livre – contant les premiers instants des hommes sur le monde – et lui proposa de se choisir lui même un prénom.

La procédure prit quelques semaines. Rien ne lui allait. Il trouvait certains prénoms trop durs, d’autres trop mous. Parfois il se prenait d’amour pour un prénom, mais il s’avérait que ce n’était qu’un simple mot comme « promontoire » ou « amirauté ». Finalement, un jour, lors d’une lecture, il tomba sur un nom par comme les autres : Aegard. Il s’agissait, dans le livre, d’un homme alliant courage et piété. Le héros combattait les hordes, les monstres, les ennemies du clergé avec tout autant sa force que sa foi. L’enfant s’était pris pour affection pour ce personnage et ne parlait que lui à longueur de journée à son vieux maitre. Finalement, il décida de choisir ce prénom, ce serait le sien, il était alors devenu lui-même : Aegard.

Des années passèrent sans qu’aucun événement marquant ne se dessine. Celui qui était un enfant était devenu un adolescent, proche des 18 printemps. Il était devenu un jeune homme fringuant, aux muscles apparaît et à la longue chevelure brune. Il aurait eu un succès fou auprès de la gent féminine si cela l’intéressé. Le jeune homme n’était pas encore à proprement parler un membre du Clergé, il n’était ni prêtre, ni clerc, ni rien. Il était simplement un homme à tout faire que l’on assignait au gré des besoins et des envies de chacun. Son vieux maitre sénile n’était plus le même, les années l’avaient fatigué et il ne sortait plus guère de la cellule qu’ils continuaient à partager. Deux fois par jour, Aegard lui servait ses repas jusqu’à la bouche puis il l’aidait à pratiquer les ablutions nécessaires aux offices religieux. À chacun instant il restait proche de lui afin de subvenir aux moindres de ses besoins. En quelques années les rôles c’étaient inversés, ce n’était plus lui qui ne pouvait vivre que par ce vieux prêtre, mais bien ce dernier qui ne pouvait survivre que par l’aide de son disciple.

Souhaitant suivre les pas de son bienfaiteur, Aegard apprenait tout ce qu’il était possible d’apprendre sur le culte. Il était fasciné par Anür, cette déesse sous laquelle il avait vu la charité prendre possession d’un homme à l’esprit déjà dérangé. À cette époque, déjà lointaine aujourd’hui, il suivait tous les préceptes et les commandements de la divinité. Il voulait en devenir son héraut, se rapprocher d’elle, quelles qu’en soient les manières et les conséquences.

Lorsqu’on lui offrit de travailler au cimetière, Aegard se jeta sur l’occasion. Anür était la divine déesse de la mort, se rapprocher de la fin de vie c’était aussi se rapprocher d’elle. C’est ainsi que des années durant il travailla dans le sordide cimetière de Marbrume, sans relâche, sans se plaindre et en veillant toujours à rester dans la chaleureuse lumière de sa divine protectrice.

De nouvelles années passèrent. L’adolescent laissa place à un jeune adulte à la taille déjà très imposante et à la carrure pouvant en effrayer plus d’un. Il avait acquis la seconde par un travail dur et pénible, celui de creuser les tombes permettant le salut des défunts. Il en avait creusé tellement, tellement qu’il ne pouvait se souvenir – lui qui pourtant disposez d’une grande mémoire – quelle tombe était de lui et quelle autre ne l’était pas. Lui qui ne quittait le temple que très rarement, il commença à se faire un peu connaître dans la ville à l’occasion des enterrements. Personne ne connaissant ce jeune homme aux allures de bucheron, on le surnomma « Creuse-Tombe ». Ce surnom lui colla longtemps à la peau, si bien qu’il finit par l’utiliser lui-même. Lui qui avait choisi son prénom, voilà qu’on lui imposait un nom.

Ces années furent marquées par la disparition de son vieux maitre. Ce fou, à qui personne ne prêtait attention lorsqu’il découvrit le corps d’un petit être au début de sa vie, mourut en saint. Il n’était peut-être pas reconnu comme étant le plus grand des hommes, pourtant pour celui qui avait creusé sa tombe, il était digne de reposer aux côtés d’Anür pour l’éternité.
Ce fut quelques années après ce triste évènement qu’on proposa à un Aegard, plongeait dans une immense tristesse, de reprendre le flambeau de son défunt bienfaiteur et de devenir à son tour prêtre. Cette position, en l’honneur de celui qui l’avait sauvé et par amour pour la déesse qui jetait sur lui un œil protecteur, il l’accepta.

Nul n’avait vu un homme aussi captivé par sa tâche. Lui qui avait pour la carrure d’un chevalier était le plus pieu des prêtres. Il était le plus attentif aux offices, le plus curieux de la liturgie, le prompt à crier son amour pour la déesse des déesses.
Bien des années plus tard, alors que les premiers cheveux commençaient à tomber, on lui proposa une dignité qui faisait sens en son for intérieur : Haut-Prêtre d’Anür. Criant son amour, encore une fois, pour celle qu’il vénérait, il accepta le poste et vu élever à un haut rang du Clergé, lui le nouveau-né abandonné sur l’autel de la Trinité.

Aegard développa avec la population un lien fort. Les années passèrent et sa carrure resta la même, faisant de lui à la fois un objet d’inquiétude, mais aussi une forme de pilier sur lequel on pouvait se reposer. Il était, toute proportion gardée, un élément rassurant dans un monde qui ne l’était pas toujours.
Il n’avait déjà plus de cheveux et une longue barbe blanche lorsque les évènements les plus tragiques que le monde ont vécu se produisit. Les fangeux et leurs cortèges de malheur. Lui qui avait toujours vécu dans la ville commença à constater que de plus en plus de monde venait se serrer entre ses grands murs. Bientôt, on raconta que la ville était le seul havre de paix dans un monde devenu un géant de jeu pour des créatures du mal.

Loin de corrompre sa foi, ces évènements ne firent que la renforcer. Il ne savait pas vraiment ce qu’Anür cherchait à faire comprendre aux hommes, mais il savait que c’était un défi, qu’il fallait montrer sa valeur à la déesse en continuant à suivre à la lettre les préceptes de la trinité. C’est ainsi que l’homme, devenu vieux à son tour, continua son œuvre. Le monde finira peut être par s’écrouler, mais tel Atlas, ce géant adorateur d’Anür continuera à la porter sur ses immenses bras tant qu’il le pourra, car c’est aussi ça la religion : porter le poids de l’humanité.

Soi réel




Certifiez-vous avoir au moins 18 ans ? Certes oui.
Comment avez-vous trouvé le forum ? (Topsites, bouche à oreille...) Le hasard.
Vos premières impressions ? Un forum très fourni ! Un peu l'impression de se perdre dans le flot d'informations mais après quelques lectures ça se tasse ! Néanmoins on garde la peur d'écrire n'importe quoi ! C'est difficile quand le lore est aussi étendu d'être totalement "libre" dans la création mais j'espère que ça ira pour mon petit cas !
Des questions ou des suggestions ? Pas vraiment une questions ni une suggestions mais bravo pour le boulot ! Ca doit être quelque chose !!



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MessageSujet: Re: Aegard Creuse-Tombe [Terminé]   Aegard Creuse-Tombe [Terminé] EmptyLun 2 Mai 2016 - 14:17
Coucou et bienvenue sur le forum ! Je m'attaque d'office à la correction de ta fiche et voici ce qu'il en ressort : le personnage est très bien mis en relief, tant dans son caractère que dans son style. Quelques erreurs de conjugaison qui traînent mais rien de gênant concernant la lecture, laquelle est agréable. Je valide et vais te mettre sous peu ton rang ainsi que ta couleur !

Ta fiche de carrière se trouve ici, n'oublie pas de la renseigner dans ton profil (même chose pour l'adresse de ce sujet) : https://marbrume.forumactif.com/t1057-aegard-creuse-tombe-carriere-du-haut-pretre#14101

Il faudra également faire lorsque tu en auras le temps ton journal d'aventure : https://marbrume.forumactif.com/f45-journal-d-aventure

Je t'invite à jeter un œil aux demandes de RP en cours si l'une d'elles t'inspire ou à en poster toi-même à cette adresse (bien que la cb fonctionne également très bien pour ça) : https://marbrume.forumactif.com/f11-demandes-de-rps

À nouveau bienvenue sur le forum et bon RP !
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MessageSujet: Re: Aegard Creuse-Tombe [Terminé]   Aegard Creuse-Tombe [Terminé] EmptyLun 2 Mai 2016 - 19:29
Merci pour la correction instructive ! J'essaierai de porter plus d'attention à la relecture (peut être en faire une de plus :p).

Merci pour la "validation" ! Je vais m'atteler à tout cela !
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MessageSujet: Re: Aegard Creuse-Tombe [Terminé]   Aegard Creuse-Tombe [Terminé] Empty
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