Ils t’ont repéré, tu avais été trop bruyant. Tu t’étais mis le pied dans le tapis, tu n’avais pas vu l’objet à côté de toi. Tu te l’avais pris dans les cotes, tu laissa un petit son de douleur s’échapper de sa bouche, l’objet tomber par terre dont le bruit alerta les gérants de la petite épicerie.La panique et la peur te montèrent de suite à l’esprit T’avais été pris la main dans le sac, tu les en tu devais filer au plus vite. Il ne fallait pas te faire attraper ou reconnaître, tu risquerais de finir en cellule voir pire..
Tu t’empressa de mettre des petits objets dans l’une de ses grandes poches de pantalons, histoire de ne pas partir les mains vides, de te glisser par la fenêtre. Tu devais filer, tu devais te dépêcher, le temps jouait contre toi. Les rues étaient presque vide, c’était à double tranchant : tu pouvais courir vite mais on pouvait te reconnaître si facilement. T’avais pas le temps de réfléchir à un plan B ou une solution mature et posée, tu fonçais la tête baissée, tu courrais en ligne droite. Tu avais une bonne endurance pour ton age mais la vitesse était à revoir, tu étais à deux doigts de te faire rattraper. Tu pouvais entendre leur pas derrière toi, sentir leur présence menaçante.Tu lâcha un ou deux jurons, tu t’empressa de tourner dans la prochaine ruelle pour en reprendre une autre. Sur ton chemin, ce qui te sauva la peau, tu parvint à passer par dessus un portail assez haut pour continuer sa route.
“merde”
L’instinct de survie, ou la stupidité, te poussa à te précipiter à l’intérieur du premier bâtiment où la porte était restée ouverte. Tu tomba sur un petit couloir sombre avec deux ou trois appartement.t’empressais d’ouvrir toutes les portes du rez de chaussé dans l’espoir de pouvoir se cacher dans une pièce. Une porte s’ouvrit, tu te dépêcha de rentrer, de refermer derrière toi. T’avais eut chaud aux fesses, été a deux doigts de la catastrophe. T’aurais pu y passer ce jour la, t’en avais pleinement conscience ce qui te provoqua ce profond soupire. Tu fus vraiment soulagé d’être arrivé à les semer.
Tu finis dans un petit studio, une curieuse petite pièce ou il y avait un lit, une commode, une grande armoire et d’autres objets assez intéressant. Tes instincts de voleur revenaient aux grands galops, tu fis le tour de la pièce, pris quelques objets qui t’avaient pensé être de valeur dans la poche..
“ et merde “
Un bruit, une porte qui s’ouvre, tu pris le dernier objet avant de te jeter sous le lit de l’inconnu qui venait d’entrer chez lui. Sous le lit, tu découvris une belle jeune fille au cheveux d’or.
“ .. aie !”
Tu avais voulu filer en douce or tu t’étais cogné le petit orteil contre l’un de ses maudits pieds de lit et ça t’avait fait très mal sur le coup. Tu couina, sautilla sur place, lança des jurons incompréhensifs dans sa barbe
“ ah.. Oui attends, je t’explique “
Impossible d’y échapper, elle était devenant toi. Tu lui devais des explications.
“ Je.. Je me pe.. Des gens me poursuivent, je dois me cacher”
Ce faire passer pour la victime te semblait être la meilleure et seule solution pour gagner sa compassion voir sa confiance.