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 Wirostang d'Engoulevent - Le Molosse .

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Wirostang d'Engoulevent



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MessageSujet: Wirostang d'Engoulevent - Le Molosse .   Wirostang d'Engoulevent - Le Molosse . EmptyMer 9 Mar 2016 - 16:41




Wirostang d’Engoulvent




Identité



Nom : Du Plessis d’Engoulvent.
Prénom : Wirostang
Âge : 37 ans
Sexe : Masculin
Rang : Milicien
Carrière envisagée & tableau de départ avec les 4 PCs : carrière de l’assassin
+1 INT
+1 CHA
+1 PAR
+1 ATT

Compétences et objets choisis :
CORRUPTION - TORTURE - AMBIDEXTRIE- MORT SILENCIEUSE -

-1 épée courte
-1 main gauche
-1 Broigne
-1 paire de jambières de cuir

Physique


Wirostang est un gaillard dans la pleine fleur de l’âge. Robuste et solidement bâtit, il en impose tant par son mètre quatre-vingt et ses quatre-vingt-dix kilos que par sa mine patibulaire et renfrognée. Sa mâchoire large, ses maxillaires imposants et sa fine bouche souvent tordue d’une expression austère, renforcent encore cette impression de virilité brute et massive. Loin d’être un dandy, il préfère la netteté et la rigueur clairsemée d’une taille de cheveux si courte que seul un halo plus sombre sur son crâne massif laisse supposer qu’il n’est pas tout simplement chauve. Quoi qu’au final cela donne sensiblement le même résultat.
Ce visage taciturne et bourru se fend parfois de sourires grinçants et carnassiers qui, pour ceux qui ne sauraient les interpréter, sembleraient lui donner des airs plus légers et débonnaires. Mais qui sont bien plus souvent des éclats de cruauté ou de cynisme. Certes Wiro est capable de rire et même de franchement éclater d’une hilarité tonitruante, sa voix racassant alors de sa caverneuse tessiture de stentor et ses yeux d’un vert d’eau brillent alors d’une fougue aussi fascinante qu’inquiétante.
Pour ce qui est de son accoutrement, Wirostang opte une fois encore pour la sobriété ténébreuse de toilettes solides et martiales. Portant plus souvent le cuir et l’acier façonnés que la pelisse ou le pourpoint. Ainsi bénéficie-t-il d’une mise sobre mais de bonne facture et indéniablement taillée pour l’aisance de mouvements favorables à l’accomplissement de bottes secrètes ou d’infiltrations discrètes.

Personnalité



Wirostang d’Engoulvent est un bâtard, un rejeton que l’on n’aurait jamais souhaité voir naître mais dont il fallut s’occuper malgré tout. Alors tant qu’à avoir un corniaud autant s’en servir. Ainsi acculé au rôle de manœuvre et de serviteur de basse-besognes par sa condition de fils illégitime, Il fut élevé comme un chien de garde, de chien d’attaque, de chien servile … faisant le sale boulot que son père lui refilait, sans rechigner, cherchant à être enfin aimé par son manipulateur de maître.
Certes lui furent également enseignés les rudiments de l’étiquette due au rang d’un « fils de bonne famille » et il s’en accommode encore aujourd’hui avec l’habileté d’une verve élaborée mais raisonnant d’un cynisme désabusé et rude, pour ne pas dire cruel. Néanmoins toutes ces flagorneries pompeuses et torses ne sont pas de ses affinités particulières bien qu’il aspire à se hisser dans les sphères d’une société où les jeux de dupes et les intrigues de cour sont monnaies courantes. Certes il sert avec efficacité ses affectations régulières dans les divers quartiers de la ville puisqu’il est officiellement membre de la Milice de Marbrume. Mais Wirostang est bien plus un homme de l’ombre, qui accomplit ses ambitieux desseins de manières vindicatives, illégales et souvent violentes. Il donne alors le change d’une respectabilité filiale et professionnelle qu’il affiche dans cette attitude fermée et froide que l’on attribuerait volontiers une fierté et une virilité excessive. Mais qui révèle en vérité de l’intrépidité émotionnel d’un écorché vif, d’un rejeton rejeté et rageur qui se laisse pousser les ambitions et les dents pour parvenir. S’élever socialement, acquérir une pleine légitimité nobiliaire et être considérer comme un notable à part entière, voila ce que son ses objectifs. Il a été dressé comme un assassin, comme un mâtin de bourreau. Il n’a pas de scrupules, pas de remords, pas de mauvaise conscience qui le tourmente. La torture et la souffrance c’est son boulot … Tout ce qu’il lui faut pour réussir, il l’a. De l’ambition, un esprit vif, avide et le courage de se prendre par les couilles pour évincer d’une manière ou d’une autre tous ceux qui se mettraient en travers de son chemin. Il a été fait brutal et vicieux … il se sert de ce qui lui a été appris.
Wirostang d’Engoulvent est un discret mais efficace artisan du crime. Déterminé, il est intransigeant et volontaire quand il s’agit de claquer quelques péquenots mauvais payeurs, et d’un sournois redoutable quand il d’agit de faire passer de vie à trépas tel ou tel indigent. Rusé et retords, il est très attentif aux détails, surtout quand ses actes ne doivent laisser aucune trace ni indice qui permettraient de l’incriminer. Cette discrétion et cette diligence dans l’exécution de ses tâches ingrates sont devenues des traits de personnalité. Il ne brille pas tant par son charisme inquiétant ou par son éloquence de tranche-dans-l’vif, que par cette abnégation de vilenie et cette funeste célérité.
Et tout ça dans l’espoir inconscient d’un jour être plus puissant et influent que son père … Tout juste ce butor-ci admettrait-il du bout des lèvres et les dents serrées, qu’impressionner et rendre fière de son bâtard son despote de père, lui apporterait la satisfaction d’être reconnu et aimé par celui qui l’a toujours mésestimé. Mais après tout ce temps, peut-il ne serait-ce que l’espérer ? Est-ce encore possible ? Fort peu probable car Les rapports entre le père et le fils n’ont cessés durant toutes des années d’être inscris sous l’égide de l’instrumentalisation, de la convoitise du pouvoir et de l’argent. Mais « le fils indigne » s’accroche illusoirement à cet espoir d’affection filiale.
Wirostang est abrupte et cinglant avec ses contemporains en général, mais plus particulièrement avec Blanche, sa femme, qu’il considère d’un paternalisme protecteur misogyne et possessif. Le blessant de son franc-parler envers elle n’est plus à démontrer. Si elle fait quelques choses travers, il ne prendra pas de pincette pour le lui faire savoir. La galanterie ? Non il ne connait pas ... enfin si, mais il n’en a cure. Ou du moins n’en userait-il qu’en cas de charme feint et de calcul manipulateur.
Epouser blanche - cette fille de noble qui certes lui tapa dans l’oeil, bien qu’il soit capable de vous affirmer ironiquement « qu’elle lui fait peur parfois tant il la trouve repoussante »… c’est beau autant de mauvaise foi - Mais c’était aussi bien un calcul d’élévation social que l’acquisition d’un faire-valoir en corset pour adoucir se couche. Il faut dire que même s’il la préserve tant faire se peut de ses propres activités criminelles ou miliciennes, cela ne se fait qu’au prix de la confiance qu’il lui accorde et de la complicité subtile et tempétueuse qui les unis. Blanche est en quelques sorte son pendant pacifiste et sociable. L’amour vache et râleur qu’il lui porte est une forme de ciment cohésif entre sa brutale avidité opportuniste et son cruel manque d’affection.

Histoire



Wirostang d’Engoulevent est une erreur de coucherie, « un imprévu encombrant et braillard » comme le confessa à l’époque son père, Sigismond du Plessis d’Engoulevent. Chevalier et baron, Sigismond était coutumier des coups de reins occasionnels qu’il espérait toujours inconséquents. Mais cette grosse lavandière qu’il culbuta une fois de trop par une chaude journée d’été , donna le jour à un fils qu’elle s’empressa de faire baptiser sous le nom de son illustre géniteur ( agissant de la sorte à contre courant des recommandations du Sir d’Engoulevent qui eut préféré ce lardon rosâtre fusse abandonné aux bons soins des religieuses du temple, ou au fond d’un puits. Qu’importe ). Ce noble queutard fut prit de court et ne put empêcher ni démentir la chose. Il eut été alors plus simple mais fort cru d’étouffer « ce petit problème » avant qu’il ne devienne trop grand. Le petit être innocent, déjà condamné par ce père indigne, ne dut sa survie qu’au tempérament pusillanime du coureur de jupon et à l’amour maternel. Il laissa donc vivre l’enfant sous le giron de cette servante mais s’en désintéressa totalement. Le petit garçon passa donc son enfance au château familiale plus comme un rejeton que l’on coltine aux tâches subalternes du petit personnel que comme un véritable fils que l’on fait grandir dans l’estime de soi. Sa mère qui s’éteignit terrassée par une angine de poitrine laissa le garçonnet sous la seule coupe froide et autoritaire de son père.

Sigismond, véritable despote paternel autant que nobiliaire, trouva finalement un aspect positif ou du moins profitable au fait d’avoir un bâtard à charge et à disposition. Il pouvait user à sa guise de l’innocence et de la confiance que l’enfant lui portait. Peu à peu et quand le garçonnet n’était pas aux enseignements fondamentaux de son précepteur, Le père le forgeât à la dure le tempérament de son bâtard. Il le contraignit à être cruel et décisif, tout en lui obéissant au doigt et a l’œil. L’emmenant à très jeune à la chasse, exigeant de ce gamin qu’il acheva d’un coup de dague en plein cœur les grands gibiers quand sonnait l’hallali au clairon de son père. Le forçant à goûter le sang, à mordre le foie, à assister de ses yeux grands ouverts à la curée des limiers qui déchiquetaient la carcasse de venaison. Wirostang supporta et dut s’accommoder de la perversité insidieuse de son père qui corrompit son âme d’enfant. La muant en une rage et une avidité vorace arrivée à l’adolescence. Ainsi, d’années en années, Sigismond transforma son fils illégitime, son encombrant rejeton, son « parasite de sang», en outils redoutable et mut par une servitude filiale qui ne semblait n’avoir de limite que l’imagination et les manigances du Sir du Plessis d’Engoulvent.

Quand le chiot devint un jeune loup plus solide et débrouillard, son suzerain de père lui confia des tâches plus illégales mais toujours faisant écho à cette violence et cette brutalité. Tantôt pour exiger manu militari le règlement des dettes que certains péquenots ou autres petits nobles contractaient auprès de la fortune du paternel. Mais aussi pour passer par le fil de l’épée les indigents qui disconvenaient de trop au vieux sir. Pour sa part, Wirostang en tirait personnellement le profits d’un assouvissement sadique et vindicatif.

Ces extorsions peu scrupuleuses et leurs méthodes expéditives s’interrompirent quand Wirostang répondit à la conscription qui frappa à la porte de ses seize ans. Quinze années durant, le jeune homme finit de s’endurcir et d’affiner son maniement des armes aux régiments ducaux. Quelques conflits, quelques batailles, de nombreux massacres et un enfer entier de tortures composèrent la carrière militaire de l’appelé qui enquilla les affectations tant cette vie trépidante et sanguinaire lui était « agréable ». Cela dura jusqu’aux temps de la réforme et de la « retraite ».

Sigismond, ce vieux vaisseau d’orgueil, usa de ses relations et de son influence pour que celui qui portait son nom, et qu’il n’admettait être de sa famille que du bout des lèvres, puisse intégrer à la meilleure corporation de l’ost du Morgestanc. Sa seigneurie n’aurait jamais toléré que son nom soit associé à un grade de planton ou une fonction de vulgaire piétaille.

Ainsi Wirostang, récemment revenu de campagne avec un grade d’officier de cavalerie, tailla sa dernière quille et passa ancien combattant … un cursus qui lui octroya avec l’appui du pistonnage paternel, d’accéder au grade de Coutilier. Sigismond aurait pu directement le faire nommer Sergent sans grande difficulté. Mais n’accordant qu’un crédit relatif à la subtilité et à l’art du commandement de son chien méchant de fils, Il jugea plus prudent de le cantonner à un grade de moindres responsabilités. Tout était un calcul d’intérêts et de positionnement de pion sur l’échiquier d’influence du petit monde de Sieur Sigismond d’Engoulevent.

Apres quelques mois d’adaptations et de prise en main de son rôle et de ses attributions au sein de la Milice, Wirostang recommença à servir parallèlement les intérêts crapuleux de son père. Mais la donne avait changé. Il n’était plus uniquement assujetti aux seules prérogatives du despote vieillissant. Wirostang n’était plus ce fils malléable et crédule qui obéissait et surinait sans vergogne pour le compte du Comte. Il avait ses propres ambitions désormais. Et le molosse ne comptait plus se contenter des restes que lui concédait son paternel de Maître. Wiro aspirait à s’élever socialement et à être officiellement reconnu comme le fils « prodigue » et glorieux. Mais pour cela il lui fallait légitimer la fondation d’un foyer et l’intention de rendre pérenne le pouvoir et la respectabilité officielle de son nom de famille. Un mariage s’imposait alors à lui pour y parvenir.

C’est à cette fin qu’il profita d’une aubaine qui se présenta et que le trentenaire milicien soumit à son père comme une requête promotionnelle, impérieuse et salutaire :

Il y avait parmi la petite noblesse débitrice et redevable de la fortune de la famille d’Engoulevent, une autre noble lignée à la solvabilité vacillante et dont le sursit touchait au terme d’un énième report de paiement. La Famille Brisécumes. Le père de famille avait de nombreux fils et une fille, la seule d’ailleurs, jeune et fort jolie qu’il n’avait pas encore mariée. L’imposante canaille avait remarquée la donzelle lors d’une visite de relance et projeta de la courtiser … enfin d’obtenir l’aval parental tout du moins. Le flirt et la galanterie n’étant définitivement pas de ses talents. En temps normal, Roland Brisecume se serait officiellement opposé à une telle union. Préférant comme tout bon père aimant que sa fille s’unisse d’un amour sincère avec l’élu de son cœur. Mais ses dettes et la menace qu’elles représentaient sur le nom et les terres de sa propre famille le poussèrent à accepter la proposition que lui fit le vieux renard. « Mariez votre fille à mon fils et j’effacerai votre dette, dans son intégralité » … Après tout, les d’Engoulevent étaient une famille réputée et puissante. S’allier leur influence en effaçant l’ardoise et en mariant enfin son unique fille … c’était une aubaine qu’il ne mit pas longtemps à accepter.

Un mois plus tard, les futurs mariés n’ayant fait que se croiser subrepticement sans jamais réellement avoir le temps de faire plus ample connaissance, se retrouvèrent enfin seuls et au secret d’une première entrevue. Wirostang eut-il imaginé qu’il était aussi simple de prendre épouse et de « trouver l’amour » ? Probable puisqu’il eut la déconvenue de n’éveiller aucune affection ni aucune attirance chez la jeune Blanche. A vrai dire, en bon ours mal léché, Wiro se montra suffisant et peu délicat avec sa fiancée. Ce premier rendez-vous fut un echec. Mais qu’elle fut ravie de la mise de son futur époux ou pas, Wiro, pour sa part s’en balançait pas mal. Le sentiment d’amour n’était pour lui un simple détail, une éventualité subsidiaire en rien indispensable.
Marier cette « gamine » était un levier social. La pierre indispensable à la construction d’un véritable statu nobiliaire, avec femme, richesses, pouvoirs et propriétés. Le rêve d’un homme de rien qui voulait tout …

Mais comme si le mal attirait le pire, quelques semaines après ces noces dissonantes, la Fange s’abattit sur les terres qui entouraient Marbrume. Wirostang qui y possédait un hôtel particulier (appartenant toujours à son père ; Ce vieux serpent n’abattant jamais toutes ses cartes) put offrir à sa jeune épouse un foyer digne de ce nom même si la crise sociétale qui acculait les Marbrumois à tous les étages de la société contraignait résidents et immigrés à la promiscuité d’une surpopulation fourmillante.

Wirostang eut, malgré la rudesse soupe-au-lait de son caractère, la présence d’esprit d’offrir à sa femme, un animal de compagnie en guise de présent de mariage. Un chien. Un chiot berger de Marburme pour être plus exact. Sans doute espérait-il que la bestiole apporterait une forme d’exutoire à l’attitude parfois « hystérique » que Blanche avait à ses yeux. Et puis il devait bien le reconnaître. Il avait un peu craqué lui-même en cueillant de sa grosse pogne cette petite boule de poils noirs dans le panier oui elle couinait avec ses frères et sœurs. En grandissant, espérait-il, le molosse qu’il deviendrait un gardien non-négligeable sous son toit quand il devrait s’absenter.

Tout rustre misogyne, arriviste peu scrupuleux et homme d’arme sadique qu’il était, Wiro n’en était pas moins un homme capable d’être par touché la personnalité de sa femme et la fidélité de son chien. Mais au sein du couple, les relations d’apprivoisements respectifs étaient ardues. Les deux époux possédants des caractères forts, les scènes de ménage et les mots acerbes devinrent une forme de lien affectif particulier entre eux. Car bien qu’ils soient capables de se pourrir réciproquement l’existence. C’est dans cet amour vache et maladroit que s’installa leur mariage.
Wirostang d’Engoulevent, molosse d’attaque de son père, chien de garde de la Milice, chien de meute taciturne en sa tanière. … des dents longues et une morsure redoutable. Wiro est un loups à gueule entravée qui cherche à ronger ses chaînes pour dévorer le monde.

Soi réel




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MessageSujet: Re: Wirostang d'Engoulevent - Le Molosse .   Wirostang d'Engoulevent - Le Molosse . EmptyJeu 10 Mar 2016 - 14:19
Re bienvenue parmi nous, et encore une fois bravo pour la fiche.

Je n'ai rien à redire, si ce n'est le choix de carrière choisie comme certains l'avaient fait remarquer sur cb. Après lecture de la fiche je ne vois pas ce qui justifie la carrière de l'assassin, Wirostang étant un milicien engagé depuis plus de 15 ans dans la milice ducale, même s'il a quelques actions illégales à côté son métier principal qui lui prend toute sa vie reste celui de milicien.

Aussi la carrière de l'assassin ne te sera pas possible.
Tu peux en revanche aspirer à compléter la carrière du noble guerrier, désormais que tu t'es marié à une noble et que tu as obtenu le statut de sang bleu. A toi de me dire ce que tu préfères : carrière du coutilier ou carrière du noble guerrier !

En attendant je te valide et te donne ta couleur, la carrière sera juste ouverte ultérieurement. De même pour la couleur, je te mets celle du bleu vu que tu es désormais noble, mais si tu préférais le vert pour mieux marquer ton rôle de milicien ça sera tout à fait changeable.
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MessageSujet: Re: Wirostang d'Engoulevent - Le Molosse .   Wirostang d'Engoulevent - Le Molosse . EmptyVen 11 Mar 2016 - 11:08
hello!

Et bien s'il est possible d'avoir la carrière de Noble guerrier (puisque c'est objectif social) et d'afficher la couleur verte du Molossien Milicien coutillier (puisque c'est son quotidien et son activité principale) je pense que cela fera une balance honorable entre ses activités professionnelles (et criminelles) et ses ambitions sociales.

Merci ! :)
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MessageSujet: Re: Wirostang d'Engoulevent - Le Molosse .   Wirostang d'Engoulevent - Le Molosse . EmptyVen 11 Mar 2016 - 14:09
Pas de soucis je te fais ça !
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MessageSujet: Re: Wirostang d'Engoulevent - Le Molosse .   Wirostang d'Engoulevent - Le Molosse . Empty
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