Marbrume


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 Dan Sobre [Validé]

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Dan SobreMilicien
Dan Sobre



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MessageSujet: Dan Sobre [Validé]   Dan Sobre [Validé] EmptySam 17 Aoû 2019 - 3:18





Dan,Moi d’abords.




Identité



Nom : Sobre

Prénom : Dan

Age : 25

Sexe : Masculin.

Situation : Célibataire.

Rang : Milicien. (ex soldat du coup? Désolé ><)

Lieu de vie : Coutillerie

Carrière envisagée & tableau de départ avec les 4 PCs : (voir topic Système Rp & Xp - Carrières)

Carrière dans la Milice.

2 points en initiative/ 1 points en force / 1 point en endurance.

Compétences et objets choisis : (voir topic Système Rp & Xp - Compétences)

Barratin, Anticipation, Bagarre, Coriace.
-Veste de cuir.
-Épée courte (forme de fendoir).
-Jambière de cuir.
-(Un bâton, qu'on ne peut clairement pas compter comme une arme d'haste).


Apparence


Dan est un homme qui transpire l’animosité, aigris par le temps, la vie et l’ambiance générale. Il est à sa place, parfaitement adapté et synchrone avec son ère. Une larve parmi les larves, grouillant inconsciemment sur la charogne où ses parents l’ont pondu. La seule nuance qu’on peut lui accorder, c’est qu’il a su migrer d’une carcasse à l’autre avec une aisance extraordinaire. Délaissant ses possessions, son passé, ses biens comme beaucoup de ses congénères. A la nuance prêt qu’il n’y accorda absolument aucun émoi, ni regrets. Son subconscient viendra ternir ses cernes, pâlir sa peau et rougir ses yeux. Mais son sourire amer de prédateur en manque d’adrénaline ne démordra pas. Il veut plus, qu’importe ce qu’il doit perdre et sacrifier, donner pour mieux reprendre. Voilà comment il a réussi à maintenir une forme physique plus que raisonnable. D’une taille moyenne, sa corpulence reste discrète bien que des yeux aguerris parviendront à discerner sous ses sombres loques une corpulence athlétique non négligeable en ces temps de misères collective. Encré dans ses deux bottes de cuirs, Il patrouille armes au flanc gauche, il sait dégainer peigne, comme épée avec habileté et conviction. Du moins, en fonction de l’adversaire qu’il s’apprête à jouter. Ses cheveux bruns sont souvent négligés, loin d’être un grand avant gardiste de l’hygiène, il fait néanmoins parti des gens qui savent apprécier un bon bain. Chose qu’il n’a pas pris depuis son arrivée à la citée. Quelques giclées parcimonieuses sous les aisselles et aux endroits qui le soulagent, mais pas plus. Comprenez donc qu’il ne se dévêtis que pour dormir et encore. Légèrement misanthrope sur les bords, l'idée d'offrir son dos à la populace dans les bains publique, ne lui plais guère.

Personnalité


Entre folie et extralucidité la frontière est fine, peut être large ? Ce n’est certainement pas lui qui pourra, ni ne voudra vous répondre à ce sujet. Cultivé par l’expérience de la douleur, de la haine de soi et du désir pure et simple. La religion est un pilier sur lequel il se repose ferment depuis le plus jeune âge. Bien avant que les fangeux ne viennent le libérer de ses tourments, prières, rêves, cauchemars, jeux et découvertes étaient souvent pour ne pas dire constamment ponctuées de larmes et de sang. De larmes car il était faible, exprimant ses émotions sans ambiguïté à la moindre contrariété. De sang, car on savait le punir comme il se devait, mais le sang n’était malheureusement pas le pire liquide ayant souillé son « temple ». Depuis son passé tumultueux, Dan à mûrit, il a sût s’endurcir, s’affirmer à travers moultes combats et coups durs, bien que souvent très bas. Incapable de communiquer ses émotions sans un calcul préalable, il n’est pas à l’abri de sentiments, ni d’erreur de parcours ou d’intuitions erronés. Pourtant ses sens sont aiguisés, il sait dissocier la charogne du fumier, l’escroc de bas étage du requin des mers.

Loin d’être un exemple ou bien un modèle, sa connaissance de la trinité, ainsi que l’application des dogmes est assez fournie. Il attribue sans honte, ni fierté sa survie aux dieux. Sa conception du monde est plus que simpliste à ce niveau. Que la fange soit une mise à l’épreuve ou bien les prémices de la fin du monde. Les êtres comme lui bien qu’insignifiants n’ont qu’un seul droit, celui de vivre et de survivre jusqu’à ce qu’ils réalisent ceux pourquoi on les a conçus. Divers plaisirs, alimenté par des désirs, ainsi que des traumatismes l’alimentent. Les plaisirs charnels, comme le meurtre par exemple sont les seules choses qui passent avant l’argent et la notoriété dans son cas. Mais aussi vicieux que soient ses options, elles ont étés apportées et créées par ces mêmes dieux pour divertir et égailler leur quotidien de merde. Loin d’être communautaire, ni même très ouvert aux autres, il est pourtant capable de faire preuve de solidarité dans les pires moments. Quand la mort vient frapper, il n’y a plus de raison de s’inquiéter de ce qu’on veut, va ou doit faire. Seul compte le résultat.

Il sait obéir aux ordres, bien qu’il fasse preuve de témérité extrême et d’un comportement un peu trop suspect aux yeux de ses supérieurs pour qu’il soit apprécié. Ses capacités sont dénigrées, alors qu’il a plusieurs faits d’armes à son actif, il ne nie pas avoir plusieurs fois abusé de son autorité pour détrousser les plus faibles. Ni même d’avoir fait parfois preuve d’excès de zèle en menaçant des patrons de bars, ainsi que des manants en usant de sa fonction pour obtenir gain de cause. Mais jamais il n’a souillé la pudeur d’un enfant ou bien d’une femme, ça peu de milicien peuvent réellement s’en vanter et c’est peut être cette manière d’ouvrir sa grande mâchoire qui lui porte préjudicie au finale…Après bien sûr, n'allez pas vous imaginez que cette dernière ne sait pas être muselée. Un grade se reconnait vite et de loin, surtout quand on a une dizaine d'année d’expérience militaire. ce qui ne l'a pas empêché de se faire plusieurs fois, sévèrement corrigé, son dos en a conservé quelques marques bien encrées. Mais les leçons de ce genre, il en avait connu bien d'autres, pas forcément pire, mais son corps était déjà forgé et opaque.

Paranoïaque, il n’arrive pas à accorder sa confiance plus de cinq minutes à quelqu’un, qu’importe depuis combien de temps il le connait. Impossible de ne pas suspecter son prochain, même dans des moments de détentes, ses neurones ne peuvent pas le laisser tranquille. Il faut qu’il analyse, regarde et agisse…Le peu de moment ou sa confiance et son estime des autres ont étés mis entre les mains de ses alliés. Meh, cela c'est rarement fini autrement qu'en bain de sang, ou en fumisterie. D’expérience, il préfère savoir ce qu'il laisse à qui, plutôt que de se lancer dans des paris improbable, hormis lorsque ces derniers sont sûr d'entraîner des conséquences aussi lourdes qu'enrichissante. Il n'a pas réellement de femmes en vue, ses critères étant floutés par la haine, l'ambition et les divers traumas qui le tourmentent. Il encaisse, souvent quelques brimades de la part de ses collègues et laisse les ragots et autres regards inquisiteurs de la fange commune que représente ses congénères lui glisser dessus. Une chose est sûre, elle aura intérêt à être pieuse, la richesse n'étant pas quelque chose avec laquelle il était coutumier, il préférait par orgueil monter son propre trésor. L'idée d'avoir des enfants l'ennuyait partiellement, la fin du monde toquait à nos portes, alors à quoi tenter de pérenniser ? Le défaitisme n'était pas une fin en soit, mais ce sujet avait beaucoup trop de places pour le doute et l'incertitude. Ses nerfs tenaient rarement le choc plus de cinq minutes...


Histoire

Il y a une vingtaine d’années de cela, une petite vallée abritait un camp de mercenaires en perditions. Batailles après batailles leurs valeurs aux yeux des familles nobles s’étaient amoindris, d’une défaite à l’autre l’espoir et la chance les avaient délaissées. Le capitaine était un homme qui avait servi une famille noble par le passé, mais qui avait préféré s’enfuir après avoir couché avec l’une des filles de son « maître ». La compagnie était sur les nerfs, les vivres étaient en train de s’épuiser, les hommes désertaient les uns après les autres, essuyant sans gênes les gueulantes du fameux capitaine. Ces derniers ne se privaient pas de le rabaisser plus bas que terre, en lui rappelant son passé de chien servile, ainsi que ses problèmes de queue vagabonde. Ivre jusqu’à la lie, ce dernier ne cherchait même plus à défendre son honneur par les armes. Les catins dans lesquels il se voterait avaient étés dégotées sur le chemin. Elles s’avéraient être de simple villageoises qui se consultaient un peu trop à l’abri des regards du village. Beaucoup commençait à comploter, proposant plusieurs idées, les mercenaires épuisés, pour la plus part malades et désespérés en venaient à craindre des représailles du village qu’il venait de déposséder de cinq femmes. Rien qu’à l’écoute des inquiétudes de certains, d’autres s’enfonçaient le front contre leurs heaumes ou leurs bocles. Les confirmant dans leurs doutes et les poussant à prendre le large.

A peine les quelques ambitieux eurent ils le temps de se liguer, qu’un cor sonna, la vingtaine de soldats amaigris n’opposa pas l’ombre d’une résistance. Ils s’empressèrent de prendre les armes, mais les jetèrent aussitôt aux pieds de la foule enragée. Au vu du nombre de grouillots qui leur pestaient au visage, peu d’entre eux s’attendait à la moindre clémence. Trop peu nombreux à être en état de se battre, ils jetèrent toutes les responsabilités sur leur chef, qui n’en faisait rien. Peu lui importait si ce n’était de finir ce qu’il avait commencé sous sa tente. Tiré de cette dernière par une bande bien déterminée à réclamer rétribution, la vingtaine de mercenaires, dont seulement six étaient encore en état de se mouvoir fut rapidement démantelée. L’ébauche de campement fut mis à sac, les mercenaires roustés pour la plus part, mais très majoritairement tués pour leurs fautes. Le capitaine eut un traitement privilégié, puisque la mort de ses hommes le laissait de marbre, quelques sadiques un peu plus influents que la moyenne, ainsi que les maris ou prétendants des femmes poilées à leurs insue décidèrent de lui sectionner les partis génitales et d’en faire un chien de garde qu’il laisserait à l’entrée du village.

Autant vous dire qu’il ne survécut pas comme chien de garde plus de trois jours, les villageois ayant complètement omis de le nourrir, ils le retrouvèrent là où il l’avait attaché, cinq jours plus tard. Ne restait de lui qu’un cadavre grappillé par les rongeurs et les corbeaux. Ce village, avait la chance de posséder un prêtre doté d’une forte carrure, ainsi que d’une volonté de fer. Cet acte de barbarie fut sévèrement sermonné et puni de quelques claques. Mais très vite la liesse générale rattrapa les sermons et la fête battit son plein. Malheureusement les drames en attirent d’autres, quelques mois plus tard, l’une des rescapées mit un enfant au monde. Une jeune garçon qui s’époumonait, réclamant pitance pour son avènement. Sa mère ne put qu’obéir à son instinct dans un premier temps, bien qu’elle s’insurgeait de voir ce bâtard survivre, là où tant d’autres mourraient entre les cuisses de ses amies. Elle comptait sur le temps, d’ici quelques mois, en le délaissant quelque peu, peut-être qu’il s’éteindrait de lui-même. Ou bien qu’une maladie quelconque l’emporterait au gré du vent. Mais le vent comme la mort n’en firent rien, aucun homme ne voulait plus d’elle, créant une frustration qu’elle reportait sur sa progéniture. Sur ce bâtard qu’elle s’évertuait à faire glisser des mains, sans que rien n’y fasse.

Incapable de pouvoir se résoudre à le tuer, la génitrice tenta même de l’amener devant l’enclos des chiens, à quelques mètres seulement où son père avait perdu la vie. Elle repensait à ces douces journées qu’elle avait passée à le regarder gémir et pleurer, trempant dans sa propre fange de salopard. Le plaisir du sang qui filait entre les cuisses d’un pourceau qu’on venait d’écorcher, cette vilaine queue qu’on avait bien fait de lui laisser, rendant sa mort d’autant plus lente et pittoresque. Le sourire béat qu’elle affichait brièvement, se crispa dans une mue vicieuse et pleine de rancœur, elle laissa tomber le bébé à l’entrée de la niche puis s’en alla en essuyant de chaudes larmes de rage.

Une journée plus tard, alors que le prêtre Edmond rentrait d’un séminaire, quel ne fut pas sa surprise en entendant des cris de bébé provenir de la niche des chiens de gardes. Convaincu que nulle entitée maléfique ne pouvait être à l’œuvre de pleures aussi innocent, il se risqua à approcher des chiens. Trois molosses en sortirent, crocs et baves dehors. Ils aboyaient avec une férocité que le prêtre ne leur connaissait pas. Lui qui avait passé pas mal de temps à les éduquer et les former ne se l’expliquait pas. Les aboiements couvraient la voix du bébé qui devait redoubler d’effort pour se faire entendre, ce qui pressa le père Edmond à prendre des initiatives peu conventionnels. Lui qui méprisait la violence envers les créatures plus faibles d’esprit, se vit frapper les trois clébards en leurs passant un de ses sermons bien sentit. Bottines contres museaux, poings contre crânes, il alla même jusqu’en agripper leurs nuques, se faisant mordre parcimonieusement de part et d'autre. Cet homme avait la foi, la vraie, celle qui poussait les hommes au-delà de leurs peurs, il se refusait à abandonner un enfant à l'éducation d’une meute de chiens de gardes. Leurs intentions étaient bonnes, il se remerciait de les avoir bien dressés, mais la Trinité savait aussi bien que lui que c’était mal. Il ne pouvait simplement pas fermer les yeux, passer son chemin et laisser ce qu’il devinait être le bâtard de cette folle devenir un énième chien parmi les chiens.

Des années plus tard, Dan inconscient des épopées qu’avait subi le père Edmond pour le maintenir en vie, suivait une instruction rigoureuse et violente. Non seulement Edmont n’avait aucunement l’intention d’en faire un prêtre, mais il comptait bien l’absoudre des pêchés de son père. Il deviendrait un guerrier, un soldat qui défendrait se village et servirait la justice de la Trinité. Pas de lecture, juste des chants, des histoires et des récitations ponctuées de pompes, d’exercices routiniers et effarants. Plus il vieillissait, plus Dan sentait la douleur accroître et les exercices s’intensifier. Il y prenait de moins en moins goût détestant de plus en plus son père adoptif. Ce dernier l’envoyait tous les soirs distribué des cierges, ainsi que des fruits aux gens du village. Ces derniers pouvaient ainsi choisir qu’elle offrande garder ou offrir à leur convenance à l’une des trois divinités. Chaque soir, chaque porte, chaque villageois lui rappelaient à quel point il détestait son existence et sa raison de vivre. Qui voudrait les défendre ? Pascalias lui pissait dessus une fois sur deux, la vieille folle hurlait à sa vue, vociférant des insultes insensées en insinuant à chaque fois que même les chiens ne voulaient pas de lui. Ce qui était clairement faux, Cer Bère et Uss l’adoraient, il les promenait régulièrement entre deux entraînements, ou deux récitations! Le menuisier le contraignait à fermer les yeux et de se laisser allumer le cierge sur le front. Ce dernier lui riait au nez et promettait d’apporter la pomme à l’autel le lendemain. Du coup, il fallait continuer de faire la tournée avec cette agréable odeur de cire animale collé dans les cheveux. Les filles le moquaient, lui jetant des regards médisant,tout en échangeant sûrement les même ragots habituels. Pour enfin laisser le meilleur aux garçons de son âge. Chaque soir, pendant un nombre d’années qu’il ne comptait plus. Cette bande de tocards n’avaient de cesse de l’humilier, de lui pisser dessus, lui jeter la fientes des oiseaux qui nichaient ci et là. Sa routine habituelle voulait qu’avant de rentrer chez le père Edmond il passait se décrasser au lac en pleurant et en se frottant les membres jusqu’au sang si il le fallait. C'est bien évidemment une figure de style, mais comprenait bien qu'il avait l'impression d'en mourir.

Jusqu’au jour où il craqua, forcément, il avoisinait la quinzaine d’années et pensait enfin pouvoir connaître les joies de l’amour. L’été avait apporté laissé les fleurs donner des fruits, permettant aux jeunes d’aller cueillir en abondance, c’était l’une des rares fois où le père Edmond avait réussi à faire tolérer Dan à l’événement. Ce fut aussi la dernière. Puisque aucun gamin du village, sans surprise bien sûre, ne voulut faire de pair avec lui, Dan décida de se balader et d’aller cueillir avec Cer. Puisque il fallait minimum deux molosses à l’entrée du village pour monter la garde, autant prendre le plus vieux et profiter du beau temps. C’était peut-être le denier été de ce chien, alors autant créer et consolider les bons souvenirs. Dan n’avait aucune idée de ce que ces molosses avaient fait pour lui, Edmond ne lui avait jamais avoué, et c’était toujours fait très secret vis-à-vis des blessures qu’il avait aux bras. Mais peu importait, Dan montait aux arbres, remplissait son paniers et jetait la moitié des fruits au molosse pour que ce dernier se fasse les pattes. Cer courait à pleine vitesse, essoufflé par l’âge, ses sens en revanche ne le trahirent pas. Alors qu’il s’apprêtait à rattraper l’un des fruits, le chien sentit que quelque chose clôchait, trop tard pour réagir, le molosse ne put qu’encaisser et retomber lourdement sous les yeux affolés de Dan qui ne savait plus quoi imaginer. Il avait vu un trait noir et rapide fendre l’air jusqu’à heurter Cer lorsque ce dernier était en l’air. Le jeune homme s’empressa de rejoindre le corps haletant de la bête qui avait une flèche logée juste entre la gorge et le cœur. L’animal humait péniblement en couinant, cherchant désespérément de la consolation entre les mains de Dan. Ce dernier brisa la flèche, mais ne put rien faire d’autre qu’appeler à l’aide.

Il eut pour seule réponse des rires étouffés par une quinte de toux, trois garçons sortirent de derrière une haie naturelle. Arc et bandoulières sur le dos, ils toisaient Dan en lui expliquant qu’ils travaillaient leurs talents à l’arc en s’exerçant sur les fruits. Une flèche perdue avait dût se loger dans le cou de cette pauvre bête par inadvertance. Feignant la tristesse un bref instant, le garçon comprit très vite que son jeu ne marchait pas cette fois-ci. Les sermons d’Edmond tourbillonnaient en Dan, soulevant son cœur qu’il avait l’impression de sentir bondir hors de lui. Qu’importait les pêchés de son père, qu’importait les sentences des Trinitées si elles le voyaient fauter à son serment de défendre le village. Il voulait lui meuler la tronche, écraser sa mâchoire contre le sol et lui tirer autant de flèches dans le cul que possible. Il voulait l’entendre supplier sa pitié, implorer son pardon. Ils étaient allés trop loin cette fois. La respiration de Cer s’arrêta après un péniblement couinement, mais alors que le trio de jeunes assassins lui tournaient le dos. Dan sécha ses larmes en quelques revers de mains :

« Revenez la bande de lâches. Je vais vous montrez ce que les bâtards font aux bien nés de votre espèce. »

Les trois adolescents ne le prirent pas au sérieux dans un premier temps ils continuaient de sourire, se retournant avec non chalance. Ils n’eurent qu’une pauvre petite bribe de secondes pour balbutier des menaces sur un air condescendant mais il était déjà trop tard. Dan envoyait son poing heurté le visage du premier tocard à portée de coup et là sa première bagarre se déclencha. Ils luttèrent de brèves seconde, la force du nombre palliait face à la force et l’entrainement acquis grâce à la préparation physique quotidienne et rigoureuse du père Edmond. Les deux compères du tueur de canidé s'enfuirent, pestant qu'ils allaient chercher de l'aide, laissant bien trop de temps à Dan pour accomplir justice. Il eut le loisir de pouvoir réaliser précisément ce qu'il avait visualisé quelques minutes plus tôt. Sa semelle lui éclata la mâchoire contre le sol, lui qui n'avait jamais manié d'arc, mais uniquement pratiqué le bâton et l'épée courte, s'efforça à planter les flèches manuellement dans le fessier du tireur. Il se revoyait lui asséner des coups au visage, encore et encore, jusqu'à en perdre le souffle. Un rire étrange lui échappait, entrecoupé par des râles incohérents alors que ses mains parsemées de plaies venaient repousser ses cheveux en arrière. Il prit une très grande respiration, puis écouta la complainte de sa victime. Il avait pleuré, hurlé supplié mais rien ne parvenait à atténuer les flammes qui rongeaient son âme. Il fallait se confesser:

"Ho douce justice...je t'ai ignorée, je t'ai gardé si longtemps en moi mais te voici libérée! Qu'est-ce que tu es bonne, légitime et tendre. Entendez-le vous? Ce chant s'appelle l'humiliation, cela te mènera vers l'humilité, salopard!"

Tout fière de lui Dan sentait ses lèvres s’étirer, une légère brise surprit l’intérieur de ses lèvres asséchées. Il était en train de sourire, contemplant ses mains ainsi que sa victime, ses yeux luisaient de joie. Il sentait des larmes inonder le creux de ses cernes, alors qu’il se remémorait soudainement la véritable raison de son courroux. La perte de son camarade animal était certes affligeante, mais il avait enterré des années de colère et de haine pour finalement pouvoir l’infliger à l’un de ses bourreaux. Quelle allégresse, il avait envie de chanter les dieux, de courir aux quatre coins du monde et de raconter son histoire. Mais la réalité le rattrapa à grand coups de pierres et de pelles dans le crâne. Sauvé in extrémis par Edmond, l’enfant n’eut que quatre jours pour se remettre vaguement des blessures qu’on lui avait infligées. Les négociations venaient d’aboutir à l’exil, Edmond était profondément attristé et indigné. Il fusait d’un bout à l’autre de la chambre de son protégé, un coup sermonnant à en réveiller les morts, un coup à le plaindre d’une voix doucereuse que le comateux pensait halluciner. Jamais il n’avait vu le prêtre aussi troublé, depuis sa tendre enfance, il lui était si souvent arrivé de penser que ce vieux tronc d’arbre sur pattes ne faisait que suivre un devoir dogmatique. S’infligeant l’existence de Dan pour survivre au regard de la Trinité. Après deux journées passées à panser ses plaies, le prêtre cessa de le ménager :

« Il va falloir que tu partes, j’ai envoyé une missive à une vieille connaissance. Il te recueillera et performera ton apprentissage. Direction Marbrume mon petit Dan, il y a moins de cinq jours de marche. Tu en mettras peut être sept ou huit au vue de ton état. Mais n’y voit pas là une excuse pour malfaire ton entraînement et tes prières. Ce trous à rats n’est pas solvable même dans l’alcool le plus souffreteux que je puisse concocter, aucun de ces jeanfoutre ne mérite tes services.

-Je… suis libre ?

-Libre ? Au non, bien au contraire, tu es condamné à te battre jours après jours désormais. Fini les bonnes bouillasses matin et soir. Fini les balades nocturnes avec les molosses. Fini les paisibles nuit de contemplation les deux oreilles au repos. Fini les bons bains revigorant sans le moindre souci. Fini les chants pour te recueillir bien à l’abri des regards, fini les missions de repentir ou ta seule contrainte était de te confronter à la rancœur de ces salops. Fini les bons entraînements bien cadrés et corrigés. Terminé, plus de sermons pour te remémorer nos préceptes les plus sacrés sortit du bec. Désormais tu vas vivre une vie d’homme, de guerrier. La mort sera ta compagne, ta maîtresse et ta monture. Tu devras te corriger seul, te soigner seul, te défendre et survivre seul.

-Hahaha, hahaha !

-Si tu peux rire tu peux marcher ! Debout charogne, nous n’avons qu’une nuit et une journée pour parfaire tes préparatifs. »

Il le força à se redresser en le levant d’une seule main, sans aller jusqu’à lui expliquer quoi que ce soit sur son passé. Edmond l’habilla de frusques légères, puis lui offra une armure en lanières de cuirs qu’il passa par-dessus. Il lui assura que ce n’était pas ce qui avait de mieux, mais que ça aurait au moins le mérite d’amortir les coups qu’il allait recevoir. Il lui passa une cape grise, ainsi qu’une veste et un pantalon tissé dans une matière légère, puis termina avec un ceinturon dans lequel il pouvait ranger divers couteaux ou outils. Il lui montra comment utiliser ses lanières pour porter la lame qu’il lui confia, épaisse, courte mais bien aiguisée, c’était un fendoir qu’il conservait dans son reliquaire depuis des années avec les affaires de quelques mercenaires. L’armure et les bottes venaient aussi de là. Le jour ou Edmond avait décidé de recueillir ce jeune bambin et d’en faire le parfait garde, il s’était empressé de parcourir le champ de bataille où les mercenaires s’étaient fait bouter, priant et incantant de multiples chants et prières pour demander pardons à l’offense qu’il faisait aux morts. Une fois prêt, le prêtre lui donna aussi son bâton d’entraînement, lui conseillant de s’en servir comme d’une canne, il lui donna brièvement les indications ainsi que le chemin à suivre. Le conjura de maintenir son entraînement ainsi que sa formation le plus strictement possible, puis Edmond ne put s’empêcher une accolade solennelle, le bénissant de tout son cœur pour l’avenir tumultueux qu’il lui prédisait.

Huit ans plus tard, après moultes péripéties, Dan s’était retrouvé à patrouiller sur les bordures extérieurs de la citée. Des rumeurs de barbares attaquant les passants s’intensifiaient, nuisant à la réputation d’une fameuse route marchande qui n’avait jamais eu de problèmes jusque-là. La patrouille de six soldats cavalait le long d’une forêt en direction d’un lac qu’ils soupçonnaient de pouvoir abriter des bandits. Lieux où proliféraient les bêtes sauvages, la végétation bordant le point d’eau offrait divers abris et points de fuites en cas de surprises. Ce qui permettait à leur petite compagnie de suggérer des soupçons qu’ils se devaient de confirmer. Fendoir à la ceinture, Dan détestait monter à cheval, les canassons n’était pas son fort il rêvait parfois de chevaucher des loups géants mais ces deniers étaient sois disant fabuleux. Ses camarades riaient souvent de ses idées, rêveries et autres propos parfois pittoresque, voir incohérent. Mais ils savaient aussi fort bien de quelle manière il procédait à l’épée et pouvait s’avérer espiègle quand il s’agissait de mener à bien divers investigations. Ce qui lui valut un début de carrière au sein de sa castillerie respectueux et appréciable. Dan portait une attention particulière à son chef, outre ses ambitions naissantes. Le vieil homme en plus d’être humble, était fort intelligent pour ses origines modestes. Son savoir-faire dans le domaine du combat était insoupçonnable, quelques coups d’épée, de poings et autres exercices du genre avait laissé comprendre le long chemin qu’il restait à parcourir, avant que Dan ne devienne un guerrier accompli.

La patrouille approchait à grand pas du lac, plusieurs signaux codés par des gestes laissèrent comprendre aux hommes qu’ils devaient se diviser. Un core chacun attaché à leurs selles, ils savaient ce qui leur restait à faire. Avançant au pas, deux groupes de trois se séparèrent en prenant à travers les bois, gardant les bordures du lac en visuel. Aucun échange inutile, seulement des regards, ou bien des claquements de doigts fugaces. La troupe progressait lentement, cherchant le moindre signe de vie. Pas de fumée, pas de déchets ou de voix portée par le vent. Juste le courant qui emportait les poissons et autres algues environnantes. Quelques heures plus tard rien en visuel, toujours pas de bruit de core, le soleil commençait à se coucher et les nerfs des soldats commençaient à s’éreinter. Les montures commençaient à hénirs de plus en plus fréquemment, frappant lourdement le sol, manifestant clairement un comportement de cheval stressé. Mettant ce comportement sur la difficulté que les cavaliers avaient à progresser en forêt, la troupe prit la décision d’approcher la bordure du lac, espérant soulager le stress qu’ils infligeaient à leurs montures. Jusqu’à ce qu’un mouvement presque imperceptible ne se trahisse dans un clapotement inhabituel. Mains sur la garde de leurs armes respectives, Clemenceau avança vers la source du bruit, violentant sa bête du plat de sa lance, pour progresser vers ce qui dérivait. Un corps vraisemblablement vieux, au vue e l’état de décomposition venait de refaire surface, ce dernier vogua jusqu’à la rive jusqu’aux sabots du cavaliers.

Ce n’est pas non sans un certain dédain, qu’il chercha à retourner le corps qui venait de s’échouer, dans l’espoir de l’identifier, les frusque de ce derniers ne permettaient pas de l’identifier. Des cheveux mi-longs, une peau verdâtre, l’odeur pestilentielle qu’il dégageait fouettait leurs narines. Une fois la carcasse sur le dos, rien n’à en tirer, pas de marques distinctives, pas de chaîne, ni d’armes. Juste un visage boursouflé, qui n’inspirait rien que des mauvais présages :

« Tu parles d’une journée de …

-Jeromian ! »

S’époumona Dan en entendant soudainement des craquements de branches, ainsi que le fouillis de feuilles provenir au-dessus d’eux. Sans chercher à réfléchir, alors que Clemenceau ce retournait avec sa monture, lance prête à frapper, Dan se jetait au galop sur son équipier. Ce dernier s’était fait embusquer par un taré malpropre qui lui griffait le visage, serpentant entre sa monture et son dos sans lui laisser le temps de réagir. Le dément poussait des rugissements étouffés, dignes des pires cauchemars d’un enfant apeuré par une nuit mouvementée. Aussi vif et lucide qu’à l’accoutumé le fendoir de Dan frappa de toute ses forces en direction de la nuque de l’ennemi. Ce dernier aussi improbable que glaçant para à l’aide de ses ongles la lame de Dan. Embêté une brève seconde, la créature manqua presque de le désarçonner en lui infligeant un terrible coup de talon dans les côtes. S’accrochant de toutes ses forces il fit virer sa monture, manœuvrant tant bien que mal en cherchant à se redresser non loin. Le souffle coupé, sous le choc, Dan cherchait à reprendre contenance, préparant une nouvelle charge. Il inspecta son couperet, sans desserrer les dents. Il avait sûrement une ou deux côtes fendues, voire pire, mais impossible de le remarquer ni même de s’apitoyer. Clemenceau venait de réussir à empaler la bête, faute de nominatif distinctif plus approprié, puis l’envoya valser au-dessus de lui pour le projeter du côté de la rive, libérant le corps déchiqueter de Jeromian. Les bras ballants, le visage en lambeaux, ce dernier commençait lentement à tomber de sa monture tétanisée.

La créature bien que blessée ne faiblissait pas, elle rebondit puis se rattrapa dans un saut périlleux incroyable. Elle faisait face à Clemenceau qui n’eut pas d’autre choix que de faire cambrer sa monture pour empêcher l’assaut du démon qui brisa le cou de son cheval dans un coup de pied fulgurant. Ce dernier lui était adressé et n’aurait pas manqué de lui arracher la tête si il n’avait pas eu ce réflexe. Cherchant à freiner sa chute à l’aide de sa lance, il fut surprit par la dextérité et la rapidité avec laquelle la créature lui sauta à la gorge. Encore sur son cheval mort, l'équipier de Dan cherchait désespérément à repousser le dément en barrant de son arme les attaques répétées qu’il lui infligeait. Un second coup de fendoir eut finalement raison de la créature, trop obnubilée par l’odieux garde ayant osé l’empalé, elle n’avait pas payée assez d’attention à Dan qui s’était empressé de saisir l’ouverture qu’elle lui offrait. Tourner le dos à un garde qui voyait ses frères d’armes se faire bouffer était une idée stupide, pensait-il pour lui-même. Une giclée virant entre le pourpre et le noire jaillit de la gorge du fangeu, alors que sa tête ricochait sur les pierres de la rive :

« Merci… »

Clemenceau se redressa tant bien que mal, il haletait et transpirait de grosses gouttes bien pesées. Ses yeux viraient d’un bord de la rive à l’autre, alors qu’il décrochait le core. Le son de ce dernier retenti tel un appel à l’aide, généralement il n’aurait pas fallu plus de deux minutes pour qu’on lui réponde. Mais les minutes se transformaient en heure, l’attente était insoutenable, le soleil avait depuis longtemps disparu. Clemenceau s’époumonait dans le core sans réponse de la seconde patrouille. En réalité cela ne faisait même pas dix minutes depuis la mort de la bête. Ni Dan, ni lui n’avaient essayés de discuter ou de rationalisé ce qu’il venait de se passer :

« Je prends sa tête, je lui coupe les mains, on rapatrie le corps de Jeromian et on se tire en vitesse Clem. On avorte la mission et on rentre au bercaille.

-Qu’est-ce que tu fais des autres ?

-Qu’est-ce qu’ils ont fait des autres, devrait être la question que tu te poses non ?! J’ai pas envie de crever ici, mon fendoir est fendue, je ne sais pas manier l’arc de Jeromian, il faut qu’on se replie avant qu’il n’en arrive d’autre. Ce ne sont pas des barbares bordel…

-Ok, je récupère juste ma gourde et on y va. »

Alors que Dan remontait sur sa monture après avoir découpé les membres du monstre qu’il désirait ramener à la citée, un bruit sourd de craquement trop commun, lui frigorifia l’échine. Il murmura une complainte, niant ce qu’il savait déjà, il pivota calmement, sans faire bouger sa monture qui s’inquiétait de plus en plus. Clemenceau venait de se faire briser la nuque par le noyé. Il avait déjà connu la peur sur des champs de bataille, la panique, l’adrénaline et la haine mitigée. Il craignait le courroux de la Trinité comme beaucoup, mais là ce qu’il ressentait était surnaturel. Dan faisait connaissance avec les prémices du désespoir, même la mort n’était pas aussi douloureuse compagne. Une brève pensée pour Edmond l’encouragea à fouetter sa monture à coup de sangles. Il n’avait plus la volonté de se battre, ni même de venger ses camarades, il laissa leurs corps là où ils étaient en compagnie de l’une de ces abominations. Son flanc droit recommençait à le lancer, alors que les branchages fouettaient son visage. Il devait fuir, fuir à tout prix, ne jamais ressortir, ne jamais plus penser à rien d’autre que de rester derrière les murs de Marbrume. Signaler au premier responsable venu ce qu’il avait vue, puis leur faire comprendre qu’il ne fallait plus compter sur lui pour les missions de reconnaissance… c’était désormais le travail des armées, pas le siens. Il était certes à cette époque encore soldat, mais il n'en aurait cure d'être démis de ses fonctions et rétrogradé en simple gardien de bordel...

Deux ans plus tard, vous connaissez aussi bien que Dan ce qu’il s’est passé. Entre les migrations provenant de l’Ouest, les divers rapports qui s’éclaircissaient et confirmaient ce que les premiers soldats et voyageurs rapportaient. La situation avait virée aux cauchemars, Dan était un ancien soldat, resté dans la milice, ils ne lui avaient comme faveur, fait que celle de fermer les yeux sur la mort de son escouade entière. Sa responsabilité était amoindrie par son grade insignifiant, bien qu’au vue des rapport que son supérieur rendait à son compte, ce dernier devait soi-disant se retourner dans sa tombe. Humilié par ses paires les premiers mois, il fut ensuite oublié, bien que fruit de diverses disputes et moment de malaises. Personne ne le connaissant n’aimait se frotter à Dan au sujet des fangeux, ou bien de la hiérarchie. N’allait pas croire qu’il allait insulter publiquement, ou officieusement ces derniers, il savait faire profil bas. En revanche, mieux valait savoir tenir sa langue en sa présence, quand on se contentait d’être un grouillot infecte, incapable de baver autres choses que ce qu'on lui rapportait aux prix d’innombrables vies. Il avait été affecté à une coutillerie dans laquelle il se contentait du strict minimum. L’intérieur des murs l’avait rapidement dégoutté, ses ambitions reprenaient le dessus sur sa peur, encore fallait-il pouvoir le manifester et le confirmer…

L'assaut des fangeux fut une occasion en Or, elle ne fut évidement pas vécu comme un miracle, mais les instincts de Dan étaient présents. Le rendez-vous qu'il lui fallait, impossible de se conforter dans l'aisance et la sécurité des murs. Ils allaient tous crever, voilà la seule pensée qui avait traversé son pauvre crâne qu'il cherchait tant bien que mal à sauver malgré le désespoir. Suivant les ordres, il participa aussi bien que ne le pouvaient les miliciens à la bataille, sa mission était principalement d'évacuer les civils, de mettre ces derniers à l'abris et surtout de gagner du temps. Courir, détruire des carrioles abandonnées, ou arracher des volets en priant pour que le coup qu'il allait recevoir ne soit pas le dernier. La peur et le désespoir n'avaient pas figés ses muscles comme lors de la première confrontation qu'il avait eu avec ces créatures. En son fort intérieur, il était satisfait, il pouvait de nouveau retrouver son honneur. Pas celui qu'on cherche à afficher, ni même hurler aux quatre coins du monde, pas l'honneur comptant. Il parlait de cette fiertés, ce sentiment transcendant sa propre psychée, cette pulsion qui lui permettait de confirmer et confronter son existence à la réalité. Il se battait pour lui, pour les autres, pour son espèce, pour la survie. Ils faisaient du coudes à coudes avec la mort. Il en avait déjà tué un par le passé, mais ne reproduisit pas l'exploit. les combats avaient étés longs, beaucoup de civils cherchaient refuges aux mauvais endroits, aux mauvais moment, leurs devoirs étaient comme expliqué plus haut. D'éviter le plus de pertes possible, inutile de vous décrire le chaos dans lequel les miliciens progressèrent, le bilan à la fin des combats étaient épouvantable.

Combien de fois avait-il signé la Trinité en ramassant un corps, puis en le balançant sur un charnier qu'ils se refusaient tous à éteindre. L'odeur ne dérangeait pas Dan, ni ne le marquerait, en revanche la sensation d'avoir toujours souhaité ce genre d'incident depuis son retour à Marbrume le faisait culpabiliser. Il ne laissa rien paraître, si ce n'est une mine sombre, parfaitement à sa place dans un cadre de larmes et d’effrois. Il se surprit à chantonner les incantations du père Edmond, plus par mélancolies et besoin de se réconforter, que par recueillement. Ses idées, étaient sombres, floues, il revoyait énormément de violences, sans pouvoir réellement mettre de mots dessus. Ce n'était pas comme une bataille rangée, ni comme une escarmouche. C'était réellement un retour aux pulsions animales, comme si un nouveau prédateur pire que les loups et les ours venaient de faire surface.

Quelques semaines plus tard, sa Castilleries ayant été fortement touchée par les conflits, et leur Castiller étant défunt. Il était question de réaffectation, bloquant temporairement les activités de Dan. Ce dernier, se voyait en congés, ce qui se résumait à patrouiller sans être payé. Ce dernier point le mettait d'une humeur noir, lui donnant envie de retourner à ses malsaines tortures psychotiques, pour évacuer le stress. Il lorgnait sur les manants, bien qu'une arrière pensée taraudait son âme. Pouvait-il vraiment se permettre de sombrer après une période aussi traumatisante, ils avaient certes commencés à reconstruire, eut le temps de faire leur deuil, le roi était désormais le second pilier après la Trinité dans le coeur des hommes de Marbrume. Mais n'étaient-ils pas tous un peu trop fragiles, pouvait-il vraiment voler les miséreux, sans que ces derniers n'aient rien fait? Après une bataille aussi sanglante n'était-ce pas pire que de la prédation? Le laisserait-on réellement partir sans sanctions pire que le fouet cette fois?

"Va falloir que je trouve autre chose..."





Résumé de la progression du personnage :


(Pour les anciens membres souhaitant réactualiser leur personnage, ne pas tenir compte de cette section en cas de nouvelle inscription.)


Derrière l'écran


Certifiez-vous avoir au moins 18 ans ? 1995, donc oui!

Comment avez-vous trouvé le forum ? Annuaire au pif.

Vos premières impressions ? J'aime bien l'ambiance, l'aspect réaliste permet d'équilibrer naturellement l'ordre des choses, je pense que je vais pouvoir reprendre l'écriture tranquillement ici ^^

Des questions ou des suggestions ? Nanananan.

Souhaitez-vous avoir accès à la zone 18+ ? GIVE ME THE THING! (C'est problématique si Hrp je lance deux trois répliques en Anglais? )


Modèle de fiche codé par Aure et Séraphin Chantebrume




Dernière édition par Dan Sobre le Dim 18 Aoû 2019 - 18:35, édité 18 fois
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EdmurMilicien
Edmur



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MessageSujet: Re: Dan Sobre [Validé]   Dan Sobre [Validé] EmptySam 17 Aoû 2019 - 4:02

Pas encore lu... Mais ce vava ! Ce vava ! Par les Trois, toi il faudra que je RP avec toi !
Bienvenu en tous cas, et bonne chance pour ta fiche !!

J'espère que tu vas te plaire ici. :D
En fait, non, tu vas te plaire ici. Tout court.
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Isaure HildegardeBannie
Isaure Hildegarde



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MessageSujet: Re: Dan Sobre [Validé]   Dan Sobre [Validé] EmptySam 17 Aoû 2019 - 5:52
Bienvenue parmi nous !

Bon courage pour la rédaction de ta fiche !
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Élisabeth BlanchevigneCoutilier
Élisabeth Blanchevigne



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MessageSujet: Re: Dan Sobre [Validé]   Dan Sobre [Validé] EmptySam 17 Aoû 2019 - 10:58
Bienvenue par ici! o/
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Victor de RougelacGouverneur de Sombrebois
Victor de Rougelac



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MessageSujet: Re: Dan Sobre [Validé]   Dan Sobre [Validé] EmptySam 17 Aoû 2019 - 11:04
La bienvenue soldat.
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Sydonnie de RivefièreSergente
Sydonnie de Rivefière



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MessageSujet: Re: Dan Sobre [Validé]   Dan Sobre [Validé] EmptySam 17 Aoû 2019 - 11:13
:bvn:

Bonjour Dan et bienvenue officiellement parmi nous o/

Je vais être la modératrice en charge de ta fiche, même si celle-ci n’est pas terminée, je préfère faire une première modération pour répondre à tes questions, mais aussi réajuster des petits points ! Nous allons voir ensemble, catégorie par catégorie ce qui va ou ne vas pas. Cela sera plus simple pour toi et pour nous par la suite.

Allons-y : :colgate:

Identité :
- Situation = célibataire, veuf, marié, relation libre ou que sais-je de ce type, c’est la situation amoureuse officielle de ton personnage

- Rang : Soldat => milicien, les soldats, les membres de l’armée ne sont plus, ils sont tous morts ou presque avec le premier Roi

- Lieu de vie : Tu as un sujet spécifique pour ça ici, mais tu es tout à fait libre d’imaginer pour débuter une coutillerie spécifique à ton personnage et son BG. Attention cependant, aucune coutillerie n’est plus importante qu’une autre. Pense juste bien à spécifier si tu es de l’externe ou de l’interne

- Carrière : il manque la carrière, même si je suppose que c’est celle du milicien (:

- Il manque les compétences (4 n’oublie pas + ton équipement)

• Apparence :
- « un bon bain. » => juste pour être certaine, les bains se déroulent dans les bains publics, au temple ou dans les établissements spécifiques, rares sont ceux qui ont ce qu’il faut chez eux, généralement les bourgeois, haut bourgeois et noblesse

- Attention aussi à bien nuancer un peu le caractère, j’entends par là, comme je ne te connais pas, je préfère préciser : même si on est un gros dur, la milice est cadré, il y a des règles, on surveille, on ne peut pas faire tout et n’importe quoi, donc ça sera bien à prendre en compte et à nuancer dans ton histoire !

• Personnalité :
- « il ne nie pas avoir plusieurs fois abusé de son autorité pour détrousser les plus faibles. Ni même d’avoir fait parfois preuve d’excès de zèle en menaçant des patrons de bars, ainsi que des manants en usant de sa fonction pour obtenir gain de cause. » = >ça par exemple c’est mieux que ce soit discret, on sanctionnera une fois, deux fois, trois fois à la limite après ça risque d’être des conséquences plus lourde

- Je te félicite néanmoins pour ta personnalité, c’est nuancé comme j’aime, la trinité est parfaitement intégré, j’apprécie beaucoup !

• Histoire :

- J’ai rien vu de particulier dans la fiche, je n’ai pas eu le temps de tout lire je dois filer à mon rendez-vous.

- Attention à bien prendre en compte cependant : si tu es mercenaire, tu as la carrière du mercenaire donc jaune, si tu es milicien ça veut dire qu’après que l’armée du Roi ce soit vu tué avec son roi, tu as pris les armes, tu as intégré la milice pour servir le roi. Si tu décide d’être un homme qui a voulu aider le roi pour lutter contre la fange, deux solutions : soit tu as fui en voyant les fangeux, soit tu as été sévèrement blessé et donc ramené en arrière ce qui a permis ta survie.

- Très belle plume, personne très intéressant, j’aime beaucoup !!
Bon courage pour la suite !!
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Roland de RivefièreComte
Roland de Rivefière



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MessageSujet: Re: Dan Sobre [Validé]   Dan Sobre [Validé] EmptySam 17 Aoû 2019 - 12:19
Bienvenue à toi parmi nous!
J'aime bien ta fiche, hâte de lire la suite. o/
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Alaïs MarlotVoleuse
Alaïs Marlot



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MessageSujet: Re: Dan Sobre [Validé]   Dan Sobre [Validé] EmptySam 17 Aoû 2019 - 12:26
Bienvenue parmi nous ! Encore un caractère pas facile ! :D Bon courage pour la modération de ta fiche !
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AlcideMilicien
Alcide



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MessageSujet: Re: Dan Sobre [Validé]   Dan Sobre [Validé] EmptySam 17 Aoû 2019 - 12:42
Salut Dan, et bienvenue parmi nous.

Dan Sobre a écrit:
Est-ce qu’il faut que je demande à intégrer une coutillerie déjà existente ? Ou je peux en imaginer une avec une importance relativement faible, puisque à terme ça serait sûrement plus intéressant d’en rejoindre une avec des vrais joueurs.

Si tu choisis la Milice, ne cherche plus ! Ton personnage est fait pour intégrer celle de Malfort (on y est deux, avec Landric L'Oiseau) !

Si tu veux en savoir plus, c'est dans mon journal, ici. Je t'y invite en tout cas, n'hésite pas à me MP si tu as besoin de plus d'informations.

A bientôt. Cool
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Dan SobreMilicien
Dan Sobre



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MessageSujet: Re: Dan Sobre [Validé]   Dan Sobre [Validé] EmptySam 17 Aoû 2019 - 13:39
Merci à tous pour vos messages, je recontacterais volontiers qui de droit pour ceux qui sont intéressés par mon personnage, j'annonce juste que j'ai terminé ma fiche, donc elle est rpêt à se faire complètement modérée! Merci pour les corrections par avance, ça m'a aidé à mieux visualiser ce que je pouvais faire, il reste juste le terme de soldat à éclaircir mais je pense que tu devrais comprendre si j'ai réussis à être assez claire dans mon histoire!

Pour ce qui est de la nuance, je peux y apporter quelques modifications, mais puisque c'est une description je suis assez lourds sur les traits, pour me laisser de quoi gratter dessus au fil du temps, mais je comprends très bien où tu veux en venir ne t'en fais pas ^^'
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Sydonnie de RivefièreSergente
Sydonnie de Rivefière



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MessageSujet: Re: Dan Sobre [Validé]   Dan Sobre [Validé] EmptyDim 18 Aoû 2019 - 11:10
Bonjour, bonjour,

Me revoilà. Même principe que pour mon premier passage : catégorie, par catégorie avec les explications.

• Identité :
- Attention à bien te fier à ce sujet là pour ton équipement et tes armes.
- Célibataire à 25 ans, attention il doit commencer à ressentir une petite pression sociale vis à vis du mariage. Surtout par les temps troublés de nos jours, la présence de la fange, le mariage et la procréation (uniquement au travers du mariage) devient encore plus important.

• Physique :
- RAS

• Psychologie :
- "La religion est un pilier sur lequel il se repose ferment depuis le plus jeune âge. " => YES, je dis oui, oui, oui !
- " Ses capacités sont dénigrées, alors qu’il a plusieurs faits d’armes à son actif, il ne nie pas avoir plusieurs fois abusé de son autorité pour détrousser les plus faibles. Ni même d’avoir fait parfois preuve d’excès de zèle en menaçant des patrons de bars, ainsi que des manants en usant de sa fonction pour obtenir gain de cause." => là je vais quand même te demander de nuancer, comme tu es en narrateur externe et/ou de rajouter que du coup il a déjà été plusieurs fois sanctionner. Si les erreurs sont assumés et connus, sanction il y a dû avoir obligatoirement

• Histoire :
- " grâce aux enseignements rigoureux du père Edmond" => là j'ai un souci, il va devoir être formé par quelqu'un d'autre. Les prêtres ne sont pas formés au combat, ni au corps à corps, ni avec une arme. Donc plutôt un ami du père Edmond
- "Direction Marebrume mon petit Dan" => Marbrume
- " l’assaut du démon qui brisa le cou de son cheval dans un coup de pied fulgurant." => les fangeux n'ont que faire des animaux et ne s'y attaque pas, ce ne sont pas des ninjas non plus
=> même si le combat est joliment amené. Deux hommes contre un fangeux, c'est le fangeux qui gagne. Garde bien ça en tête en 1VS1 un homme ne gagnera jamais contre un fangeux En 2vs1 généralement il en va de même en fonction de la stratégie, je ne te demande pas de changer, on va partir sur le principe que la créature n'était pas particulièrement en forme.
- Il me manque juste un petit topo sur le actuellement, à quoi rassemblement actuellement le quotidien de ton personnage, peut-être terminer avec le couronnement du Duc en roi et l'invasion de la fange dans une partie des bas quartier désormais condamner. retrouve ici le sujet de cet event

Je te laisse regarder tout ça, il n'y a pas grand chose à rajouter/corriger !

Bon courage gna3
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Amélise LamerÉleveuse
Amélise Lamer



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MessageSujet: Re: Dan Sobre [Validé]   Dan Sobre [Validé] EmptyDim 18 Aoû 2019 - 11:12
Bienvenue parmi nous Dan Sobre [Validé] 3161563044

Bon courage pour les modifications !
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Dan SobreMilicien
Dan Sobre



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MessageSujet: Re: Dan Sobre [Validé]   Dan Sobre [Validé] EmptyDim 18 Aoû 2019 - 18:36
Encore merci pour la bienvenue!

Pour ce qui est de la fiche j'ai normalement apporté les modifications logiques et nécessaires! Pour la pression, dut au célibat je n'avais absolument pas réussis à concevoir ni penser à quoi que ce soit à ce niveau là. L'ambiance du forum, me donnant plutôt envie de le faire hurler et rouler dans la fenge que de procréer. Je préfère te demander là, si on peut me laisser du temps pour réfléchir à quoi faire ? J'en ai vite fait parlé sur le chat et j'ai quelques clefs qui devraient me débloquer là dessus désormais. Ca se fera Irp avec ou sans pnj je pense ^^.

Il n'a pas réellement de femmes en vue, ses critères étant floutés par la haine, l'ambition et les divers traumas qui le tourmentent. Il encaisse, souvent quelques brimades de la part de ses collègues et laisse les ragots et autres regards inquisiteurs de la fange commune que représente ses congénères lui glisser dessus. Une chose est sûre, elle aura intérêt à être pieuse, la richesse n'étant pas quelque chose avec laquelle il était coutumier, il préférait par orgueil monter son propre trésor. L'idée d'avoir des enfants l'ennuyait partiellement, la fin du monde toquait à nos portes, alors à quoi tenter de pérenniser ? Le défaitisme n'était pas une fin en soit, mais ce sujet avait beaucoup trop de places pour le doute et l'incertitude. Ses nerfs tenaient rarement le choc plus de cinq minutes...

J'ai ajouté une note dans la psychologie à ce niveau là pour mieux cadrer. Pour ce qui est des sanctions, j'ai imaginé ça, c'est bateau mais ça reste plus logique du coup:

" Un grade se reconnait vite et de loin, surtout quand on a une dizaine d'année d’expérience militaire. ce qui ne l'a pas empêché de se faire plusieurs fois, sévèrement corrigé, son dos en a conservé quelques marques bien encrées. Mais les leçons de ce genre, il en avait connu bien d'autres, pas forcément pire, mais son corps était déjà forgé et opaque."

J'avais déjà laissé sous entendre dans un dialogue avec le prêtre que Dan allait être formé par l'une de ses connaissances donc je n'ai rien modifié à ce niveau, si ce n'est la phrase que tu cites, en la tournant de cette manière:

"la force du nombre palliait face à la force et l’entrainement acquis grâce à la préparation physique quotidienne et rigoureuse du père Edmond"

Si ça ne convient pas je reprends autrement encore!
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Sydonnie de RivefièreSergente
Sydonnie de Rivefière



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MessageSujet: Re: Dan Sobre [Validé]   Dan Sobre [Validé] EmptyDim 18 Aoû 2019 - 18:49
C'est tout bon,

Pour le mariage c'était plus à toi à titre d'indication, même si inrp il y a une pression sociale, le lien de couple étant particulier ont comprend parfaitement que cela ne soit pas fait dans l'immédiat. Il faut laisser faire le feeling et trouver le bon partenaire pour ça (:

De ce fait, je t'ouvre les portes de nos terres et d'un coup de baguette non magique je t'offre une belle couleur verte

Pour le petit tour de la maison, tu peux commencer par faire une demande de RP en passant cette porte ou aussi répondre à une demande évidemment. En continuant la visite, tu peux si tu le souhaites créer un journal d'aventure à ton personnage, ou consulter celui de tes futurs partenaires. Par la suite, une fois plus à l'aise dans ton nouvel environnement de jeu tu peux faire un tour dans les quêtes et les missions.

Actuellement, nous avons l'élection des Awards, même si tu ne connais pas encore beaucoup de monde, n'hésites pas à y jeter un coup d'oeilIci

Enfin, ce qui doit, j'en suis convaincue t’intéresser le plus, tu peux retrouver ta jolie carrière comprenant ta réputation, ton tableau de HF et la répartition de tes compétences et points de compétences. C'est ici que tu pourras faire tes achats avec l'XP durement gagné. (Chaque achat coûte 25XP -que tu gagnes en votant, participant aux concours/animation du forum, ou en participant à des missions/quêtes.

N'oublie pas que toutes tes compétences débutent au niveau 1 et peuvent être augmenter jusqu'au niveau 3. (1 étant le niveau d'apprentissage, 3 la maîtrise complète de la compétence)

Pense également à mettre tes liens importants dans ton profil (Fiche, journal et carrière)

J'ai fais le tour, je te laisse découvrir l'ensemble tranquillement, si tu as des questions il ne faut pas hésiter à passer sur la CB ou à MP Seraphin ou moi même.

Pour indication pour toi, tu peux retrouver au Labret actuellement, quelques un de nos joueurs, tu as la liste juste ici ça te donnera une idée !

Si tu es curieuse, tu peux retrouver l'arbre des relations et les registres des relations ici


Bon jeu parmi nous et puisses ton personnage éviter trop vite les répercutions de ses actes :colgate:
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MessageSujet: Re: Dan Sobre [Validé]   Dan Sobre [Validé] Empty
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