Marbrume


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 De l'amour oeucuménique envers les jeunes et les vieilles putes

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Othon ZollernCoutilier
Othon Zollern



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MessageSujet: De l'amour oeucuménique envers les jeunes et les vieilles putes   De l'amour oeucuménique envers les jeunes et les vieilles putes EmptyMar 27 Nov 2018 - 11:42
Le Bons pavois offrait au nouveau venu le spectacle chaleureux d'un établissement certes respectable, mais avant tout gaillard. La nourriture était bonne, enfin, abondante plus bonne, ce qui n'est jamais du luxe, et malgré des habitués toujours au rendez vous, la taulier avait l'humanité de garder ses tarifs relativement bas. Ainsi, l'endroit s'était constitué au fil des années une véritable troupe de piliers de comptoir. Une forme de consensus général planait donc : le patron savait qu'il pouvait systématiquement mettre ses barils en perce, quant aux réguliers, pour la plupart venant du Guet, c'était l'assurance de pouvoir picoler sans toujours allonger la monnaie sur le champ, si tant est que la solde une fois tombée, on raque. Du reste, au sein même de la milice, une forme d'usage s'était formé, consistant à poursuivre les sanctions infligées aux mauvais payeurs jusque dans le régiment.

Cependant, si l'endroit attirait son lot de miliciens, il eût été illusoire de n'y compter que des hommes au rubis des Sylvur, tant il est vrai qu'au plein milieu de la Hanse, le Bon Pavois regorgeait de marchands en tout genre, de ribaudes et de bateleurs. On avait finit par savoir que le taulier passait ses affaires avec les bordeaux alentours, de la manière suivante : il offrait les boissons aux filles en maraudes, et en retour, celles-ci lui versaient sa commission une fois le chaland extirpé dans un lieu plus confortable. Pour beaucoup, c'était profitable, car bien que personne ne soit dupe, c'était quand même bien plus classe de se faire arroser devant les copains puis attirer dans un douillet plumard, plutôt que de se pointer tout penaud devant l'entrée d'un sordide bordel du Labour.

Cela, cependant, c'était encore pour ceux pourvus d'un semblant de réputation ou de pudeur, or l'ineffable Othon, centenier de son état, s'en était défait depuis fort longtemps. Adonc, il ne fréquentait pas le Bon Pavois dans le but sous-jacent de lever de la belette (pour cela, il se serait rendu sans honte aucune à la Balsamine ou ailleurs), mais bel et bien pour la compagnie masculine que rassemblait l'endroit : centenier, dizainiers, miliciens en tout genre. L'homme y avait établi une réputation de solide joueur, se résolvant non sans peine à ne plus tricher - du moins pas ici, avec les copains. Hélas, ses gains n'attiraient que trop souvent l’œil avisé des putains, n'ayant pas encore assimilé le principe suivant : 'on ne mange pas où l'on chie' (ou peu s'en faut). Mais ça, c'était surtout les nouvelles, que l'impatience ou la cupidité poussait à l'agitation. Ach, qu'il avait éconduit de jeunes mousmées à peine nubiles, désireuses de venir trop vite jouer sur ses genoux, l'empêchant par la même de bien voir ses cartes ou de tirer correctement les dés ? Chaque chose en son temps, merde. Fort heureusement, il se trouvait toujours de vieilles routardes, qui a l'école du 'métier qui rentre' s'étaient tempérées. Ces gueuses là savaient fort bien ronger leur frein pour aborder le centenier uniquement à son départ du Bon Pavois. Elles connaissaient leur affaire, les salopes! Et pour cause, ça marchait bien souvent.

Mais ce soir, la nuit n'était pas si avancée, et seules opéraient les jeunettes. Alors qu'il éconduisait l'une d'entre elles, Othon reconnut alors, un peu plus loin, un visage qui lui paraissait familier. C'était un jeune milicien auquel le centenier avait fait jurer serment quelques temps auparavant, et visiblement, la recrue commençait à prendre les bonnes habitudes. Fraicheur oblige, le nouveau faisait cependant montre d'une certaine innocence, puisque quoiqu'entouré de compères du Guet, il semblait bien absorbé par une des rombières, dans le genre chevronnée, assise non loin. Le manège attira l’œil d'Othon, qui reconnaissait bien là une manœuvre de putain expérimentée : tout leur art, au fil des années de pratiques, constituait à dissimuler leur vraie nature. N'était-ce pas après tout ce que le client désirait ? Croire, ne serait-ce qu'une nuit, qu'il pouvait être aimé, et oublier qu'il avait casqué pour cela. Othon, lui, se gaussait de ces pudeurs de gazelles, et voir un des siens tomber dans le panneau si aisément lui fendit le cœur. Rappelant la grognasse ayant tenté de grimper sur ses guibolles auparavant, il l'envoya, d'une piécette nichée au creux des nibards, faire signe au jeune milicien. La drôlesse s'exécuta, et quand elle pointa du doigt son commanditaire, Othon, de sa table, fit un signe à la recrue, l'incitant à venir.

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NathandallMilicien
Nathandall



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MessageSujet: Re: De l'amour oeucuménique envers les jeunes et les vieilles putes   De l'amour oeucuménique envers les jeunes et les vieilles putes EmptyMar 27 Nov 2018 - 13:04
Ce soir, tu sors...
Nathandall avait marché, hésitant, au Bon pavois.

Nouvellement membre à part entière de la Milice, il avait tout donné pour comprendre les rudiments du combat. Le vétéran balafré qui lui transmettait son savoir n'avait aucune patience face aux progrès modestes de l'ancien charpentier.
Aussi, Nathandall cherchait-il à trouver assurance chez ses compagnons d'arme.

L'ambiance était viril. Que des mecs, des vrais, suants et à la gueule taillée par le maillet. Il y avait bien quelques femmes. Mais oh! La guerre n'était pas une affaire de gonzesses! Chacun son rôle en ce bas monde! Les hommes à la guerre, les femmes à la garde... Du foyer.

Et en parlant de femmes, les gars après une nouvelle journée de patrouille, avaient décidé d'aller dépenser leur solde en quelques spiritueux. Nathandall avait refusé. Son surnom 'd'Austère', il ne l'avait pas gagné par hasard. Avec toutes les horreurs qui trainaient juste là, au dehors de Marbrume, il n'arrivait pas à se résoudre à se saouler. S'il se passait quelque chose, il voulait avoir toute sa tête pour réagir au mieux. Il détestait faillir à sa tâche.

Mais il détestait encore plus embrasser une nouvelle vie, et n'avoir aucun gus pour l'aider en cas de pépin. Il fallait qu'il aille boire. Qu'il intègre le groupe, le clan.

S'était donc un peu étourdit qu'il se voyait assit à une tablée, entouré de types. L'alcool brun les reliait tous d'un pacte d'amitié aussi bref que puissant. On riait, on s'esclaffait bruyamment en racontant les derniers potins salaces. On scrutait d'un bout à l'autre de la salle charmante compagnie.

L'Austère n'avait pas commandé la sacro-sainte bière, sous les rires tonitruants de ses camarades.
Et il était là, seul à la table de huit, sirotant sans enthousiasme son cidre un peu acide.

Boire en public avait toujours été une épreuve pour lui. Comment cacher une cicatrice horrible sur la figure, s'il devait la révéler à chaque gorgée? Nathandall expérimentait une technique inefficace consistant à relever d'un geste l'écharpe sur sa joue d'une main, portant la chope à ses lèvres de l'autre, lorsqu'une femme le bouscula.

Ce n'était pas grand chose, un petit coup de hanche dans la chope l'avait à moitié répandu. Nathandall crachotait alors que le liquide lui avait giclé au visage, et sur le plastron.
Fulminant de rage sous les rires moqueurs et quolibets de la table, il s'apprêtait à recadrer la gueuse d'une claque humiliante. Puis il planta son regard des ses yeux.

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Nathandall se figea, décontenancé. La femme, visiblement désolée fit tout pour se faire pardonner. Prestement, elle dégaina ribambelle de mouchoirs et entreprit d'éponger la face et les habits du milicien, interdit.

Sa tenue mettait en valeurs toutes ses formes. Toutes! Et à la manière dont elle se pressait contre lui pour réparer son erreur, son parfum, la vision plongeante sur la poitrine qu'elle offrait...
Comment lui en vouloir de son erreur? Après tout, elle n'avait fait que passer à côté de Nathandall et l'avait effleuré d'un peu trop près. Ce n'était qu'une regrettable erreur!

Le gaillard se rassit après avoir bredouillé une vague phrase comme quoi ce n'était rien, et que ça allait pour cette fois. Les gars lui bourraient les cotes du coude. Ils lui tapaient dans le dos, l’exhortant à aller lui parler à cette poule! Que dis-je? A aller la bécoter, lui voler dans les plumes. En d'autres termes, à aller la culbuter.

Mais Nathandall n'avait jamais été aussi loin, jamais une femme ne lui avait retourné la tête comme à cet instant. Sa cicatrice l'enlaidissait, c'était une barrière à tout rapprochement physique et charnelle. Mais ce soir, il avait envie d'y croire. Cette femme, assise à une table de là, sans doute désolée, lui jetais des œillade de temps à autre. Et il n'avait d'yeux que pour elle, dans le tumulte de l'endroit.

Après un temps pour se motiver, s'encourager, se faire taquiner par les gars, Nathandall se dit qu'il était temps d'être un homme. Il se leva. Pris d'une volonté nouvelle, il pria ses dieux guettant un signe de leur part. Il marchait, comme au ralentis en direction de la table quand quelqu'un attira son attention.

Par-delà la table visée, un homme lui faisait signe. L'Austère était bien décidé à ignorer l'homme lorsque son visage lui devint soudainement connu : Othon Zollern! C'était son supérieur! Un gradé qui l'avait accompagné pour la cérémonie d'intégration à la milice.

Pour un signe des dieux, Nathandall considéra que celui-ci était assez clair. Il abandonna, penaud son objectif initial et dépassa la table souhaitée. Il arriva devant Othon, ne sachant quelle attitude afficher dans cette zone non règlementaire.
Finalement, le milicien rajusta son écharpe sur son visage d'un geste machinal, puis salua, debout et presque raide. Si on lui avait apprit les saluts militaire, l'exécution n'était pas encore tout à fait au point.

-"Monsieur. Euh... Puisse Rikni veillez sur vous en cette nuitée. Euh... Je peux vous être utile?
Je n'aurais jamais cru croiser quelqu'un de votre... hum...classe ici.
"

Il a le ton de l'homme prit la main dans le sac le Nathandall. Il parait plus embêté que son supérieur l'ai vu dans une taverne, s'amusant au lieu de répéter inlassablement des 8 avec son épée. Il croit qu'il va être réprimandé le gus, et il s'en mord la lèvre. Le regard fuyant, il se tient face à son chef, n'en menant pas large.

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MessageSujet: Re: De l'amour oeucuménique envers les jeunes et les vieilles putes   De l'amour oeucuménique envers les jeunes et les vieilles putes EmptyMar 27 Nov 2018 - 16:43
C'est un béjaune tout penaud qui vint se porter au devant de son centenier, assis quant à lui confortablement à une table de jeu. Si l'échalas ne s'était figuré que c'était là un bon moyen de se payer une tranche de rire aux dépends de la recrue, d'autres, à ses côtés, n'en pensaient pas moins, et bien vite, certains compères gradés prirent à leur tour la parole en s'adressant à Nathandall. « Mirez donc çui-ci, qui donne à l'échalas du classieux! lança un autre sergent.
- V'la t'y pas qu'il lui sucerait la queue, le béjaune!
- Ceszigues là-haut devraient songer à rajouter ce genre là de révérenciade aux hommages, je dis
- Quoi, Ewald ? Tu gouterais de te faire becter le bout par un bleu, toi ?
- Hé non!
- Qu'est-ce que tu jactes alors ?
- C'est que myssègue est pas centenier! Pis faut avouer qu'on se gausserait un peu plus.
- Ta gueule, Ewald. » La voix d'Othon intima à son coutiller le silence, alors que notre échalas, lui, s'adressait au nouveau venu : « Fais-y pas attention à ceszigues, du croquant que c'est tous. J'te mire depuis peu, béjaune, car ta trogne me cause. C'est Pacome, hein ? Paterne! Non, non, Polycarpe, c'est ça! Ou bien Ragnacaire, mais un truc en P, ça j'en suis sûr. » Sans attendre, le centenier poursuivit doctement sa tirade : « Ouais donc, il m'a paru que tu t'ébaudissais pour Fausta, mais crois en myssègue, t'as mieux à regarder qu'à y toucher, de ce cuissot là. Pas que je te déconseille l'expérience, mais je connais la solde d'un béjaune, adonc souviens toi de mon conseil, et viens t'en plutôt à nostre table, que je t'enseigne un peu quelque astuce, rapport au Guet et aux putains céans.
- Pis vas remplir nos godets! Sont vides, c'est la moindre des choses! » Un instant pensif, Othon renchérit alors sur la suggestion de son voisin : « Ouais, remplis donc nos godets, hein. Attention, pas plus haut que le bord, hein. » Guère versé dans l'acharnement envers les nouvelles têtes, c'était là le genre de bizutage commode dont auquel le centenier souscrivait toutefois aisément.


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MessageSujet: Re: De l'amour oeucuménique envers les jeunes et les vieilles putes   De l'amour oeucuménique envers les jeunes et les vieilles putes EmptyMar 27 Nov 2018 - 17:47
J'aimais pas trop le ton qu'il y avait ici.
Ok, je n'étais pas la crème des chevaliers, mais j'avais l'impression qu'une bande de tocards se payaient ma tête. N'ayant aucunement connu la vie des gens d'arme auparavant, je n'étais pas très familier avec les bizutages et bravades des supérieurs.
Lorsqu'on en arriva aux énumérations de bondieuseries sexuelles masculines, j'étais sur le point d'exploser et d'envoyer voler la table au nez des marauds.

Ah! Ils allaient m'entendre ces fumiers! Supérieurs ou quoi, il n'était pas question que je m'écrase!
Ce que je fis pourtant.
Et ils se gaussaient de moi les sagouins lorsque Othon reprit la parole, tentant de me remettre.
Aucun des noms n'étaient bon.

Même si aucun gradé ne pouvait retenir les noms de toutes les têtes que composent son régiment, sa coutellerie, son escouade, il était décevant d'être 'Monsieur Personne'.

Je tirais machinalement mon écharpe sur le nez. Je faisais une tête de long pour le coup.
Mais coup de théâtre! A ma grande surprise, voilà qu'on me proposait de rejoindre la cour des grands. La table des chefs!
J'oubliais instantanément tout ressentiment (sauf pour lui là-bas, celui à tête de rat) et j'allais poser mon cul quand on m'envoya de corvée de mousse!

Je prenais donc toutes les chopes tendues et repartais direction comptoir. Je me frayais un chemin parmi tous les clients, les danseurs, les ivrognes. Je tournais les mots du capiton dans ma tête.

"Il m'a paru que tu t'ébaudissais pour Fausta, mais crois en myssègue, t'as mieux à regarder qu'à y toucher, de ce cuissot là."

Qu'est-ce que ça signifiait que cela? Elle était mignonne la petiote, pourquoi ne pas s'y intéresser?

Je poussais de l'épaule un gaillard accoudé et posais tous les récipients. Je voulais tirer cette affaire au clair. Accoudé au bar, j'attendais les consommations, allant chercher au fond de ma gorge un bon gros glaviot. Une fois que le serveur m’eut remit la totalité des chopes, j'avisais celle du type à gueule de rat. Un bon gros mollard au fond d'sa mousse, voilà qui me paraissait une réponse appropriée à mon honneur bafoué.

Je profitais aussi de la manœuvre pour me faire remplir ma chope. Pas grave, la note ne reviendrait pas jusqu'à moi. Autant me faire un payer un coup.

En deux voyages, tout le p'tit monde était servi. Le godet piégé avait atteint son destinataire et je me laissais choir lourdement sur un chaise à côté d'Othon.

C'était sans nul doute là l'opportunité de bien se faire voir, et qui sait? Les gars, comme les chefs ne pouvaient qu'être témoin. J'étais à la table des grands. C'était l'occasion d'apprendre des meilleurs!

Je guettais à l'oreille le moment où sieur 'Bectage de Bout' recracherait toute sa binouze à la gueule du mec d'en face. En attendant, j'avais à parler avec Othon. Je m'accoudais donc, le dos rond, dans une posture pour toujours avoir vue sur la dénommée Fausta. D'abord parce que je préférais la regarder elle, et puis parce que tourné vers elle, je présentais ma joue droite à mon chef, celle qui était normale.

Je trinquais avec Othon plus qu'avec les autres.

-"Alors? Qu'elle est cette sombre histoire, chef? Anür m'en préserve, j'nais jamais eu affaire à des gueuses, des radines, ou des effrontées. J'écoute vos conseils."

J'aurais pus me rendre compte que d'une manière je sous entendais que c'était son cas, et que ça pouvait être insultant. Mais j'étais plutôt du genre à tout prendre au pied de la lettre.

J'étais prêt à avoir un cours particulier. Et qui plus est en matière de fesses. Enfin une forme d'instruction que, je le savais, je mettrais en œuvre un jour...
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