Comme ça tu es boulangère? (PV Marie-lune)

En cette journée plutôt pluvieuse je faisais mes rondes habituelles dans les quartiers populaires. Puisque j'avais une mission le soir même j'avais revêtue mon armure complète, mon épée ainsi que ma dague était au fourreaux et mon bouclier était dans mon dos car je n'avais pas envie de le trimbaler à bout de bras pendant toute la journée, parce que voila même moi j'avais mes limites! Alors que je me baladais dans le quartier en saluant de la tête les personnes autours de moi que je croisais je vie une jeune femme d'une vingtaine d'année qui donnais du pain au mendiant autour d'elle. Je haussa les sourcils vue que ce comportement était rare de nos jour, je pouvais me le permettre vue que j'étais de la noblesse de Marbrume, mais de voir une simple habitante de Marbrume s'occuper ainsi des démunies ainsi étaient très étrange.

En m'approchant d'elle une vielle femme vint me voir en souriant et m'informa qu'elle faisait régulièrement le tour du quartier pour donner du pain sec au démunie ainsi qu'au sans abri. Je trouvais cette pratique très noble et je me décida à aller moi même la féliciter, je me doutais bien qu'elle ne faisait pas cela pour la reconnaissance, quoi que, mais je voulais vraiment le faire, vue que en même temps j'allais m'informer de pourquoi elle ce sentais obliger. j'allais donc la voir et m'arrêter à quelques mètre et dit doucement pour ne pas l'effrayer.

Bonjour mademoiselle, j'ai remarquer votre comportement et je tenais à vous féliciter, c'est une très bonne action et je suis contant de voir que les gens s’entraide encore entre eux. Je m'inclina légèrement devant elle lorsqu'elle ce retourna je dit. Au fait je suis le Chevalier de Daragonne, enchanter.

La pluie était aussi réparateur que destructeur. Je savais bien de nombre de gens qui tombait gravement malade avec avoir eux froid. Ce qui m'inquiétais malgré tout était de savoir ou se trouvais mes habitués et mes familles que j'avais pris à la charge. Je leur donnais donc ce que j'avais à leur donner lorsqu'un chevalier s'approcha de moi.

-Bonjour mademoiselle, j'ai remarquer votre comportement et je tenais à vous féliciter, c'est une très bonne action et je suis contant de voir que les gens s’entraide encore entre eux. Au fait je suis le Chevalier de Daragonne, enchanter.

Je fus bien sans voix. Qu'est-ce qu'un noble comme lui, fait à parler à une boulangère comme moi? Je rougis, arme d'ultime défense lorsque je ne savais quoi répondre.

- Merci Chevalier, je me demande bien ce qu'un homme de votre rang viens faire ici en se temps si peux favorable? Vous êtes vous perdu? Peut-être puis-je simplement vous ramener sur votre route...

Autant qu'y-celui m'intimidais, autant que je ne pouvais m'empêcher de regarder son visage. Il était beau pour un chevalier. Même s'il n'était pas comme les autres, on pouvait facilement se rapprocher de celui-ci. Ma cape cachait encore presque la totalité de mon visage, mais je commençais vraiment à avoir froid en dessous.

- Sir, si vous l'acceptez, je vais me retirer dans ma demeure puisque sous la pluie, c'est la meilleure façon d’attraper un coup de mort.

Je reculais doucement pour m'enfoncer dans les rues sombres et peu fréquentable que j'avais habitude d'emprunter.