Marbrume


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 Cassandra Vitalis [Validée]

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Cassandra VitalisGuérisseuse
Cassandra Vitalis



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MessageSujet: Cassandra Vitalis [Validée]   Cassandra Vitalis [Validée] EmptyMar 2 Juil 2019 - 11:39





Cassandra Vitalis, Vivre est une question de volonté.




Identité



Nom : Vitalis née Silgarde

Prénom : Cassandra, Eugénie, Isabelle

Age : 29 années

Sexe : Féminin

Situation : Veuve.

Rang : Cassandra vit au village de Usson où ses occupations se partagent entre sa charge de guérisseuse , son potager et ses herbes médicinales, la fabrication de ses onguents et les travaux des champs.

Lieu de vie : Usson – une vieille ferme attenante à une grange qui offre également un abri en hauteur et une cachette uniquement accessible par une échelle, en cas d'attaque de Fangeux

Carrière envisagée & tableau de départ avec les 4 PCs : (voir topic Système Rp & Xp - Carrières)

Carrière de la guérisseuse

FORCE : 8
ENDURANCE : 8
HABILITE : 8+1
CHARISME : 8+1
INTELLIGENCE: 8+2
INITIATIVE : 8
ATTAQUE : 8
PARADE : 8
TIR : 8
NA : 8
PV: 8

Total : 64


Compétences et objets choisis : (voir topic Système Rp & Xp - Compétences)

Compétences :
- Chirurgie
- Connaissance végétale axée sur les simples
- Pathologie
- Fabrication de potions

Possessions :
- 2 robes en tissus, tabliers, sous-vêtements, laines et bas pour tous les jours
- 1 sac à simples
- 1 nécessaire médical hérité de ma mère pour les instruments (onguents fait maison, aiguille à suture, bandages, bistouri)
- 1 serpe pour la cueillette des simples
- 1 surin glissé dans ses bas pour les cas d'extrême urgence.
- quelques économies glissées dans un bas sous son matelas



Apparence


Cassandra est encore une femme avenante, avec son regard gris et franc, sa silhouette haute et svelte quoique déliée par les travaux de la ferme. A ses yeux, son seul atout serait sa longue chevelure ébène qu’elle aime natter et dissimule trop souvent sous une coiffe sage telle que l’exige la bienséance. Mais se serait résumer trop étroitement son charme discret et sans apprêt, malgré les quelques ridules qui se forment au coin de ses paupières, l’ovale de son visage légèrement halé par le soleil, ses mains fines et délicates pour une fermière. Si elle n’est pas belle à proprement parler, elle n’est pas dénuée d’une grâce légère et feutrée lui donnant une aura de douceur.

Quoiqu’il en soit, à la voir déambuler au sein du village, portant sur sa tête sa charge d’eau alors qu’elle s’en revient du puits, on ne peut que noter le chaloupé de sa démarche presque aristocratique qui laisse indubitablement transparaître des origines moins populaires que le laisse à penser sa robe propre mais usée et son tablier taché.


Personnalité


Cassandra est une femme qui ne se laisse pas facilement abattre. Sous un caractère agréable et policé, elle est tenace, les pieds bien ancrés dans la réalité et ne s'en laisse pas conter facilement. On dit généralement d'elle, qu'elle est chaleureuse, bienveillante mais elle sait aussi faire preuve d’une grande franchise rarement tempérée de diplomatie, sauf lorsqu'elle pratique son art.

Au fond, Cassandra, bien qu'elle regrette sans aucun doute sa vie d'avant ses épousailles et de l'arrivée de la Fange, accepte avec une certaine philosophie sa destinée. Elle ne cherche ni à retrouver son statut contrairement à son frère, ni à renouer avec un homme, sa position de veuve et de guérisseuse dans Usson lui offrant une certaine liberté malgré l’absence d’un mari. Elle se contente de ce qu'elle a, de survivre tout en éprouvant tout de même une pointe de fierté quant à cette petite renommée qu'elle se taille jour après jour au cœur du territoire.

Quant à sa vision de la Fange, la guérisseuse voit en elle un mal incurable mais en aucun cas le châtiment de la Trinité. Quels Dieux pourraient souhaiter à leurs ouailles un tel fardeau ! Si elle n’est pas des plus pieuse, elle ne délaisse pas pour autant les autels de la Trinité, quelques offrandes lorsqu’elle le peut, et des prières pour les malades qui lui sont confiés.

Il faut noter également que de son périple jusqu’au Labret lors de sa reconquête, des combats, de la peur, du désespoir, Cassandra ne se souvient que de peu et a occulté ces souvenirs atroces. Elle revit cette période, cet exode au travers d’un brouillard post traumatique, qui parfois se délite pour laisser apparaître, dans certaines circonstances, les contours de l’horreur qu’elle a traversé avant son installation dans l’une des fermes.



Histoire


Je n’ai pas toujours été une paysanne, une guérisseuse vivant de son labeur et de sa sueur. Non… avant je vivais à Marbrume, dans une jolie propriété bourgeoise, avec une chambrière pour beurrer mes tartines et m’aider à me vêtir, des amies dont les seuls sujets de conversation tournaient autour de robes et fanfreluches, de mariage ou d’enfants futurs. Ah… me souvenir de cette époque révolue m’attache à un passé que je dois oublier pour continuer de vivre. Et pourtant… si je suis ici, toujours en vie, toujours libre et non une souillon vendant son corps au plus offrant, je le dois à ma Mère… à son éducation.

Mon père, marchand de tissus précieux, était un membre de la bourgeoisie et propriétaire d’une belle échoppe dans les quartiers nobles de Marbrume. Pour autant que je m’en souvienne, les étoffes soyeuses, la soie chatoyante, le velours profond envahissaient les étals sous les rubans de satin suspendus et il régnait, entre ses murs, une atmosphère, une odeur particulière que je ne saurais oublier. J’ignore comment il rencontra exactement ma mère. Passa-t-elle, un jour, dans son commerce pour s’acheter quelques rubans ou un métré de tissus fin à l’une de ses soeurs ? Ou bien fusse en un endroit complétement différent ? Peut-être, comment savoir, comment deviner ce qui attira chez cet homme, ma mère. Toujours est-il qu’il la courtisa, l’épousa, elle, prêtresse et fille cadette d’un chevalier au service du Duc de Marbrume.

Elle nous a choyés, mes frères et moi, trop dirait certains, gâtés pourris diraient d’autres. Moi je me souviens juste combien la vie était douce, combien elle nous aimait, combien elle s’occupait de nous malgré sa charge divine et les absences d’un époux souvent par monts et par vaux pour approvisionner son échoppe. Nous avons tous les quatre reçu une éducation simple, quelques notions de mathématique pour les garçons voués à suivre les traces de mon père, d’étiquette et savoir vivre – ma mère étant à cheval sur les convenances de part sa naissance et son engagement clérical. Et lorsque je me suis intéressée à sa tache de guérisseuse, de sage-femme, loin de me décourager, elle m’a prise comme assistante rêvant, je crois, que j’embrasse tout comme elle, la foi. J’ai tout appris à ses côtés. Tout ce que je sais. Comment assister une femme pour mettre un enfant au monde. Comment utiliser les plantes pour faire choir la fièvre, panser une blessure, soigner une dent maligne ou un furoncle. Comment réaliser des cataplasmes et onguents d’herbes.

Mes frères se sont mariés, les uns après les autres, ils ont suivi les traces de mon père, ont quitté la bâtisse familiale avec leurs épouses aux ventres arrondis, se sont établis dans d’autres fiefs emportant dans leurs sillages leur bonne humeur, leur tendresse, développant encore dans le royaume, l’entreprise familiale. Sauf Yann. Yann a toujours été le plus léger et oisif de mes frères, celui qui préférait la fréquentation paresseuse de ses amis plutôt que de monter une affaire, celui qui s’encanaillait dans les bas-fonds et s’enivrait en jouant aux cartes au lieu de faire quelque chose de respectable de sa vie. Mes parents supportaient de plus en plus difficilement ses frasques. Je pensais qu’il finirait par perdre patience et le renverrait de la maison, mais il n’en fit rien.

Plus le temps passait, plus je grandissais et plus je m’éprenais secrètement du bras droit de mon père, Marcus Vitalis qui, s’il avait commencé en tant que garçon de course pour les livraisons, s’occupait à présent de tenir l’échoppe quand celui-ci s’absentait. Il était charmant, toujours souriant, avec ce « je ne sais quoi » qui faisait frémir mon cœur de pucelle. Oh oui, il était un bien bel homme, du genre que toutes les jeunes filles aiment s’imaginer comme un prince charmant, mais la vérité à ceci de terrible : les rêves, les fantasmes et les utopies trouvent rarement leurs origines dans la réalité. Je l’ai compris lorsque nous avons convolés en justes noces, lui radieux dans son costume d’apparat, et moi la demoiselle éperdue d’amour. Un amour aussi factice, je le crois maintenant, que le charme naturel et l’apparente bienveillance dont il se drapait en toutes circonstances au début de notre rencontre. Il se révéla, à terme, vindicatif, acariâtre, volage, ne supportant plus que j’officie auprès de ma Mère, refusant même que je la voie. Il prit l’habitude de me rosser, pour un regard de travers, son manque d’héritier, un repas trop simple à son goût, ou juste pour se sentir plus viril après l’une de ses virées dans les maisons closes. Plus ses mauvais côtés ressortaient, plus il s’accoquinait avec Yann, le suivant dans ses bêtises et ses excursions alcoolisées. Bien vite son mauvais caractère, sa jalousie maladive me contraignirent à me cloitrer dans notre foyer, osant tout juste me rendre à l’Office pour prier, des bleus dissimulés sous la voilette de ma coiffe. Je détestais tant ma vie. Aucun enfant pour éclairer mes journées, juste des réprimandes et des coups. Des privations.

Je suis heureuse, je crois, que mon Père et ma Mère n’aient jamais compris combien cette période de ma vie fut compliquée et pénible, qu’ils n’aient pris conscience de mon désespoir et de cette tristesse comme un linceul drapant mes épaules voutées par l’angoisse de déplaire à Marcus et de récolter sa colère. Probablement n’ont-ils pas eu le temps nécessaire pour le découvrir. Et je bénie la Trinité pour tant de miséricordes.

Lorsque Père, en voyage pour ses affaires, disparut, lorsque nous n’eûmes plus de nouvelles de mes autres frères, Yann hérita de la bâtisse de Marbrume et de la succession. C’était quelques mois avant l’arrivée des fangeux. J’ai toujours pensé que les rumeurs qui nous parvenaient, de plus en plus inquiétante sur ce mal, furent la cause de sa disparition, sans en avoir l’assurance. Ma mère fut dévastée, et elle se retira dans les couloirs du Temple, ne sortant plus qu’occasionnellement pour remplir son rôle de guérisseuse jusqu’à finir par s’éteindre de chagrin. Quoi qu’il en soit, Yann et Marcus s’enfonçaient toujours plus dans une certaine déchéance, jusqu’à en boire et en dépenser tout le leg de mon père, ma dot également, et lorsqu’il ne resta rien d’autres que nos yeux pour pleurer, quelques miettes de pain au fond des placards pour rassasier nos estomacs vides, et de trop nombreuses dettes, les ennuis frappèrent à notre porte.

Je ne sais pas exactement ce qu’ils firent pour mériter le bannissement, ni l’un ni l’autre ne m’avouant le crime qu’ils commirent un soir de beuverie et de dépravation dans un bouge sordide. Je sais juste que leurs biens furent confisqués bien qu’il n’en restât, à vrai dire, pas grand-chose. Et leurs bras marqués. Ma vie fut en un instant chamboulée. Seule, déchue et ruinée, sans moyen de subsistance, je ne savais plus vers qui me tourner. Le clergé ? La prêtrise offrait une échappatoire mais je n’ai jamais été aussi pieuse que le fut ma mère, il me semblait qu’opter pour rejoindre les ordres par pure convenance personnelle constituait un péché. L’appel à la reconquête du Labret fut ma planche de salut.

Je crois que je préfère ne pas me souvenir de cette période, de cet exode au travers des marais et des fangeux, de la peur viscérale d’être dévorée vive, des jours de marches, du désespoir s’attachant à chacun de nos pas. L’odeur du sang, de la fange et de la mort m’éveille encore parfois d’un sursaut, lorsque la nuit est profonde et la lune haute dans les cieux. Mais les détails m’échappent irrémédiablement dans un brouillard qui parfois se fend, lorsque j’entends le cri proche d’un fangeux, ou que le sang d’un mordu macule mes mains de guérisseuse.

Quoi qu’il en soit, je vis actuellement à Usson, logée chez une vieille femme, vivant de mon savoir médicinal, des simples et des légumes que je cultive au potager, offrant mon aide à son fils pour m’occuper de sa mère, de ses champs, contre la protection d’un toit et la sécurité précaire des murs de leur ferme. Mon amie Rose, pense qu’il a le béguin pour moi. Possible, mais à vrai dire pour le moment, la seule chose qui m’importe est de survivre.



Résumé de la progression du personnage :

En attente

Derrière l'écran


Certifiez-vous avoir au moins 18 ans ? Oh oui, et depuis un moment

Comment avez-vous trouvé le forum ? sur un top site

Vos premières impressions ? j’aime le graphisme, et le thème, je suis impatiente de jouer !

Des questions ou des suggestions ? pas pour l’instant.

Souhaitez-vous avoir accès à la zone 18+ ? Oui s’il vous plait.


Modèle de fiche codé par Aure et Séraphin Chantebrume




Dernière édition par Cassandra Vitalis le Lun 8 Juil 2019 - 11:52, édité 7 fois
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Roland de RivefièreComte
Roland de Rivefière



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MessageSujet: Re: Cassandra Vitalis [Validée]   Cassandra Vitalis [Validée] EmptyMar 2 Juil 2019 - 11:59
Bienvenue à toi et bon courage pour ta fiche o/
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Élisabeth BlanchevigneCoutilier
Élisabeth Blanchevigne



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MessageSujet: Re: Cassandra Vitalis [Validée]   Cassandra Vitalis [Validée] EmptyMar 2 Juil 2019 - 12:00
Bienvenue et bonne rédaction de fiche !
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Merrick LorrenCoutilier
Merrick Lorren



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MessageSujet: Re: Cassandra Vitalis [Validée]   Cassandra Vitalis [Validée] EmptyMar 2 Juil 2019 - 13:36
Bienvenue ! Coucou
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Ambre Rosélia
Ambre Rosélia



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MessageSujet: Re: Cassandra Vitalis [Validée]   Cassandra Vitalis [Validée] EmptyMar 2 Juil 2019 - 14:27
Bienvenue officiellement et bon courage ♥
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Cécilia ValclairChasseuse
Cécilia Valclair



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MessageSujet: Re: Cassandra Vitalis [Validée]   Cassandra Vitalis [Validée] EmptyMar 2 Juil 2019 - 15:34
Bienvenue bienvenue ! Bonne continuation pour ta fiche !
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Sydonnie de RivefièreSergente
Sydonnie de Rivefière



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MessageSujet: Re: Cassandra Vitalis [Validée]   Cassandra Vitalis [Validée] EmptyMar 2 Juil 2019 - 17:37
Bonsoir et bienvenue parmi nous ♥

Bon courage pour la fin de la rédaction de ta fiche, si tu as des besoins, des questions, il ne faut pas hésiter à nous contacter Seraphin ou moi même. De même n'hésite pas à solliciter nos mjs ou notre modératrice (Césare, Merrick, Meikan ou Aeryn). Ou encore en cas d'absence de l'ensemble de l'équipe nos braves membres \o/

Bon courage ♥

:bvn:
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Cassandra VitalisGuérisseuse
Cassandra Vitalis



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MessageSujet: Re: Cassandra Vitalis [Validée]   Cassandra Vitalis [Validée] EmptyMar 2 Juil 2019 - 18:39
Bonjour,

Merci à tous pour vos encouragements.
Je crois avoir terminé, en espérant ne pas avoir fait de bourdes!

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Isaure HildegardeBannie
Isaure Hildegarde



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MessageSujet: Re: Cassandra Vitalis [Validée]   Cassandra Vitalis [Validée] EmptyMar 2 Juil 2019 - 18:47
Bienvenue parmi nous :bvnu:

Bon courage pour la modération !!
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Victor de RougelacGouverneur de Sombrebois
Victor de Rougelac



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MessageSujet: Re: Cassandra Vitalis [Validée]   Cassandra Vitalis [Validée] EmptyMar 2 Juil 2019 - 18:55
La bienvenue !
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Sydonnie de RivefièreSergente
Sydonnie de Rivefière



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MessageSujet: Re: Cassandra Vitalis [Validée]   Cassandra Vitalis [Validée] EmptyMar 2 Juil 2019 - 19:37
Bonsoir, bonsoir,

Je vais commencer par te souhaiter la bienvenue parmi nous, officiellement cette fois. Amoureux Pour cette première partie, je vais être la modératrice de ta fiche, ensuite, on verra qui aura ou non le temps de passer le plus rapidement possible. Par habitude, je reprends partie par partie, comme ça, tu sais où retrouver, c'est dans l'ordre généralement, plus simple pour toi ou pour moi. Si il devait avoir des améliorations/ajouts/modifications, n'hésites surtout pas à faire ressortir le tout dans ta fiche, ou à le citer dans ta réponse par la suite :arcmout:

Allons y Cassandra Vitalis [Validée] 2254173148

Identité :
- RAS

Apparence :
- RAS
- Si je chipote, je suis curieuse de connaître sa taille, ce qu'elle inspire

Psychologie :
- RAS
- Il me manque cependant plusieurs points : sa vision de la fange, sa vision de la trinité (la religion c'est un élément très très très important, on ne peut pas jouer de non croyant - ou alors une religion alternative, donc soit autour des purificateurs, soit autour de la secte des marais qui croient à l'existence d'un quatrième dieu)

Histoire :

- "chirurgien dans la cité" => je ne sais pas ce que tu entends par là, mais les chirurgiens à l'époque ne sont pas du tout nos chirurgiens d'aujourd'hui. Au niveau de Marbrume, de sa religion, il est interdit d'ouvrir un corps, la médecine est beaucoup moins avancé que le véritable moyen âge. De même, ce ne sont pas des médecins, ce sont des guérisseurs, mais la plupart des véritables soigneurs sont des prêtres et prêtresses. Un guérisseur, un soigneur, n'est pas du tout de la classe haute. Il est de la classe moyenne, voir très moyenne parfois.

- "une éducation irréprochable, des leçons d’étiquettes, de danses, de mathématiques et philosophie." => Tout ça non plus, en admettant que en effet, le père était un guérisseur que la noblesse appréciait (mais là, ça m'étonnerait beaucoup, la noblesse à ses affinités avec le clergé, mais pourquoi pas exceptionnellement pour une raison x ou y), vous n'auriez pas accès à tout ça. Vous ne manquez de rien niveau nourriture, niveau achat, vêtement, mais vous êtes pas haut bourgeois. Donc toute l'éducation c'est du basique, réellement. Pas de lecture, pas d'écriture, comme 98% de la population.

- ". Tout ce que je sais. Comment mettre un enfant au monde. " => Ca c'est impossible, un homme ne peut pas savoir réaliser un accouchement. Ce n'était surtout pas un homme qui s'occupait de ce type de tâche.

- " leur bonne humeur, leurs commerces et leur tendresse." => Quel type de commerce, encore une fois la famille ne peut pas être riche, donc ça me permet un peu difficile.

- ' Yann a toujours été le plus léger et oisif de mes frères, celui qui préférait courir après les filles plutôt que de monter une affaire," => Alors là c'est la même chose, si ça se sait, c'est grave. La trinité encourage le mariage, l'amour unique, surtout pas la passion charnelle (uniquement dans le cadre du mariage), donc en ayant un enfant aux mœurs" légères, ça peut apporter de mauvaise réputation à la famille.

- " apprenti de mon Père tout juste nommé chirurgien, " => ce grade n'existe pas, où alors ou parle du travail du boucher, celui qui coupe les jambes, les bras, qui ampute, qui va césariser les femmes mortes, donc c'est mal vu tout ça, il est pas apprécié.

- "Bien vite son mauvais caractère, sa jalousie maladive me contraignirent à demeurer dans notre foyer, à abandonner mes œuvres auprès de mon père pour me consacrer à notre couple que je détestais un peu plus chaque jour. " => Alors là... J'ai un peu envie de dire qu'il va falloir que tu argumentes, nuance. Parce que dans Marbrume la condition de la femme avant la fange, elle est plutôt, je vais dire "arriéré". C'est à dire que al femme est faite pour engendrer des enfants, pour s'occuper de la maison, de la famille, de son mari, certainement pas pour être indépendante.

- "Je n’ai eu d’autres choix que de les accompagner dans ce bannissement, même si ma peau demeure vierge du symbole des parias. " => Alors pas du tout hein. Un bannissement c'est très très très très GRAVE. C'est bien pire que la mort. Tu dois être tué à vue, tu ne dois pas avoir de contact avec des bannis au risque d'être accusé de traîtrise et d'être tuée toi aussi. La famille ne revoit plus jamais les bannis officiellement, pour eux, ils doivent être considéré comme mort (d'ailleurs la plupart sont morts, c'est très complexe de survivre à la fange)

- Et ensuite, toute la dernière partie, il me manque réellement l'impacte de la fange. Surtout lorsque tu t'installes à Lods, pour une femme (accompagnée ou non), parvenir à faire le chemin jusqu'à Lods donc en traversant les marais et ressortir vivant, c'est déjà pas mal (mais tu as du avoir peur, fuir la fange, courir pour ta vie, ta survie) et ça, on le ressent pas. Il me manque aussi un peu plus, le bannissement existait jusqu'en Juillet 1165. Nous sommes actuellement entre Janvier et Avril 1166 (ça fait un petit temps de rythme de vie), donc j'aimerais bien un peu cibler la vie, surtout à Lods, loin de Marbrume dans un village ou il doit rester très peu d'habitant.

Concrètement, ta fiche est bien écrite, c'est fluide, je te félicites d'avoir fait des efforts en rajoutant le bannissement, en investissant Lods. Cependant, malheureusement ta mauvaise interprétation du chirurgien font que la moitié de la fiche est à revoir. Ensuite d'un point de vue RP j'ai quelques conseils :

- Prend un autre village que Lods, j'ai peur que tu te retrouves enfermés. Tu es proche de Sombrebois, mais c'est tout. Va plutôt cibler sur un village proche de Marbrume et/ou du Labret, là tu auras plus de jeu, plus de partenaires.
- Tu peux expliquer que le père était prêtre, spécialisé dans le soin, ça explique la réputation et le niveau social (cependant, attention, ça veut dire que son épouse avait des biens) pour justifier l'indépendance financière (Parce que un prêtre, il n'est pas rémunéré). Donc par exemple, sa femme avait un commerce de X chose, je sais pas, couture, dentelle, ou un petit commerce autre. Du coup, a sa mort, il aurait hérité de l'ensemble, lui permettant de faire vivre sa famille. Du coup vous n'êtes pas riches, vous avez juste ce qu'il faut.
- Pour la partie bannissement, j'appuierai plus dans le sens où : le mari, le frère ce sont fait bannir, la honte sur la famille, l'humiliation, les deux hommes sont dehors. Ton personnage se retrouve encore plus dans la misère, puis finalement elle a pas le choix, plus d'argent, elle a le choix entre : vivre dans la rue dans le goulot ou partir, elle décide de partir (peut-être en profitant de la reprise du Labret ?) et va aider les paysans là bas.

Voilà, voilà, ça fait beaucoup, j'ai essayé de t'accompagner le plus possible. Je te laisse le lien de quelques sujets qui, je pense pourraient être utiles :

- Le sujet de la religion
- Le registre des questions
- Le guilde du nouvel arrivant avant la liste des sujets utiles

Bon courage pour tout ça Choupi Choupi Choupi

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Finn GallagherMercenaire
Finn Gallagher



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MessageSujet: Re: Cassandra Vitalis [Validée]   Cassandra Vitalis [Validée] EmptyMar 2 Juil 2019 - 19:56
Bienvenue et bon courage pour les corrections Wink
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Amélise LamerÉleveuse
Amélise Lamer



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MessageSujet: Re: Cassandra Vitalis [Validée]   Cassandra Vitalis [Validée] EmptyMar 2 Juil 2019 - 19:58
Bienvenue parmi nous cheers

Viens, viens vivre au Labret avec nous, tu vas voir comme c'est bien :colgate:

Bon courage pour les quelques modifications :pompom:
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InvitéInvité
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MessageSujet: Re: Cassandra Vitalis [Validée]   Cassandra Vitalis [Validée] EmptyMer 3 Juil 2019 - 21:00
Bienvenue !

Magnifique personnage que voilà.

L'avatar est très beau, en tous les cas :).

Courage pour les quelques corrections à effectuer !
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Cassandra VitalisGuérisseuse
Cassandra Vitalis



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MessageSujet: Re: Cassandra Vitalis [Validée]   Cassandra Vitalis [Validée] EmptyLun 8 Juil 2019 - 11:52
Salut!

Tentative n°2 : j'ai essayé de tout suivre mais bon il est pas impossible que certaines choses soient passées au travers du filet!

• Identité :
- RAS

• Apparence :
- RAS
- Si je chipote, je suis curieuse de connaître sa taille, ce qu'elle inspire :J'ai pas rajouté grand chose juste une phrase sur l'impression générale et j'ai précisé qu'elle était "haute" , grande quoi.

• Psychologie :
- RAS
- Il me manque cependant plusieurs points : sa vision de la fange, sa vision de la trinité : ajouté

• Histoire :

- "chirurgien dans la cité" => je ne sais pas ce que tu entends par là, mais les chirurgiens à l'époque ne sont pas du tout nos chirurgiens d'aujourd'hui. Au niveau de Marbrume, de sa religion, il est interdit d'ouvrir un corps, la médecine est beaucoup moins avancé que le véritable moyen âge. De même, ce ne sont pas des médecins, ce sont des guérisseurs, mais la plupart des véritables soigneurs sont des prêtres et prêtresses. Un guérisseur, un soigneur, n'est pas du tout de la classe haute. Il est de la classe moyenne, voir très moyenne parfois. => Modifié. J'ai donc changé en passant du père à la mère (pour le coté "sage-femme" de l'époque), en la passant prêtresse et fille d'un obscur chevalier

- "une éducation irréprochable, des leçons d’étiquettes, de danses, de mathématiques et philosophie." => Tout ça non plus, en admettant que en effet, le père était un guérisseur que la noblesse appréciait (mais là, ça m'étonnerait beaucoup, la noblesse à ses affinités avec le clergé, mais pourquoi pas exceptionnellement pour une raison x ou y), vous n'auriez pas accès à tout ça. Vous ne manquez de rien niveau nourriture, niveau achat, vêtement, mais vous êtes pas haut bourgeois. Donc toute l'éducation c'est du basique, réellement. Pas de lecture, pas d'écriture, comme 98% de la population.:Modifié par le père commerçant en tissus rare et précieux, la mère prêtresse. J'ai gardé les leçons d'étiquettes mais pas de lecture et de maths pour mon perso.

- ". Tout ce que je sais. Comment mettre un enfant au monde. " => Ca c'est impossible, un homme ne peut pas savoir réaliser un accouchement. Ce n'était surtout pas un homme qui s'occupait de ce type de tâche. Modifié.

- " leur bonne humeur, leurs commerces et leur tendresse." => Quel type de commerce, encore une fois la famille ne peut pas être riche, donc ça me permet un peu difficile. précisé

- ' Yann a toujours été le plus léger et oisif de mes frères, celui qui préférait courir après les filles plutôt que de monter une affaire," => Alors là c'est la même chose, si ça se sait, c'est grave. La trinité encourage le mariage, l'amour unique, surtout pas la passion charnelle (uniquement dans le cadre du mariage), donc en ayant un enfant aux mœurs" légères, ça peut apporter de mauvaise réputation à la famille.Modifié

- " apprenti de mon Père tout juste nommé chirurgien, " => ce grade n'existe pas, où alors ou parle du travail du boucher, celui qui coupe les jambes, les bras, qui ampute, qui va césariser les femmes mortes, donc c'est mal vu tout ça, il est pas apprécié. Supprimé et remplacé

- "Bien vite son mauvais caractère, sa jalousie maladive me contraignirent à demeurer dans notre foyer, à abandonner mes œuvres auprès de mon père pour me consacrer à notre couple que je détestais un peu plus chaque jour. " => Alors là... J'ai un peu envie de dire qu'il va falloir que tu argumentes, nuance. Parce que dans Marbrume la condition de la femme avant la fange, elle est plutôt, je vais dire "arriéré". C'est à dire que al femme est faite pour engendrer des enfants, pour s'occuper de la maison, de la famille, de son mari, certainement pas pour être indépendante.J'ai nuancé à ta demande en introduisant une absence d'enfants et de la maltraitance

- "Je n’ai eu d’autres choix que de les accompagner dans ce bannissement, même si ma peau demeure vierge du symbole des parias. " => Alors pas du tout hein. Un bannissement c'est très très très très GRAVE. C'est bien pire que la mort. Tu dois être tué à vue, tu ne dois pas avoir de contact avec des bannis au risque d'être accusé de traîtrise et d'être tuée toi aussi. La famille ne revoit plus jamais les bannis officiellement, pour eux, ils doivent être considéré comme mort (d'ailleurs la plupart sont morts, c'est très complexe de survivre à la fange) Modifié. J'ai suivi ta proposition et suis allée au Labret pour prendre un nouveau départ après leur bannissement

- Et ensuite, toute la dernière partie, il me manque réellement l'impacte de la fange. Surtout lorsque tu t'installes à Lods, pour une femme (accompagnée ou non), parvenir à faire le chemin jusqu'à Lods donc en traversant les marais et ressortir vivant, c'est déjà pas mal (mais tu as du avoir peur, fuir la fange, courir pour ta vie, ta survie) et ça, on le ressent pas. Il me manque aussi un peu plus, le bannissement existait jusqu'en Juillet 1165. Nous sommes actuellement entre Janvier et Avril 1166 (ça fait un petit temps de rythme de vie), donc j'aimerais bien un peu cibler la vie, surtout à Lods, loin de Marbrume dans un village ou il doit rester très peu d'habitant.Modifié et vu avec toi pour le coté post traumatique des événements qui lui ont fait perdre la plupart de ses souvenirs sur la "reconquête" du Labret

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Cassandra Vitalis [Validée]
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