Nom : Chastel

Prénom : Foulques, mais on l'appelle généralement Folco

Age : début vingtaine

Sexe : Pas le premier soir, enfin

Situation : Célibataire

Rang : Milicien, natif du duché

Lieu de vie : Quartiers de la milice, ces parents habitent le quartier du Port

Carrière envisagée & tableau de départ avec les 4 PCs : (voir topic Système Rp & Xp - Carrières)

Carrière du Milicien

END +1; CHA +1; INT +2


Compétences et objets choisis : (voir topic Système Rp & Xp - Compétences)

Compétences :

- [Doctrine du Culte] - Niveau 1
- [Esquive] (milice) - Niveau 1
- [Alphabétisation] - Niveau 1
- [Discernement] - Niveau 1
- [Narration] - Niveau 1


Objets :

- Du nécessaire d'écriture

- Un Gambison tout ce qu’il y a de plus classique

- Une simple lance, plus courte que la pique et plus légère que la lance d'arçon

- Une ensis / épée courte

L’apparence du garçon ? En voilà des questions.

D’une taille commune, un peu fin de silhouette éventuellement, la carrure de Foulques n’est pas nécessairement la première qui me vient à l’esprit lorsqu’on vous parle de soldatesque ou de gens d’armes. Mais enfin, il commence enfin à y travailler, s’efforçant d’accomplir quelques exercices pour développer sa chair et sa résilience à l’effort.

Folco porte sa chevelure blonde longue, parfois se donne-t-il la peine de la coiffer d’une queue de cheval tressée à l’occasion. Livrée à elle-même, négligée, taillée seulement lorsqu'ils viennent déborder sur ces épaules, l’attentif observateur pourrait en déduire quelques conclusions sur le caractère général du jeune homme. Une âme douce, peu propice aux chamailleries qui caractérise les jeunes gens de son âge, une petite souris bonne qu’à s’épanouir dans la bibliothèque du Temple lorsqu’il n’est pas étourdiment en train d’oublier l’une des tâches qu’on lui confierait.

Les traits de son visage ne sont pas plus remarquables, teint clair, yeux bleus, un nez court, pas le moindre début de trace de pilosité, ni même de grain de beauté ou de verrue, en sommes, si l’on excepte un rien d’enfance, c’est un visage jeune et sans défaut tout ce qu’il y a de plus ordinaire.

Un rien de désinvolture marque son parler, si certaines âmes promptes à l’agacement y voient une attitude badine et inconvenante, elle est surtout la preuve d’un certain état de détachement envers les choses. Celles-ci vont et viennent, comme semble le dire ces épaules détendues, son sourire sincère mais sans grande conviction et ce maintien des moins énergiques.

Festina Lente ! Hâte-toi lentement !

Mais alors, quid du caractère véritable de l’enfant ? Si je devais employer toutes mes ressources pour percer la coquille des apparences, je dirais que cette attitude de désinvolture traduirait peut-être quelques troubles, quelques difficultés quant à la marche naturelle du monde. Après tout, nous vivons dans une société où l’on nous apprend, des aurores au crépuscule, de la naissance jusqu’à l’enterrement, où tout n’est régi que par un idéal de raison et d’ordre divin. Puisse les Trois nous bénir ! Peut-être est-ce le fruit d’une vie sans grande difficulté, materné par une famille aimante et capable de voir en lui un jeune homme talentueux et prometteur, qui explique cette nonchalance et ce détachement d’esprit ? Bien des prétendus philosophes auraient à apprendre, les choses viennent et vont, rien ne sert de se chagriner. Voilà quelque chose qu’il m’aurait bien été utile d’appliquer…

Une générosité d’âme. Voilà bien autre chose indispensable pour tracer un portrait correct. Après tout, pas un instant il ne lui était venu l’idée que ces talents pourraient lui servir à s’enrichir et acquérir du pouvoir sur ces semblables. Toutes ces actions semblent n’avoir pour conséquence finale que de servir l’ordre et la société, que ce soit à une échelle globale ou individuelle. Aussi étourdi qu’il soit, sans cesse perdu dans ces pensées brumeuses, il ne cherchera jamais à vous bâcler quelque tâche dont vous le charger.

Curieux et studieux également, je le soupçonne de déduire bien des choses qu’il n’en laisse paraître. Qu’il reste prudent toutefois, la recherche de la Vérité n’est pas toujours bienvenue en temps de crise. Qu’il continue de feuilleter tout ce qui est d’intérêt et qu’il en taise le contenu aux âmes suspicieuses. Les esprits libres sont les roues conduisant cette grande charrue qu’est le duch…, le royaume de Marbrume.

Je crains toutefois qu’une telle âme, si tant qu’elle soit à son aise au sein des murs du Temple, n’en vienne à être soumise à une pression trop forte en dehors. C’est naturel pour tout jeune homme de son âge de vouloir s’envoler du nid, de se remettre en question, d’avoir soif de perspective, de vouloir briser toute les barrières, et ce n’est pas l’état de siège permanent qui souffle depuis trois ans sur Marbrume qui me ferait démentir.

Voilà donc ma grande inquiétude, qui de la fougue aventureuse, des ressources et de l’astuce de ce jeune esprit ou des terribles épreuves triompheront ?

Comment oublier la dernière fois où nous nous étions vus ? Je le revois encore, au sein de la bibliothèque du Temple, où nous avions l’habitude de nous voir. Bien que n’étant pas un membre du Temple, l’endroit m'est devenu familier. Par moment, c’était presque comme si j’étais des leurs. Lui, c’était différent, il était des leurs, enfin presque. Trop jeune encore, il avait quoi, vingt-et-un ans ? Vingt-trois ? Moins sans doute, encore un novice. Pas l’un de ces orphelins non, je crois qu’il m’avait parlé de son père une fois, un marchand de cordes, un négociant de tissu, dans cette veine là. Une famille qui se débrouille encore, avant l’arrivée de la Fange. Il était alors déjà intégré dans le cortège des jeunes aspirants au clergé. Un garçon comme lui ne pouvait que briller, une fois devenu prêtre et la fierté de la famille. De ce que j’en sais, il aurait même pu envisager la carrière de grand-prêtre un jour, s’il s’en croit capable.

Après quelques salutations de courtoisie, nous nous étions attablés à quelque endroit de la-dite bibliothèque comme à notre habitude. Je devinais bien vite qu’une envie pressante le taraudait, il voulait s’ouvrir à moi sur un sujet particulier.

M’appelant du titre de mestre, le novice exposait son souhait de quitter les ordres et de rejoindre la milice. Il l’avait dit d’une seule traite, comme s’il craignait que je ne l'interrompt dans sa résolution. Pour être tout à fait honnête, ce fut si inattendu que ça ne m’avait pas traversé l’esprit sur l’instant. Lui, un milicien ? Un soldat ? Exposé au danger ? Au risque d’une blessure, d’une infection, au froid ou aux crocs de l’une de ces goules ? Celà me paraissait invraisemblable.

Je l'entretenais alors sur sa future carrière de jeune prêtre prometteur, il me semblait apprécier ici, brillant, cultivé, précoce, et vu son âge, il ne tardera pas à obtenir ladite promotion, surtout dans un tel contexte de crise et de ferveur religieuse. Il repoussait d’un hochement de tête l’argument. Et concernant sa famille ? Celle-ci plaçait bien des espoirs en lui, bien avant même cette maudite calamité. Son père n’avait pas consenti à se séparer d’une part de ces revenus pour assurer l’éducation de son fils dans ce saint établissement ? Et que dirait sa mère ? Ou d’autres membres de sa fratrie ? Ces camarades encore ? Sa présence était donc à ce point requise pour faire l’on ne sait quoi ici, sur les murailles ou même par delà, dans le Larbret ? Mais enfin mon garçon, que voulez-vous faire dans ce maudit peloton de gens d’armes avec vos capacités ?

Il m’invitait, du geste d’une main, à baisser d’un ton, en raison des oreilles indiscrètes de la librairie. Celà me calmait un peu. Le jeunot poursuivit, m’expliquant que c’était à son tour de prendre le chemin que lui destinait les Trois. Il y aurait bien d’autres prêtres et prêtresses pour s’occuper des pauvres, bien d’autres gratte-papiers pour garnir de vieux grimoires les étagères du Temple et que son père marchand n’était pas le plus à plaindre en cette période de famine. S’il voulait s’engager, c’était justement à cause de ce potentiel en lieu qu’il se devait de mettre au service des autres. Il aurait bien plus d’occasions d’impacter sérieusement sur la vie des gens d’ici et d’au delà des murs dans un rôle d’autorité ou d’influence, et qu’étant donné la situation, la Milice lui offrait une plus rapide opportunité d’ascension que le Clergé. Avec un peu de chance, si tout échouait, il retournerait au Temple, on aurait, depuis le temps, oublier jusqu’au fait qu’il me fréquentait, moi, un mal nécessaire, un paria et un atout au sein de cette institution qui ne reconnaissait guère officiellement. Tous ces savoirs accumulés ici, toutes ces connaissances de lettrés, de religieux, de sachants, toutes ces compétences médicales qu’il accumulé encore en m’aidant à soigner les miséreux du Temple, dans l’urgence et jusqu’à ces précieuses bribes d’informations déduites à partir des rares mordus que vous avions vu passer, tout celà devait être mis à profit au sein de nos institutions. Nous avons perdu le luxe de nous perdre dans de secrètes recherches en attendant que quelque uns des rocs immobiles daigne nous écouter. Il fallait changer les institutions de l’intérieur, par l’effort, l’effort et l’effort. Devenir indispensable en tout pour amorcer les réformes nécessaires pour sauver cette cité !

Je me taisais. Il dégageait une autre attitude que celle que je lui connaissais naguère. De la détermination, de la confiance et de la certitude. Voilà quelque chose que je respecte au plus haut point. Je savais déjà que rien de ce que je pouvais lui dire ne le ferais changer d’avis. Hé, il allait jusqu’à me glisser que ce nouveau choix de carrière ne changeait rien à notre partenariat et qu’il continuerait, autant que faire se peut, à m’informer sur tout ce qu’il trouverait sur l’avancée du Royaume face à la Fange.

Si jeune et il aurait déjà eu l’occasion d’expérimenter la vie civile, cléricale et bientôt militaire. Je ne doutais pas qu’il aurait le potentiel de devenir un véritable atout. Celà sera certes à présent un peu plus compliqué pour trouver mes entrées au sein du Temple, peut-être me faudra-t-il un peu de persévérance pour trouver une autre bonne âme prête à m’assister ici, mais sa décision était prise. Que de chemins parcourus depuis que j’avais rencontré ce petit moineau, incapable d’enchaîner trois mots sans s’excuser, qui semblait se laisser porter dans le confort d’une vie que ces parents avaient décidés pour lui, droites, tel une charrue passant sur une route de terre mille fois traversés. Pour être franc, je ne connaissais pas le détail de sa vie avant notre rencontre il y a tout juste quelques années, mais un reste de sentiment un brin paternel me rendait fier du jeune homme qu’il était devenu.

Il avait grandi, en un sens…


Le physicien finissait d’encrer la page de sa chronique par la date du 24 avril 1167 alors que les derniers rayons du soleil s’éteignaient, dévorés par le lointain horizon. Un bref soupir. Allons, il était temps de clore la page à présent, une autre journée bien chargée l'attend demain. Le livre refermé, la chandelle soufflée, Lothaire Ferbois, guérisseur de son état, quitta son bureau de travail pour sa chambre, pour profiter alors d’un repos bien mérité.

Les Chastel sont une gens connue pour leur goût du labeur et de l’ambition. Fardeau après fardeau, le père Chastel s’était forgé une carrière dans le négoce du textile, gravissant chaque étape à la force de ces bras. Qu’importe son illettrisme, son géniteur disparu on ne sait où et sa petite fratrie à charge, tout obstacle n’était rien d’autre qu’un rocher à gravir pour atteindre la sécurité matérielle. Mariage, carrière, réputation au sein du quartier et de la guilde, le père Chastel calculait tout pour que plus jamais l’un des siens ne connaisse la disette.

C’était donc non sans une constante pression qu'a été élevé le jeune Foulques. Toujours faire meilleur que les autres, toujours réfléchir avant d’agir stupidement, toujours, toujours et toujours faire les choses correctement. L’échec n’était pas envisageable. Son enfance n'a pas été un cauchemar toutefois, bien des fois son père se montrait le plus aimant du monde et le reste de sa famille savait lui témoigner un amour inconditionnel.

Son parcours lui avait été tracé, il deviendrait prêtre, peut-être un officiant du culte, un rebouteux ou encore un scribe, une carrière lui assurant une sécurité financière et une plus-value sociale. L’apprentissage de l’écriture et de la lecture faisait de ces privilèges qui lui avaient été accordés, de petits copistes venant lui professer de modestes bases. A partir de là, Foulques n’avait plus le droit de se plaindre pour son paternel, il recevait un privilège inconnu de la majorité du tiers-état. Il fallut bientôt lui quitter la demeure familiale et emménager enfin au Temple.

Tout était bon pour en faire un prêtre prometteur, le brave Folco avait appris très vite à se montrer studieux, discipliné, charmant ces professeurs par sa vivacité d’esprit. Il devait réussir, pour son père, pour sa famille et pour lui-même. Pour dire vrai, la Fange n’avait que peu bousculé sa personnalité. Il s’agissait toujours de se battre pour ne pas avoir à survivre et dépérir. A mesure que les besoins de la populace et le manque de moyen du Temple se faisait sentir, l’aspirant clerc devait aussi donner du sien. Assister les prêtres officiants aux cérémonies rituelles, aider pour les tâches de tous les jours, aider à soulager les malades dans l’aide consacré aux soins et enfin donner du sien dans les archives de la bibliothèque, entre conservation des documents et travail de copie.

Entre tous ces aller retours, il n’as pas fallu longtemps pour qu’il rentre dans l’orbite du rebouteux, Lothaire Ferbois, un intéressant individu aux motifs obscurs. Un guérisseur, habitué à donner un coup de main au Temple. Folco l’aidait pour ces innombrables recherches, lui procurant les ouvrages dont il avait besoin pour percer les mystères de la Fange. Autour de lui, les gens commençaient à le voir différemment. Pourquoi diable un si bon aspirant se compromettait ainsi avec une figure aussi trouble ? Foulques n’aurait probablement pas su bien le dire, peut-être que Ferbois lui procurait un on ne sait quoi de fraîcheur et de liberté, une possibilité de reprendre le contrôle pour un jeune marbrumien vivant dans une société luttant pour ne pas sombrer dans le désordre.

Cette sensation d’enfin commencer à prendre des décisions propres, non dictées par le chemin tracé par son patriarche, insufflait une volonté nouvelle d’indépendance chez le jeune clerc. La proclamation du couronnement du duc de Marbrume en tant que Roi n'a fait qu’accompagner cette résolution. Les marbrumiens n’avaient plus de secours à attendre de qui que ce soit, ils devaient remettre eux-mêmes rétablir l’ordre au sein de leur univers. Le Roi se proposait ainsi de le faire, et les différents corps de la société en faisaient autant. Leur monde s’était rétréci, et pour un jeune homme élevé dans l’idée qu’il devait faire carrière et imprimer sa marque, ces pensées l’ont peu à peu amené à considérer une autre voie.

Peu à peu, les murs du Temple lui semblaient étouffant, son aisance à l’écriture et le plaisir pris à lire lui-même quelques-uns des ouvrages consultés par l’hermétique Lothaire ne lui procurait plus la moindre brise d’air fraîche à inspirer. Il fallait à Folco quelque chose de neuf, une autre perspective de carrière, quelque chose d’autre à faire que d’épousseter les pages de quelques manuscrits poussiéreux à copier. La Milice lui est venu en premier.

Après des semaines de doutes, cette certitude que seule cette institution lui permettrait de lui offrir suffisamment de pouvoir changer les choses, à une échelle plus grande qu’il ne le pourrait en étant gratte-papier ou officiant dans le Clergé. Foulques avait besoin d’action, de changement, de progresser et de voir qu’effectivement il arriverait à faire changer les choses. Et les choses changeraient plus sûrement dans un corps neuf composé de tous les jeunes gueux et gueuses qu’au sein de cette institution pluriséculaire qu’était le Temple où le dogme et l’immobilité était tout.

Si Lothaire Ferbois, ce père de substitution laissant derrière lui un parfum hérésiarque, ne s’opposait pas à ce choix de carrière, son véritable père, lui, avait perdu toute contenance. Le Père Chastel ne l'accompagnerait pas dans cette folie, s’il voulait se montrer capricieux après tant de bonnes dispositions prises à son égard, et bien soit ! Il n’était plus son fils. Qu’il aille donc se faire étriper au sein de la Milice ! Et que la maigre pitance qu’il recevra comme salaire lui fasse prendre conscience des efforts que son père a déployés pour lui !

L’échange avait été rude pour le jeune homme, Folco ne s’attendait pas à être aussi secoué par la violence des imprécations énoncées. Mais sa résolution avait été prise, Foulques serait milicien. Qu’importe sa crainte de l’extérieur, son détachement, sa fragilité, c’était plus fort que lui, il voulait sortir de l’ombre de son père et tracer sa propre voie, quitte à le regretter amèrement. Parce qu’il en était de sa vie et celle de personne d’autre.

Naturellement, les premières semaines au sein de la milice avaient été dures. Ces poumons semblaient brûler sous l’effet de l’entraînement physique et le passage du confort des chambres du temple au dortoir de la milice était loin d’être évident. Il se forgerait le corps qu’il faut pour repousser la Fange et pour gagner le respect de ses camarades. Mais en même temps, son talent dans le convoité art de l’écrit lui attirait des sympathies dans cette Milice, depuis que l’on avait décrété par édit de décembre 1166 rendant obligatoire l'alphabétisation parmi ces pairs. Apprendre en particulier la pénurie d’enseignants et d’érudits au-delà des murs au détour d’une conversation anodine ne tarda pas à piquer l’intérêt de Foulques. C’était comme un alignement des astres, son besoin de liberté et ces présentes compétences se conjuguaient parfaitement, que Rikni soit louée ! Le temps de finir sa formation d’usage, une dernière embrassade auprès de ceux de sa famille qui acceptait encore de le voir, de s'enregistrer et le voilà parti en charrette pour rejoindre Anür sait quel campement là dehors. Il n’avait plus qu’à prier les Trois et sa bonne étoile pour ne pas avoir à regretter son choix.

(Pour les anciens membres souhaitant réactualiser leur personnage, ne pas tenir compte de cette section en cas de nouvelle inscription.)

Certifiez-vous avoir au moins 18 ans ? Un peu, mon n’veu !

Comment avez-vous trouvé le forum ? Je suis surtout un ancien membre, ce bon vieux Lothaire Ferbois.

Vos premières impressions ? ça n’as pas changé, j’ai l’impression d’avoir laissé le forum tel quel il y a un an. Enfin, je verrais bien.

Des questions ou des suggestions ? Pas vraiment.

Souhaitez-vous avoir accès à la zone 18+ ? Bien sûr.