Marbrume


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 Céleste - Prêtresse d'Anür et de Serus [Validée]

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MessageSujet: Céleste - Prêtresse d'Anür et de Serus [Validée]   Céleste - Prêtresse d'Anür et de Serus [Validée] EmptyDim 12 Jan 2020 - 19:18





Céleste, La langue et la chaire



Identité



Nom : Inconnu.

Prénom : Céleste.

Age : 23 ans.

Sexe : Féminin.

Situation : Célibataire.

Rang : Prêtresse d'Anür et de Serus.

Lieu de vie : Le Labret.

Carrière envisagée & tableau de départ avec les 4 PCs :

Carrière de prêtresse. +1 HAB, +1 INT, +2 CHAR

Compétences et objets choisis :
ALPHABETISATION - DOCTRINE DU CULTE - SEDUCTION - TRAUMATOLOGIE

Objets :
  • Une robe de prêtresse de couleur verte, des chaussures solides suffisamment confortable pour être portées toute la journée.
  • Une tenue civile faite d'une robe en toile verte, avec un tablier de cuir au-dessus et un pardessus pour les périodes humides et froides.
  • Malette en cuir contenant son matériel médical et le nécessaire de premiers secours.
  • De quoi écrire et noter (fusains et papiers).
  • Une dague.
  • Un coutelas.



Apparence



Céleste est une belle femme. Ce qui est une chance quand on considère son histoire de vie. Et quelque part, elle le sait. Aussi joue-t-elle de ce charisme et de cet avantage. Ses iris, sont de couleur bleu au centre, entourant ses pupilles noires, et de couleur vert sur les bords extérieurs. Cette dualité colorée explique en partie, la puissance de son regard : un océan bleutés aux reflets d’émeraude. Soulignés d’un trait noir, ils n’en deviennent que plus profonds encore. D’ailleurs, fait intéressant à noter, la couleur de ses iris changent avec la lumière qui les illuminent. Dans une pièce sombre, la couleur prédominante sera le vert. En pleine lumière, la couleur prédominante sera le bleu marin. Son visage, ensuite, présente en son centre un nez gracile au bout pointu, des pommettes hautes, des cils effilés, et une bouche charnue. Enfin, de longs et fins cheveux, aux trajectoires presque sans courbures, ornent l’ovale de son visage, ne s’arrêtant qu’au-dessus de sa poitrine.

Son anatomie n’est pas en reste. Une poitrine généreuse et bien faite, des hanches larges et un fessier galbé par les heures de travail aux champs, viennent parachever ce tableau de maître inspiré par les Trois. Cependant, on devine rarement ce physique attrayant, la prêtresse préférant porter sa robe et sa soutane, d’amples pièces de vêtements cachant facilement ses formes, ne dévoilant que de grossiers contours.

Enfin, Céleste porte très bien son nom. Douée pour écouter, pour consoler, pour attendrir les cœurs meurtris, elle possède sans doute un cadeau du ciel, un don de la Trinité. Et cette attitude bienveillante et emprunte de bonté et d’une force intérieure se reflètent dans sa démarche, mais surtout, dans sa façon de toujours tout regarder, tout voir, tout comprendre. Rares sont les moments où elle marche le visage tourné vers le bas, préférant largement regarder le monde autour d’elle, que celui-ci soit beau ou non, agréable ou non, en souffrance ou non. Ainsi accroche-t-elle souvent les regards des désespérés et des nécessiteux, n’hésitant pas, au nom des divinités, à donner le peu de temps libre qu’elle possède pour consoler les maux. Aussi inspire-t-elle la sympathie autour d’elle, la confiance, et également une dose de charme et de séduction tenues, n’existant que dans un regard éphémère, un sourire esquissé et aussi vite disparu.


Personnalité


Céleste est aussi impétueuse que son regard le laisse paraître. De nature généreuse, bienveillante et altruiste, dotée de compassion et de ce que d’aucun dirait, d’un sens de l’empathie, elle est également sa propre cheffe et suit son propre code d’honneur, bien que celui-ci soit très largement influencé par la religion qu’elle suit depuis ses plus tendres années. Comprenez ceci : elle suivra les préceptes, les dogmes et les coutumes de son peuples et de la Trinité, écoutant les confessions sans juger, venant en aide aux malheureux, officiant aux mariages, et redressant ceux qui s’écartent du droit chemin. Cependant, elle peut être plus magnanime que ses pairs lorsqu’il s’agit de punir tel ou tel acte, tel ou tel vice, notamment ceux concernant les plaisirs de la chaire. Bien-sûr, elle réprimandera l’infidèle et les mœurs légères, mais là où certains maudiraient les actes exigeraient des châtiments, Céleste, elle, se contenterait seulement de réprimande et d’une écoute des plus actives, à moins qu’un de ses supérieurs soit présent, auquel cas, elle devra suivre à la lettre les préceptes et les recommandations des Trois. C’est en cela qu’elle possède son propre « code d’honneur ». Punir est une chose, mais elle ne peut décemment pas réprimander avec violence, les vices qu’elle ressent elle-même.

Car Céleste aime séduire. Elle aime sentir les regards dévisager son visage et ses courbes. Elle aime aussi ces petits jeux, ces baisers volés à la nuit tombée, au détour d’un chemin de ronde à peine éclairé ou dans l’étable d’une ferme à moitié abandonnée. Elle aime également cette sensation chaleureuse de la peau sur la sienne. Pourtant, rares sont les fois ou elle succomba au point de s’offrir ou de consommer l’instant, se sentant la plupart du temps salie, impure, cherchant alors une punition ou un châtiment, souvent via les chapelets et les prières, mais parfois, aussi, via la souffrance physique. Car ce que la religion apprend, le corps, parfois, le tente de le corrompre, et le conflit intérieur alors n’en est que plus violent encore, plus désagréable, plus accablant.

Pour elle, la religion est d’une importance capitale, cruciale. Aussi est-elle pieuse et pratiquante comme l’on pourrait l’attendre d’une prêtresse, bien qu’elle ne soit pas exemptée d’imperfections et d’erreurs que d’aucun qualifierait d’impardonnable. Pour elle, être marié est une bénédiction, aussi officie-t-elle régulièrement durant les mariages. Les Trois eux-mêmes n’aiment-t-ils pas ? Sans doute est-ce pour cela qu’il peut être si difficile de lutter contre les bas instincts de la condition humaines, bas instincts qui, pour elle aussi, secouent son être de maux qu’il est parfois difficile d’apaiser. L’être humain est imparfait. Elle l’est tout autant, et pourtant, il est de son devoir de prêtresse de guider les âmes en peine vers de plus beau rivages, à l’aide de la religion, sous l’égide des Trois. Elle est consciente de ses propres échecs, vices et imperfections, comme dit précemment, aussi tente-t-elle par tous les moyens de venir en aide à ses compatriotes, se gardant bien de les juger.
La discrétion quant à ses propres entraves aux préceptes des trois est de mise pour la jeune Céleste, bien consciente que, si elle résidait continuellement en ville, elle aurait sans doute déjà été jugée, condamnée, et sans doute, tuée. La belle impétueuse fait tout son possible pour que rien ne se sache, cachant à l’envie son visage, changeant de vêtements, travestissant les petits signes physiques qui font que d’aucun arrive à savoir qui est qui sans se tromper. Et surtout, elle prend bien garde à choisir des lieux discrets, ou les seuls témoin sont les feuilles des arbres, les chouettes, quelques oiseaux de nuit et les insectes rampant à ses pieds.

Son quotidien est souvent identique de jour en jour : elle se lève aux aurores, rend hommage aux divinités, déjeune, et ensuite, alterne entre ses activités et obligations dans le Labret. Comprenez qu’elle oscille entre les cérémonies, les confessions et les soins donnés aux nécessiteux, les travaux dans les chants, les bénédictions, et les assemblées avec ses pairs et supérieurs. Elle ne compte pas ses heures lorsqu’il s’agit de soigner et de diagnostiquer. C’est d’ailleurs ce qui rythme particulièrement ses journées, et parfois, ses soirées. Elle dirait elle-même que les soins lui procurent une grande satisfaction, et un moyen de canaliser son tempérament et de se focaliser sur autre chose, quelque chose d’utile à la communauté.

Comme dit précédemment, Céleste est bonne envers les autres, du moment que les autres sont bons avec eux. Elle tolère la colère, l’incompréhension, la bêtise même, dès l’instant où ces comportements ne mettent pas sa vie en danger. Elle hésitera avant de frapper, préférant fuir grâce à son corps svelte et sa bonne condition physique. Cependant, elle serait capable, le moment venu, et en dernier recours, d’user de sa dague si sa vie en dépendait. Elle prie cependant de ne jamais avoir à le faire.

Les évènements qui créèrent les Fangeux sont, selon son avis, une maladie, une punition, causée par les dieux pour punir les Hommes impatients, imparfaits et manipulateurs, toujours prêts à rabaisser le voisin pour s’élever sur les cendres d’une vie brisée. Toutefois, elle ne considère pas ce fléau comme éternel, et crois en la possibilité de pouvoir combattre les Fangeux, dans une croisade divine faite pour redorer le blason du genre humain aux yeux des Trois. Elle ne l’ose pas encore, mais sans doute prendra-t-elle part, un jour ou l’autre, aux recherches faites sur les Fangeux. Si tant est qu’elle survive jusque-là. Malgré ses propres démons, Anür et Serus sont comme les phares des marins : des lumières dans l’obscurité. Et elle s’y dédie corps et âme, autant que faire ce peu.



Histoire


Céleste vit le jour durant au printemps de l’an de grâce 1141, dans une petite ferme du village d’Estaing, dans le plateau du Labret. D’une mère paysanne et d’un père prêtre, issue d’une relation hors mariage rejetée par le prêtre qui avait disparu de la circulation dès qu’il eut connaissance de la grossesse de son amante, Céleste passa les deux premières années de sa vie dans cette ferme, aimée par sa mère, tolérée par ses sœurs, détestée du village. Aussi sortait-elle peu, se contentant de gazouiller et de ramper dans les couloirs et les nombreuses salles de la grande ferme. Une prime enfance simple, loin de l’opulence, certes, mais loin du malheur aussi.

Bien heureuse, ou terrible tristesse, ces années ne sont plus en son esprit qu’une tâche d’encre diffuse dans une eau sombre, et pourtant, elles furent sans doute les plus heureuses.

Le malheur vint frapper à la porte de la ferme. L’ainé de la fratrie mourut d’une maladie foudroyante après s’être blessé avec sa faux dans le champ qu’il cultivait. Un groupe de brigand s’immisça une nuit dans la ferme, et déroba le peu de monnaie que possédait la famille. Tentant de faire fuir les voleurs, la mère fut entaillée dans l’aine, la lame, sectionnant les tendons et les muscles, l’empêchant de marcher à nouveau un jour. Ne pouvant plus élever sa fille, ne pouvant plus travailler dans les champs et peinant à marcher plus que sur quelques mètres, Céleste fut confiée aux bons soins d’un homme qui se disait être prêtre. S’il en portait bel et bien la soutane, il n’en avait ni la vie ni la fonction. Il s’agissait en réalité d’un imposteur, un de ces menteurs pervers qui se complaisent dans des rôles qui ne sont pas les leurs afin d’obtenir la confiance de l’ignorant et la pièce d’argent du naïf. Céleste, trop jeune pour riposter et comprendre ce qui lui arrivait, cessa bien rapidement de pleurer et servait à la fois d’objet de compassion lorsque l’imposteur faisait la manche, ou lorsqu’il se rendait de chaumière en chaumière pour extorquer l’estropié, conquérir la veuve ou encore amadouer les jeunes femmes. Le numéro cessa quelques mois plus tard, lorsque l’imposteur fut démasqué, traduit en justice, et exécuté pour avoir fait du charme à la femme d’une personne qu’il valait mieux ne pas chercher.

Céleste se retrouvait seule, pour la seconde fois de sa vie, alors que celle-ci n’avait pas encore atteint sa troisième année d’existence. Le prêtre qui avait participé à l’exécution de la justice, prit la jeune femme sous son aile. Puisqu’elle n’avait plus ni mère, ni père, ni qui que ce soit d’autre dans sa vie, elle ferait une parfaite recrue pour le temple. L’ayant trouvée un soir où le ciel sombre était éclairé de mille et unes constellations et étoiles brillantes, le prêtre décida de la nommer Céleste, et de s’occuper de son apprentissage.

Son enfance et son adolescence furent donc modelés selon les préceptes du prêtre et de la religion. Levée aux aurores, obligée de faire ses prières, puis d’accomplir les travaux imposés par le prêtre et les autres religieux du temple, elle apprit tantôt à jardiner, tantôt à laver les sols, les draperies et les tissus, tantôt à cuisiner et à servir, tantôt à étudier, à lire, à écrire et à apprendre, elle ne disposait que d’une à deux heures de temps libre qu’elle devait passer dans une petite cour intérieure, la plupart du temps seule. Le prêtre lui interdisait de rire. Il lui interdisait aussi de se dévoiler, d’une quelconque manière que ce soit. Aussi développa-t-elle un sens précis de l’observation, une capacité d’écoute inégalable et une patience à presque toute épreuve. En effet, elle ne trouvait rien de mieux que d’écouter durant ses travaux, apprenant à faire deux choses à la fois si l’on peut dire, mais également, à aiguiser son ouïe, récoltant les ragots et les paroles que d’aucun pensaient perdues, et qui, pourtant, atterrissaient dans ses oreilles. Elle apprit alors qu’entre préceptes et applications, qu’entre textes religieux et exercice de foi, il y avait un fossé que d’aucun expliquerait par le caractère imparfait des individus. C’est ainsi qu’expliquaient celles et ceux qui s’adonnaient à leurs péchés, ressentaient remords et regrets, mais s’excusaient auprès de divinités en se confessant et en faisant acte de contrition. Ainsi développa-t-elle son sens de la compassion, de l’observation et capacité d’écoute qu’elle mobiliserait tous les jours, plus tard, une fois adulte.

La fin de son adolescence fut source de nombreux changements. Passer toutes ces années sans rire, sans avoir l’autorisation de dévoiler ses chevilles, ses épaules, ses bras… Même son cou. Souvent, elle devait rabattre sa capuche, même en intérieur, afin d’éviter la réglette vengeresse du prêtre qui s’abattait sur ses doigts dès qu’il n’était pas satisfait. Pourtant, à côté, des épaules et des poitrines, il en apercevait ! Il avait beau être marié, l’homme arrivait parfois à absoudre les pêchers en usant de punitions diverses et variées, éloignées pourtant de ce que les textes pouvaient effectivement recommander. Mais le bougre était discret. Ou trop respecté pour être dénoncé par ceux à l’ouïe bien fine. Lorsque la jeune Céleste découvrit sa féminité nouvelle, le monde qui l’entourait, et que l’orientation de sa foi l’emmenait vers les arts de la médecine, du soin et de la vie, elle put sortir des murs du temple et apprendre enfin ce qu’était la vie d’une prêtresse vouée à la déesse Anür et au dieu Serus. Elle avait hésité longuement quant à la possibilité de devenir prêtresse de la trinité, cependant, étant désireuse d’aider son prochain de manière active ou passive, en mobilisant les compétences de la médecine et celles de la psychologie, vénérer plus spécifiquement Anür et Serus semblèrent plus logique lorsqu’elle fit son choix final.
Mais ce choix s’accompagna, comme dit précédemment, d’une ouverture sur le monde et sur elle-même. Découvrant qu’elle n’était plus seule, enfermée dans un temple, et maintenant qu’elle n’était plus sous la tutelle du fameux prêtre autarcique et profondément anti-libertés, elle dû faire face à ses défauts, au regard des autres, et à ses imperfections intérieures. Elle découvrit qu’elle était belle, qu’elle plaisait à certains hommes qui ne se gênaient pas de la regarder, mais qui, évidemment, se gardaient bien de lui faire des avances, elle qui était alors prêtresse. Elle découvrit également ses qualités en tant que soigneuse et maîtresse de confession, et appréciait grandement les cérémonies liées aux mariages et aux naissances. Désireuse d’aider autant qu’elle le pouvait, elle accepta de quitter Marbrume pour servir dans le Labret, là où elle aurait plus de responsabilités, mais aussi là où, pensait-elle, elle serait un peu plus libre.

Plus elle officiait, écoutait, débattait, plus elle comprenait et plus elle était curieuse. Curieuse des conséquences des maux physiques sur le corps tout comme celles des maux d’ordre psychiques. Curieuse des implications de la religion à tous les niveaux et de ce que celle-ci pouvait produire chez les fidèles qui, après un sermon, après une confession, pouvaient se sentir libérés, compris, aidés… Transportés. Mais ses expériences lui permirent de se rendre compte du pouvoir que pouvait être la féminité et le charisme. Elle pouvait plaire pour aider. Aider les traumatisés à parler et à se confier, aider les blessés à survivre, se soigner et reprendre leurs vies sans que cela n’impacte ni leurs familles ni leurs métiers. Charmer pour faire baisser la garde, baisser les armes.

Mais elle comprit évidemment bien vite que ses atouts étaient également ses défauts, et que ce qui faisait sa force pouvait, si elle n’y faisait pas attention, conduire à sa perte. Mais, car il y a forcément un « mais », la belle allait tout de même succomber aux plaisirs de la chaire, et bien qu’elle soit dévouée à sa vie de prêtresse, et à la trinité, elle y avait ressenti du plaisir. Un plaisir coupable, qu’elle tenta alors de masquer à grands renforts de châtiments, et en trouvant une sorte de rédemption dans le fait d’aider les gens à guérir, aussi bien physiquement que psychologiquement. Car la belle savait user de son doux regard et de ses capacités d’écoute, n’hésitant pas à sourire face à la détresse afin que les cœurs puissent se réchauffer et reprendre goût à la vie. Un combat, une dualité, une face brillante et bonne et une face sombre et interdite.

La survenue de la Fange fut un véritable cataclysme. L’arrivée de cette malédiction fut vécue par Céleste comme une punition divine contre les Hommes aux vies faites de souffrances, de cruauté, de vices et d’insultes faites aux divinités. Œuvrant dans le Labret, elle ne pu se résoudre à abandonner ses ouailles, mais le danger de la Fange força les habitants à fuir jusqu’à un endroit sécurisé : Marbrume. Retourner au cœur de la cité fortifiée ne fut pas plaisant pour la prêtresse qui ne se rappelait pas forcément ses meilleures années à cet endroit. Et retourner en ville, loin de la vie de campagne qu’elle avait appris à apprécier, cela ne lui plaisait pas non plus. Elle n’eut cependant pas le temps de se lamenter, car le flot de réfugiés amenait avec lui des blessés en tout genre, des familles en déshérences, des vies brisées qui n’avait plus rien ni personne vers qui se tourner, autre que… La religion. Trois jours durant, Céleste fut aux petits soins de ceux qui appelaient à l’aide, ne trouvant le repos qu’à l’issue de la troisième journée, lorsqu’elle tomba littéralement de fatigue dans une charrette transportant du foin. La période qui s’en suivit, marquée par la mort du Roi face à la Fange, la famine et son lot de cadavre dans les rues, le rôle du clergé dans les cérémonies mortuaires, la gestion des cadavres, les bénédictions, les confessions, et tout ce qui était nécessaire pour guider les brebis égarées, fut ô combien difficile pour la jeune Céleste qui n’y était pas préparée. L’année suivant vit se répéter d’autres temps difficiles et cruels.

Car lorsqu’il fut décider de reprendre le Labret, Céleste se porta immédiatement volontaire pour y retourner et suivre les courageux miliciens et les paysans obligés. Sans se faire prier, elle prit son baluchon et marcha avec ses pairs ayant survécus aux premières rencontres avec les Fangeux, à la famine, et à l’invasion de la cité par ces créatures, que quelques fanatiques dégénérés auraient, apparemment, laissés entrer au sein des fortifications. Heureuse de faire son devoir, de servir les Trois et de d’aider de son mieux, elle manqua toutefois à plusieurs reprises d’être blessée ou mordue, et passa aussi à un cheveu de la mort. En effet, le Labret vit s’abattre un orage d’une violence inouïe qui manqua de déstabiliser le peu de terrain conquis et d’abandonner une nouvelle fois la région. Des pluies diluviennes transformaient le sol en une immense gadoue gluante et collante, les vêtements ne séchaient pas, les maladies commencèrent à pulluler, les plaies les plus bégnines mettaient un temps considérable pour cicatriser, et nombreux furent ceux qui perdirent un proche, durent être imputés, et parfois, achevés par un milicien ayant pitié. Une des choses les plus difficile à supporter était la saturation en humidité, et le fait de ne jamais pouvoir être au sec, même à l’intérieur des bâtisses à moitié reconstruites. Rien qu’à y repenser, Céleste en a des nausées.

Enfin, l’an 1166 fut beaucoup plus calme pour Céleste, et aussi, beaucoup moins difficile à vivre. Apprenant à vivre malgré le danger, trouvant des moyens pour s’assurer toujours plus de sécurité, vivant dans les arbres, évitant de sortir la nuit, les jours de brouillards ou de mauvais temps, la vie dans le Labret reprenait petit à petit son cours normal, bien que les attaques de Fangeux soient quasiment quotidiennes. Au moins perfectionna-t-elle ses compétences médicales, devant la nécessité de les mobiliser tous les jours, que ce soit à l’intérieur d’une demeure ou au milieu d’un champ de culture. Il y eut toutefois un évènement important et qui, pour beaucoup, fut vécu comme la première étape d’un renouveau et d’une vie qui, espérait-on, allait devenir meilleure : le couronne du Duc Sigfroi. A la fois signe des Hommes désireux de reprendre la main sur des évènements tragiques, ce fut également un signe interprété par Céleste comme étant celui des divinités, satisfaits par les efforts et les sacrifices et qui laissaient entrevoir un avenir, sinon radieux, au moins un peu moins sombre.



Résumé de la progression du personnage :



(Pour les anciens membres souhaitant réactualiser leur personnage, ne pas tenir compte de cette section en cas de nouvelle inscription.)


Derrière l'écran


Certifiez-vous avoir au moins 18 ans ? Je le jure, votre honneur !

Comment avez-vous trouvé le forum ? Top Site

Vos premières impressions ? Heu... "Qu'est-ce que c'est que ça ?"

Des questions ou des suggestions ? Not for the moment !

Souhaitez-vous avoir accès à la zone 18+ ? Of course !


Modèle de fiche codé par Aure et Séraphin Chantebrume
:sleep:


Dernière édition par Céleste le Mer 15 Jan 2020 - 22:12, édité 9 fois
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Sydonnie de RivefièreSergente
Sydonnie de Rivefière



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MessageSujet: Re: Céleste - Prêtresse d'Anür et de Serus [Validée]   Céleste - Prêtresse d'Anür et de Serus [Validée] EmptyDim 12 Jan 2020 - 19:29
Bienvenue parmi nous, officiellement ! ♥

Si tu as besoin, si tu as des questions, il ne faut pas hésiter à nous solliciter Seraphin ou moi même. La CB est aussi très souvent active avec des membres en mesures de répondre à tes questions ♥

Bon courage pour la réalisation de ta fiche !
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Isabelle de PessanVicomtesse
Isabelle de Pessan



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MessageSujet: Re: Céleste - Prêtresse d'Anür et de Serus [Validée]   Céleste - Prêtresse d'Anür et de Serus [Validée] EmptyDim 12 Jan 2020 - 19:44
Bienvenue à toi :)
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Faustine MontenoirPrêtresse de Serus
Faustine Montenoir



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MessageSujet: Re: Céleste - Prêtresse d'Anür et de Serus [Validée]   Céleste - Prêtresse d'Anür et de Serus [Validée] EmptyDim 12 Jan 2020 - 19:55
Bienvenue officiellement, future collègue !
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InvitéInvité
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MessageSujet: Re: Céleste - Prêtresse d'Anür et de Serus [Validée]   Céleste - Prêtresse d'Anür et de Serus [Validée] EmptyDim 12 Jan 2020 - 23:05
Merci tout le monde :D

Pour le moment, je m'en sors, mais sait-on jamais :p
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Merrick LorrenCoutilier
Merrick Lorren



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MessageSujet: Re: Céleste - Prêtresse d'Anür et de Serus [Validée]   Céleste - Prêtresse d'Anür et de Serus [Validée] EmptyDim 12 Jan 2020 - 23:38
Coucou Bienvenue par ici !
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Darius VortigernPirate - Capitaine
Darius Vortigern



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MessageSujet: Re: Céleste - Prêtresse d'Anür et de Serus [Validée]   Céleste - Prêtresse d'Anür et de Serus [Validée] EmptyLun 13 Jan 2020 - 0:27
Bienvenue à toi!
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Sydonnie de RivefièreSergente
Sydonnie de Rivefière



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MessageSujet: Re: Céleste - Prêtresse d'Anür et de Serus [Validée]   Céleste - Prêtresse d'Anür et de Serus [Validée] EmptyMar 14 Jan 2020 - 21:30
Bonsoir, bonsoir par ici Coucou

Je vais être la modératrice en charge de ta fiche ! Par habitude, j'aime bien reprendre catégorie par catégorie, citer ce qui m'embête ou m'interroge, comme ça c'est plus simple pour toi et pour moi pour l'ensemble de la modération.

Je tiens déjà à te féliciter c'est une très jolie fiche que voilà, une très belle plume. Néanmoins, je trouve que le rôle de prêtresse passe un peu trop en second plan et j'ai dû mal à visualiser le côté discret de pulsion si importante... Mais nous allons voir ça ensemble au cours de la modération !

Identité
❧ RAS, attention cependant, 25 ans, sans jamais avoir été en lien pour le mariage, ça commence à faire vieux et à questionner, surtout au niveau du clergé où les membres doivent montrer l'exemple ;

Apparence :
❧ Juste un petit point, pour information, la beauté au moyen âge n'est pas du tout la beauté de nos jours. Ainsi le portrait de la femme d'une beauté sans pareille pourrait ressembler à ceci : grande, mince, blonde, à la peau laiteuse et aux lèvres charnues et rosées, avec des yeux clairs, et un front dégagé. Elle est vierge aussi évidemment.

❧ "’hésitant pas, au nom des divinités, à donner de son temps, et parfois de son argent," => quel argent, une prêtresse n'est pas rémunéré. Si sa famille est encore riche, une prêtresse ne possède en soit plus grand chose, elle n'est plus gestionnaire de ses biens, ou vraiment à de très rares occasions.

Personnalité :
❧ "sont particulièrement mal appréciés par le clergé " => c'est même pas mal apprécié, c'est terrible sanctionné.

❧ "achetant le silence d’une conquête, ou, s’il en était besoin, en usant de chantage." => avec quel argent encore une fois ? Attention, plus il y a de conquête, plus il y a de risque que quelqu'un du clergé soit au courant, qu'on la surprenne, si jamais le clergé venait à l'apprendre cela serait la fin de son travail et notamment aussi... possiblement la fin de sa vie.

❧ "elle ne compte pas ses heures lorsqu’il s’agit d’opérer, de soigner et de diagnostiquer." => Qu'est-ce que tu entends par opérer ? On ne touche pas au corps humain, il est sacré, on ouvre par un corps, on opère pas. Les rares opérations comme les amputations, sont réalisés par des boucher et non par des membres du clergé ou à de rares occasions. A aucun moment on explore un corps, on soigne de manière très superficiel avec des plantes, des saignées... Mais il faut vraiment garder à l'esprit que le corps est sacré, on y touche pas.

❧ "Elle dirait elle-même que soigner et opérer lui procurent une grande satisfaction" => cf au dessus

❧ Je pense que tu l'auras compris, j'ai un véritable problème avec cet attrait à la sexualité aussi... important pour une prêtresse... Je le comprends comme presque de la nymphomanie et à ce stade là il n'y a plus rien de discret, malheureusement et cela me semble très complexe de le concilier avec son rôle au clergé. A mon sens c'est à nuance de manière très important, on est tout de même pas sur un harem masculin. (j'ai bien lu qu'après tu soulignes que ce n'est pas de la nymphomanie, mais malheureusement dans l'ensemble des descriptions, cela me semble bien trop présent, bien trop appuyer pour rester discret)

❧ Attention à sa relation aussi... Tu parles d'intrigue de cour, mais pour une prêtresse, il n'y en pas finalement, oui elle peut fréquenter quelques nobles, mais tant qu'elle ne monde pas en grade, elle n'a pas une réelle influence dans ce milieu.

Quand je relis plusieurs fois ta fiche, je trouve qu'on est beaucoup plus sur une bourgeoise, voir petite noble qu'une prêtresse. Je trouve que le côté religion est plus en second plan, que le reste. A voir en fonction de ce que tu veux. Attention également à bien prendre en compte qu'une prêtresse n'a pas tant de temps libre que ça non plus. C'est à nuancer globalement. Ce côté vraiment attrait à la sexualité si présent me gêne, en tout cas pour une représentante du clergé.

Histoire :
❧" Bien que les pierres du temple soient épaisses, et que la chambre de Céleste soit loin de celle de son tuteur, l’adolescente était capable de se déplacer silencieusement et d’entendre pendant – et en dehors – de ses travaux généraux nocturnes, les gémissements, les paroles salaces puis les coups de fouets de la rédemption qui provenaient de cette chambre à la lourde porte de bois." => Alors, il n'y a pas de chambre individuelle, mais des dortoirs féminins et masculins. Les prêtres et prêtresses ayant la chance d'avoir une chambre seule sont des hauts prêtres et ils sont très peu nombreux. Il n'y a pas de chambre non plus de... plaisir ou de torture... Les moments de rédemptions ou les tortures pour revenir sur le droit chemin sont réalises dans les sous sols du temple, fait par des miliciens sous la supervision du clergé.

❧ " en mobilisant les compétences de la médecine et de la chirurgie" => cf au dessus, pas de chirurgie, le corps est sacré, médecine très très très basique, bien arriéré par rapport à la réalité ;

❧ "Elle découvrit qu’elle était belle, qu’elle plaisait aux hommes qui ne se gênaient pas de la regarder et de lui faire des avances" => Alors, c'est un peu à nuancé, ça fait très... "tous les hommes m'aiment et tous me saute dessus" , c'est peut-être à nuancer le côté beauté... Enfin c'est très subjectif la beauté

❧ " Elle fit alors tout son possible pour cacher au grand monde, cette facette sombre qui la hantait et qui la consumait parfois, sachant que, si elle était prise sur le fait, elle risquait la potence, ou pire… Le bannissement. " => Le bannissement premier du nom n'existe plus, maintenant pour être bannis il faut être mordu. Pour faute grave, c'est la mort, ou une épreuve du Trois.

❧ Il me manque le couronnement du Duc en Roi avec l'invasion de la fange dans Marbrume, tu peux retrouver le détail dans la chronologie !

Conclusion :

Malgré ce qui peut paraître, je trouve que c'est une bonne fiche, avec une plume très agréable, l'histoire me parait beaucoup plus convenable et cohérente que les sous entendus de ta description physique. Je n'ai qu'un mot d'ordre : la nuance.

Le côté sexualité ne me dérange pas, en soit, c'est quelque chose de possible. Néanmoins, c'est le côté "trop", ça me semble trop présent, ça a l'air d'être trop important dans la vie de ton personnage actuellement pour que cela lui permette d'être discrète et ne pas être remarqué par le clergé. J'ai la sensation que c'est presque un harem avec une multitude de conquêtes et ça, ça me gêne.

Le clergé est quelque chose de sacré et pas suffisamment exploité par les joueurs pour que l'on tolère encore des dérives "trop" importante. Le corps est sacré, le clergé plus que n'importe qui est endoctriné, formaté à l'image de la Trinité, ses principes.

Il est très peu probable d'avoir une prêtresse ouverte à toutes les propositions et appréciant ouvertement le sexe sous toutes ses formes. Peu probable pas impossible, si c'est fait discrètement. Si elle use dans l'ombre pour rejoindre ses partenaires, si il n'y en a pas trop non plus. Si jamais cela devait se savoir, elle perdrait tout et probablement sa vie aussi. Le clergé devant montrer l'exemple.

Tu amènes dans ta description psychologique des points, qui m'embête aussi :
-> Le côté financement, argent, un prêtre est pauvre. Il est nourrit, logé par le clergé, il n'a aucune source de revenus ;
-> Le côté intrigue dans la noblesse, là aussi ça me gêne surtout venant d'un personnage venant du bas peuple. Ca peut venir sur la durée hein, une fois que ta prêtresse monte en grade, mais là tout de suite, je ne vois pas trop ce qu'elle irait faire dans le cercle de la noblesse.

Mes conseils :

-> Si tu tiens à cet aspect vraiment sexuel, et intrigue de noble, je ne peux que te conseiller de revoir l'histoire pour en faire une petite bourgeoise de Marbrume ou une petite noble non natif. Le caractère correspondrait à la perfection. Elle pourrait complètement aider le clergé si régulièrement et avoir aussi une forme de place, sans être prêtresse. Aider dans les soins, aider dans l'entretien du temple. Il n'y aurait juste pas la réalisation des cérémonies, les confessions ou les tâches propres et spécifiques du clergé.

-> Si tu tiens à son grade de prêtresse, nuancer vraiment cet aspect à la sexualité, faire preuve de discrétion. Et peut-être revoir spécifiquement cette relation. Sinon l'histoire globalement correspond. (d'ailleurs tu le remarques facilement il y a peu de choses à retoucher dans la fiche. Hormis l'aspect rapport au corps, pas de chirurgie, d'opération, le corps est sacré on touche pas!)

Je pense que j'ai globalement fait le tour et que cette modération ne te fera pas peur, ce n'est pas le but, je reste à ta disposition si besoin !

J'espère qu'elle te permettra de modeler et corriger ta fiche.
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Sydonnie de Rivefière



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MessageSujet: Re: Céleste - Prêtresse d'Anür et de Serus [Validée]   Céleste - Prêtresse d'Anür et de Serus [Validée] EmptyJeu 16 Jan 2020 - 20:35
Bonsoir, bonsoir Coucou

Me voilà donc, pour une seconde modération. Pense bien à notifier dans le sujet adéquate que tu as terminé, cela évite les attentes trop longues ou que tu passes tout simplement à la trappe ! (:

• Identité :
-> Ras

• Description physique :

-> "Enfin, de longs et fins cheveux, aux trajectoires presque sans courbures, ornent l’ovale de son visage" => c'est juste une information, avoir les cheveux lâchés et non attachés c'est signe de petite vertu au moyen âge, ou d'ouverture un peu trop... ouverte.

• Description psychologique :

-> RAS

• Histoire :

-> RAS

❧ Je peux t'offrir ta jolie couleur bleue pâle

Pour le petit tour de la maison, tu peux commencer par faire une demande de RP en passant cette porte ou aussi répondre à une demande évidemment. En continuant la visite, tu peux si tu le souhaites créer un journal d'aventure à ton personnage, ou consulter celui de tes futurs partenaires. Par la suite, une fois plus à l'aise dans ton nouvel environnement de jeu tu peux faire un tour dans les quêtes et les missions.

Enfin, ce qui doit, j'en suis convaincue t’intéresser le plus, tu peux retrouver ta jolie carrière comprenant ta réputation, ton tableau de HF et la répartition de tes compétences et points de compétences. C'est ici que tu pourras faire tes achats avec l'XP durement gagné. (Chaque achat coûte 25XP -que tu gagnes en votant, participant aux concours/animation du forum, ou en participant à des missions/quêtes.

Ce mois-ci, plusieurs animations RP, tu peux rejoindre le bal pour le peuple, pense à surveiller les missions juste ici

Une soirée CB RP est programmée pour la fin du mois ainsi qu'une animation Inter forum avec Miradelphia en février

N'oublie pas que toutes tes compétences débutent au niveau 1 et peuvent être augmenter jusqu'au niveau 3. (1 étant le niveau d'apprentissage, 3 la maîtrise complète de la compétence)

Pense également à mettre tes liens importants dans ton profil (Fiche, journal et carrière)

J'ai fais le tour, je te laisse découvrir l'ensemble tranquillement, si tu as des questions il ne faut pas hésiter à passer sur la CB ou à MP Seraphin ou moi même.


Bon jeu parmi nous :colgate:
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