Olga, On peut regretter que les roses aient des épines, mais on peut se réjouir que les épines aient des roses
◈ Identité ◈
Nom : Duhamel
Prénom : Olga
Age : 21 ans
Sexe : Féminin
Situation : Naufragée Célibataire
Rang : Prostituée
Lieu de vie : Le Labourg
Carrière envisagée & tableau de départ avec les 4 PCs : (voir topic Système Rp & Xp - Carrières)Carrière de la Prostituée.
CHA : + 2
HAB : + 1
INT : + 1
Compétences et objets choisis : (voir topic Système Rp & Xp - Compétences)Compétences :
- Alphabétisation
- Commerce – Niveau 1
- Séduction - Niveau 1
- Princesse en détresse - Niveau 1
- Discernement - Niveau 1
Objets :
-
◈ Apparence ◈
La fleur de l’âge, pour cette demoiselle aux doux cheveux blonds, est peu mot dire. En effet, Olga à l’image d’une rose épanouie par un ensoleillé matin de printemps. Son visage, à la douceur gracieuse et à la mélancolique expression, est comme une invitation à la contemplation sereine.
Ses yeux d’un bleu très clair vous plongent dans un océan de tourments et de fragilité dans lequel flotte une honnêteté et une gentillesse extraordinaire. Ses pupilles vous happent pour vous emmener voguer dans la houle de son âme.
Si vous parvenez à détacher votre regard du sien, attardez-vous sur l’ensemble. D’une taille moyenne, la jeune-femme est harmonieuse, bien qu’un peu maigrichonne. Ses longues jambes sont rompues à la marche tandis que hanches portent des fesses fermes et délicatement arrondies. Souvent vêtue de robes amples resserrées à partir de la taille, sa poitrine est généreusement mise en valeur dans un parfait équilibre entre formes et discrétion. Sa grâce est un habile mélange entre subtilité et tentation.
Face à elle, vous aurez coup sur coup le désir de la consoler, de la dévêtir, de la protéger, de l’écouter, de profiter d’elle, de l’aider, de la mener en bateau, de la toucher…
Attention cependant à ne pas confondre honnêteté et naïveté.
◈ Personnalité ◈
Si la fange à eu raison de sa joie de vivre et de son enthousiasme, elle n’en demeure pas moi une jeune-femme douce et calme.
Si elle n’apprécie pas son métier et, de fait, encore moins ses clients, elle ne leur en tient généralement pas rigueur. Seuls les Dieux ont à subir sa froideur et son mépris, eux qu’elle tient pour entièrement responsable de la dégringolade de sa vie. Ils l’ont abandonné, c’est certain.
Il n’en demeure pas moins qu’Olga est une adorable enfant. Si son métier actuel est et demeure pour elle une gageure, elle accomplie sa tâche du mieux qu’elle peut. Consciente qu’il en va de sa survie, elle ne peut se permettre de perdre ce travail. Ce dernier, renforçant l’aversion qu’elle porte maintenant aux Dieux. Qu’à t’elle donc bien pu faire pour passer de son ancienne vie à celle-ci ?
Elle à ainsi lentement laissé place à la joie pour devenir chaque jour un peu plus fataliste, laissant ses rêves loin derrière elle. Adieu famille et mari, enfants et belle demeure, tout cela n’est plus qu’une irréaliste ambition pour notre charmante demoiselle.
Derrière son charmant minois, se cache donc une douleur qui, chaque soir, la pousse à sangloter sur sa paillasse.
◈ Histoire ◈
Originaire d’Hendoire, issue d’une bourgeoise famille de commerçants, Olga vivait dans des conditions plus qu’appréciables. De bonne fortune, sa famille vivait une bien belle maison et chaque nuit elle dormait dans un lit chaud et doux, un feu ronflant dans l’âtre.
Quelques serviteurs s’occupaient de leur assurer de délicieux repas et veillaient à la bonne atmosphère des lieux de vie. Son père, souvent absent par son travail, aimait à passer du temps avec sa fille et sa femme lorsqu’il le pouvait.
La jeune-femme coulait des jours heureux, apprenant différentes choses du métier de son père auprès de sa mère qui, elle, tenait et gérait le magasin familial.
Hélas, comme pour de très nombreuses personnes, tout cela fut brutalement interrompu avec l’arrivée de la fange. Ce fut aussi soudain que brutale, aussi violent que surprenant mais en l’espace d’une seule nuit, tout son univers s’écroulait.
Ce n’est que grâce à l’aide d’un serviteur qu’elle réussi à fuir la maison, laissant derrière elle sa mère dans un magasin envahie par les monstres. Un messager avait prévenu que son père attendait au port pour un embarquement sur le Firmament, seul et unique moyen d’échapper à l’horreur.
Elle arriva sur le pont du navire et retrouva son père tandis que le serviteur donna sa vie pour aider à larguer les amarres.
Deux années durant, elle sillonna donc les mers, au gré des escales de ravitaillement, trop rares selon elle et où descendre était souvent dangereux, toujours risqué. La promiscuité, les odeurs, les tempêtes, les maladies, tout cela rendait la vie difficile à bord et l’hygiène faisait cruellement défaut, à l’image de la nourriture. Son père, n’ayant réussi qu’à sauver une maigre partie de sa fortune, la voyait fondre comme neige au soleil pour subvenir aux besoins élémentaires de sa fille du mieux possible, allant jusqu’à s’oublier lui-même.
Au bout d’un an et demi, le scorbut finit par avoir raison du père d’Olga, la laissant alors seule dans ce monde dangereux. La relative solidarité à bord du navire poussa quelques bonnes âmes à la protéger de certains hommes…indélicats. Il faut dire que ses courbes, mal dissimulées par des habits de plus en plus miteux, faisaient souvent des envieux. Cette information, dégoutante au possible pour la demoiselle, s’avérera pourtant être son salut quelques temps plus tard.
En effet, les quelques maigres restes des possessions de son défunt père s’évaporèrent lors d’une escale pour lui permettre de se rhabiller correctement.
Les malheurs amenant les malheurs, peu de temps après, une brutale tempête envoya le Firmament se briser contre des hauts-fonds. Le Firmament sombra, emportant de nombreuses âmes avec lui et n’en rejetant que quelques-unes sur la côte.
C’est ainsi que la jeune et jolie Olga découvrait Marbrume, empreinte de mélancolie et de tristesse, la bourse vide et promise à un destin macabre.
De fil en aiguille, de mendicité en errance, elle apprit à s’y faire, à ce dernier rempart d’humanité. Mais lorsque venait l’heure de se sustenter, la misère dans laquelle elle se trouvait ne trouvait nulle charité, ou bien trop rare.
C’est alors qu’elle se souvient de la période où, à bord du navire, des hommes avaient proposés de payer pour découvrir les chairs de la belle demoiselle.
Dès l’ors, elle se trouva un métier, dégoutant certes, répugnant même, mais qui au moins permettait de manger.
Il lui fallut tout apprendre et, ses rares premiers clients ne furent guère satisfaits, mais de guerre lasse, elle finit par réussir à proposer des services honorables. Refusant d’être souillée par le premier homme venu, elle devient vite redoutable de ses mains et de ses lèvres.
Le dernier espoir qu’elle osait avoir et auquel elle s’accrochait, la dernière flamme qui lui restait, c’était d’avoir encore sa pureté, aussi relative soit-elle, pour l’homme qu’elle choisira.
Ce ne fut malheureusement pas bien long avant qu’un individu ne lui vol ce dernier rêve, la laissant alors glisser au chagrin et à la noirceur. Anür l’avait abandonné, pareil aux autres et son chemin devenait terriblement sombre. Elle parvenait à garder la face pour ne pas faire fuir la clientèle, mais sa jeunesse dorée était belle et bien loin, très loin derrière elle.
◈ Résumé de la progression du personnage : ◈
(Pour les anciens membres souhaitant réactualiser leur personnage, ne pas tenir compte de cette section en cas de nouvelle inscription.)
◈ Derrière l'écran ◈
Certifiez-vous avoir au moins 18 ans ? Oui
Comment avez-vous trouvé le forum ? En cherchant
Vos premières impressions ? [.....]
Des questions ou des suggestions ? [.....]
Souhaitez-vous avoir accès à la zone 18+ ? Comment je travaille sinon ?