Marbrume


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 Arthur, la force de la foi. [Validé]

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Arthur HurleventPrêtre
Arthur Hurlevent



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MessageSujet: Arthur, la force de la foi. [Validé]   Arthur, la force de la foi. [Validé] EmptyJeu 20 Déc 2018 - 13:22





Arthur Hurlevent




Identité



Nom : Hurlevent

Prénom : Arthur

Age : 33 ans

Sexe : Homme

Situation : Célibataire

Rang : Ancien Milicien, béni de Rikni et reconverti en Clerc entièrement dévoué à la Trinité, prêcheur de la bonne parole et soutien contre le mal par la force.

Lieu de vie : Quartier Nord de Marbrume

Carrière envisagée & tableau de départ avec les 4 PCs : (voir topic Système Rp & Xp - Carrières)
Carrière Prêtre :
+5 Pv
+1 End
+1 Att
+1 Par

Compétences et objets choisis : (voir topic Système Rp & Xp - Compétences)
Doctrine du culte
Alphabétisation
Résistance accrue
Arme de prédilection

-Equipement religieux de ville :
Tenue religieuse symbole de dévotion envers Rikni

-Equipement religieux en dehors de la ville :
Épée longue à une main
Veste en cuir marquées par une spiritualité accrue
Jambières en cuir


Apparence


Voyez, l'imperfection de cette marque gravée sur mon crâne comme témoignage de ma bénédiction.

Mon corps est sculpté et façonné de coups, de brûlures et de déchirures. Des maux qui témoignent de ma vigueur et de mon endurance au combat. Des marques irrégulières suivant à la trace la courbure de ma musculature non pas érigée par le sport mais par la douleur, cette force pérenne est devenue une protection naturelle qui s'est adaptée à la vie d'un combattant afin de m'endurcir. Je suis parfaitement droit, le menton relevé, les dorsaux larges font de ma carrure un stature imposante. Des bras lacérés par le serrage de lanières de cuirs témoignant d'une lourdeur conflictuelle entretenu avec l'ennemi et pourtant je suis toujours là. Mon regard perçant semblant avoir cette capacité de voir aux tréfonds de l'âme, la capacité de tout savoir et pourtant le silence habituel de mes mots témoigne de ma nature calme et passive. Ce n'est néanmoins plus le cas au son de ma voix, celle-ci est rauque et brisée semblant avoir passé sa vie à subir les hurlements inlassables me confiant le courage nécessaire de regarder l'ennemi dans les yeux de mes prunelles ambrées.
Et pourtant, mes doigts sont frêles et allongés, témoignant d'une noblesse certaine coulant à travers mes veines. Mes traits sont fins mes os partiellement visibles, les cicatrices quant à elles ne restent que par la volonté de Rikni, toute autre disparaît comme si aucune douleur autre que religieuse pouvait me blesser.
Mes épaules sont larges et fortes et pourtant c'est avec grâce que je m'écarte de la route des passants, ma démarche se fait sûr d'elle et je ne vois sur ma route que l'objectif à atteindre en esquivant les citadins. Mon corps lacéré et puissant est masqué sous une robe d'église que je porte fièrement dans l'enceinte de Marbrume. Aucune arme sous la main, seul des chaussures de cuir protègent ma cape blanche et mes attraits visuels pour la Trinité de la boue.
En dehors de la cité, je me retrouve avec mon passé et m'endosse d'une cuirasse symbolisée par la Rikni, un serpent parcourant la longueur de mon dos. Ma fidèle lame quant à elle, héritage macabre, a toujours été bénie par nos Dieux et témoigne de sa foi par une tête de serpent d'argent au bout de son manche.
Cet animal symbolique est d'autant plus présent en moi que l'encre tatouée sur mon bras et dans mon dos témoignent de mon allégeance à la religion. Ma peau pâle contraste avec ces traits sombres et mes maux rouges et je garde d'autant plus une hygiène irréprochable que ma vie en dehors des murs et que mes multiples blessures seront un jour ma perte.


Personnalité


Le fracas des lames résonnent sans cesse dans mon esprit, mon corps flamboie d'une alerte constante et pourtant il ne semble rien en apparence. Le calme dont je fais preuve à toute épreuve inspire cette sérénité évocatrice religieuse. Je suis un fervent croyant en la Trinité, mon âme toute dévouée n'en ai cependant pas dominée par mes croyances. Celui qui se veut fanatique n'en ai pas moins un fou, et c'est par remerciement éternel et que j'ai décidé de vouer le reste de ma vie envers Rikni. Je ne me considère pas comme un extrême, je massacre mes opposants dans le but de faire valoir le peuple survivant à la menace. Les abominations, rejeton du mal, les sectes et conspiration secrètes ne m'évoque qu'une haine crispante.
Je ne suis non plus pas aveuglé par ma foi, je distincts comme tout mortel l'ironie et la déviance, le sexe comme plaisir humain, et la douleur comme passablement subjective à l'envie. Je ne me refuse pas les bonnes mœurs, je m'autorise l'alcool, les femmes et la violence justifiée. Je ne cherche ni à corrompre ni à convertir mais bel et bien de sauver mon prochain du mal par le mal.
Ma nature zélée quant à elle se charge de terrasser les ennemis, de rendre les coups infligés par mes adversaires sans pour autant frapper le premier. Je réponds aux insultes par le silence et un regard froid témoignant de ma nonchalance maladive.
Je suis un sentimental, émotif et bien que cela trahisse la masculinité dont fait preuve ma musculature, le reconnaître et l'une des plus ferventes preuves de virilité. Je ne cherche cependant pas à l'être, me contentant d'être moi-même, caractériel et silencieux, avide de savoir et nécessiteux d'actions pour calmer ma fougue. La séduction ne m'est pas inconnue et même familière, d'un premier regard évocateur je ne laisse pas s'en aller une femme au même titre que je ne laisserait un ennemi s'enfuir ou la mort me terrasser.
Je me considère comme béni par Rikni, renaissant par sa volonté suite à mes blessures fatales et dédiant ma vie à lui obéir.

Histoire


Nombreux sont ceux qui approchant de la mort, se demandent ce qu'ils vont y trouver.

Mon premier éveil était dès lors annonciateur d'une vie sinueuse et maudite. Criant dans le froid à peine assez grand pour entrer dans un panier en osier, la Milice toujours avide de nouvelles recrues se força à me prendre sous son aile au détriment du Clergé devant lequel j'étais initialement déposé.
Je n'ai connu ni père, ni mère, seuls des figures paternels misogynes aux habitus barbares donnant un parfait exemple machiste et arriéré au fil des années. Une nécessité de s'affirmer par la violence et des mœurs prétendus virils. Malgré moi et mes à priori envers ces brutes, je n'eu d'autres choix que celui de suivre le pas contre mon gré et commença très tôt un entrainement rigoureux imposé en quête de faire de moi une futur recrue.
Ma tolérance à la douleur a été très vite un motif de démarcation face aux autres recrues qui abandonnaient généralement sous la douleur. Une étrange force mentale me poussait à aller au bout des mes actes et me confiait une noblesse de courage recherchée dans ce milieu sauvage.
Très tôt suite à la nécessité de contenir les foules mais aussi les fangeux, j'ai été affecter à la sécurité intérieur de la ville. Mais à cette époque je ne combattais que des ivrognes meurtris par la vinasse qui souhaitaient s'imposer en beuglant des inepties propagandistes et révolutionnaires. Mon travail était ingrat et faiblement payé, j'étais encore jeune et consacrait mon temps à la bienveillance de la ville et de ses habitants. Très tôt mon intérêt pour la Trinité se fit ressentir et tout particulièrement pour Rikni que je priais régulièrement lors de mes rondes quotidienne aux abords du Temple.
Ma vigilance et mon assiduité m'ont gradé au rang de surveillance des remparts, ainsi je pouvais avoir un première aperçu de ce qu'était la menace des fangeux, des créatures répugnantes qui ne cherchaient que la mort et la destruction.
Un épisode particulier nota le commencement d'une ascension pas à pas sans repos. La mort et comme pour beaucoup une étape traumatisante et marquant un saut de maturité, la fin d'un collègue par la Secte des purificateurs n'aura pas échappé à la règle.
Des fangeux aux abords de la ville se regroupaient rapidement dans un but d'assaut évident, mais alors que Henri s'apprêtait à fermer les portes de la ville, un cri m'arrachant les tympans me tourna face une évidence que je n'avais pu voir venir, la Secte avait frappée et tuée mon partenaire. Voyant la horde se ruer, créatures malines et profiteuses, j'enjamba l'échelle me permettant de mettre pied à terre et me rua vers les portes face à la menace imminente. Dans la précipitation engendré par une double menace, je ferma les portes dans un but bien pérenne et ferma les yeux en m'imaginant déjà mort poignardé par les fanatiques.
Ce fut ma première blessure de milicien mais aussi une première cicatrice. Les soigneurs disaient que j'étais un miraculé, que cette blessure m'aurait du être fatale et que j'étais très certainement sous l’œil de Rikni. Cette annonce me plongea un mois parmi le Clergé afin de récupérer de ma blessure, les religieux m'enseignèrent beaucoup au sujet de la Trinité et de ce premier contact la révélation de toute une vie s'ouvra à moi. Je jura allégeance à la déesse de la guerre en compagnie de Clercs comme témoin, à présent je combattrai avec ma foi.

De retour à la Milice, mon acte de bravoure ne fût pas sans récompense car une dote généreuse me fût octroyée et notamment une arme de marque puisqu'il s'agissait d'une effigie bénie. Une lame dont la pointe du manche était une tête de serpent en argent. Les années passèrent ainsi et mes prouesses au combat m'octroyèrent le grade d'un milicien remarqué et suffisamment émérite pour prétendre éliminer la menace fange.
Ainsi malgré beaucoup de peur et de nombreuses blessures, je sentais avec moi une présence intimidante, une force représentant une communion entre ma lame et mon bras, l'alliance de l'esprit et du corps. Je portais un talisman en forme de serpent autour du cou et beaucoup me voyaient motivé par mon allégeance, mon corps s'adaptait aux blessures mais c'est au Temple qu'elles cicatrisaient dans la stupéfaction du Clergé de me voir toujours les mains liées à mon talisman. Mais une sortie en particulier me fit prendre conscience de qui j'étais.

Nous étions encerclés dans la fange, les jambes enchevêtrées dans un mélange de boue et de vase, chaque milicien était à l'aguet l'arme à la main. Le maigre cortège que nous devions escorter c'était retrouvé enseveli dans les marécages putrides habitants des hordes de créatures malfamées. Les hommes étaient sur leurs réserves, terrifiés des minces bruissements de feuillages alentours et de cliquetis insignifiants aussi futiles que de petits insectes. Nous formions un cercle épaule contre épaule les yeux plissés tentant de voir plus loin qu'une longueur de bras à travers la brume. J'entendis un hurlement soudain dans mon dos, un fracas lourd contre la vase et plus rien, seul les pleurs apeurés d'hommes forts et bien bâtis. Je serra le pommeau de mon arme, caressant un instant la tête de serpent qui se distinguait au bout du manche puis prononça une prière, la dernière.
Dans un sursaut je sentis mon voisin rompre les rangs et charger d'un puissant et vaillant hurlement à travers la brume, un autre le talonna et j'observa cette scène les yeux écarquillé devant tant de folie et tant de courage. Mais l'hésitation n'a pas sa place à la guerre et à peine avais-je eu le temps de sentir cette présence que je pouvais voir du coin de l'oeil, une main pleine de griffes acérées me marquer le visage d'une force inouïe. Je tomba dans les marécages, piétinés par mes frères d'armes qui dans la panique se ruèrent sur la fange, aucun bruit n'était audible, seul une douleur insurmontable qui envahissait mon corps. L'eau ragoutante des marées se faufilèrent en moi alors que les bottes de cuirs Miliciennes martelaient mon torse - je ne tarda pas à rendre l'âme dans une ultime et vaine tentative de chercher de l'aide, tendant mon bras au dessus de l'eau.

Lors de mon premier éveil, la plafond était en si piteux état qu'il semblait sur le point de me tomber dessus, mais je ne pouvais ni bouger ni parler. Allongé dans un lit aux draps sales, mon corps était recouvert de bandages et de sang, ma tête était aussi lourde d'une lame et ne cessait de virevolter de droite à gauche. Des nausées, une toux sanglante et incessante, une sensation de famine et la gorge si sèches qu'il était impossible d'avaler. Mes mains tremblaient, impuissantes je ne pouvais pas les lever ni même en bouger un doigt, je me contentais de les observer un court laps de temps durant lequel je luttais contre cette sensation de fin imminente. Étais-je entrain de mourir, encore.
Une femme, étrange et sale retirait mes bandages pour me mettre à nu et me laisser apercevoir mon corps inhumain, déchiqueté et proche d'une anorexie morbide. Une pâte étrange était appliquée sur ma chaire à vif, m'arrachant des hurlements de douleur - la torture, l'horreur. M'éveillant par intermittence, afin de souffrir j'entendais dans mon crane des bruits métalliques s'entrechoquer, je sentais la chaire renaissante de ma tête au contacte de matériaux froids et pointus, de fil et de pansements qui tiraient mes tissus, d'alcool et de produits à l'odeur exécrable. Dans une ultime bataille pour maintenir mes yeux éveillés, je finissais par me rendormir pour de bon.

Où étais-je.
Tout était si sombre et si humide. Cherchant un puits de lumière ou un son réconfortant je restais impassible devant le vide présent dans ce lieux. Mon souffle en était coupé et aucun air n'était présent, je cédais lentement à la panique alors que mon cœur s'emballait. Attrapant ma gorge de mes mains, mes muscles se raidissaient autour de celle-ci alors que ma bouche béante et tremblotante suppliait la moindre bouffée d'oxygène. Tombant rapidement à genoux je suffoquais en laissant mon corps s'étaler de son long peu de temps après. Mais les minutes passèrent et cette sensation de mort persistante ne semblait pas vouloir en finir avec moi. Le temps s'écoulait et je fini par m'habituer à cette frontière entre la vie et la mort afin de me relever. Je pouvais alors entendre le plat de mes pieds caresser la roche d'un sol frais, coupant et à la fois mystérieux.

Les minutes se transformèrent en heures.

Je marchais depuis des heures sans ressentir la fatigue alors qu'un vent glacial m'enrobais de sa caresse nonchalante, mais je continuais sans relâche dans ma direction. Je n’avais ni douleur ni faiblesses, qu'une amère sensation de lourdeur de mes mouvements tel des sables mouvant qui chercheraient à me retenir. C'est en me demandant ce que pouvait être cet endroit que je m'étais également rendu compte que je ne savais plus qui j'étais. Ni mon nom, ni mon histoire et encore moins ma venue, étais-je dans un rêve ?

Les heures se transformèrent en jours.

Ma patience semblait mise à l'épreuve, et je ne cessais de me demander si j'étais de l'autre côté. Était-ce le royaume de la mort, étais-je condamné à subir cette impression de frontière vitale pour l'éternité. Je pouvais distinguer par le bruit de mes pas que ma paume de pieds n'était plus, je marchais sur un mélange de chaire et d'os maculé de sang sans avoir la capacité de m'arrêté. Mon corps ne semblait plus maître de lui-même et je lui obéissais aveuglément sans ressentir la moindre sensation. Mes pensées étaient de plus en plus noires et pourtant je ne ressentais rien.

Les jours se transformèrent en semaines.

à genoux, mes pieds n'étaient plus capables de supporter mon poids, tel un chien je marchais à quatre pattes ayant à peine la force de soulever mes cuisses pour avancer, je voulais comprendre mais le néant m'enveloppant n'exprimait rien. Milles questions traversaient à chaque seconde mon esprit, je n'étais plus qu'une entité abandonnée dans un espace sans fin, était-ce là la punition des Dieux si malins étaient-ils finalement ? Riaient-ils de ma condition ou jugeaient-ils mes capacités à les rejoindre. Étais-je damné pour n'avoir jamais assez cru en eux, étais-je un fangeux prisonnier de la mort et de la vie, sujet à souffrir à l'infini ?

Temps indéfini.

Allongé sur le dos, j'attendais.
Ne sachant pas si mes yeux étaient ouverts ou fermés, mon corps était mort jonché inerte sur le sol froid et irrégulier, parsemé de pierres effilées comme des lames de rasoir. Plus aucun son n'était audible et ce par ma force épuisée. Je n’avais aucune notion du temps, aucune envie ni même aucun souvenir je n'étais plus qu'une coquille vide dans l'attente infinie.
Une forme visqueuse se glissa alors autour de ma taille, une chaleur étrange enveloppa mon abdomen et contracta mes muscles jusqu'à pouvoir ressentir mes jambes. Un semblant de souffle se glissa entre mes lèvres et parcouru ma gorge pour remplir mes poumons. Je pouvais sentir une main fine et délicate se serrer autour de ma gorge alors qu'une forme se dessina au dessus de moi.
Des lèvres humides et chaudes se collèrent aux miennes en laissant derrière ce baiser une sensation que je n'avais jamais eu l'occasion de ressentir. Le corps d'une femme s'affirma au dessus du mien, nue et divine je pouvais apercevoir et sentir ses mouvements contre ma peau froide et je sentais alors mon cœur s'emballer, mes poumons gonfler au rythme de ma respiration qui s’accélérera. Je n'avais jamais vu pareil beauté, ses jambes entrelacées aux miennes, j'entendis cette divine créature me murmurer. "Obéis moi et je te sauverai, par ta renaissance tu guideras les Hommes vers moi". Suspendu aux lèvres de cette femme, une queue de serpent m'attrapa alors la gorge tandis qu'elle communia son corps au mien, je pouvais l'entendre prendre plaisir à voler mon innocence jusqu'à ce que peu de temps après, ma force vitale me soit rendue. Notre ébat semblait interminable, l'étrangeté physique de la déesse n'était qu'un détail à peine mesurable comparé à sa beauté, mon cœur chavira en un instant et je savais dès lors que mon amour lui serait éternellement offert.
Sa main passa dans mes cheveux lorsqu'elle me prononça son désir. Ses yeux reptiliens se plongèrent dans mon regard ambré et sa magie m'ordonna de mettre un terme à cet ébat en elle afin d'enfanter mon destin. Au terme d'une passion amoureuse, ses atouts animal se crispèrent autour de ma gorge dans une nouvel sensation de suffocation. Elle se releva en m'observant agonisant au sol, une main brandit vers elle alors que j'essayais de me débattre inutilement contre sa force. L'obscurité me gagna à nouveau alors que mon corps était tétanisé sous la pression.
La vie me quitta une nouvelle fois.

Je me réveillais au Temple de Marbrume entouré de prêtres qui dans un large sourire m'appelaient "le miraculé" comme à leurs habitudes. Ils disaient que j'étais mort, mais que dans ma mort je parlais, que mon souffle n'existait plus mais que ma poitrine se soulevait pour prononcer des mots. Ils me demandèrent alors ce que j'avais vu et je leur raconta tout. Le clergé me prit sous son aile et m'enseigna les textes, l'écriture et la lecture. Les détails des mœurs religieux et les habitus du Temple. Je progressais vite et acquis le statu de prêtre dans une formation accélérée, néanmoins, les fidèles étaient conscient que ma tâche n'était pas celle d'homme du temple mais bien celle du combat au nom de la foi. Ainsi ancien soldat j'annonça à la milice ma nouvelle fonction, celle d'un soutien spirituel et bras armé au service de la Trinité. Dans mon périple je m'était empli d'une quête, celle de combler ces vides présents dans ma mémoire et les réponses à ces questions ne pouvaient être qu'à l'extérieur.


Résumé de la progression du personnage :


(Pour les anciens membres souhaitant réactualiser leur personnage, ne pas tenir compte de cette section en cas de nouvelle inscription.)


Derrière l'écran


Certifiez-vous avoir au moins 18 ans ?
J'en ai bien plus

Comment avez-vous trouvé le forum ?
Top rpg, quelque chose comme ça !

Vos premières impressions ?
J'ai accroché dès les premières lignes du règlements un peu atypique

Des questions ou des suggestions ?
J'aurai bien aimé voir une compétence lié à la foi. La spiritualité entraînerait gain de force, d’endurance ou d'éloquence. Une motivation psychologique en soit, l'idée de se dire qu'aller au paradis diminue l'importance donné à la mort dans le monde réel et donc motive les troupes à se battre ect ect..

Souhaitez-vous avoir accès à la zone 18+ ?
Qu'elle question.. Evidemment :lala: (C'est un smiley qui siffle)


Modèle de fiche codé par Aure et Séraphin Chantebrume



Dernière édition par Arthur Hurlevent le Sam 22 Déc 2018 - 21:56, édité 11 fois
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Sydonnie de RivefièreSergente
Sydonnie de Rivefière



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MessageSujet: Re: Arthur, la force de la foi. [Validé]   Arthur, la force de la foi. [Validé] EmptyJeu 20 Déc 2018 - 13:42
Bienvenue officiellement parmi nous ♥️
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Isaure HildegardeBannie
Isaure Hildegarde



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MessageSujet: Re: Arthur, la force de la foi. [Validé]   Arthur, la force de la foi. [Validé] EmptyVen 21 Déc 2018 - 11:19
Bienvenue parmi nous, monsieur le prêtre 🇨🇨
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Sydonnie de RivefièreSergente
Sydonnie de Rivefière



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MessageSujet: Re: Arthur, la force de la foi. [Validé]   Arthur, la force de la foi. [Validé] EmptySam 22 Déc 2018 - 22:35
Bonsoir,

Je sais que tu attendais mon passage sur ta fiche, c'est chose faite. Je ne sais pas vraiment quoi penser de ta fiche What a Face c'est une fiche agréable à lire, on sait juste ce qu'il faut, sans jamais rentrer dans les détails. C'est un peu perturbant, j'ai l'impression que tu ne vas jamais au bout du récit, qu'il manque un petit quelque chose. Cependant, je n'ai rien à reprocher à ton écrit, c'est simple et efficace, on sait le principal pour comprendre le personnage et c'est ce qui est le plus important. :mrgreen:

Je sais que tu veux approfondir pas mal de passage avec des liens avec des autres joueurs, je te laisse donc voir tout ça.

Je tiens juste à préciser que l'ébat avec la déesse n'est que spéculation de l'esprit de ton personnage, ce n'est en rien réel, mais bien un mauvais tour de son esprit mourant et fatigué. (Je préfère préciser, au cas où, si quelqu'un passait par là ^^)

Pour le petit tour de la maison, tu peux commencer par faire une demande de RP en passant cette porte ou aussi répondre à une demande évidemment. En continuant la visite, tu peux si tu le souhaites créer un journal d'aventure à ton personnage, ou consulter celui de tes futurs partenaires. Par la suite, une fois plus à l'aise dans ton nouvel environnement de jeu tu peux faire un tour dans les quêtes et les missions. Si jamais tu souhaites participer a la mission de classe des prêtres/prêtresses de ce mois-ci tu peux rejoindre sans problème l'ensemble. Les prêtres étant rares, je suis convaincue que cela fera plaisir à deux participants, cela n'est point obligatoire cependant.

Enfin, ce qui doit, j'en suis convaincue t’intéresser le plus, tu peux retrouver ta jolie carrière comprenant ta réputation, ton tableau de HF et la répartition de tes compétences et points de compétences. C'est ici que tu pourras faire tes achats avec l'XP durement gagné.

N'oubli pas que toutes tes compétences débutent au niveau 1 et peuvent être augmenter jusqu'au niveau 3.

Pense également à mettre tes liens importants dans ton profil (Fiche, journal et carrière)

J'ai fais le tour, je te laisse découvrir l'ensemble tranquillement, si tu as des questions il ne faut pas hésiter à passer sur la CB ou à MP Seraphin ou moi même.

Bon jeu parmi nous et puisses ta prêtre faire preuve encore de sentimentaliste Amoureux
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MessageSujet: Re: Arthur, la force de la foi. [Validé]   Arthur, la force de la foi. [Validé] Empty
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