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 Ilhanne Barrowmer - Terreur Barrowmer #2 [Terminé]

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Ilhanne BarrowmerMilicienne
Ilhanne Barrowmer



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MessageSujet: Ilhanne Barrowmer - Terreur Barrowmer #2 [Terminé]   Ilhanne Barrowmer - Terreur Barrowmer #2 [Terminé] EmptyDim 10 Avr 2016 - 19:04



Ilhanne Barrowmer




Identité



Nom : Barrowmer
Prénom : Ilhanne, souvent abrégé Ila
Âge : La vingtaine
Sexe : Féminin
Rang : Peuple - Chasseresse de Traquemont
Carrière envisagée & tableau de départ avec les 4 PCs : Chasseur pisteur
+1HAB / +1 INI / +1TIR / +1ATT
Compétences et objets choisis :
Chasse / Adresse au tir / Orientation / Survie en milieu hostile

Arc court avec son carquois et ses flèches.
Couteau à dépecer.
Veste, jambière, gants et capuchon de cuir.


Physique


Je l’avais pas vu eu début. Il y avait bien eut quelque bruissements dans les feuilles, quelques craquements, mais on était en pleine nature avec tout ce qu'impliquait de courant d’air, de bestioles et de créature dans les environs, surtout qu’on n'était pas loin des marais. Mais s’était vraie qu’il faisait un grand soleil, j’étais sur mes gardes, mais pas au point de me chier dessus à chaque petit son qui me parvenait.

Pourtant, un moment, j’ai vu cette silhouette svelte entre les arbres. Je vais pas vous cacher qu’au début j’ai envisagé de fuir, comme si je n’avais jamais été là. Mais j’me suis vite rendu compte que la démarche correspondait pas. Puis à cette distance, si ça avait été un fangeux, il se serait déjà j’té sur moi. Du coup, intrigué de trouver quelqu’un là je l’ai détaillé, pas très grande, mais pas petite, dans la moyenne quoi. Puis j’me suis dit qu’elle m’était pas inconnue, son air, sa façon de se tenir, d’avancer. Du coup je me suis approché, pas très doucement, fallait bien qu’elle m’entende, elle avait un arc à la main je ne voulais pas me prendre une flèche connement. Elle était habillée avec des vêtements d’homme, mais on ne pouvait pas douter que s’était une femme. Après, j’ai vu ses cheveux, la masse blonde rousse, ondulante, discipliné un peu à la vas-vite pour dégager son visage. C’est en voyant cette trombine, pas dégueu, faut bien le dire, avec son petit nez et ses yeux bleus, que je l’ai reconnue. Elle venait de Traquemont, on avait chassé ensemble quelques fois.

Ilhanne, qu’elle s’appelle, m'a engueulé, parce que je faisais trop de bruit et que ça pourrait faire fuir les proies et rameuté des bêtes. Sur le coup, elle avait pas tort, mais comme un con, j’ai haussé un peu le ton, j’allais pas me laisser parler comme ça par une bonne-femme !

Personnalité



Elle s’était tue avec un soupir contrarié. Bah ouai, hein, fallait pas jouer au chef ma belle !
Fermer sa gueule, ça, elle savait faire, par contre attendre, ne pas avoir de tâche, ne pas avoir de but, être inactive, s’était pas possible. Elle devenait agitée, tournant comme un animal en cage, et si ça s’éternisait trop pouvait se mettre à être désagréable. Ça semblait pas être à cause d’un manque de patience, je l’avais déjà vu plusieurs fois faire preuve de cette qualité, parfois à des extrémités plus que respectables.

D’ailleurs, tout à l’heure, quand je disais que pour la boucler, elle était fortiche, s’était pas tout à fait vrai. Elle a parfois l’air bizarre, elle pouvait passer de la gentille fille qui ne dit rien, à la salle petite peste railleuse d’une absolue mauvaise foi. La transition d’un état à l’autre était parfois assez brutale et ne manquait pas d'en désarmer plus d’un, moi comprit.

Fin’ au fond, elle a plutôt l’air d’une brave fille, s’pas la dernière à proposer son aide, ou à répondre quand quelqu’un avait besoin d’un coup de main, même si souvent ça finissait par quelques protestations juste pour le plaisir de protester. Je crois d’ailleurs l’avoir entendu dire, un jour, que c’est pour ça qu’elle avait atterri à Traquemont, contrairement à sa sœur qui serait dans la milice. Elle voulait se sentir utile, au cœur de l’action mais semblait rebuter par la hiérarchie trop marquée de la milice.

Bah, de toute façon ça s’était pas oignons, c’est juste ce que j’avais entendu vaguement quand elle n’était pas loin et qu’elle discutait avec quelqu’un avec qui elle voulait vraiment discuter. Moi, je la voyais presque que dans son rôle de chasseresse, et elle se débrouillait pas mal. Mais y’avait bien une chose qui me chiffonnait à son sujet. Parfois, je la trouvais un peu j’té. Fin’ pas dans le sens folle, mais trop téméraire, semblait pas avoir le même sens de la peur et la prudence de le commun si vous voyez ce que je veux dire. Elle, elle disait que s’était son instinct, la blague, elle était juste un peu bizarre c’est tout. Parfois s’était enquiquinant, parce que mine de rien, elle avait la tête dure, mais la plupart du temps ça se manifestait pas.

Par contre y’avait bien un truc qui devenait vite vos oignons quand vous le croisiez : sa frangine. Valérie ? Oui, non, Valériane. C’est une sale bête dure et cassante qui couve la rouquine avec une abnégation qui force un peu l’admiration, faut bien l’avouer. Mais quand même les mettre en contact s’était aussi judicieux que foutre de l’huile sur le feu. Et n’importe quel demeuré savait que s’était pas une bonne idée de foutre de l’huile sur du feu.

Histoire



« Tu sais Val’ j’ai pensé plus d’une fois à partir, prendre les trois fois rien que j’ai et partir, quitter cette foutu ville. Laisser toute la merde derrière et repartir. »

La foutu ville en question, n’était autre que Marbrume, qui avait vu naître les sœurs Barrowmer avec presque une douzaine d’année de différence. Leur famille était, en apparence, normale, un père soldat dans l’armée ducale, une mère qui s’occupait de ses filles. Un schéma que l’on retrouvait par centaine, voire peut-être par millier dans la cité.

« J’me souviens plus d’notre mère. Parfois, quand j’essaye vraiment d’y penser, j’entends vaguement une voix, mais j’sais plus si c’est la tienne ou la sienne elles ont l’air de tellement se ressembler. Par contre je pourrais presque encore sentir l’odeur de bibine et reconnaître la voix beuglante que traînait papa … »

Elle ne semblait pas triste de parler de sa défunte mère. Il fallait dire que la pauvre femme avait rejoint le domaine d’Anür lorsque la plus jeune de ses enfants avait à peine trois ans. Ilha ne se souvenait pas plus de la personne, que de la façon dont elle était morte, maladie peut-être ?
Peut-importait maintenant, tout ce qu’il résultait de ça s’était qu’elle avait laissé une adolescente et une gamine aux mains d’un homme qui avait cédé à la facilité et à la faiblesse, passant les années qui suivirent à s’imbiber toujours un peu plus d’alcool et ses laissés aller toujours un plus aller à ses pulsions violentes, chaque année semblant devenir pire que la précédente. Autant dire que ce n’était guère des moments pour se former de beaux souvenirs, du genre de ceux qui redonne du baume au cœur lors des moments difficiles.

Pourtant, Valériane, elle, n’avait jamais lâché, prenant petit à petit un rôle entre ceux de la mère et de la grande sœur, trouvant toujours un moyen de protéger Ilhanne, que ce soit directement ou indirectement. C’est pour cela que dans la huitième année de sa petite sœur, alors que dans la maison la situation devenait particulièrement tendue, l’aînée de la famille avait commencé à lui apprendre, ce que leur père lui avait appris à elle avant qu’il ne dérape. Par amusement, ou peut-être pour passer plus de temps avec sa progéniture, le soldat lui avait appris à sa première fille les rudiments du combat, au corps-à-corps et du tri à l’arc. Ces petits entraînements entre sœurs étaient un moment de calme, d’oubli, mais également une distraction au quotidien souvent pesant. Il était facile de comprendre ce qui avait motivé cet apprentissage, elle en avait déjà éprouvé l’utilité, notamment à cause de leur père. Pourquoi laisser sa petite sœur ainsi désarmée alors qu’elle pouvait la rendre moins vulnérable ?

« … J’oublierais jamais non plus quand ils sont venus nous annoncer qu’à force de s’appliquer autant à devenir une loque il avait fini par se faire tuer. »

Il était mort loin de la maison, Ilha se rappelait surtout que s’était un homme de l’armée qui leur avait annoncé la nouvelle. Il avait été facile de le reconnaître à porter ainsi les couleurs du Duc. Il n’y aurait plus d’ivrogne pour leur rendre la vie infernale et douloureuse. Mais aussi plus de solde qui tombait. S’en suivit des années de survie, maintenant la tête hors de l’eau grâce à de petits boulots pas qualifiée pour deux ronds, mal payer. Nettoyer la merde des autres, on ne pouvait pas dire que ça permettait de devenir riche, mais au moins ça faisait manger, la plupart du temps. Heureusement, pour changer de leur morne quotidien, il y avait toujours leurs moments à deux, ces séances où Valériane se faisait préceptrice, continuant à lui enseigner comment se défendre.

La cadette avait presque quinze ans lorsque leur vie prit un nouveau tournant. En effet, l’aînée s’était mariée et tombée enceinte dans la même année. Tout aurait pu être pour le mieux, avoir enfin un peu de chance, pourtant, il n’en fut rien. L’homme montra assez vite un visage peu avenant, se montrant rude, parfois cruel et violent envers sa femme. Il lui reprochait l’insistance dont elle faisait preuve, toute tête de mule protectrice qu’elle était, de vouloir garder sa petite-sœur avec elle. N’hésitant pas à les rabaisser, après tout, elles étaient bien des moins-que-rien, des inutiles, il aurait été dommage qu’elles en pensent autrement, d’autant plus que si la plus jeune travaillait encore, la plus âgée elle avait dû renoncer à son travail pour s’occuper de l’enfant. Inutile de préciser que l’ambiance dans la maison était pesante.

« Je peux pas te cacher avoir caressé l’idée une fois ou deux de me sauver. Je sais pas trop ou je serais allé et si j’aurais pas fini par vendre mon cul pour pas mourir de faim. J’me disant que s’était de ma faute si y te traitait comme ça et que si j’étais plus là, bah il te lâcherait ptètre un peu … Mais j’pouvais pas te laisser. Puis un connard, ça trouvera toujours une excuse pour être un connard, si s’était pas moi, ça aurait été autre chose. Au moins je pouvais être là pour prendre un peu avec toi. »

Pour éviter le plus possible, cette atmosphère lourde, Ilhanne s’acharnait le plus possible à la tâche, s’attardant au travail. A cette époque, elle était serveuse dans une taverne quelque peu miteuse des bas quartiers. Une jeune fille comme elle, en pleine fleur de l’âge, fatalement, ça attirait les réflexions déplacées et les mains baladeuses. Mais encore cette fois, Val’ était là pour la protéger, la couver. Il suffisait que dans un moment de lassitude l’adolescente en parle sa grande sœur pour que dans les jours qui suivaient, elle tente de régler le problème souvent de manière pas très tendre.

D’ailleurs, le travail, elle y était lorsqu’on était venu annoncer la mauvaise nouvelle à Valériane. Trois ans s’étaient écoulé depuis leur mariage, et le détestable époux avait passé l’arme à gauche. La rouquine n’avait pas vraiment compris comment il était mort. Tout ce qu’on avait bien voulu lui dire était qu’il avait été lors d’une manœuvre. Car si l’homme avait déjà quelque point commun avec le père Barrowmer au niveau de son caractère, ils avaient également exercé le même métier, le défunt conjoint de Val’ était soldat dans l’armée ducale. Le coup avait été dur à encaisser pour la veuve malgré un certain soulagement ce qu’Ilha avait un certain mal à comprendre. Elle n’avait vu son beau-frère que comme une enflure passant sa frustration sur elles, cependant, il semblait que l’aînée avait gardé un peu d’affections, ou ai fini par s’attacher un peu lui quelque part. Il n’avait pas fallu longtemps aux deux femmes pour rendre compte qu’avec la maigre paye d’Ilhanne elles ne pourraient se nourrir elles et le fils de Valériane. Il aurait fallu que tous les deux travaillent, mais, l’enfant était trop jeune pour être laissé seul. Sa mère avait donc pris la décision de confier le petit au temple, pour son propre bien.

« On était plus que deux, encore. Mais je sais pas dans un sens ça me rassurait. S’était con, un peu méchant, mais à chaque fois tout allait plutôt bien s’était quand on se débrouillait à deux et seulement à deux. »

Le retour de la galère, les boulots pourris, avec sa grande sœur qui accusait de coup des années qui passaient, des coups durs qui s’accumulaient, leur père, son mari, l’abandon, ça faisait beaucoup. Leurs petits rituels, leur moment entres-elle, celui où elles s’entraînaient n’avait jamais eu autant d’importance pour supporter le quotidien.

Jusqu’à l’arrivée de la fange, rien n’avait réellement changé. Ilhanne venait alors de passer la vingtaine. Elles avaient entendu les rumeurs avant, voyant les réfugiés arriver dans la cité toujours plus nombreux chaque jours, sentant l’inquiétude gonflée, le danger se rapprocher peu à peu sans réellement savoir quoi faire pour participer à l’effort pour le contrer. A peine la rumeur avait-elle couru que la Milice, nouvellement formée, s’ouvrait aux femmes, Val s’était engagée, attirée par la solde et conforter par le fait qu’elle savait en partie ce qui l'attendait de par son vécu. Mais aussi motivé par l’espoir de protéger ainsi un peu plus sa petite-sœur.

L’enrôlement de Valériane, faisait réfléchir Ilhanne. Elle restait là, à servir de l’alcool de piètre qualité à des ivrognes pour ensuite nettoyer leur gerbe… si épanouissant et utile comme travail. Ce n’était pas comme si la rouquine n’avait jamais supporté de ne pas se sentir impliquée. L’idée d’imiter son ainée l’avait effleuré quelque fois. Rejoindre à son tour la Milice, ça aurait pu être tentant, surtout qu’elle ne l’aurait jamais admis réellement, mais sa grande-sœur était un modèle pour elle. Pourtant, elle l’écarta assez vite. Trop rigide, une hiérarchie trop marquée pour elle.

« J'avoue Val', je t’avais menti en te disant que j’avais parlé à des gens de Traquemont présent dans l’auberge où je travaillais. J’avais juste entendu les rumeurs en passant entre les tables. Ça parlait d’un fort de chasseurs de Fangeux perdu au milieu de marais. »

Pour cause qu’elle lui avait menti, lorsque la cadette avait annoncé qu’elle voulait tenter de rejoindre Traquemont, l’aînée avait tiré la gueule, dur à avaler que la personne qu’on a essayé de protéger toute sa vie, aille s’installer en plein milieux de la zone ou le risque était le plus élevé. Pourtant, elle avait fini par comprendre, surtout grâce au fait qu’elle s’était elle-même engagée dans la milice le mois d’avant, elle pouvait concevoir ce besoin de faire quelque chose et pas de rester à vivre sa petite vie, spectatrice du drame qui se jouait hors et dans les murs de Marbrume.

« Le matin où je suis parti, j’en menais pas large. J’avais forcément choisi un jour où il faisait beau. Mais j’savais que j’allais vers les marais et que ça grouillait de bêtes là-bas. Surtout, j’étais sûre de rien à propos de Traquemont, après tout j’savais que tout ce que j’avais entendu s’était des on-dit. Et si j’allais rien trouver ? Me perdre ? Ou si je me faisais jetée ?»

Mais elle ne s’était pas perdue, ayant préparé son trajet depuis quelques jours, amassant tout ce qui pourrait bien lui être utile, dans le peu qu’elle avait finalement, tout ce qu’il était judicieux d’emporter était principalement son arc et tout le matériel qui allait avec. En arrivant au fort, c’est l’agitation et surtout le semblant de vie « normale » qui semblait se dégager de l’endroit qui surprit le plus la jeune femme. Cela ressemblait presque a un petit village confiné dans une place-forte avec ses artisans et certes une très forte concentration d’hommes sachant manier les armes. On la conduisit à c'est un homme très grand et mince, d'âge mûr, cheveux longs et barbe sombres, les yeux noirs, qui se présenta comme le second de la Châtelaine de Traquemont, un certain Lendemain. Elle s’attendait à un test physique, a quelque chose de plus basique, mais ce fut une conversation plutôt posée qui l’attendit, cherchant visiblement plus à la connaître elle et à comprendre ses motivations plutôt qu’à mesurer effectivement ses capacités.

Tout cela s’était au début de la fange. Il y avait tout un nouveau quotidien, toute une nouvelle routine à apprendre, à appréhender, sans Valériane. Cela lui semblait être la première fois de sa vie que sa grande-sœur n’était pas pour la protéger du monde.

Soi réel




Certifiez-vous avoir au moins 18 ans ? Faut bien :v
Comment avez-vous trouvé le forum ? (Topsites, bouche à oreille...) Mon petit doigt.
Vos premières impressions ? BOUUUUUUUUH
Des questions ou des suggestions ? Un sujet sur Traquemont ?
Comme ça j’aurais plus à paîter les kouyes d’Yseult <3


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Dernière édition par Ilhanne Barrowmer le Mar 12 Avr 2016 - 12:07, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Ilhanne Barrowmer - Terreur Barrowmer #2 [Terminé]   Ilhanne Barrowmer - Terreur Barrowmer #2 [Terminé] EmptyLun 11 Avr 2016 - 21:06
Pardon, double post :v

Je signale ma fiche terminée.
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Wilhem TerrefièreChasseur
Wilhem Terrefière



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MessageSujet: Re: Ilhanne Barrowmer - Terreur Barrowmer #2 [Terminé]   Ilhanne Barrowmer - Terreur Barrowmer #2 [Terminé] EmptyMar 12 Avr 2016 - 0:06
J'aime beaucoup ta fiche tiens ! Bienvenue ! \o
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Ambre de VentfroidFondatrice
Ambre de Ventfroid



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MessageSujet: Re: Ilhanne Barrowmer - Terreur Barrowmer #2 [Terminé]   Ilhanne Barrowmer - Terreur Barrowmer #2 [Terminé] EmptyMar 12 Avr 2016 - 18:59
J'ai beaucoup aimé la façon dont la fiche était présentée, très sympa comme façon de raconter, vraiment ! Et ça change de te lire à la première personne, Denea.

Vraiment rien à redire, je te valide tout de suite. Bon jeu avec ce nouveau perso !
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MessageSujet: Re: Ilhanne Barrowmer - Terreur Barrowmer #2 [Terminé]   Ilhanne Barrowmer - Terreur Barrowmer #2 [Terminé] Empty
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