Nom : Lebœuf

Prénom : Archibald Philibert

Age : 54 années

Sexe : Masculin

Situation : Célibataire

Rang : Riche Bourgeois, Capitaine de “La Belle Regina”

Lieu de vie : Le Capitaine réside dans sa cabine, sur son bâtiment (un bon navire de pêche moyen, possédant une belle cale) , “La Belle Regina” mouillant au port de Marbrume.

Carrière envisagée & tableau de départ avec les 4 PCs :

Le Capitaine veut poursuivre sa carrière, souhaitant encore s’imposer auprès des jeunes matelots. [Carrière du marin]


- [CHA] + 2 [HAB] + 2 -

Compétences et objets choisis :

Compétences:

Navigation maritime - Éloquence - Sang-froid - Alphabétisation

Objets:

Une besace de la Compagnie de pêche des Capitaines, accompagnée de quelques fioritures, assez bien remplie (du fait de son poste) / Une rapière ayant vécue moult tempêtes / Son fidèle et extravagant chapeau de Capitaine / Sa formidable tenue de Capitaine.

“Mon chapeau ne vous plaît pas ? Eh bien soit, le pont est là. Bonne traversée”.

Le Capitaine Archibald n’est plus aussi vaillant qu’il ne l’était. Lorsqu’il était plus jeune, sa peau était plus claire, moins marquée, son visage était plus adouci et moins aigri, mais cependant, les multiples pêches, tempêtes et l’envie de toujours mieux faire que le capitaine voisin changèrent grandement son physique, voire même trop. Désormais, sa peau est ternie par l’exercice, abîmée par les duels maritimes et son visage est devenu plus affirmé et moins enfantin, au malheur de sa mère.

Ses braves bras et ses larges épaules sont plus marquées que le reste par le quotidien du Capitaine, de nombreuses cicatrices de chute et de vagues impétueuses sont visibles..
Son visage n’est cependant pas des plus marqué par l’habitude du Capitaine, hormis une énorme cicatrice cachée sous son resplendissant chapeau.
Sa peau montre son exercice avancé même si l'adoption d’une vie moins mouvementée par les voyages dangereux et attaques pirates a permit de réduire la dégradation de cette peau.

Il n’est pas très grand et est un peu gros suite à l’abandon d’exercices physiques, disons que sa musculature s’est arrondie avec le temps.

Il mesure environs 178cm et pèse tout de même 80kg. Salons, grands repas avec les Quarts, siestes et bon cellier, disons que le Capitaine ne rechigne plus ces plaisirs terrestres, emportant toujours le nécessaire à bord même si la pêche est un dur métier.
Nota bene : Il faut éviter de trop consommer.

Sa chevelure est désormais insoumise, il n’a jamais réellement conquis sa chevelure, disons qu’il eut réussi à avoir un compromis avec elle, lors des salons par exemple ou lorsqu’il enfile son chapeau.
Malgré cette indomptable chevelure, le Capitaine a réussi à gagner une bataille, sa plus grande fierté. Il ne s’agit que d’autre que sa moustache soignée. Relativement bien coupée, elle ne pose pas de problème lorsque qu’il enfile sa tenue décorée ou encore lorsqu’il réceptionne, ce n’est point un attrape-potage.

Concernant son faciès, celui-ci certes aigri, abîmé et est en plus devenu légèrement bouffi, un double-menton est notable, mais n’est pas très imposant, selon son avis.

Rien de plus, hormis ses beaux yeux verts, la fierté de son père, qui à l’époque faisaient craquer la gente féminine avec son noble regard.

“Je suis le seul Maître à bord après la Trinité et le Duc”.

Tel un loup de mer aigri, dépassé par la jeunesse ou une baleine échouée le Capitaine vous semblera quelqu’un de solitaire, n’aimant pas discuter ou même apprécier les bons moments, mais cependant, vous remarquerez très rapidement que sous son froid Chapeau, se cache un petit homme, expérimenté, en quête d’honneur et de tendresse, voulant apporter le bien autour de lui et vivre sur les flots, tel est son devoir d’ailleurs. Le Capitaine n’hésite pas à fournir une paire de bras à un nécessiteux, ou venir en aide à un frère navire, ne réclamant rien en échange. L’enseignement de son Capitaine passé stipulait que “le travail n’est pas quelque chose à prendre à une main, ne lâche pas le gouvernail”. Il faut toujours naviguer pour remporter son dû.

Le vieux Capitaine vit pour l’honneur, la fierté de son nom, et la mer. Le Capitaine cherche sans relâche sa réelle place, n’ayant pas trouvé de plaisir à faire quelque chose depuis des années, voire même trop d’années. Et depuis ces récentes abominations, le Capitaine se voit partir vers le large, errant sans vagues.

De plus en plus perdu, le Capitaine n’est plus un de ces jeunes capitaines en quête de voyages indénombrables, d’une armée de matelots contant les exploits maritimes de ou encore d’une carrure impressionnant la gente féminine.
Dépassé par ces évènements, le Capitaine est devenu plus une vieille épave qu’un de ces grands bâtiments, autrefois acclamés.

Parfois l’on dit que le Capitaine aurait vu les abysses de ses propres yeux et combattu des requins à mains-nues et qu’il aurait même combattu un navire pirate alors qu’il était en train de couler. Face à ces histoires à endormir les jeunes mousses, le Capitaine ne peut que justifier son incompréhension de cette jeunesse qui essaye de voir autre chose que l’horreur extérieure et l’habileté du Capitaine à maintenir un gouvernail.

Bien éduqué, le Capitaine sait où il doit être et comment il doit se comporter même si celui-ci a une main lourde sur les pichets, si colorés et agréables en bouche. Les mauvaises habitudes ressurgissent jamais quand il le faut après tout.

Si vous avez le malheur de vous aventurer dans la cabine du Capitaine, vous pourrez y voir l’importance de la Trinité ainsi que de sa personne, ainsi qu’une bonne collection d’alcools.
Mais également d’un carnet, plus intime, comptant les peurs abominables du Capitaine, affichant un homme plus simple que ce l’on pourrait croire.

Le Capitaine a peur de sombrer un jour.

- Maître d’équipage Henri “Le Crabier” : “Maître d’équipage "Le Crabier” , en quoi puis-je vous aider ?
Hhm, fort bien, que souhaitez-vous savoir en particulier- tout ? Bien, mais sachez une chose, croyez-y ou non, mais ne reposez plus jamais la question”.

- Quartier-Maître, maintenance du pont, Bon-nord “L’agitée” : “Quartier-Maître "L’agitée”, le Maître d’équipage “Le Crabier” vous envoie ? Que voulez-vous savoir du Capitaine ? Hhrf.. Allez-vous le Quart “La Marée”.

- Quartier-Maître, maintenance de la Grande Voile, Fernand “La Marée” : “Demandez au Second “Poigne du Capitaine” je n’ai pas de temps”.

- Second Hermet “Poigne du Capitaine” : “ Vous avez causé moult problèmes sur le navire du Capitaine, savez-vous, du moins avez-vous conscience que vous le dérangez dans ses affaires importantes ? Je n’ai que peu de temps devant moi, nous devons préparer la soirée sur le pont de ce soir afin de divertir les capitaines de la Compagnie. Ainsi nous devons rendre le bâtiment aussi resplendissant que le Capitaine le souhaite. Ne vous fiez pas à l’odeur.
Très bien, je vais vous raconter, allons dans ma cabine, en dessous de la cabine du Capitaine.
Le Capitaine Archibald Philibert Lebœuf est né en 1112 dans une grande maison non loin de Bourg-Levant, je ne sais plus. Il est le fils du Capitaine Edmond Robert Lebœuf et de la Grande Marchande Caroline Hélène Choupier, je crois bien que le Capitaine a toujours apprécié le poisson et les alcools forts. Arrivez-vous à revoir cette grande maison qui a brûlé en 1153- Tout à fait ! C’est elle-même.

Le Capitaine ? Il eut une enfance relativement difficile si l’on se place du point de vue des relations qu’il eut avec son père. C’était un échec pour lui, tout le monde dans la Haute Société est au courant, et surtout dans la Société des Capitaines, le Capitaine n’était pas capitaine, il méritait simplement le poste de Quartier-Maître ? Vous vous rendez compte ?! Le Capitaine simple Quartier-Maître, Ah ! Alors qu’il est le seul à savoir où le navire va..


Il était le fruit de leur union et était l’apogée de la famille, c’est pourquoi ils ont tout fait pour qu’il en devienne un. La Lignée Lebœuf est destinée à ne comporter exclusivement que des capitaines, et des capitaines d’excellence. Je vous assure que le Capitaine en fait parti. C’est pourquoi nous faisons partis de la Compagnie- Non ! Prévoyez du citron pour le capitaine Hector du Récif !


En dehors des conflits qu’il eut avec son père, le Capitaine eut une enfance aussi convenable que l'enfant d’un autre capitaine de la Compagnie, amusant non ? Il fut bien éduqué et surtout bien préparé à être ce qu’il n’est pas, et comme le Capitaine le dit lors de ses salons prestigieux, après une dure journée de pêche, prétendez que vous possédez un cellier en or ou même beaucoup de bois et vous serez admis dans le monde du plaisir.

Les capitaines aiment la mer, tous et la Compagnie permet à ce monde de copier les terriens.

Les bons repas et le comble furent les deux mots clés de son enfance, je peux vous en assurer. Il avait toujours ce qu’il devait avoir pour être capitaine. Il fut embarqué par son père dès sa majorité. La “Belle Chanteuse”, un navire magnifique, l’un des plus grands, disparu désormais.. Son père était le capitaine du bâtiment et était à la charge d’approvisionner en quantité noble Marbrume en vivres marins.

Le Capitaine était un brave homme, qui ne dédaignait pas le travail. Il faut travailler et se salir les mains, et être appliqué semble être la clef de la réussite. La patience est une qualité dont le Capitaine fait preuve, il n’est pas arrivé à ce stade là du jour au lendemain. On ne fait pas une traversée en une heure sauf si vous êtes sur une barque, et encore, je crois que seul le Quart “La Marée” y arrive..
Il l’est encore, mais pour vous dire qu’il travailla dur. Son père ne le considérait toujours pas comme un capitaine. Et même encore qui sait, là où il est, peut être encore il le pense !

En 1553, la mère du Capitaine disparu dans l’incendie de la maison familiale. Sûrement un feu trop présent ou un chandelier mal-sertie.. Qui sait ? J’étais un marin d’eau douce à l’époque, je ne savais pas tout..
On dit que le Capitaine n’eut comme son père aucunes réactions, aucuns sentiments..
J’en suis sûr que au fond de lui, il eût ressenti de la peine.

Si vous êtes un de ces riverains qui ne comprennent rien, je vais vous dire une date, 1159, l’année où le Capitaine devint comme moi, un second et, tout aussi dramatique, “La Belle Chanteuse” fit naufrage non loin du port d’ailleurs, un incendie éclata suite à une lanterne mal-attachée qui enflamma une couche d’un marin, qui par la suite enflamma toute la cale jusqu’à atteindre les voiles. Tous marins connaissent très bien ce risque. Le Capitaine Edmond Robert Lebœuf coula avec son navire. Un naufrage comme un autre me direz-vous, pas pour le Capitaine, d’une part il perdit son père, d’une autre part son bâtiment car oui, quand le capitaine meurt, c’est son second qui prend sa place.
Le Capitaine devint enfin capitaine et La Compagnie de pêche des Capitaines , gloire à son nom, il n’est pas l’armateur, ni l’affréteur par ailleurs, donna au Capitaine un beau bâtiment, “La Belle Regina”, celui sur lequel nous discutons en ce moment même - Pas maintenant, je discute, occupez-vous d’enlever les anciennes traces des poissons !
Où en étais-je.. Il forma son équipage, un bon équipage, puis renvoya les anciens agitateurs,les huîtres dépassées, les mollusques arrogants, les planches mouillées, les marins salés et enfin les mousses faiblards, ou peut être bien qu’il fit l’inverse..
Le Capitaine continua sa vie festive, il organisa un magnifique salon en 1161, nous étions tous invités, et bien sûr, tous avions une belle tenue, digne de beaux marchands, elle sortait du quotidien, je peux vous en assurer, même si le Capitaine aime bien se vêtir, tout comme les capitaines de la Compagnie. Le Capitaine aime recevoir de la visite et organiser des salons sur son bâtiment, même si il n’en a pas l’air, je vous assure qu’il est une bonne personne et l’odeur n’est pas si atroce, entre nous autres de la mer, on s’y habitue.

Vous souhaitez que je vous parle de l’année 1164 ? Le Capitaine fut énormément impacté par l'apparition de ces choses monstrueuses qui d’ailleurs, désormais craignent notre atout, le sel, c’est ce que les crieurs disent. Les demandes de voyage explosèrent, il faut nourrir le bas peuple et nous passions plus de temps auprès des poissons que des boissons..
La vie du Capitaine est plus dure qu’à une époque, il a peur de ces choses indéfinissables, comme nous tous après tout.. Mais peut-être qu’elles ne s’occupent que de la misère.
Économiquement le Capitaine, comme tous devint moins riche, c’est évident que ses plaisirs furent moindre, comme toute la Compagnie, et moindre encore aujourd’hui, le Capitaine peine à trouver du bois pour réparer son bâtiment !
Cette immondice terrifie tout le monde et nous amène tous à craindre son prochain et les extérieurs, et encore, vous savez, ce n’est pas la plus grande crainte du Capitaine. Les pirates, les rats des mers, les loups de mer maudits, ces calamars avides et autres atrocités de la société. Le Capitaine préfère inviter un pauvre à son salon qu’un riche pirate. Ces fléaux sont l’horreur de tous les marins.
Je vous ai tout raconté sur la vie du Capitaine. Vous savez tout depuis le début, mais après tout, ce n’est qu’une histoire que l’on raconte sur lui vous savez. Maintenant j’ai à faire sur le pont, le Capitaine ne tardera pas à arriver. Bon voyage et que la Trinité vous guide.

Maître d’équipage “Le Crabier” ! Où en êtes-vous, où sont les alcools ?!
Comment ça vous ne me croyez pas ? Hhrm.. Vous êtes chanceux de profiter d’une mer plate, nous pouvons grâce à elle discuter. Si le vent était de sortie ? Vous n’auriez vu aucun navire de la Compagnie à quai.

Le monde que je vous ai conté n’est autre qu’un trésor enfoui et dont la carte n’est plus en notre possession, perdue dans un océan de rêves..
Le monde est aussi noir que les fonds marins, la vie n’est plus aussi dorée que le prétende encore les pauvres nobles inconscients des malheurs que nous subissons. Les personnes disparaissent comme des vagues au large, s’effaçant de notre mémoire petit à petit.
Le Capitaine n’est plus ce qu’il était autrefois et aujourd'hui, je le sens partir vers l’horizon.
La Compagnie et les capitaines ne sont plus qu’un vestige d’un passé glorieux, utilisé pour divertir les jeunes et consoler l’élite maritime. L’élite maritime n’est plus composé que des capitaines de la Compagnie. Il existe d’autres capitaines, vraisemblablement, mais eux, n’ont pas la même notion de notre rôle. Capitaines cupides et marins décervelés, ils ne voient pas plus loin que leurs sous.
Pas maintenant Matelot ! Je suis occupé- Le Capitaine n’est plus un homme aussi diverti et libre, désormais il œuvre sans relâche avec la Compagnie, dès que le vent sourit à nos ailes, nous partons, nœud ancré, en mer.
Le population, le Capitaine sait très bien qu’elle a besoin de lui, et des capitaines de la Compagnie, nous sommes la seule compagnie qui n’a pas encore sombré. Si nous sombrons, telle une montée des eaux, ce monde finira englouti.
Nous ne pouvons plus jouir de nos loisirs passées ou de nos salons extérieurs copiés aux terriens, prétendant à être des nobles de petite taille.

Le Capitaine est un homme aux nerfs d’acier mais au cœur de cristal. Lorsque la fatigue s’amarre à votre corps, les aventures signées et succès attendus ne seront plus qu’une goutte parmi un océan de désespoir- Non, non et encore non Matelot ! La prochaine fois que vous m’interrompez vous devrez laver le pont ! Où en étais-je.. le Capitaine ainsi que la Compagnie permettent à cette dernière embarcation de garder le cap et de tenir ses derniers compartiments en dehors de l’eau- Non, je ne suis pas de l’avis de ces miséricordieux qui pensent que nous avons déjà fait naufrage, tout navire peut revoir le jour, le Capitaine en est une preuve vivante. Tant que nous serons là, encore, à mener nos expéditions périlleuses, nous ne coulerons pas, nul besoin d’une étude mathématique.

Le Capitaine est notre boussole et nous suivrons sa direction malgré les vents contraires et les pressions rivales. Si nous ne rentrons pas chaque soir au port, nous ne faisons qu’agrandir la faille dans la coque- Vous pensez que nous ne faisons que de la pêche ? Encore un étendard envolé. Nos bâtiments servent également au transport d’hommes présents sur les côtes du Labret. J’utilise de l’ironie afin de ne pas toujours dramatiser mes propos.
Le Capitaine est un homme soucieux de son bâtiment, tout comme les capitaines de la Compagnie, contrairement à certains qui prétendent en apercevoir ou même en aborder certains, ce nouveau fléau agit comme un poignard sur notre seule voile. Nous devons longer les côtes et espérer. Je n’en ai jamais vu, d’après les crieurs du port, le Capitaine en aurait déjà vu et vaincu. Les pirates, eux, sont un hachoir s’abattant sur notre main radieuse tendue vers le Labret.
La dernière fois, lors d’un salon organisé lors d’une soirée plate, ce qui devient moins commun désormais, j’ai entendu le Capitaine dire au capitaine Ambroise du beau bâtiment “Le Bon Vent” qu’il n’avait plus de temps pour un simple verre et qu’il était tel un bon verre rempli sans délicatesse. Débordé.

L’idéal que nous arrivons à faire passer est une belle chose dont le Capitaine ne se prive pas. Notre monde bourgeois est aussi prestigieux que le monde bourgeois terrestre d’après les dires. Nous essayons de faire comme tout de même mais voyez cela comme un simple lanterne durant une tempête.

Retenez une chose. Le Capitaine reste le Capitaine, moins libre, moins riche, moins caressé par les plaisirs terrestres certes mais il reste le Capitaine, comme les autres par ailleurs. Notre récompense est certes moindre mais tout à fait respectable, équitable selon chaque échelons- Bien sûr que le Capitaine est au dessus, pourquoi en douteriez-vous ?

Une dernière chose avant que je ne sois obligé de réceptionner nos invités de la Compagnie-Nous ne sommes pas nombreux, non, nos réceptions, nommés salons ne sont en réalités que des grandes tables, bien souvent ils ne se changent pas, gardant leurs tenues usées et imprégnées du sel marin. Comme un boulanger dirait, il met la main à la pâte n’est ce pas ? Le Capitaine fait de même, ne croyez plus qu’une vague viendrait perturber son rôle, enfin.. si un crustacé venait à lui abîmer son joyau, sa moustache, je ne crains que nous serions tous victime d’une tempête inconnue, ne le répétez surtout pas au Capitaine. Ces maigres plaisirs sont toujours la plaisante récompense de nos efforts effrénés, et c’est le Capitaine qui travaille le plus. Il est le seul Maître à bord après tout.

Bon voyage et que la Trinité guide votre voile- Matelot ! Je vous avais prévenu !

Certifiez-vous avoir au moins 18 ans ? Bien évidemment !

Comment avez-vous trouvé le forum ? Grâce à Agathe Lavolière.

Vos premières impressions ? Une communauté formidable (même si certains fouillent les poches !). La suite sera à voir, mais déjà, c’est plus qu’un bon début, je dirai même un excellent, voire parfait début !

Des questions ou des suggestions ? Aucunes !

Souhaitez-vous avoir accès à la zone 18+ ? Allons donc !