Nom : Mcleods
Prénom : Rose
Âge : 23 ans
Sexe : Féminin
Rang : Citoyen - Travail dans l'une des auberges de la ville.
Carrière envisagée & tableau de départ avec les 4 PCs : Domestique :(Hab:+1) (Cha: +1) (Ini: +1) (Pv: +5)
Compétences et objets choisis : Cuisine - Musique-Confection- Baratin. Porte un petit couteau de cuisine toujours sur elle. Porte une simple robe.

Rose à un toujours eu comme atout son physique. Enfin, c'était surtout sa mère qui le lui répétait sans cesse qu'avec la beauté qu'elle possédait, elle pouvait avoir le monde lui même à genou pour elle. Avec sa longue chevelure blonde, elle ne laisse personne indifférent à son charme naturelle. Avec le temps elle s'est finalement convaincue qu'elle ne devait pas être si laide. Les gens autour d'elle avaient beau dire le contraire, elle avait toujours beaucoup de mal à croire les autres. A ses yeux, il y a forcément quelque chose qui cloche chez elle. Si ce n'est pas son nez, ce sera bien autre chose. Rose n'est pas particulièrement grande. Elle ne s'en plaint pas forcément, sa mère lui disait toujours qu'une femme trop grande est une femme dépourvu de charme. Pour elle, il était toujours question de charme. Il fallait toujours qu'elle soit la plus belle, qu'elle porte des décolletés si plongeant, qu'on pourrait presque voir son nombril. Et Rose, naïve comme elle était, l'écoutait sans jamais riposter. C'était ainsi qu'elle s'habillait toujours de robes aux grands décolletés et bien trop serrés pour elle. Ce n'est qu'après la mort de sa génitrice qu'elle adopta un style moins provoquant et plus simple. Des robes aux couleurs neutres et met très rarement la capuche quand elle sort à l'extérieur, même en pleine nuit. Ses prunelles portent la couleur d'un bleu ciel intense. Il suffit qu'elle plonge son regard en vous pour être aussitôt ensorcelé.... Rose porte toujours des colliers de bas de gamme autour du coup. Ils cache presque la totalité de son cou. Elle le fait afin de dissimulée la cicatrice infâme qui s'insinue tous le long de son cou.

Sous ses grands airs de femme forte, se cache une jeune femme définitivement fragile et vulnérable. Les temps ont été dure pour elle, comme pour la plupart des autres citoyens de la métropole. Elle s'est donc forgé avec le temps, une carapace fait d'acier et de métaux lourds. Du moment que nul ne peut voir ce qui se cache derrière ce mur. Rose est une femme de caractère. Elle n'est pas du genre à se laisser marcher dessus ou à ramper sur le sol pour éviter les problèmes. Elle les affronte tête la première, ce qui lui a valu bien des soucis jusqu'à présent. De nature calme, elle aime sourire à la vie, même si celle-ci n'a été que trop rarement bonne avec elle. Elle voit toujours le bon côté des choses, essai de motiver les gens les troupes. Elle optimise tout, tourne et décortique les choses pour les faire voir d'un tout autre jour. Elle est comme ça notre petite rose, à la fois fragile et forte. Une guerrière comme une soigneuse quand la situation change. Sa nature butée et têtue lui joue souvent des tours. Elle est connue auprès des villageois comme une vraie tête brûlée. Les hommes aiment l'approcher, mais évite toujours d'aller trop loin, de peur de recevoir une claque si ils essaient de s'aventurer hors des sentiers battus. Il y a chez elle ce petit quelque chose qui la rend inaccessible , telle une forteresse imprenable.

Rose est née dans les bas quartiers d'un village proche de Marbrume. Vivant son enfance avec l’absence d'un père, et l'ivresse d'une mère, la fillette connut très tôt son propre lot de problèmes. Rapidement, elle du se débrouiller pour rapporter quelques pièces à la maison afin d'aider sa mère. Celle-ci avait trouvé un logement se situant au-dessus d'un marchand de borderie. La mère de Rose rentrait régulièrement ivre le soir, toujours accompagnés d'hommes différents. La fillette se doutait bien avec le temps de « l'occupation » que sa mère entreprenait, car elle revenait ensuite avec une bourse bien plus remplie qu'avant. Il lui arrivait souvent de dénigrer sa fille, la rabaissant dès qu'elle le pouvait. Rose en venait à penser avec le temps que cela lui soulageaient la haine et l'amertume qu'elle se trimballait jusque-là. Rose devint une adolescente rebelle et casse-cou. Elle faisait toujours les quatre cents coups, arrivait à trouver les problèmes avec une facilité déconcertante. C'était sa seule façon à elle de sentir existé et avoir un semblant de liberté.Elle aimait bien fuir ce cocon familiale qui lui était aussi néfaste que l'odeur de l'urine et du vomit. Ces mêmes odeurs qu'elle sentait sans cesse quand sa mère rentrait avec un énième homme aussi saoul qu'elle. La jeune femme sortait donc dans la rue, arpentant les marchés en quête d'évasion. Elle ne dépassait pas les quinze ans, que les hommes commençaient déjà à venir la flatter et à l'approcher aux moindres occasions. Elle aimait bien attirer l'attention, mais se rendit vite compte de la vraie nature de leurs gestes, et s'en éloigna aussitôt. Trop de mauvais souvenirs resurgissaient en elle. Ceux d'un soir ou les choses dérapèrent, ceux d'un soir ou par la faute de sa génitrice, elle connut l'ultime horreur qu'une femme puisse subir. Personne ne sut cette histoire, hormis sa propre mère et ceux qui l'agressèrent. Les années passèrent et les premières rumeurs firent leurs apparitions, puis les premiers massacres. Puis vint une nuit ou elle fuya ce qui restait du village, en compagnie des rares survivants. Sa mère n'avait pas échappé au massacre. Elle gagna Marbrume et trouva un emploi de serveuse dans l'une des nombreuses auberges de la ville.

Certifiez-vous avoir au moins 18 ans ? Oui
Comment avez-vous trouvé le forum ? (Topsites, bouche à oreille...) Top site
Vos premières impressions ? J'aime beaucoup l'univers
Des questions ou des suggestions ? Nop