|
|
| Mederich de Corburg [Validé] | |
| Mederich de CorburgComte
| Sujet: Mederich de Corburg [Validé] Dim 10 Sep 2017 - 2:03 | | | MEDERICH DE CORBURG◈ Identité ◈ Nom : Mederich Wihlelm Herthan de Corburg.
Surnom : Le Vieux Rab.
Age : 46 ans.
Sexe : Masculin.
Situation : [.....]
Rang : Comte exilé de Corburg, Grand-Mestre de l'Ordre des Hardis Roukiers.
Lieu de vie : L'Esplanade
Carrière envisagée & tableau de départ avec les 4 PCs :
Carrière du Noble Guerrier : +2 FOR +1 END +1 ATT
Compétences et objets choisis :
Compétences :
- Alphabétisation - Niveau 1
- Coups Puissants - Niveau 1 - Administration - Niveau 1 - Coriace - Niveau 1 - Volonté de Fer - Niveau 1
Objets :
- Bec de Corbin nommé « Fendcrâne » ; Épée longue à une main ; Rondache. - Harnois ; Camail ; Jambière de cuir.
Possessions :
- Seigneurie de Corburg, son château de Corbe-Castel et ses différents hameaux. Situéhors Duché de Morguestanc, actuellement abandonné et livré à la Fange. - Le Manoir de Corburg, demeure noble modeste situé sur l'Esplanade accolé au rempart Sud. - La Loge des Hardis Roukiers, bâtiment annexe du Manoir abritant une compagnie de chevalier survivant de Corburg. - Un destrier caparaçonné, trois limiers dressés par ses soins. - Une fortune quasi-inexistante pour un homme de son rang, il est considéré comme pauvre par ses pairs.
◈ Apparence ◈ Armoirie de Corburg Mederich est un homme laid. Faible de taille, trapu et possédant des traits grossiers, il est fût de tout temps considéré comme repoussant. L'âge n'ayant rien arrangé, son visage se trouve aujourd'hui outrageusement marqué : rides, tâches de vieillesse, marques de vérole et crevasses d'alcoolisme le feraient presque passer pour un homme du commun ayant passé sa vie à jongler entre taverne et labeur des champs. Pourtant, bien qu'il abusa et abuse toujours de la boisson, c'est une vie passer à guerroyer qui le marqua ainsi. C'est donc presque fièrement que l'homme porte en exergue son faciès dans les cours remplis de nobliau mondain. Son regard torve ne serait être oublié, bien que ses yeux d'un vert vitreux aient perdus de leur éclat. Une barbe d'un noir anciennement de jais, aujourd'hui grisonnante, lui mange le visage et on y voit clairement les signes d'un manque d'entretient. Son hygiène elle même laisse à désirer, étant du genre à ne rencontrer le baquet que plusieurs jours après retour de chasse. Mais l'âge n'à pour l'instant pas encore atteint sa vigueur. Portant régulièrement l'armure et maniant toujours l'arme avec brio, ses muscles sont toniques et sa démarche assuré. Il se plaint néanmoins de quelques douleurs lancinante dans le bras gauche quand le temps ce fait trop humide ou trop froid. ◈ Personnalité ◈
Merderich est un homme chicanier. Sévère et Va t'en guerre, appréciant le bruit du fracas des armes et l'adrénaline procurée lors des moments ou la vie ne tient plus qu'à un fil. Réel produit issu d'une noblesse terre à terre et guerrière, il est loin de posséder le faste propre aux mondains. Au contraire, l'homme abhorre l'ambiance feutrée des cours et des bonnes gens aux joues ouatées, se sentant bien plus à l'aise attablé à un banquet bruyant ou traquant une proie pendant exaltante chasse. Bien qu'éduqué par moult précepteurs, il ne fût pas le meilleur et le plus assidu des élèves, préférant de loin les vigoureuses passes des maître d'armes à l'algèbre poussiéreux des érudits. Ses manières sont donc bourrus et bien peu adapté aux basses-messes et colportages soyeux. Il est un rustre parmi les nobles, mais un noble tout de même bien conscient de son rang. La gueusaille n'ayant qu'à bien se tenir en sa présence ! Si la bienséance lui dicte de porter l'honneur en exergue, il n'hésite pas à plier cette dernière à sa propre volonté et vision des choses. Loyal envers ses racines, loyal envers la tradition chevaleresque, il pense néanmoins que tout les moyens sont bon pour parvenir à ses fins tant qu'aucunes limites ne se voit outrageusement violées. Pieux croyant de la Trinité, sa dévotion se porte à la déesse Rikni, divin symbole et patronne matérialisant son tempérament.
◈ Histoire ◈
Corburg était tombée.
Fief d'une noblesse rustre, Corbe-Castel ne brilla jamais par delà ses frontières pour le raffinement et la finesse de ses gens. Doté depuis des temps ancestraux d'une réputation belliqueuse, ses comtes ayant toujours eu tendance à tirer l'acier pour un mot de travers. Mederich hérita de ce titre à la mort de feu son père Wihlelm dit le «Bourgueuse», ce dernier trépassant à l'âge respectable des soixantes hivers passés. Unique héritier à la course de succession, ses deux soeurs n'ayant jamais comptées aux yeux du patriarches, il fût élevé dans la pur tradition guerrière et eu nombres d'occasions de rendre fier son géniteur. La chasse et la persécution des serviteurs du châteaux devinrent rapidement ses activités favorites. Elles furent remplacés peu à peu par l'entrainement aux armes, la monte et les stratégies inhérente aux charniers des échauffourées entres gens d'armes bien élevés. S'en suivit enfin les plaisirs des banquets, de l'alcool à foison et des belles croupes.
Corburg était tombée.
C'est donc d'instinct qu'il perpétua les préceptes qu'on lui avait si bien inculqué. Digne fils de son père, digne descendant de ses aïeux, son règne n'eut pour changement aux yeux de l'extérieur que le nom du possesseur des lieux. Une banalité que Mederich assuma avec le plus grands des aplombs car il considérait le changement comme malvenu, prompt à inculquer mauvaises idées dans les esprits les plus revanchards. Mais l'on pourrait néanmoins citer trois événements que la postérité fera le choix ou non de retenir. Le premier fût le sac de Trois-Chêne en l'an 1149, un hameau malfamé de la Seigneurie d'ont les habitants se rebellèrent contre l'autorité du comte sous l'impulsion du rebelle Uran Longjonc. La gueusaille réussit à incendier récoltes des bourgs voisins, semant la terreur réussissant même à mettre en déroute les milices jusqu'à que la menace soit prise au sérieux. Mais ils payèrent lourdement l'affront une fois que les chevaliers de Mederich furent organisé. Les rebelles furent pendus et leur meneur jeté en pâture aux limiers. Le second acte fût la création en l'an 1150 de l'Ordre des Hardis Roukiers. Une loge ayant pour but de fédérer les chevaliers de la Seigneurie sous une même bannière. Si le prestige qu'en tirait les hommes d'armes étaient certains, c'était aussi une manière pour le comte de garder une main mise sur ses potentiels rivaux. S'ayant proclamé Grand-Mestre, il mit en place une série pompeuse de règles ayant pour but de canaliser la fougue guerrière des nobliaux sans terres. Enfin, le troisième fût un événement qui changea la face du monde et d'on le comte ce serait bien passé. La Fange arriva.
Corburg était tombé.
Les premiers exilés des hameaux et des régions ouests arrivèrent en la mi de juillet 1164. Méfiant, Mederich acceuillit ces étrangers à contre-coeur. Il eut grand mal à tendre l'oreille à leurs racontards fantasques dans un premier temps, mais les jours qui suivirent leurs donnèrent raison et le comte du admettre l'évidence. Les Dieux mettaient les hommes à l'épreuve, une épreuve qui ne serait remporté que par les plus vaillants. Lui et ses chevaliers battirent d'abord la lande pensant pouvoir résister face aux premiers morts se relevant sur ses terres. Mais l'adversaire était implacable et dur à mal. De nombreux aspirants perdirent la vie, de nombreux vétérans y laissèrent aussi la leur. Mederich lui même se retrouva au prise avec une engeance et pensa bien sa dernière heure arrivé. Après cet échauffourée, le comte et sa suite se barricadèrent entre les murs de Corburg, mais les morts tapaient déjà à la Grande Porte. C'est donc le cœur lourd que le Vieux Rab organisa la fuite de sa maisonnée Il réquisitionna un bateau de pêche et le fit apprêter dans une crique. Seul sa femme, sa suite proche et ses plus vaillants chevaliers eurent vent de la nouvelle, le reste de la place étant alloué à entreposer le plus de richesses et de vivre possible.
Corburg était tombé.
Ils prirent la mer sous une houle agitée. Le comte dévasté à cet instant, ressassant les visions de son fief en proie aux flammes, livré aux morts qui marchent et aux cris des damnés restés entre les murs. Le capitaine du rafiot, un ivrogne notoire ayant à priori perdu sa famille, prit la direction du Nord. Une tempête ravageuse aux vagues impressionnantes faillit tous les tuer, mais c'est à l'aube du mois d'Août qu'ils atteignirent le port de la cité de Marbrume. La capitale du Duché de Morguestanc était elle toujours debout et l'on ne répertoriait encore que peu de cas de fangeux. Véritable phare des survivants, Mederich et sa suite débarquèrent dans une cohue sans nom, le chaos menaçant de submerger la ville. C'est sans attendre que le comte exilé se présenta au Duc Sigfroi de Sylvrur afin de plaider sa cause. Il n'appréciait guère le personnage et cela sous nombres d'aspects, mais le Vieux Rab n'avait que trop bien conscience de sa situation. Il dut faire profil bas et promettre un soutient sans faille à celui qui deviendrait bientôt l'homme le plus puissant du Royaume de Langre. Si les gens de Corburg ne possédaient plus grandes richesses, la notoriété de leurs faits d'armes étaient parvenus aux oreilles du Duc. Ainsi Mederich put s'installer dans l'Esplanade, une ancienne bâtisse au confort dérisoire mais qui comblerait ses besoins. Au moins, était il en vie et pourrait t'il continuer à tâter de l'acier, que cela soit contre hardis lurons ou vils fangards.
Corburg était tombé. Marbrume toujours se dressait.
Le sort des gens de Sarosse le conforta dans son choix. Sylvrur possédait l'âme d'un loup et le Vieux Rab avait réussit à s'implanter dans la tanière avant que ces portes ne restent closes. Et bien heureux fût il ! L'hiver qui suivit fit du ma aux gens de Mabrume. Mederich ne connut point la faim mais perdit une sœur, frappé d'une fièvre fulgurante. Il ne pleura pas sa mort, ne l'ayant jamais apprécié. Le 15 janvier 1165, le comte exilé ce trouvait présent à la réunion ducal et il fût presque heureux en son fort intérieur que celle ci soit écourté par l'annonce de fangeux ayant pointés leurs crocs dans les murs de la cité. Il prit les armes rapidement avec ses gens et s'ils n'estourbirent aucuns morts, se démarquèrent par leurs réactivités. Le sort du Labret enfin, ne l’intéressa guère. Mais le comte commença à intensifier ses sortis hors des murailles avec sa loge d'Hardis Roukiers. Ensemble, ils parcouraient les grands chemins afin de ramener un semblant d'ordre quand ils le pouvaient. Ce fût les premiers moments de réel bonheur pour Mederich qui, passant au fil de lame bannis et autres malandrins, sembla presque en oublier le défunt sort de ses terres aujourd'hui maudite.
Marbrume toujours se dressait.
◈ Résumé de la progression du personnage : ◈
Marbrume toujours se dressait. Mais pour combien de temps ?
L’hiver de l’an 1165 fut semblable à tout les autres hivers que Mederich ait connu durant sa longue, sobre et prestigieuse vie. Il passa la moitié à s’enivrer à coup de tord-boyaux infâmes en compagnie de ses fieffées Hardis, et l’autre fut consacré à une âpre râlerie sur à peut prêt tout les sujets existants en ce monde. Le temps, la gnôle, les femmes, la gnôle, ses crampes, ses foutus rhumatismes, encore la gnôle, sa condition, sa perte insondable et sa condition en repassant par la gnôle ; tant de sujets qui tournèrent en boucle dans son esprit malade et rabougrit. S’il passa quelques temps à l’entraînement et effectua quelques sortis en direction du Labret, cela n’eut pas grand effet positif sur son humeur, outre le fait de déplacer hors des murs de la cité, sa morgue ambiante.
Alors, quand le bruit commença à courir parmi les bons gens de bleu-sang, que ce coquin de Sylvrur s’apprêtait à se poser personnellement la couronne sur sa noble tête, les nuages noirs qui crépitaient autour de la caboche du comte commencèrent enfin à s’estomper : Tel un fangeux ayant retrouvé goût à la vie, il revint petit à petit paris les vivants. La nouvelle était trop belle, car même s’il trouvait maints et maints défauts au Duc, il le respectait pour sa stature et ses ambitions. Mederich ne fut jamais dupe, sachant pertinemment que cet homme serait prêt à tout pour s’octroyer toujours plus de pouvoir. Bien conscient de sa condition et comme il l’avait juré alors que lui et les survivants de son comté avait rejoint la cité : il continuerait à soutenir Sigfroid dans ses décisions, du moins, en publique. C’est fardé comme un jeune paon, que le Vieux Rab se tient aux premières loges du couronnement, trop fier de pouvoir prouver à tous que Corburg était encore dans la partie.
Le chaos qui suivit, fut sûrement un signe divin envoyé directement par la Sainte-Mère Rikni en direction de Mederich. Car, quand la noblesse de robe commença à chier lestement dans ses chausses alors qu’on hurlait partout l’arrivé de la Fange en ville, le Comte et ses Hardis Roukiers furent dans les premiers à tirer l’acier. L’occasion était trop belle pour ceux qui, noble d’épée depuis toujours, en avait par dessus la trogne des intrigues de cour. Vaillant et hurlant l’antique devise de son fief, les Corbiens se retrouvèrent en première ligne. Le sang, la merde et la tripaille furent pour Mederich une médecine qu’aucuns rebouteux n’auraient put lui administrer. Dans la bataille, il régla ses comptes avec quelques rivaux isolés qui n’avaient que trop profité de l’insulter au yeux de tous, sachant avec pertinence qu’il était impossible pour lui de provoquer esclandre sans s’attirer les foudres des natifs. Mais la majorité des coups d’épées furent pour les Non-morts, et bien heureusement.
Ce fut une boucherie.
Mederich ne survécut que par chance, ou intervention divine. Des Hardis Roukiers, il fut le seul à survivre avec Sigmund le Rouge. Cette hécatombe parmi ses gens d’armes lui brisa le coeur, mais point trop longtemps. Car c’est couvert du sang des vivants et des morts , qu’il sut qu’enfin, les nobles locaux lui accorderaient un brin plus d’intérêt. On ne l’aimait sûrement pas, mais au moins maintenant, le respecterait-il, mieux encore, le craignait-il pour certains.
Ainsi, les mois qui passèrent furent sans douter les meilleurs qu’il connut. On reconnaissait enfin son talent de bretteur et de meneur et c’était à cet instant, ce d’on Marbrume avait besoin. Il s’impliqua autant que possible, même s’ils furent nombres d’autres à le faire avec lui. Mais aucunes sorties ne le rebuta, aucunes escortes ne le dégouta et aucunes expéditions punitives ne le renfrogna. Il passa presque toute la belle saison hors des murs et ce n’est qu’à l’aube de l’automne, qu’il regagna Marbrume pour commencer un nouveau projet : regarnir les rangs des Roukiers. Si aucuns n’étaient plus Corbiens, il existait moult autres nobliaux avec ou sans terre, prêt à rejoindre l’ordre. Ils ne furent en réalité, pas nombreux, mais suffisant au yeux de Mederich. Ils passèrent alors du temps sur les murailles du Chaudron, sûrement un des meilleurs endroits de la cité quand on cherchait à trouver la bravoure dans un coeur inconnu.
Cette hiver ne fût pas un hiver comme les autres, car le Vieux Rab se sentait l’âme d’un jeune rouke. Sa donze était morte, ses frères d’armes étaient morts, Castel-Corbe gisait toujours sous la Fange, mais lui, était toujours bien vivant. Que pouvait donc lui réserver l’avenir maintenant ?
Il accueillit l'arrivé de ces étrangers d'Hendoire avec la seule bonne réaction possible à ses yeux : le mépris. Lui qui avait dut suer et ferrailler pour gagner sa place, ne laisserait sûrement pas quelques vagabonds d'outremer la lui prendre.
◈ Derrière l'écran ◈
Certifiez-vous avoir au moins 18 ans ? Oui.
Comment avez-vous trouvé le forum ? Bouche à oreille.
Vos premières impressions ? Toujours très sympathique !
Des questions ou des suggestions ? Pas pour l'instant.
Souhaitez-vous avoir accès à la zone 18+ ? [.....]
Dernière édition par Mederich de Corburg le Ven 4 Fév 2022 - 8:37, édité 32 fois |
| | | Astrid la DouceCartomancienne
| Sujet: Re: Mederich de Corburg [Validé] Dim 10 Sep 2017 - 6:31 | | | Bienvenue et bonne chance pour ta fiche ! |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: Mederich de Corburg [Validé] Dim 10 Sep 2017 - 13:50 | | | Bienvenue et tout comme Astrid ! ^^ |
| | | InvitéInvité
| Sujet: Re: Mederich de Corburg [Validé] Dim 10 Sep 2017 - 15:00 | | | |
| | | Mederich de CorburgComte
| Sujet: Re: Mederich de Corburg [Validé] Jeu 14 Sep 2017 - 20:16 | | | Merci à vous tous ! Ma fiche est terminée ! |
| | | Talya de HaldonoresPrêtresse
| Sujet: Re: Mederich de Corburg [Validé] Sam 16 Sep 2017 - 19:13 | | | Bonjour, me voilà enfin avec les corrections nécessaires ! Tout d'abord tu peux cumuler tes deux armes, mais en sachant que l'une d'elles est à deux mains, tu n'auras pas la même polyvalence que des combos plus léger, mais si ça te convient c'est accepté ! Toutefois, tu n'as le droit qu'à une couche par zone du corps: le camail ou le casque en plates, de même que l'harnois ou la chemise de mailles restent un choix à faire ! J'en profite pour dire que le harnois étant une armure lourde, elle te désavantagera énormément au vu de tes statistiques faibles de base. De la même façon, si les malus infligés en quêtes/rps Mjités te sont égaux, nous ferons avec.
Et enfin, comme nous en avions précédemment discuté, tu apporte trop de précisions quant à l'emplacement de ton comté. Que tu précise avoir voyagé par la mer est raisonnable, mais tu devras ôter tous les repères géographiques de ta fiche, tels que "les côtes australes limitrophes" comme écrit dans tes possessions.
Manifeste toi une fois les modifications faites pour que je te valide et que je t'ouvre ta carrière ! |
| | | Mederich de CorburgComte
| Sujet: Re: Mederich de Corburg [Validé] Sam 16 Sep 2017 - 19:40 | | | Merci pour la correction !
J'ai modifié l'équipement, il me semblait néanmoins avoir vu dans les fiches de certains nobles un cumul d'armure, j'imaginai donc qu'il était possible d'en avoir plusieurs et de choisir en fonction des situations, histoire de rang tout ça.
J'ai également modifié les références trop précise sur la localisation de Corburg. En espérant que cela soit bon ! |
| | | Talya de HaldonoresPrêtresse
| Sujet: Re: Mederich de Corburg [Validé] Sam 16 Sep 2017 - 23:33 | | | C'est possible, les règles ont dû être éditées depuis car j'ai corrigé ta fiche selon celles en vigueur, qui ne sont quand même plus toutes récentes. Tout est parfait au niveau de l'équipement, mais j'ai encore une dernière rectification à te demander: - Citation :
- Ils prirent la mer sous une houle agitée. Le comte observa tout du long son fief en proie aux flammes, livré aux morts qui marchent et aux cris des damnés restés entre les murs.
Dans ce passage, et précédemment quand tu parle de la crique, tu assume que Corbe-Castel se trouve sur la côte, ce qui reste trop précis géographiquement. Tu peux user d'approximations suggérant que ton comté n'est pas au coeur des terres cela dit ! |
| | | Mederich de CorburgComte
| Sujet: Re: Mederich de Corburg [Validé] Dim 17 Sep 2017 - 2:44 | | | - Citation :
- Il réquisitionna un bateau de pêche et le fit apprêter dans une crique. Seul sa femme, sa suite proche et ses plus vaillants chevaliers eurent vent de la nouvelle, le reste de la place étant alloué à entreposer le plus de richesses et de vivre possible.
Ils prirent la mer sous une houle agitée. Le comte observa au loin son fief en proie aux flammes, livré aux morts qui marchent et aux cris des damnés restés entre les murs. Voici les modifications des deux passages, ça convient t'il ? |
| | | Talya de HaldonoresPrêtresse
| Sujet: Re: Mederich de Corburg [Validé] Dim 17 Sep 2017 - 10:48 | | | Il sera un peu difficile d'imaginer Mederich contempler son fief de la mer, même de loin, si celui-ci est au final délocalisé un peu plus vers le littoral. La chute de Corburg peut correspondre à un souvenir alors très vif dans son esprit, qu'il ressasse tandis qu'il navigue déjà pour Marbrume. |
| | | Mederich de CorburgComte
| Sujet: Re: Mederich de Corburg [Validé] Dim 17 Sep 2017 - 10:57 | | | - Citation :
- Ils prirent la mer sous une houle agitée. Le comte dévasté à cet instant, ressassant les visions de son fief en proie aux flammes, livré aux morts qui marchent et aux cris des damnés restés entre les murs.
Voici les modifications du passage :) |
| | | Talya de HaldonoresPrêtresse
| Sujet: Re: Mederich de Corburg [Validé] Dim 17 Sep 2017 - 11:37 | | | Tu pouvais tourner ta phrase comme tu le voulais tu sais ! Mais du coup tout est réglé, félicitations pour ta validation, voici ta carrière. |
| | | Séraphin ChantebrumeAdministrateur
| Sujet: Re: Mederich de Corburg [Validé] Sam 5 Fév 2022 - 0:55 | | | Salut à toi! Tout est bon pour moi, je te rends ta couleur! Le compte ayant posté ta première carrière ayant disparu, je t'ai refait un sujet tout neuf, avec le nouveau modèle qui va bien! Tu le trouveras --> iciJe te souhaite la re-bienvenue parmi nous, et bon jeu! |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Mederich de Corburg [Validé] | | | |
| | | |
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|