Marbrume


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MessageSujet: [Validé] Henry Duchemin   [Validé] Henry Duchemin EmptyMer 26 Fév 2020 - 12:49





Henry, une vie honorable est une vie éternelle.



Identité



Nom : Duchemin ;

Prénom : Henry ;

Surnoms : Le Matois du Labret, la Fleur du Levant ;

Âge : 28 ans, né le 2 mai de l’an 1138 ;

Sexe : Masculin ;

Situation : Veuf ;

Rang : Noble, ancien baron de l’Ouest, non-natif.

Lieu de vie : Marbrume-même, quartier de l’Esplanade, modeste demeure prêtée par le Roi Sigfroi.

Carrière envisagée et tableau de départ avec les 4 PCs : Carrière du Noble héritier : +1 en Endurance ; +2 en Intelligence ; +1 en Parade.

Compétences choisies : Alphabétisation ; Chance ; Commerce ; Histoire.

Objets choisis : Épée longue à une main et bouclier classique, capuchon en cuir, gants en cuir usé, gambison sobre et jambières de cuir.


Apparence


Depuis que l’on t’aperçoit dans les environs de Marbrume – cela a commencé depuis quelques temps déjà –, tu as toujours été catégorisé comme venant d’ailleurs, et pour cause : ton teint rougeâtre définit à merveille cette absence de racines marbrumiennes, toi qui pourtant vient d’un duché voisin, désormais en proie à la Fange et au chaos.
Tu conserves cependant cette démarche si caractéristique, presque hautaine, si ce n’est maniérée, des nobles de la région. L’allure fière de prime abord, ta silhouette ne nie aucun trait que l’on te prête : tu es un soldat, tu es un baron, et ton corps a été façonné pour endurer les efforts de ces tâches si souvent éprouvantes. Ce sont d’ailleurs de nouvelles cicatrices, de diverses griffures et entailles, que l’on retrouve depuis récemment sur ta peau, conséquences de tes ébats avec la Fange lors du couronnement de Sigfroi.

Ton visage, lui, n’a vieilli que de quelques années : de profonds cernes marquent tes yeux, tandis que ton front se pare de quelques plissures de souci constant. Ton air habituellement enjoué reste, persiste, affrontant ces rides dans un combat dont le vainqueur aura totale emprise sur toi, lui qui est le garant de la pérennité de tes jeunes années. Le profil de ta mâchoire, de ton menton, de ton cou, appuie cette sensation d’inconnu, renforçant ton image d’étranger et de non natif pour qui ne te connait, tandis qu’un long nez, recourbé sur la pointe, se greffe harmonieusement au milieu de deux joues presque creuses. Des pommettes saillantes soulignent des yeux constamment surpris, d’un bleu foncé assez banal, supplantés par de fins et dessinés sourcils bruns, creusant un peu plus par leur proéminence cette apparente fatigue.
Enfin, il est peu dire que tu ne prêtes que rarement attention à tes cheveux, souvent organisés en une abstraite et négligée coiffure digne d’un réveil d’un sommeil de cent ans. D’un châtain foncé se mariant avec ton teint, tu tiens toutefois à les garder relativement courts, symbole de masculinité et de praticité.

En tout, c’est un aspect suffisamment singulier que tu proposes, provenant en partie de ton teint, et qui tend à ce que l’on te reconnaisse comme étant non natif. Mais, atypique comme tu es, tu sais pertinemment quelle est ta place dans cette nouvelle société, et tu te veux souvent rassurant, la voix que tu arbores, lorsqu’il ne s’agit pas d’urgence, clamant haut et fort de par son timbre ta volonté et ton amour pour les choses bien faites.


Personnalité

Les Duchemin n’étaient semble-t-il que peu connus pour leur propension à faire valoir leurs richesses, et rares sont les aînés de familles telles que la tienne à briser les stéréotypes. De toutes les situations dans lesquelles tu aies pu te retrouver dans pareilles circonstances, tu préservais avant tout l’humilité et la reconnaissance plutôt que de crier sur tous toits quelle venait d’être la dernière affaire fructueuse que tu avais conclue.

Car te voilà, toi, le Matois du Labret, celui qui, d’une manière absolument instinctive, concluait de nombreux accords avec agriculteurs, commerçants, propriétaires ; tu es un finaud, non pas retors, mais intelligent, et tu sais percevoir les opportunités lorsqu’elles se profilent à l’horizon. Tu étais riche, d’antan, mais cette vie t’a également apportée de nombreux défauts que sont l’impulsivité et l’illusion de toujours bien faire pour tout le monde. Les récents événements t’ont peut-être permis de faire table rase, mais tu restes bien trop attaché aux souvenirs pour te débarrasser complètement de ce qui désormais te définit.

Ton aversion pour le contact avec la caste féminine, plus par timidité que par indifférence – car tu as été marié –, t’empêche de te sentir pleinement en confiance lorsque se tient face à toi une dame dont l’aura exquise fait émaner douceur et séduction. De là te vient ta maladresse, que tu échangerais volontiers contre une vie de repentir pour cet insignifiant pêché qui t’affecte pourtant quotidiennement.

Mais tu éprouves de l’amour, l’amour que tout artiste voue à son œuvre, que tout constructeur voue à ses pièces, que tout prêtre voue à son crédo : l’amour de la vie et des bonnes surprises, quoiqu’elles soient rares, qu’elle peut apporter. Aussi es-tu personne à attirer les bons regards, les bonnes intentions, et sais-tu déceler le bien de ce que tu qualifies comme étant le mal dans des circonstances souvent lourdes de sentiments. Peut-être est-ce l’immuable et inamovible foi dont tu fais preuve envers la Trinité qui t’accorde cette chance, peut-être est-ce simplement dans l’ordre des choses, mais es-tu la plupart du temps satisfait de la tournure que prennent les événements pour lesquels tu as pu agir.


Histoire


Tu étais passé par le marché ce jour-là. Tu l’aimais, ce marché, là où tous se réunissaient, où denrées étrangement épicées et colifichets excentriques étaient échangés, où maraichers, agriculteurs, bouchers et artisans troquaient leurs produits contre l’argent que tu voyais virevolter à chaque étal. Il faisait bon vivre, le soleil culminait, harassant le front plein de sueur des plus intolérants ; toi, tu souriais, le pas lent devant tes hommes, tous deux portant une lourde bourse, précieuse récompense des affaires que tu avais conclues la veille. Tu t’étais déplacé jusqu’au Labret, dans le Morguestanc, comme à ton habitude lorsque te parvenait l’envie de rendre visite à tes partenaires commerciaux. Tu étais fier de ces relations, toi, l’aîné des Duchemin, qui entretenais les alliances construites au fil des ans par ton père et ton grand-père.

L’un de tes hommes avait grogné en apercevant la foule qui s’amassait un peu plus loin, à l’embouchure de la ville, entre les immenses piliers soutenant la grand-porte. De la fumée s’élevait, une fumée de poussière dansant avec les rafales de vent provenant des plaines avoisinantes. Jetant un coup d’œil, tu perçus l’agitation ambiante, mais tu continuais à marcher, la gaieté de ce jour n’ayant décidé de te laisser succomber à ta curiosité habituelle. Oh, cher Henry, que tu aurais dû t’enquérir de ce qu’il se tramait…

En cette soirée d’août 1164, tu connus ce que désormais nombre d’entre vous ne peuvent que contempler : la désolation. Ce fut presque au sommet de ta sobre forteresse, dans la haute bibliothèque où tu t’étais caché de tes sujets, que tu fus témoin de toute l’horreur du cataclysme qui vous attendait ; tu fis connaissance avec la Fange, et avec elle de ton effroi. Ce fut la première fois que tu ressentis une telle crainte, mêlée à l’inquiétude grandissante de savoir ton peuple aux prises avec ces monstres, et plus encore : ta famille.

D’un bond, tu avais jailli de ton fauteuil, jetant au sol avec empressement ce livre de Guillaume Lancevalet, duquel tu venais de commencer le passage sur les possibles façons, selon l’auteur atypique qu’il était, de voir l’humanité s’éteindre. L’épée au clair, tu descendis alerter ta femme, elle qui était native du Morguestanc, ta fille et ton fils, tous trois déjà entourés de tes meilleurs chevaliers. Les ordres fusaient, les soldats du château couraient dans tous sens ; en contrebas, dans les rues de la ville, une odeur de pourriture émanait lentement, imbibant les murs et la terre d’une aura malfaisante, tandis que têtes, bras et jambes volaient à vau-l’eau. Bien triste jour que celui de la chute de ta cité, car nul émissaire, nul informateur, nul espion n’avait réchappé des massacres des villages plus à l’Ouest, nulle information n’avait transité jusqu’à vous.

C’est ainsi que, dans l’élan de débâcle qui accompagnât les derniers ébats horrifiques, la fuite vit nombre de tes sujets périr : au total, ce fut près de la totalité de la population de tes terres qui faillit s’éteindre. Parmi les victimes, on compta trois des quatre de tes plus éminents soldats, des chevaliers loyaux à ton nom, ainsi que ta femme, malencontreuse victime d’un accès de panique plutôt que des griffes de ces monstres.

***


La route vers le Morguestanc et les villages que tu connaissais fut longue, la plus longue que tu eusses jamais entamée, car contrairement aux précédentes occurrences, tu supportais cette fois le poids de la tristesse et du mépris, du remord et de la mélancolie. Ton but était tel : protéger ceux qui étaient parvenus à sortir de la cité détruite, uniques survivants de l’hécatombe, et mettre en sécurité ton frère et tes chers enfants, que tu portais parfois à bout de bras, pourtant épuisé que tu étais, presque désespéré, attristé par les si nombreuses morts des derniers instants où tu avais aperçu ta baronnie.

C’était du Labret que tu étais revenu serein, les poches pleines de sous officiellement frappés, et ce fut au Labret que tu revins, toi et les quelques dizaines d’âmes survivantes, sans plus de richesses ni d’atours de votre ancienne vie, croyant presque au rêve cauchemardesque lorsque vous passâtes les portes de Salers. Au début, l’armée vous accueillit avec méfiance et suspicion, puis tu fus reconnu par les habitants, puis les soldats plus malins. Tu t’étais essayé à des explications, tu avais fait ton possible pour les alerter, proférant dans tous sens qu’une terrible menace s’amoncelait au loin. Pourtant, personne ne t’entendit, personne ne voulait t’entendre, t’écouter, te croire. Vous n’étiez qu’une vingtaine de rescapés, tout juste égratignés – car sait-on désormais que les blessés les plus graves ne purent vous suivre – ; qui donc aurait pu vous faire confiance, alors que la vie ici ne pouvait être plus paisible ?

Mais, remis de vos efforts, toi essayant éperdument de convaincre le peuple, les gardes, puis les nobles à leur tour, qui ne faisaient que nier tes propos, la Fange s’invita bientôt aux frontières du Morguestanc, et avec elle le sillon de cadavres transformés qu’elle créait jour après jour. Lorsque les rumeurs commencèrent à vous parvenir, tu informas les tiens et leur laissas le choix, et tu partis avec tes enfants et tes proches soldats, en quête d’un refuge, en quête d’une forteresse : en quête de Marbrume.

Tu y arrivas. Oui, tu y arrivas, mais en payant toujours ce tribut, celui qui te demanda de tout abandonner : ta joie, ton bonheur, ton ambition, ton espoir. Et vous y arrivâtes, faibles comme vous étiez, témoins au même instant des débuts de la mobilisation des troupes du Roi pour ce que l’on nommait désormais le « front ». Tu les regardais fièrement passer, droits sur leurs montures de guerre, et les frissons te parcouraient le dos comme présages d’une nouvelle catastrophe. Mais tu ne dis mot cette fois, ne les empêchant en rien de partir. Tu prias seulement, Anür, Rikni, pour leur victoire, et tu pénétras en la ville fortifiée, soulagé d’avoir survécu, toi et tes enfants. De plus, tu savais ta sœur en sécurité, elle qui habitait Ménerbes, et tu la retrouvas par un heureux hasard au cœur de la cité, prête à vous épauler.

Pour les autres, l’on vous accueillit avec circonspection, de nombreuses questions vous ayant été posées à votre arrivée ; tu savais que les grandes villes prenaient davantage au sérieux les affaires extérieures que les hameaux que tu avais jusqu’ici traversés, pour ce que tu en savais. Et ce sérieux se fit de plus en plus palpable, se transformant jour après jour, semaine après semaine en appréhension, en angoisse viscérale qui assaillait les habitants que tu rencontrais, les rares fois où tu t’essayais à arpenter les rues des bas-quartiers.

Plus tard, alors que vous aviez finalement obtenu audience auprès du seigneur local, le Duc Sigfroi, un homme que tu trouvais rude et aux mœurs rustres mais qui avait tout de même consenti à vous autoriser l’accès – et vous loger – au quartier de l’Esplanade, tu pus impuissamment assister aux déboires de la fameuse affaire de Sarosse, devenue depuis presque tabou. Tu n’avais ton mot à dire à l’époque, d’autant plus que tu tenais à conserver tes avantages – en était-il de la sécurité de tes enfants –, quand bien même tu aurais volontiers hurlé au déshonneur s’il en avait été de ta juridiction. Aussi compris-tu qui était véritablement cet homme qui vous avait accueillis : un soldat, un homme de fer, un véritable frustré, car qui ne dirige avec bonté en tête, selon toi parfois s’attire l’ire du peuple, et c’est ce qui, en partie, arriva, quoique la poigne de votre nouvel hôte n’ait réprimé bien des soulèvements tout juste sortis de l’œuf.

Les mauvaises nouvelles s’accumulaient avec la survenance de l’hiver : la venue toujours plus recrudescente de rescapés, le froid s’emparant des terres et des plus faibles, la famine s’installant, proliférant, exterminant, comme à son habitude, une habitude bien macabre à propos de laquelle tu t’acharnais à trouver une solution, t’organisant, rassemblant tes efforts pour mettre à profit tes talents qui t’avaient jusque-là bien servi.

Le temps de l’hiver, du froid et de la faim, avait également été celui de la réflexion. Tu avais perdu tes appuis, tes soutiens, tes terres, et tu savais que, même en de pareilles circonstances, le Jeu continuait, nouant et dénouant ses fils retors, traînant derrière lui opportunité et déchéance, ce jeu noble auquel tu t’étais si bien habitué. Il te fallait reforger ta réputation ; il te fallait des alliés. Avec les débuts de l’an 1165 et les rumeurs s’immisçant dans les rues de la ville sur le Labret, opération plus que conséquente et soutenue par un engouement toujours plus évident, tu retrouvas goût aux plaisirs de la négociation, de la persuasion, de la croyance, et fis de ton mieux pour appuyer les discussions en faveur de l’opération. Tu soutins même les idéaux du Duc, lui qui te paraissait toujours si prompt à sacrifier des vies pour en préserver d’autres, et donnas ton bras au service de la cause en escortant, aux côtés des miliciens, piètre reste de l’armée d’antan, amas de volontaires sans compétences, les cultivateurs, fermiers et éleveurs, dans l’ultime but de reconquérir le plateau, après que les premières incursions de fangeux en ville eussent frappé. La tentative fut d’ailleurs un succès, bien que tu eusses déploré la perte de nombreux camarades de confiance, ainsi que celle de ton cher frère, occis par la Fange au cours d’une embuscade, pendant le voyage. Plus que tout, tu désirais lui rendre hommage, et par-là même offrir ton cœur aux valeurs qu’il servait. Dans le silence des réminiscences des massacres, tu promis de ne jamais te battre que pour servir le dessein de l’humanité : la pérennité.

***


Des mois plus tard, alors rentré à Marbrume, toujours en mal de liens économiques profitables, de même que d’avérées alliances sur lesquelles compter, quoique l’époque ne fut véritablement dédiée à la politique, les jeux d’été se lancèrent, réconfort certain en cette période de troubles où, malgré la Fange, la situation tendait à s’approcher, du moins entre les murs, du paradis que vous aviez auparavant connu. Une tentative d’assassinat vint toutefois perturber ces événements, que tu réprouvas fortement et face à laquelle des battues visant à retrouver les coupables avaient été organisées. Toi et tes hommes y participâtes, tandis que tu savais le Labret, territoire dont tu étais le plus sentimentalement proche, en danger du fait des orages de saison.

Les tensions grandissantes et la réapparition des sectaires, que tu découvrais alors, eut l’effet d’un glas pour la cité, car retombait-elle dans les heures sombres du doute et de la méfiance. Le reste de l’année, ainsi que les débuts de l’an 1166, furent de biens sombres mois, témoins de l’avènement de davantage de morts et de blessés, ainsi que de bien d’étranges affaires. De ton côté, tu te résignais toujours à ne pas chercher femme à ton côté, toi qui portais encore le deuil de ta défunte épouse, mère de tes enfants, bien que tu susses que de nouvelles fiançailles auraient pu t’apporter lot de soutien, moral comme publique.

Toi qui vivais toujours au quartier de l’Esplanade, n’ayant jusque-là déçu le Duc et ayant fait montre d’un investissement tout particulier dans les récentes affaires de poursuite des sectaires et de mobilisation au Labret, bien que celui-ci n’ait été financier, tes caisses se refaisant tout juste, tu encourageas et assistas à l’accession de Sigfroi au nouveau trône. Ton avis sur la politique menée n’avait pas changé, mais ne voyais-tu pour l’instant aucun autre dirigeant digne de convenablement gouverner ces terres en proie au chaos. Fallait-il homme de fer à situation désespérée, toujours était-il que tu fis en sorte d’être remarqué… Et, cher Henry, tu en eus l’occasion : à peine le couronnement eut-il lieu que la Fange frappa une nouvelle fois en ville, déstabilisant toujours plus le moral du peuple, déjà bien bas. Les avancées scientifiques vous avaient permis d’obtenir davantage de connaissances sur ces créatures, mais que restait un soldat face à un monstre ? Les pertes furent lourdes, tant humaines qu’organisationnelles, car, dans la cohue, tu fus blessé à plusieurs reprises – blessures qui te valent désormais tes cicatrices –, et vous perdîtes plus d’un quart du Goulot dans ce que vous appelez désormais le Chaudron, enceinte barricadée, maudite, où vous avez repoussé la Fange, désormais définitivement installée au sein de la ville.

Les semaines passaient tandis que tu recouvrais tes forces, laissant les miliciens aller et venir en ton quartier, en ta demeure, eux qui recherchaient activement les sectaires, bannis et autres malfrats responsables de l’incursion, ou les mordus, condamnés d’avance à devenir des monstres à leur tour. Les quelques richesses que tu eus amassées depuis pour ta participation servirent à mobiliser mercenaires autoproclamés et autres guerriers indépendants afin d’aller soutenir le Labret et prévenir d’une quelconque offensive. La tension était revenue, toujours plus harassante et dévorante, alors que mille menaces semblaient planer au-dessus de vos têtes.

Depuis lors remis, t’investissant toujours dans cette chasse aux sorcières, tu décidas de ton propre destin et entrepris de détruire la secte que tu prenais pour responsable de l’intérieur : tu voulais infiltrer les Purificateurs, et tu allais te donner tous les moyens pour y parvenir. Seul le Roi et quelques-uns de ses plus proches conseillers étaient au courant, et les résultats ne se firent pas attendre : à peine avais-tu reçu les premières informations que tu condamnais anonymement une famille, les de Sombrelune, appuyant les revendications d’autres comploteurs plus en avant de la scène, amenant au bûcher père et fils, brûlés vifs pour trahison.

Le temps passa encore, sans que tu ne trouves d’opportunités. Entre-temps, de nouvelles têtes arrivèrent tout droit de l’Ouest, rescapés d’un naufrage en provenance des terres d’Hendoire, dont tu n’avais que vaguement entendu parler dans ton enfance. Tu n’accueillis pas cette nouvelle avec bienveillance, les rumeurs sur la présence de prêtres d’Étiol parmi eux se faufilant à grands pas dans les rues de la ville ; tu les savais surveillés, mais en rien cela n’allait faciliter ta tâche.

Pour autant, te voilà plus que jamais déterminé à sécuriser les rues de la Cité-Forteresse, œuvrant à la traque interne des sectaires et des traîtres tout en assurant ton rôle de noble, fier mais utile, convaincu que tu es que les Dieux donneront raison aux pieux et aux miraculés.


Derrière l'écran


Certifiez-vous avoir au moins 18 ans ? Certifié sur l’honneur !

Comment avez-vous trouvé le forum ? Par un topsite.

Vos premières impressions ? Très bien organisé, un background concis qui ne nécessite pas des heures de lecture, et un univers vraiment plaisant à explorer. Ça donne hâte !

Des questions ou des suggestions ? Peut-être permettre aux invités d’accéder aux sections de RP, de pouvoir se rendre compte de la forme des aventures qu’ils seront peut-être amenés à jouer. Si l’accès est bloqué, je me doute qu’il doit y avoir une bonne raison derrière, mais on m’a demandé une suggestion, n’est-ce pas ? tongue

Souhaitez-vous avoir accès à la zone 18+ ? Bien entendu !


Modèle de fiche codé par Aure et Séraphin Chantebrume



Dernière édition par Henry Duchemin le Sam 29 Fév 2020 - 19:22, édité 3 fois
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Sydonnie de RivefièreSergente
Sydonnie de Rivefière



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MessageSujet: Re: [Validé] Henry Duchemin   [Validé] Henry Duchemin EmptyMer 26 Fév 2020 - 12:55
Bienvenue parmi nous ♥

Il ne faut pas hésiter à nous solliciter Seraphin ou moi même en cas de question. Tu connais déjà le chemin de la CB, mais n'hésite pas non plus à y faire un petit coucou !

Bon courage pour l'histoire de ton personnage Amoureux
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Henry Duchemin2
Henry Duchemin2



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MessageSujet: Re: [Validé] Henry Duchemin   [Validé] Henry Duchemin EmptyMer 26 Fév 2020 - 12:59
Merci encore Sydonnie cheers

Je n'hésiterais pas si l'occasion se présente ! Et je passe tous les soirs faire un petit coucou sur la cb tongue

À bientôôôt !
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Clervie de SombreluneMilicienne
Clervie de Sombrelune



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MessageSujet: Re: [Validé] Henry Duchemin   [Validé] Henry Duchemin EmptyMer 26 Fév 2020 - 13:08
YES, bienvenue !!! XDDDD

Henry Duchemin, ou l'abruti qui aurait dû se taire à un moment donné, parce que dire du mal sur les gens, à Marbrume, ça peut être... MORTEL ! xD

Bon courage pour ta fiche, je t'attends avec impatience, cher ennemi. <3
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http://isisnight.eklablog.com/
Henry Duchemin2
Henry Duchemin2



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MessageSujet: Re: [Validé] Henry Duchemin   [Validé] Henry Duchemin EmptyMer 26 Fév 2020 - 13:15
Si tu commences déjà à insulter mon personnage d'abruti alors que je n'ai encore rien écrit, ça va mal se passer et tu finiras au bûcher aussi, Clervie :-D

Mais merci beaucoup [Validé] Henry Duchemin 1466601552
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Darius VortigernPirate - Capitaine
Darius Vortigern



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MessageSujet: Re: [Validé] Henry Duchemin   [Validé] Henry Duchemin EmptyMer 26 Fév 2020 - 13:28
Bienvenue parmi nous!
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Henry Duchemin2
Henry Duchemin2



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MessageSujet: Re: [Validé] Henry Duchemin   [Validé] Henry Duchemin EmptyMer 26 Fév 2020 - 18:14
Un grand merci Darius [Validé] Henry Duchemin 1466601552
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Séraphin ChantebrumeAdministrateur
Séraphin Chantebrume



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MessageSujet: Re: [Validé] Henry Duchemin   [Validé] Henry Duchemin EmptyMer 26 Fév 2020 - 18:30
Bienvenue à toi jeune padawan!

Je comprends la frustration de ne pas avoir accès à la totalité du forum, mais c'est surtout pour vous protéger vous et vos écrits (qui restent votre propriété) de toute intrusion extérieure. Malheureusement comme tu le devines, on a eu quelques déboires de ce côté là!

Sinon je te souhaite bon courage pour la fin de cette fiche, fais nous signe quand tu auras terminé et on viendra jeter un oeil à tout ça Wink
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Henry Duchemin2
Henry Duchemin2



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MessageSujet: Re: [Validé] Henry Duchemin   [Validé] Henry Duchemin EmptyMer 26 Fév 2020 - 20:31
C'est une très bonne raison dans ce cas, je n'y avais pas pensé, mais il est vrai qu'il s'agit là de notre propriété. Et puis, comme moi, si le forum séduit, c'est avant tout par l'ambiance qu'il dégage, donc ceux qui souhaitent venir viendront !

Merci pour cette précision, et encore plus pour l'accueil Clavier
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Sydonnie de RivefièreSergente
Sydonnie de Rivefière



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MessageSujet: Re: [Validé] Henry Duchemin   [Validé] Henry Duchemin EmptyVen 28 Fév 2020 - 18:12
Bonsoir par ici, Henry, [Validé] Henry Duchemin 1466601552

Je vais être la modératrice en charge de ta fiche, quelle fiche !! Je ne pouvais rêver meilleur joueur pour interpréter ce cher Henry, je dois bien l'admettre, j'ai pris un véritable plaisir à lire ta fiche. Première fois que j'apprécie sincèrement l'écriture en "tu" et crois le ou non, ce n'était pas chose gagné d'avance !

Alors évidemment si je devais titiller y a des petits coquilles très subtiles que je pourrais relever, mais tu as tellement fais attention à toi, tu as tellement insérer le BG, les événements marquants tout en intégrant les traits du personnage, que je n'ai absolument rien à dire. Il n'y a rien, absolument rien qui pourrait empêcher une validation d'office. Félicitations.

Je te mettrais juste en garde sur la notion de livre et d'ouvrage, qui reste très rare à l'époque et très cher, tout les nobles n'en n'ont pas, même ne serait qu'une poignée. Ceci étant dit, ce n'est pas grand chose.

Attention aussi à ne pas pnjiser le Roi ou son entourage, ils sont fermés à l'utilisation pour les joueurs dans tes rps. Ils seront uniquement incarner par le staff.

Je tiens encore une fois à te remercier pour ce plaisir de lecture ! Amoureux

❧ Je peux t'offrir ta jolie couleur bleu pétant

Pour le petit tour de la maison, tu peux commencer par faire une demande de RP en passant cette porte ou aussi répondre à une demande évidemment. En continuant la visite, tu peux si tu le souhaites créer un journal d'aventure à ton personnage, ou consulter celui de tes futurs partenaires. Par la suite, une fois plus à l'aise dans ton nouvel environnement de jeu tu peux faire un tour dans les quêtes et les missions.

Enfin, ce qui doit, j'en suis convaincue t’intéresser le plus, tu peux retrouver ta jolie carrière comprenant ta réputation, ton tableau de HF et la répartition de tes compétences et points de compétences. C'est ici que tu pourras faire tes achats avec l'XP durement gagné. (Chaque achat coûte 25XP -que tu gagnes en votant, participant aux concours/animation du forum, ou en participant à des missions/quêtes.

Ce qui peut t'intéresser également c'est le registre des familles nobles actives, pense à y ajouter ta famille.

En animation ce mois-ci tu peux retrouver :

- La soirée CB du samedi 29 février 2020 à 20h30
- L'animation cap ou pas cap ou il faut s'inscrire, bien que celle-ci semble morte dans l'oeuf, reste attentif, celle de Mars ne tardera plus non plus !

N'oublis pas que toutes tes compétences débutent au niveau 1 et peuvent être augmenter jusqu'au niveau 3. (1 étant le niveau d'apprentissage, 3 la maîtrise complète de la compétence)

Pense également à mettre tes liens importants dans ton profil (Fiche, journal et carrière)

J'ai fais le tour, je te laisse découvrir l'ensemble tranquillement, si tu as des questions il ne faut pas hésiter à passer sur la CB ou à MP Seraphin ou moi même.

Je laisse ta fiche encore accessible, si toute fois, les membres souhaitaient encore te saluer dignement ♥

Encore félicitations et je ne peux que te souhaiter, un bon jeu parmi nous Choupi
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Henry Duchemin2
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MessageSujet: Re: [Validé] Henry Duchemin   [Validé] Henry Duchemin EmptyVen 28 Fév 2020 - 21:49
Eh bien, tout le plaisir était pour moi, ravi de t'avoir fait apprécier l'écriture en "tu", que j'ai moi-même découverte il n'y a pas si longtemps. Un immense merci pour cette validation et ces compliments ! \o/

En ce qui concerne les coquilles, effectivement, la bibliothèque et le bouquin étaient des lubies. Pour le Roi, je n'avais d'autre choix que de l'utiliser, mais je ferais davantage attention dans les RP [Validé] Henry Duchemin 3871331943

Je regarderai tout ça demain, à tête reposée (j'ai un peu charbonné sur la fiche, je dois l'avouer), mais je tiens à vous dire à tous que j'ai hâte de commencer !

Une agréable soirée, et encore merci Sydonnie Tchoutchou
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MessageSujet: Re: [Validé] Henry Duchemin   [Validé] Henry Duchemin Empty
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