Balnea rosa [PV Aalicia]

Le Bal de Sombrebois c’était terminé de la plus étrange des manières pour dame Calderan et Aénor. Les deux femmes avaient eut un rapprochement durant cette soirée. Aalicia avait bu plus que raison et Aénor avait été embarqué dans une danse effréné non sans attention de son employeuse, qui l’avait coller contre elle et jouait l’homme, jusqu’à échanger un baiser qui pouvait paraitre anodin, mais qui avait fait rougir la jeune mercenaire. Cette récente proximité avec une femme ne l’avait pas laissé de marbre. Aénor n’avait pas fréquenter de femmes dans son entourage et depuis la Fange encore moins. Elle avait l’habitude de n’être qu’avec des hommes, sans vraiment avoir de contacte avec eux. Rare était ceux qui l’attirait réellement.
Mais cette femme avait un charme certain, agissant sur les hommes comme les femmes visiblement.
Ce qui semblait étrange à la jeune mercenaire, c’est que certaines des filles de joies partageaient des duos avec des clients. S’embrassant et se touchant entre elle pour éveiller l’intérêt du mâle en face d’elles. Mais elle n’avait que faire de ses femmes là, communes et sans réelle intérêt.
Quant Aalicia l’a saisit, elle sentit une décharge en elle. La même qu’elle ressentait lorsque Sinaël l’a touchait. Elle n’avait pas comprit sur le moment, et s’était efforcé d’oublier ses détails.

Ainsi lorsqu’elle reçut le message d’Alfonso de rejoindre Dame Calderan dans sa salle de bain privé, elle fut quelques peu étonné de cette demande. Se remémorant les sensations qu’elle avait eut.
Elle ne pouvait pas avoir ce penchant s’il ne s’agissait que d’une femme parmi tant d’autre, mais il avait aussi le Comte, l’amant de Aalicia, qui ne pouvait sans doute pas toléré ce genre de comportement sous son toit.
Victor de Rougelac était son employeur, jamais il ne tolérerait qu’elle enfreigne les règles… Surtout après l’avoir repoussé à de nombreuses reprises dans ses tentatives de séduction.

Aénor traversa les nombreuses étroits couloirs qui composaient l’arrière de l’Effeuill’Âge, la zone privé du Comte et de sa maitresse. Mais vu leur récente dispute, elle ne le demeurerait peut être plus très longtemps…
La mercenaire frappa légèrement à la porte des appartements d’Alicia et Alfonso lui ouvrit la porte, et l’amena dans les bains où la propriétaire des lieux se délectait dans de l’eau bien chaude.
L’air était chargé de vapeur de senteur florale. Il y avait des pétales de roses dans l’eau et une ambiance tamisé. Le lieu avait une atmosphère des plus étrange.
Elle détourna le regard en rougissant. Aénor n’était pas attiré par les femmes, mais durant cette soirée bien arrosé, au beau milieu du danger, la maitresse de son employeur lui avait ouvert les yeux sur une autre forme de plaisir et d’amour charnel.

« Vous m’avez fait demander? »

La mercenaire était stressé, elle ignorait le sujet de sa convocation. Elle se demandait si elle n’avait pas causer de problème au sein du couple au même tout simplement dans l’établissement des deux amants.

Les choses ont changées à l'Effeuill'âge, la veuve semble ne pas vouloir croiser le comte et vice versa, la tension est palpable dans l'établissement. Aalicia a encore du mal à digérer cette nouvelle trahison de la part de celui qui est à présent son ex amant. Voilà une partie des conséquence qu'a eu le bal de Sombrebois pour elle. Tous ses efforts mis à la corbeille, tous ses projets et l'avenir qu'elle voulait avait été de nouveau allègrement piétiné. Elle lui fera payer ça, ils peuvent en être sûrs que ça se payera tôt ou tard, de sa main ou non.

Il reste maintenant à élucider l'autre sujet qui occupe ses pensées : Aénor. Mais pourquoi l'avait-elle embrassée ? L'alcool ? non, elle n’était pas ivre au point d'agir ainsi. Par envie ? Elle n'avait jamais été attirée par les femmes, pourtant elle en a vu défiler un bon paquet, mais aucune d'elle n'avait attiré son attention, alors pourquoi Aénor ? Elle n'avait aucune idée à ce sujet là, elle était dans le flou total et elle n'aimait vraiment pas ça

Alors qu'elle allait prendre son bain, elle demande à Alfonso d'aller lui chercher Aénor, elle voulait ses réponse, et elle savait comment elle s'y prendrait. C'est risqué, mais bon, qu'a-t-elle à perdre de plus dans sa dignité, elle n'a plus aucune dignité grâce au comte. Elle retire sa robe, la laissant tomber simplement à terre et elle s'attache les cheveux en un chignon fait à la va vite avant d'entrer dans l'eau, soupirant d'aise sous la chaleur.

Elle ferme les yeux quelques secondes jouant avec un des pétales de rose qui flotte sur l'eau, Alfonso avait eu une merveilleuse idée, de l'essence de rose et des pétales de roses à la surface de son bain, sans parler de toutes ces bougies qui illuminait la pièce dans une ambiance tamisée. Son valet personnel savait décidément tout ce dont elle avait besoin pour qu'elle puisse se détendre.

Quand la porte s'ouvre, elle tourne la tête vers Aénor, la regardant avec un petit sourire en coin.

- oui, j'aimerais que tu m'aide à me préparer, je sais que c'est Alfonso qui devrait le faire, mais cette fois ci j'ai besoin d'un avis féminin

Est ce vraiment pour cela ? Non, bien évidemment que non, mais il fallait qu'elle trouve une excuse quant au pourquoi elle avait demandé a ce qu'elle vienne.

« J’aimerais que tu m'aide à me préparer, je sais que c'est Alfonso qui devrait le faire, mais cette fois ci j'ai besoin d'un avis féminin. »

La scène au combien gênante auparavant s’envola un peu lorsqu’elle lui précisa la raison de sa demande. Le seul hic était qu’Aénor ne se considérait pas suffisamment féminine pour pouvoir promulguer de tel conseil de mode. Alfonso avait certainement beaucoup plus de gout qu’elle en matière de mode. Mais celui-ci s’effaça de la pièce pour laisser les deux femmes dans le bain surchauffé de la maitresse des lieux.
Aalicia lui montra une éponge, poser sur un petit guéridon non loin de là. La mercenaire s’exécuta et lui apporta l’éponge qu’elle plongea préalablement dans l’eau chaude, envieuse de ce bain qui avait l’air si confortable.
La mercenaire ne put s’empêcher de regarder le corps de la femme dans l’eau. Bien que l’image était flou entre les pétales de roses et la distorsion de l’eau, elle ne put s’empêcher de revoir leur baiser durant le bal.
Fort heureusement, sa maitresse étant de dos, elle ne pouvait voir le rouge lui monter au joue. Une pulsion lui vint soudain. La mercenaire se mit a lui masser les épaules a moitié immergé dans l’eau.

« J’ai cru comprendre que vous étiez sujette à un grand stresse dernièrement… il faut vous reposez. »

Elle a un petit sursaut quand Aénor pose ses mains sur ses épaules couleur lait parsemées de fines cicatrices mais elle la laisse faire.

- Stress ? La veuve a un petit rire nerveux. Victor m'a gentiment demandé de partir de chez lui pour y installer sa future épouse.. alors que je suis enceinte... Voilà le genre d'homme qui t'emploie

La veuve se tend un peu, serrant la mâchoire et les poings, préférant enrager que pleurer encore une fois. Elle ferme les yeux puis inspire profondément, elle n'avait pas envie de s’énerver, non pas ce soir. Elle devait garder l'esprit clair et aller au bout de ce qu'elle avait en tête. Mais les mains de la mercenaire lui font du bien, ça faisait quelques mois que personne d'autre qu'Alfonso l'avait massée.

- Désolée, je n'aurais pas du dire ça..

Elle a un petit soupir et ouvre les yeux pour passer l’éponge sur ses bras, eux aussi couverts de fines lignes plus claire. Mieux vaut qu'elle se concentre sur le massage que lui fait Aénor.

La mercenaire reproduisait les simples gestes qu’elle avait vu Alfonso faire sur sa maitresse. Ce majordome était au petit soin pour elle, toujours accomplissant le moindre de ses désirs. Aénor soupçonnait le pauvre d’être éperdument amoureux d’elle mais ce sentiment n’était pas partager. Et les temps étaient difficiles comme elle lui décrivait. La jeune dame avait apprit il y avait peu qu’elle attendait l’enfant du Comte, mais celui-ci n’en désirait point. Il avait une froideur certaine à son égard et ce depuis avant même que la mercenaire se joigne à sa compagnie. Le couple semblait désespérément se diriger vers la rupture. Le comte était bien trop arrogant pour l’épouser. Quel dommage, mais cela ferait le bonheur d’un autre homme, car elle demeure une femme d’une incroyable beauté et d’un charisme évident.

« Il me semblait avoir bien saisit le personnage, mais pour parler franchement je ne suis pas là pour sa compagnie, mais l’argent que cela me rapporte. »

Aénor rougissait tout en continuant son massage, sentant les pulsions du bal revenir. Elle avait envie de les suivre sans vraiment savoir pourquoi. Après tout, elle pouvait dire qu’elle avait glissé.
Tentant le tout pour le tout, elle commença un massage sur le devant du cou et les bras, plongeant plus profondément ses mains dans l’eau afin d’aller jusqu’au coude d’Alicia, soufflant dans son cou de manière plus sensuelle. Se retenant de l’embrasser sur sa peau lisse et blanche.
La mercenaire fit remonter ses bras hors de l’eau et toucha pas « inadvertance » la poitrine de la dame des lieux sans que celle-ci ne dise rien du tout.
Est-ce un signe?
Avait-elle envie que la mercenaire poursuive son offensive?
Elle renouvelle l’expérience une seconde fois, remontant ses mains en suivant le contour de ses hanches, de son ventre pour revenir sur les épaules. Elle changeait de chemin à chacune de ses remonter, sentant Aalicia se détendre sous son massage.

« Je vous envie quelque peu le fait d’avoir un bain à côté de votre lit… Il n’y a rien de plus relaxant qu’un bon bain chaud avant d’aller se coucher. »

La jeune guerrière se pinça les lèvres. Elle avait chuchoté sa au creux de l’oreille de sa dame, avant de faire remonter ses mains du bout des doigts sur le ventre de la bourgeoise, touchant les tétons durcit par l’eau chaude. Ce soir, elle voulait en avoir le coeur nette.

Aénor a un grand sens de l'observation pour réussir à reproduire aussi bien les gestes d'Alfonso quand il la masse, elle peut l'entendre aux petits soupir d'aise que laisse échapper la veuve. Plus qu'une rupture, c'est une cassure nette entre le comte et elle, il n'y a plus de lien entre eux, elle en a brisé la plupart, qu'il soit amoureux, amical ou même fraternel. Il reste le lien associé, et encore elle compte bien briser ce lien à un moment ou un autre. C’était la trahison de trop et elle comptait bien la lui faire payer chère celle là.

- Si je te paye plus que lui, viendrais tu à mon service à la place ? Tu serais déjà traité plus humainement.

Demande-t-elle en ressentant à nouveau cette envie d'elle qu'elle avait eu lors de leur danse au bal, ce qui l'effraie aussi un peu, jamais elle n'avait été attirée par une femme auparavant. Elle se laisse masser sans protester, comme si elle voulait que la jeune femme dérape, elle aussi voulait avoir le coeur net, savoir si cette envie n’était qu'une passade ou si elle était bien ancrée en elle. quand les mains de la mercenaire frôlent sa poitrine, elle ne peut retenir un soupir plus long que les autres. cette femme fait naitre en elle le désir qu'elle a habituellement pour les hommes, mais son massage l'aide à se détendre.

Son murmure lui arrache un petit rire qui s’étrangle dans sa gorge quand elle passe ses mains sur sa poitrine, tournant la tête vers elle, un fin sourire aux lèvres.

- Alors déleste toi de ton armure ainsi que de tes vêtements, et viens m'y rejoindre... Elle est assez grande pour qu'on puisse prendre un bain toutes les deux...

L’ambiance tamiser et les senteurs de rose rendait une atmosphère propice au rapprochement, c’est ainsi que venu de nul part, sa pensée fut scellé d’une parole.

« Si je te paye plus que lui, viendrais tu à mon service à la place ? Tu serais déjà traité plus humainement. »

La mercenaire sentit les frissons sur la peau d’Aalicia. Mais elle se retourna pour se mettre face a elle.

« Alors déleste toi de ton armure ainsi que de tes vêtements, et viens m'y rejoindre... Elle est assez grande pour qu'on puisse prendre un bain toutes les deux… »

Aénor rougit a sa proposition. Elle avait certes tenter le tout pour le tout, mais elle restait tout de même étonné de sa réponse, ne pensant pas qu’elle répondrait à ses avances.
Elle commença a dénouer son corset tout en regardant son employeuse. Elle était debout dans le bain, brillante d’humidité. La voir ainsi dévoilé donna d’autant plus envie de tenter l’expérience qui l’a tarodait depuis le bal d’Hector.
La jeune femme comprenait désormais pourquoi le comte avait été attiré par elle.

« J’aurai besoin d’aide. »

Elle aussi est étonnée de sa propre réponse, qu'est ce qui lui prenait de vouloir séduire une femme, bien que ce soit en partie déjà fait sans qu'elle n'ai vraiment fait quoi que ce soit. Elle a un petit rire quand la mercenaire déclare avoir besoin d'aide et la veuve quitte la baignoire pour aller la rejoindre, venant dans le dos de la mercenaire.

- Besoin d'aide, hmm ?

L'excuse de la blonde n'est pas crédible du tout, elle a l'habitude de mettre et de retirer son armure seule, mais la brune entre dans son jeu, posant ses mains sur le ventre de la jeune femme, ou plutôt des boucles qui maintiennent le corset pour les défaire les unes après les autres, le menton posé sur l’épaule d'Aenor, soufflant doucement dans son cou.

Elle pourrait le faire rapidement, mais non, elle veut prendre son temps, laissant le corset tomber à terre. Au tour des jambières, Aalicia devant s'agenouiller pour pouvoir les retirer sans se baisser trop bas. Quand elle n'est plus qu'en chemise et en pantalon, la veuve reprend place sur le rebord de la baignoire en la fixant.

- Encore besoin d'aide ?

Demande-t-elle avec un petit sourire aux lèvres, n'en ayant fait ni trop, ni trop peu, elle teste la température dirons-nous.

Sans réellement savoir comme elle avait oeuvrer, Aénor s’était retrouver entre les bras d’Alicia Caldéran. La femme était sortie de l’eau avec sensualité, et, totalement nue, s’était rend jusqu’a la mercenaire dans un déhanché qui aurait fait de l’effet à n’importe qu’elle humain. Aénor oublia la voix dans sa tête qui lui répétait que ce n’était pas possible, et qu’il fallait se ressaisir.,La vie était trop courte pour la gaspiller et ne pas essayer. Après tout s’était la première femme qui l’intriguait dans ce sens là.

Aalicia passa dans son dos et décrocha avec lenteur les accroches de son armure et délassa son corset tout en déposant son menton sur son épaule, et soufflant délicatement dans son cou.
Puis, s’agenouillant devant la mercenaire, elle lui retira ses jambières avec la même lenteur que précédemment. Une fois la tâche finit, elle retourna s’appuyer contre le bord de la baignoire, laissant Aénor vêtut de sa chemise trop grande et de son pantalon, qu’elle se pressa de retirer afin de se glisser au côté de sa… maitresse dans l’eau.
Néanmoins, elle prit la même lenteur que celle ci pour tester la température, s’approchant d’elle et venant la caresser du bout des doigts sur le bras, puis le ventre et remontant de plus en plus de la poitrine d’Aalicia.
La mercenaire retourna son employeuse avec un peu de brusquerie pour être dans son dos, et relevant délicatement ses cheveux, vint déposé un baiser dans son cou, caressant les flans de celle ci, de ses doigts froids

« Et vous même désirez vous de l’aide? »

Aénor s’engageait dans quelque chose de nouveau et ne savait trop comment procéder. Elle ne faisait que ce qu’est désirait d’un homme quand il l’a touchait.

- Oui il se peut que j'ai besoin d'aide, mais je n'aime pas être inactive.

dit-elle avec un petit sourire en coin. Elle n'a jamais pensé être un jour attiré aussi intensément par une personne du même sexe, voire même d'être attiré par une personne du même sexe tout simplement. Ses mains sont tout aussi plaisantes que celles d'un homme et la font déjà soupirer de plaisir. Elle fais un pas et se tourne pour être face à Aénor, pouvant la regarder dans sa nudité, se pinçant la lèvre devant une telle beauté au corps musclé mais aussi gracieux que le corps de la noble déchue.

- Tu es magnifique

Dit-elle en se rapprochant pour prendre le visage de la guerrière entre ses mains et l'embrasser. Ce baiser n'a rien à voir avec celui reçu au bal, il est tendre et langoureux à la fois, la veuve montrant qu'elle peut être douce. Le baiser est bref mais intense, les mains de la brune passant dans les cheveux de la blonde alors que ses lèvres parcourent sa mâchoire pour descendre jusqu'à son cou. Elle aimerait aller plus loin mais elle se retient pour le moment, ne pas aller trop vite, les réactions d'Aénor lui montrent qu'elle est tout aussi novice qu'elle. Mais au final, qui de mieux qu'une femme peut donner du plaisir à une autre femme. Elle lève le regard vers elle, un fin sourire dessinant alors que ses mains abandonnent la masse blonde pour se perdre sur ses épaules puis sa poitrine qu'elle effleure du bout des doigts.

- Dis le moi si je me montre maladroite, c'est la première fois avec une femme

Aénor fit le tour dAalicia et se mit à lui frotter le dos, avec douceur et lenteur, faisant glisser ses doigts sur sa peau, caressant avec plus de précaution les anciennes cicatrices. Puis vint le moment de s’attaquer à sa poitrine. La mercenaire resta dans son dos et se plaqua contre elle, appuyant sa poitrine généreuse dans son dos. Elle fit souleva de l’eau dans le creux de sa main droite pour venir arroser les seins. De sa main gauche, elle vint frotter ce qui était désormais humide. Elle caressait son corps musculeux, profitant de sa position pour faire un massage, dénouant les muscles de sa patronne.
C’est après qu’elle que minute qu’elle commença a déposer de léger baiser sur sa nuque, puis son cou. Mais ce qui fit réagir Aalicia fut la combinaison des lèvres dans son cou, allier à son souffle saccadé, et ses deux mains qui descendirent vers son antre.
Un vol face pour se tourner vers la mercenaire, et l’a saisit et l’a coller contre elle, l’embrassant à peine bouche, lui transmettant son envie et son désir pour elle. Même sans ses embrassades, elle avait comprit la dimension de son désir à la rigidité de ses tétons.
Leur langue se mêlaient alors que leur souffle se sacadaient au fur et à mesure que les secondes passaient.

« Tu ne sera pas maladroite j’en suis sur… »

La mercenaire ferma les yeux, sentant sa patronne passer dans son dos, sans doute allait-elle procéder comme elle. Elle frissonna au contact de ses mains douce contre sa peau, les aspérités de ses mains caressant la moindre parcelle de son ventre avant de remonter sur sa poitrine généreuse. D’abord effleurant et fuyard, puis plus entreprenant, usant du bout de ses doigts sur ses tétons rose gorger de plaisir. Son corps n’eut qu’une réaction, celle de se cambrer contre le torse de sa maitresse. Sa tête vint se déposer sur l’épaule de son amante, lui libérant la vue sur son corps et lui permettant de déposer des baisers sur son cou ainsi offert.
La main droite d’Aalica entreprit de descendre vers son intimité, caressant doucement une petite boule se trouvant au dessus de ses lèvres inférieur…
La jeune femme laissa échanger un soupir de plaisir. Elle sentait dans son dos l’intimité humide de la macerelle, accentuant son plaisir. Elle caressait de haut en bas, parfois plus rapidement et ralentissant d’un coup, mettant en exergue la sensibilité de son corps.

L’eau était brulante. Son corps étaient devenu une source insoupçonné de chaleur. Mais elle ne pensait ressentir soudain une vague de chaleur intense remonté à travers ses entrailles, elle enfonça ses ongles dans les poignets d’Aalicia, qui, instinctivement la plongea en avant avec brutalité avant d’entrer elle dans un râle rauque et puissant.
Elle commença un va et vient sur son clitoris. Une extasiant mouvement qui lui procuraient un sentiment de plaisir intense. Elle gémissait de plaisir à chacun des mouvement de ses doigts qu’elle mettait. Aénor lui tenait la croupe avec force.