Nom : [Delacroix]

Prénom : [Victor]

Age : [22 ans]

Sexe : [Homme]

Situation : [Errant]

Rang : (Aucun pour le moment)

Lieu de vie : [Dans sa cabane avec Ellen]

Carrière envisagée & tableau de départ avec les 4 PCs : (voir topic Système Rp & Xp - Carrières)
Il n'a aucun plan de carrière pour le moment.

Points de Compétences : 1 Cha – 1 Intel – 1 Init – 1 Atq

Compétences et objets choisis : (voir topic Système Rp & Xp - Compétences)
Armure de cuir
Petite rondache "Je parle des petit bouclier sur le brassard, ça fait 20 cm de diamètre je crois"
Lance
Arc

Physiquement parlant Victor est tout en contraste, déjà quand il est habillé, il est très dur de savoir si il un garçon ou une fille, et il s'amuse beaucoup de tromper les gens de cette manière. Néanmoins son corps athlétique, ses larges épaules et sa musculature fine mais imposante ne tromperons pas les plus attentif.

Son visage fin, ses yeux verts, sa peau assez blanche et ses long cheveux joue un grand rôle dans son aspect androgyne, qui là aussi, dénote beaucoup de son statut d'écuyer chevalier.

Une fois la chemise tomber, Victor possède une musculature très fine, élancer et souple, caractéristiques des bretteurs, ses doigts long, fin et musclé, en sont aussi de bon témoin, même si il pourrait être pris pour un scribe ou un érudit.

Il possède quelques cicatrice, ça et la, sans grande importance, mais la plus grande, celle qui court le long de sa colonne vertébral, est elle, un vestige de combat contre les fangeux, et encore aujourd'hui, presque deux ans après, elle le fait souffrir en permanence.

Du haut de ses 1m72, ce qui est très grand, il toise sans mal la grande majorité des gens, et ce n'est pas sa démarche souple et élégante qui l'aidera. Bien que vivant dans la forêt depuis un moment, à l'époque il ne quittais déjà pas son armure de cuir finement décoré, ses brassards et sa petite rondache et ses armes.

Il possède aussi une tache de naissance au niveau de la nuque, que sa famille lui à toujours conseillé de garder caché lors de ses fonctions.

Victor est un homme robuste, pas que dans son physique, il ne recul jamais devant rien, n'a pas peur de l’échec si celui ci peut lui apporter quelques chose et se relève toujours. Il à reçu une éducation d'écuyer, puis à continuer sa formation avec un chevalier, celui ci lui à enseigné beaucoup de connaissance, si bien que Victor paraît autant être un érudit qu'un chevalier. Il sait lire et écrire, mais à toujours plus d'attrait pour l'action que pour les études, ce qui parfois lui porte un peu préjudice, il réfléchit mieux dans l'action, et fonce parfois tête baissé.

Derrière cette apparente hyperactivité, ce cache un jeune homme qui doute beaucoup, limite paranoïaque, qui à beaucoup de mal à donner sa confiance. Il l'exprime d'ailleurs souvent par l'humour, un humour noir et de second degré, qui peut souvent être prit pour un affront, et même si parfois c'est le cas, il s'agit le plus souvent d'une boutade.

Il est aussi très seul, sa famille l'a totalement délaissé, son maître, son père de substitution, est décédé, et la seule personne proche de lui, est une jeune fille de 15 ans qu'il vois comme sa sœur la plupart du temps, le reste le perturbant énormément.

Son éducation, lui à apporter un éventail de compétences assez important, lui permettant de s'adapter à toute situations, et il est assez ingénieux pour les adapter à la situation. Néanmoins son éducation à louper le coche sur deux points.

Premièrement il déteste l'autorité, et c'est à coup de mandale dans la trogne que son maître la en parti mis au pas. Pour le reste du corps enseignant il était un bon élève, mais très perturbateur et avec une trop grosse tendance à dire ce qu'il pense. Ce qui explique peut être pourquoi, il est le seul de sa promo à ne pas avoir officiellement été fait chevalier, même si son maître la adouber, cela été plus symbolique qu'autre chose

La seconde, est non des moindre, est sa tenue en société, il n'a jamais aimer les codes, n'a jamais réussi à les comprendre, et n'a jamais fait en sorte de le faire. Et pour un chevalier, c'est d'une extrême importance, avec le premier point, il va sans dire, qu'il s'agit de deux choses dont un chevalier ne peut pas ce passer.

Outre ces divers aspect, Victor est comme un ado, au final, il est jeune, il lui manque beaucoup d'expérience dans pas mal de domaine, et ne pas avoir fréquenter la société pendant quelques années, ne devrais pas arranger les choses.

Ces derniers temps il fait beaucoup de cauchemars et la cicatrice dans son dos le trouble de plus en plus, déjà qu'il dors peut, ces quelques heures de sommeil sont fréquemment troubler, et ce n'est pas Ellen qui le réconforte dans son lit qui va arranger la situations. En résulte néanmoins une très grande fatigue, et parfois, lui qui est déjà assez susceptible parfois, il rentre dans des colères noire pour un rien. Heureusement, il n'est pas d'un naturel rancunier dans la vie de tout les jours.

Pour ce qui est de ces croyances, il croit en la trinité, mais en à plus ou moins rien à faire, pour lui, et son ego, il est inconcevable que quelqu'un d'autre que lui même tienne les rennes de sa propre vie. Cela dit, il leurs demande conseil parfois, plus par espoir qu'autre chose, et ne peut ce demander ce qui existe bien au delà du monde connu.

Humpf
Hummmmpffff
HUMMMMMMPFFFFFFFF

Ho, bonjour, vous êtes  ? Ha oui, c'est vrai, j'avais prédis votre arrivé, fin je crois, Victor pense que c'est du flan. Mais bon, je présume que vous vous intéressez à Victor  ?

Notre interlocuteur était une jeune fille, toute frêle, pas plus de 15 ans, mais déjà d'une beauté éblouissante. Pourtant ces mains était pleine de terre et son visage était en sueur, une fine branche, taillé avec beaucoup de soin, accroché dans ses long cheveux blond. Il était presque féerique de la voir dans un paysage aussi triste. Mais le silence était brisé par le bruit régulier d'une hache planté dans du bois.

Un peu plus loin, un jeune homme d'une vingtaine d'année était en train de couper du bois. Il avait une musculature fine et élancer, un bretteur à priori, mais ses fines et élancée était plus proche d'un érudit ou d'un scribe. Son allonge était exceptionnel, sa précision chirurgical et chaque coup était puissant, cependant une note gâchait le tableau, à chaque coup, son visage grimaçait, comme si il ressentait l'impact qu'il venait d'infliger à cette bûche. A y regarder de plus prêt, une profonde entaille, cicatrisé certes, mais marqué, courait le long de sa colonne vertébral et semblais revenir sur son épaule droite.

Vous venez d’où  ? De la ville  ? Nous nous sommes installé ici il y a plusieurs mois déjà, pour notre convalescence. Mais Victor n'a pas arrêté de travailler pour y mettre un semblant de confort.

Sur ces mots elle parti chercher l'homme, enfin Victor, si elle avait été blessé d'une quelconque manière, à la différence de notre bûcheron, cela ne ce voyais aucunement, au contraire elle respirais la joie de vivre et l'énergie de la jeunesse. Arrivée prêt du jeune homme, ils échangèrent quelques mots, il remit une fine chemise, puis une armure en cuir finement ciselé, un pendentif, lui mit la main sur la tête, et ce tourna vers nous, puis avança d'un pas vif et élégant.

Que puis je faire pour vous  ? Ho je vois, vous devez avoir fait un serment de silence. Venez, nous n'avons pas grand chose, mais au moins nous serons assis et nous pourrons partager un verre.

Si c'était réellement la maison que cette homme avait construit, il avait un talent certain pour l'architecture, et au vu des armes posé devant la cheminé de fortune, ce ne devais pas être son seul talent. Les décorations elles étaient plus féminine, mais cela ne m'étonnerais pas qu'elles soit aussi de lui, même si certaines touche semble beaucoup plus adolescente.

Je suis désolé de ne pouvoir vous proposer mieux, nous sommes loin de tout, et perdu de surcroît, nous contions partir depuis un moment, mais Ellen ne va pas mieux, et je ne peut prendre le risque de l'emmener dans un voyage dont je ne connais pas la destination. Mais vu que vous êtes ici sans escorte, je présume que cela ne doit pas être si loin, ni si risqué.

La porte s'ouvrit, la jeune fille apparu et sans un mot s’avança pour s’effondrer sur le lit le plus proche. Elle était en sueur, pourtant quelques minutes auparavant, son état semblais normal, même très bon.

Je sais que vous avez fait serment de silence, mais si vous pouviez nous indiquer le chemin pour la ville la plus proche, nous vous en serions fort reconnaissant, je l’emmènerais quand son état serra plus stable. En attendant, je ne peut rien faire pour le moment.

Il lui apporta un peu d'eau, puis la laissa ce reposer. Nous ne savions pas quoi faire, mais je sorti deux feuilles de parchemin et une plume, j'étais intrigué par ce curieux personnage, et la fille étant trop faible pour le moment, j'aimerais prendre un peu de mon temps pour qu'il me conte son histoire, une partie tout du moins. Ils étaient au Nord du Village d'Estaing, mais celui ci n'était plus qu'un tas de ruine, le village des Bannis était le plus proche de leurs positions, mais je ne pouvais pas décemment les mené la bas, ils devaient aller jusqu'à la forteresse de Tourbière, je leurs fît donc une carte, en prenant soin de faire le détour du village des bannis.

Ceci fait, il nous proposa un peu de gibier, il se faisait tard, et la nuit tombais, moi et mon compagnon devions rejoindre d'autre personne dans quelques heures, mais je pouvais encore prendre le temps de noter son histoire. Et il dût le comprendre, car il me regarda et commença à parler de son enfance.

Ma famille avait des terres, nous habitions à quelques lieues de VentFroid et bien que nous travaillons la terre, nous étions fréquemment invité à la cour, je n'eut cependant pas le loisir de connaître mon père très longtemps, celui ci décéda quelques moi après mes 8 ans, mon frère, plus âgé, prit la tête de la famille, et me laissa bien à côté des affaires, ce qui me convenais bien, j’étais plus attiré par l'extérieur et les aventures qu'autre chose et

Pendant qu'il parlait je fût intrigué par son médaillon, ce symbole m'étais familier, mais impossible de me rappeler ou je l'avais vu. Je notais frénétiquement ce qu'il disait, mais je n'écoutais guère, mon compagnon, lui, s’occupait de poser les questions. Quand je repris enfin le fil de la conversation, j'avais déjà louper plusieurs années.

Donc à mes 14 ans, sachant lire et écrire, j'ai demandé à devenir écuyer, c'était un peu tard certes, mais mon frère, pour la première fois de sa vie, fît tout pour que je puisse réussir. L'instruction fût longue, et bien que je suivais mes études, j'étais plus intéressé par la pratique, je découvrit aussi plusieurs autres activité, et le chevalier qui m'étais allouer comme formateur, bien que bourru, m'enseigna moult chose utile, la chasse, l'architecture, la biologie, l'anatomie, les femmes et l'alcool, en faites il était plus érudit qu'autre chose, et déplorais souvent mon manque d'investissement dans les cours qu'il me donné, ce qui finissais par le mettre en colère et ou il en profitait pour me coller une dérouiller maison pendant les entraînements au armes, au corps à corps, ou à un quelconque entraînements physique, je n'échappais pas non plus au traditionnel corvée de ménage et de cuisine, j’eus même une formation poussée à la forge d'arme.

Il parlait de son maître comme de son père, et resta un long moment à narrer les exploit de celui ci, ainsi que les aventures qu'ils vécurent tout les deux, de même que les situations plus gênante, qui incluais des femmes ou de l'alcool, souvent les deux ensemble d'ailleurs, et je n'ai pas voulu noter le passage des brebis, c'est infâme. Il était aussi curieux de voir qu'un jeune homme aussi raffiné, est vécu autant de chose en si peu de temps, encore plus curieux est son regard en narrant ces exploits. Il y a comme une fureur et une soif de bataille, prenante certes, mais légèrement effrayante.

En Juillet 1164 nous avons du escorter un noble et sa famille, Ellen était une jeune servante. A 10km de notre point de départ nous avons été attaqué par des fangeux, je ne me souviens pas vraiment de la bataille, mais j'ai été touché au dos, depuis la douleur ne me quitte plus, elle n'est certes pas insoutenable, mais j'ai comme l'impression qu'elle est elle même rempli de haine, quand je coupe du bois, ou chasse, la douleur est plus intense encore. Mais passons.

J'étais fasciné par son histoire, mon vœux de silence failli être brisé plusieurs fois, mais j'ai connu des histoires plus entraînante, non comme je le disais, il s'agit surtout de l'âge de ce jeune homme, il à déjà vécu plus que certains de nos anciens, bon des gueux pour la plupart, ou des bureaucrate, mais tout de même.

Suite à cela, j'ai retrouvé Ellen, et lorsque j'ai vu les premiers spasmes de mon maître, je n'ai eu le temps de verser quelques larmes, je savais ce que je devais faire. Nous avons décidé d'installer notre campement ici, et je n'ai plus recroisé qu'un seul fangeux, un jeune je présume. La suite vous la connaissez, nous sommes rester ici tout ce temps, limite nous y avons pris goût, mais j'aimerais savoir ce qui ce passe à l'extérieur, et Ellen est de plus en plus mal, je ne peut plus attendre.

Son histoire me touchais, mais je devais connaître ses points de vues sur divers sujets, je ne pouvais pas simplement le laisser partir, et les fangeux n'étais peut être qu'une punition après tout  ? Je lui écrivis donc plusieurs réponse. Il réfléchit quelques minutes puis répondis de la même voix qu'avant.

Je me doutais que vous alliez me demander ça, et je vais donc vous répondre en toute franchise. Je crois en l'existence de la trinité, mais je ne m'occupe pas de savoir si ils ont quelques choses à voir avec tout ceci ou non. Si ils en sont la cause, c'est soit par colère, soit pour nous faire passer un test, si ils ni sont pour rien, soit ils laisse faire pour divers raison, soit ils ont autre chose de plus important à faire, mais je ne pense pas qu'il n'en est rien à faire. Donc je crois en eux, mais je me dit que ce n'est pas eux qui me sortirons d'ici pour le moment, et que si ils décident de me faire passer un message ou de me donner une mission je serais la, mais pour le moment il n'en est rien.

Est ce que cela me convient  ? Je ne sais pas, mais au moins, c'est honnête de sa part.

Je ne sais pas si je suis une bonne personne ou non, je m’efforce de l'être au maximum en tout cas, j'ai déjà du tuer certes, et je n'en est jamais été fier, j'aime les combats, pas les mort. Je ne suis pas coupable d'un seul des crimes majeurs du royaume, et la seule chose que je regrette vraiment, c'est de ne pas avoir pus protéger plus efficacement la famille qui été sous notre responsabilité à mon maître et moi. Pour le moment seul la sécurité d'Ellen m'importe, par la suite, j'aimerais savoir ce qu'il advient du reste du royaume et au delà. Et participer à la fin de cette catastrophe.

Il avait l'air sincère, le temps passait à une vitesse impressionnante, je décidais donc de lui donner la carte et de partir.

Lorsqu'il me serra la main, je ne sais pourquoi, je ne pus m'empêcher de brisé mon vœux de silence et de lui souhaiter bonne chance. Heureusement, il ne sont que quatre à m'avoir entendu.

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