Marbrume


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 Meser Glasobrin - Validé

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Meser GlasobrinAssassin
Meser Glasobrin



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MessageSujet: Meser Glasobrin - Validé   Meser Glasobrin - Validé EmptyDim 21 Avr 2019 - 4:52





Meser, "Avoir un as dans la manche est une hérésie, autant avoir le jeu entier."




Identité



Nom : [Glasobrin]

Prénom : [Meser (prononcé "Messer")]

Age : [28 ans +/-]

Sexe : [Mâle]

Situation : [.....]

Rang : Charpentier/Ebéniste. Travailleur du bois. (Officiellement.) Assassin. (Officieusement.)

Lieu de vie : Quartier du port, à la limite de la Hanse. Une petite maison qui ne paye pas de mine, discrète.

Carrière envisagée & tableau de départ avec les 4 PCs : Carrière de l'Assassin.
+3 HAB +1 ATT

Compétences et objets choisis :
Art (Du bois. Sculpture sur bois.)
Travail du bois
Mort silencieuse
Sang froid

Equipement: Tenue de civil.
Poignard x1
Sac de toile. (contenant de quoi sculpter)
Bottes de cuir.



Apparence


Du haut de son mètre 80 il est dans la moyenne des hommes, couplée à de larges épaules, sa carrure peut paraître imposante. Ce corps se meut avec une agilité déconcertante dans son environnement, des muscles solides et à fleur de peau traduisent les affres de la famine et une activité physique régulière. Chacun de ses gestes n'est que puissance contenue et précision meurtrière.

Cette impression est atténuée par la douceur de son regard d’une couleur unique, un bleu dragée, kaléidoscope hypnotique de sentiments, que Meser pose avec malice et curiosité sur son environnement. Ses yeux sont masqués la plupart du temps par un chapeau de toile sombre, que le charpentier rabat sur ses yeux dans un geste mécanique, affichant par la suite un sourire poli. Une barbe de trois jours, entretenue avec les moyens du bord, donne à cet homme un air négligé, soulignant une mâchoire carrée taillée à la hache en permanence illuminée par un sourire goguenard.

Vêtu le plus souvent d’un simple pantalon de toile et d’une chemise, ce charpentier à l’apparence simple passe inaperçu dans la masse des citoyens de la capitale.

D’aucun remarqueront sa rapidité d’action, sa précision et son endurance dans les gestes du quotidien, qui trahissent une certaine réserve, malgré les journées parfois épuisantes que le travailleur se voit parfois réaliser.

Cependant, le corps du « tailleur de bois » est bien trop marqué pour être celui d’un simple artisan, c’est la réflexion que se fera n’importe quelle personne posant le regard sur sa peau nue.

Les cicatrices tracent sur sa peau un labyrinthe de plaies, horribles pour certains, preuves de son passé pour d’autres. Quoiqu’il en soit, celles-ci semblent être importantes pour lui.

Le torse et le dos de l’homme sont couverts de traces anciennes de coups de fouets, blessures de bâton, ou brûlures à divers endroits. Des cicatrices en pointe, reliquat de tige métallique, sont visibles au niveau de ses articulations. Si l’assassin n’évoque jamais son passé, il n’est pas difficile de comprendre que celui-ci n’était pas aussi paisible qu’il essaye de le laisser paraître.


Personnalité


Meser ne se prend pas au sérieux, et ne prend pas les autres au sérieux. Pour lui la vie est un éternel jeu, de relations aussi diverses que variées, il prend un malin plaisir à mener son monde en bateau, ce qui implique une certaine solitude, et des risques, qu’il encoure avec une inconscience mesurée, ou une maîtrise parfaite de soi, on ne saurait dire.

Il offre aux inconnus un sourire candide et un regard froid et vif, celui-ci se pose rapidement sur son interlocuteur, semblant le juger et le jauger, l’assassin prendra toujours une à deux secondes avant de répondre à la moindre tentative de discussion, comme s’il cherchait quelle attitude adopter lors de ces échanges.

Au premier contact, et pour ceux qui essayent de creuser un peu plus loin que le premier regard, le tailleur de bois offre une recherche de la plus totale des maîtrises sur son environnement, cet aspect de laisser-aller qu’il se donne, et ce manque de sérieux avec lequel il aborde le monde, cachent en profondeur un homme obnubilé par le contrôle, un contrôle pouvant pousser jusqu’au fanatisme de la maîtrise. Cette façade, car il s’agit là encore d’un ultime masque, cache sa plus grande peur. Une phobie de l’inconnu et un manque de confiance en soi.

Sa construction psychique se base donc sur un jeu de dupes avec l’autre, dans lequel il changera de masque suivant l’interlocuteur avec lequel il se trouve. L’on comprend donc bien vite pourquoi il évite les groupes, et essaiera le plus souvent de fuir les rassemblements.

Un bon bougre pour ses voisins, un homme charmant pour certaines, un charmeur pour les jaloux, Meser s’est forgée une solide réputation de bon homme au sein du quartier dans lequel se trouve sa demeure.

L'assassin fait partie des personnes pour qui les fangeux sont une punition divine. Loin de les apprécier pour autant, comme tout un chacun il les craint comme la peste, tout en se tenant éloigné des murs et du cimetière.

"C'est un scandale ma bonne dame ! Et comment je bois ma pinte moi avec cette famine et tous ces dangers !"
Bien qu'essayant de garder une figure rassurante et amusante auprès de ses plus proches voisins, l'anxiété du porteur de masque est bien présente. Comment lutter contre des créatures bien plus puissantes et rapides que le commun des mortels ? Il n'a pas la formation pour lutter conter de telles abominations.

A l'heure actuelle, Meser est très soucieux vis à vis de sa propre sécurité. Les incidents du 15 janvier 1165 ont eu l'effet d'un coup de fouet sur le sculpteur de petit bois. Le sentiment d'insécurité qui se répand dans la population n'épargne pas le travailleur aux yeux bleu, habitant à la lisière du port et du quartier de la Hanse, l'assassin s'estime bien chanceux d'avoir survécu à cette apocalypse.


Histoire


Toute vie commence par une naissance et c’est dans une petite maison, non loin du port de Marbrume, que Meser vint au monde. D’un père tailleur de bois et d’une mère couturière, le gamin grandit tranquillement, sans heurts. Ayant hérité des cheveux et des yeux de sa mère, l’enfant se voit doté d’une solide musculature et charpente, qui vient, elle, de son père. Bien que légèrement bagarreur, les géniteurs de l’enfant ne prêtent guère oreille à ses escapades, le brimant lorsque celui-ci dépasse les bornes, mais sans jamais tomber dans la violence gratuite…

« CLACK » ni la douleur. Si intense qu’elle en brouille la vision, pas de larmes, lui en reste-t-il seulement ? Est-il encore capable de pleurer… ? Si intense que pendant quelques cruelles secondes la respiration en est coupée.

Couple bien-heureux, les Glasrobin peuvent être connus dans le quartier, leur savoir-faire étant souvent utilisé pour les diverses fêtes et cérémonies religieuses épousant le calendrier. Bois et tissus travaillés par les parents de l’enfant passés donc de mains en mains à l’approche des commémorations des divinités de la Trinité.

Élevé dans le respect des traditions et de la vénération des Trois, Meser est un fervent pratiquant, remerciant bien souvent chacun des Dieux pour les biens-faits qu’ils apportent au monde.

… « CLACK »
Et la prière. Prier, toujours prier. Plus souvent, plus fort et avec plus d’ardeur. Essayer de trouver dans ses vœux silencieux que l’on offre aux divinités la force d’endurer un jour de plus. Au nom de Rikni. Car c’est bien vers elle que Meser tourne désormais son visage, car ce n’est qu’elle, qui met au défi les Hommes.

Sans baigner dans l’or et le luxe, le jeune enfant et sa famille possède un train de vie convenable, lequel satisfait les un comme les autres. La nourriture ne manque pas, l’amour et la joie enivrent les habitants de cette petite maison non loin du port, tout promet Meser à une vie simple de travailleur du bois.

L’arrivé des premiers poils chez l’enfant est source d’une intense fierté pour lui, enfin celui-ci peut s’adonner à la cérémonie du passage à l’âge adulte, un passage que la famille réalisera sans attendre, celle-ci permettant au désormais jeune homme de travailler à part entière. Meser ne manquera pas d’aider son géniteur dans ses travaux du bois, y mettant une force décuplée maintenant qu’il fait officiellement partie « du monde des grands » et qu’il en découvre les joies et les plaisirs.





« CLACK »

Ce sont là les pensées qui traversent l’esprit de Meser alors que la lanière de cuir claque à nouveau douloureusement sur son dos, lacérant sa chair et y apposant une énième marque écarlate, aux côtés de celles désormais cicatrisées qui parsèment sa peau autrefois lisse. Son menton s’est élargi, de même que ses épaules. Son corps s’est développé. Il n’a plus rien de l’enfant qu’il fut un jour. Combien de temps depuis cette époque ? Combien d’années ?

Le châtiment est moins long que d'habitude aujourd'hui, profitant de ces quelques minutes bien trop rares Meser cherche à reprendre son souffle, essayant de juguler le flot d'informations qui submerge son esprit. La douleur est insupportable, comme toujours, à laquelle s'ajoute les insultes et les menaces. Les châtiments se suivent, et ne se ressemblent pas. Tirant le jeune adulte à la rêverie de ses souvenirs.

Les souvenirs… C’est tout ce qui lui reste de sa vie passée.

L’homme face à lui se redresse, à peine essoufflé malgré le nombre de coups de fouet admonesté, le bourreau se retourne et s’en va se vautrer sur une chaise. Laissant choir sur une table l’outil dont les lanières de cuir pendent négligemment, encore luisantes de liquide carmin, lequel s’écoule lentement sur le sol pavé.

La pièce est bien vide et sombre, une couche de paille à même le sol, sur laquelle est disposé un unique drap qui autrefois devait être blanc, une gourde en piteux état, délicatement posée contre le mur, bouchon vers le haut, car celui-ci fuit, et le bien trop précieux liquide ne saurait être perdu. Pour terminer, une bassine, contenant les déchets que produit le jeune homme, que celui-ci a volontairement poussée près de l’entrée de la pièce. Celle-ci n’étant vidée qu’une fois par ce qu’il suppose être une semaine, cela lui fait autant de mètre à parcourir en moins en portant cette immondice pour la vider à l’extérieur.

Le tout éclairé seulement par quelques torches accrochées aux murs et la lueur blafarde qui s’échappe d’un soupirail, devant lequel passe et repasse le ballet des jambes de citoyens à l’extérieur. Crier ? Hurler ? Il l’a déjà fait. Supplier, qu’on vienne l’aider. Essayer simplement de montrer sa présence aux gens de l’extérieur. Meser ne l’a essayé qu’une fois. Il lui en a valu une punition encore plus sévère et un amer goût en bouche, celui de l’incompréhension.

Au début de la détention viennent les questions, comportement habituel pour un jeune adulte qui ne comprend pas ce qu’il fait là. Pourquoi être séquestré dans une cave, battu, torturé, menacé, drogué, violé et tout cela gratuitement ? Le questionnement est intimement lié au propre de l’Homme, ce qui lui a permis de toujours se relever et d’aller de l’avant, l’espoir. Quoi de mieux pour un bourreau de saisir cette puissante émotion ? De le cultiver ? De le faire mûrir jusqu’à faire miroiter au jeune homme une possible amélioration de sa captivité…

Voir sur le visage de sa victime la joie immense lorsque la main suspend son geste après l’énième claquement du fouet, suspectant l’arrêt des sévices, les quelques moments de repos pour le corps et l’esprit, ces secondes salvatrices où l’élève se voit offrir par le maître la chance d’une pause… Quoi de mieux que d’observer cette fabuleuse lueur, aussi forte et éclatante que le plus intense brasier, mais tout aussi frêle qu’une bougie en plein courant d’air, se faire souffler purement et simplement ?

Quel plus intense sentiment de satisfaction pour le bourreau que celui de voir l’esprit de sa victime céder ? Ce moment où tout est accessible, où l’on peut obtenir tous les noms, tous les biens, toutes les informations que l’on souhaite… ? Quel plus grand plaisir pour le tortionnaire de voir sa victime évoluée… ? Essayer vainement de mettre en place des barrières pour supporter l’insurmontable, pour rationaliser la folie des hommes et une situation digne des plus grands cauchemars digne de la Nuit des Serpents.

Une froideur lancinante vous prend alors l’esprit, qui le lacère aussi profondément que le cuir sur la peau, ou les aiguilles dans les muscles. L’anxiété du prochain coup de fouet, du châtiment corporel suivant, de l’insulte, brimades qui va suivre… Une crainte permanente de l’après, qui ne laisse aucun repos psychique. Cet état de stress permanent plonge parfois le sujet dans la folie, l’esprit préférant se réfugier dans le délire plutôt que d’affronter la réalité, beaucoup trop difficile à supporter. Certains jeunes échouent donc à cette phase préliminaire de test.

Au bord du gouffre, Meser s'y est retrouvé de nombreuses fois. Allant jusqu'à imaginer se cogner la tête contre un mur pour en mourir. Se mordre la langue pour s'étouffer avec. Se libérer enfin des sévices qu'on lui impose inlassablement sans la moindre pause, dans un but fou, gratuitement. Pour avoir été au mauvais endroit au mauvais moment ?

S'amuser innocemment avec les jeunes de son âge en se lançant des défis idiots, se provoquer, affronter d'autres enfant dans une course parmi les ruelles du Goulot, profitant de l'occasion pour défier les recommandations des adultes. Surprendre au détour d'une rue crasseuse des individus dans une ruelle sombre s'en prendre à un inconnu, observer avec une curiosité maladive la scène et se faire repérer en trébuchant maladroitement sur l'une des nombreuses caisses. Pester et essayer de prendre la fuite, alors que le jeune adulte entend derrière lui aboyer des ordres tandis que des pas de course se lancent à sa poursuite.

Meser détale. Son cœur tambourine dans ses oreilles. Son souffle se fait court. Ses jambes commencent à le brûler. Le jeune adulte croise putes, éclopés et pouilleux. Bousculant qui se trouve sur sa route. Slalomant entre les personnes. Jusqu'à percuter de plein fouet, une véritable armoire humaine. Les dernières choses que verra alors l'insouciant seront, le ciel crépusculaire de cette fin d'après-midi, et les ruelles crasseuse du Goulot, avant qu'un lourd poing ne vienne l’assommer.

Alors que Meser ouvre lentement les yeux, sa tête raisonne encore du coup reçu en fin de journée, un souvenir douloureux qui le sonne encore, alors que le jeune adulte pose son regard sur un curieux duo d'hommes. L'un est aussi haut que large, il parle aussi fort que le tonnerre. Le captif reconnait d’ailleurs la montagne l'ayant assommé. A sa droite, un homme de taille moyenne bien plus apprêté que le géant. Sa tenue dénote largement avec la fange et la crasse environnante de cette cave, bien qu'elle ne soit pas en très bon état, le tout donnant à l'homme des airs de nobliau égaré dans les bas quartiers, le prince des pouilleux.

Remarquant que les deux hommes ne semblent pas faire attention à lui, Meser aperçoit alors qu'il est entouré par d'autres enfants, d'à-peu-près le même âge que lui, dans un piètre état pour certains. Larmes, sanglots et râles de douleur, les yeux rouges et le visage couvert d'une épaisse pellicule de crasse pour nombre d'entre eux. Le jeune adulte ne compte qu'une poignée de jeunes gens, mais ils ne sont que quelques uns à être vraiment en "pleine forme"

Meser essaye de se lever. Une manœuvre mise à mal par les chaines présentent à sur ses quatre membres. Le tintement du métal alerte les deux hommes en pleine discussion, et ceux-ci s'approchent alors lentement des captifs, tel le serpent prenant au piège sa proie. Un geste ponctué par les gémissements et les recroquevillements de la plus part des enfants.

Les deux geôliers détaillent et évaluent chacun des détenus présent à haute voie. Taille, poids, musculature, carrure. Comme l'on évalue du bétail dans une foire. Trop petit. Trop frêle. Trop chétif... un petit nombre d'enfant semble être mis de côté, ce qui provoque des regains de larmes et de plaintes chez les concernés qui sont alors détachés par des hommes vêtus de longs habits noir, voilant leur visage.

Les silhouettes traînent au sol les jeunes désignés, lesquels essayent en vain d’échapper à la poigne de ses hommes, à grand renfort de cris, d'injures digne des plus bas quartier de la ville, en se débattant comme des animaux condamnés à l'abattoir. La porte se referme derrière le cortège morbide, sous le regard choqué, stupéfait et horrifié des prisonniers encore présent, étouffant les cris devenant des hurlements de terreur, avant de cesser brutalement dans un gargouillis écœurant. Une discrète flaque de liquide carmin se fraye un chemin sous le panneau de bois, accompagné de l'odeur métallique du sang, provoquant quelque vomissement parmi les jeunes survivants.

Satisfait de l'effet que la scène vient d'avoir sur les prisonniers, le plus petits des geôliers, qui semble être le chef, écarte lentement les bras avant de s'adresser à ses victimes d'une voix suave, mielleuse. Dégoulinante tel le plus infâme des poisons.

"Mes amis... Bienvenue dans mon domaine... Les dieux vous ont poussés jusqu'ici et je serais votre humble hôte durant ces nombreuses années que nous allons passer ensemble et qui je l'espère nous serons mutuellement profitables. La... Scène à laquelle vous venez d'assister est toute naturelle. J’exècre la faiblesse. Et ce châtiment attend n'importe lequel d'entre-vous qui ne saurez saisir la chance que je lui offre."

Ponctuant son monologue de gestes expressifs et passionnés, l'homme captive son auditoire. Les captifs se regardent avec crainte, n'osant dire le moindre mot pour contredire cet homme qui semble tenir leur vie entre ses mains.

"Ainsi mes chéris ! Vous devenez en quelque sorte mes enfants ! Et tous parents aiment plus que tout ses bambins en qui il place tant d'espoir ! Vous deviendrez de parfaits assassins, car c'est à ça que vous serez formé. Tout simplement. "

Cette dernière phrase est suivie par un lourd silence dans la salle. Les paires d'yeux captifs observent avec effroi cet homme qui se veut élégant, qui d'une manière un peu folle décide de se prendre pour leur père... Tout en leur promettant une formation pour devenir un assassin.
.

L’entraînement physique est tout aussi difficile que l’entraînement du mental pour le futur assassin.
Punitions et brimades extrêmement violentes accompagnent le moindre erreur, conditionnent la
recrue à une phobie de l’échec. Si dans sa jeunesse Meser pouvait se révéler parfois quelque peut
turbulent et revêche, le captif comprit rapidement qu’il fallait faire profil bas pour survivre dans cet
enfer. Mais son caractère fut tout autant maté que son esprit et tout aussi balafré que son corps.
Autrefois plein de vie et d’enthousiasme, une profonde lassitude et un fanatisme religieux rare
prirent le dessus.

La prière est alors devenue le salut de l’âme de Meser. Surtout de son esprit. Les suppliques que le
tailleur de bois adresse à la sainte trinité l’aide à outrepasser l’horreur de sa situation. Sans se
détourner du culte des trois, le jeune détenu adresse ses souhaits et ses demandes à celle qu’il pense
responsable de son état d’incarcération. Rikni. Aucune accusation de la part du prisonnier envers la divinité, aucune revendication, aucun blasphème. Uniquement l’acceptation passive.

Obéissant, docile, l’apprenti subit les sévices les plus horribles, les entraînements les plus
insoutenables, sans jamais osé se plaindre, c'était inutile. Meser pleure en silence, gémit et grogne alors que sa chair se fait meurtrir. Se réfugiant dans d’intenses prières, certains de ses bourreaux l’entendent parfois psalmodier à demi-mots des litanies en boucle, le regard perdu dans le vague à longueur de temps.

Les Dieux seuls savent le destin des Hommes, et une telle punition ne peut être qu’un rouage dans un plan plus global… Ces hommes veulent faire de lui un assassin, mais Meser sera davantage. Grâce à sa foi et à son entraînement, subit de force au départ, mais devenant une bénédiction pour lui après cette prise de conscience. Si les dieux le veulent, l’apprenti survivra, et deviendra un autoproclamé messager de Rikni.

Son fanatisme devient dès lors son refuge. Durant les heures les plus sombres de sa formation,
Meser se réfugie dans la prière. Les exercices, les punitions, peuvent être tout aussi innommables les
uns comme les autres, le jeune adulte pleure, crie, râle mais ne supplie plus. Les Dieux seuls décideront du moment où l’assassin devra rendre l’âme. Ainsi, même si la crainte des châtiments est toujours présente, l’homme est persuadé de servir un dessein plus grand.


L’entraînement poursuit irrémédiablement son cours. Après avoir détruit l’esprit de leur victime, les bourreaux mettent à mal l’agilité, la force et l’endurance physique des recrues. Combien d’années passent ? Beaucoup trop ? Beaucoup trop de jours pour ne penser qu’à les compter. Beaucoup trop de punitions pour s’en souvenir. Le cours même du temps est devenu erratique. Mais pourtant, une poignée de journée où rien de tout ça ne se produisait. Un petit nombre de jours, limpides dans son souvenir, où la paix régnait en maîtresse dans la cave poisseuse du captif. Le premier jour de l’Avènement. Une gourde d’eau fraîche dans le quotidien de l’apprenti, suivit d’une bien triste cérémonie. Comme un poison venant corrompre l’eau claire dont l’on s’est délecté la veille.

Chaque année, le plus faible du groupe se voit condamner à mort.


Les exécutions sont sommaires. Les premières années ils sont nombreux. Jeunes gens enlevés bien trop tôt au monde, transformés petit à petit en armes. Il n’y aura pas de place pour les faibles et ceux-ci sont rappelés à l’ordre de manière brutale. Quel mercenaire utiliserait une épée ébréchée ? Quel noble passerait un contrat à perte ? Quel assassin peut se laisser aller à la faiblesse ? Pas de pleures, pas de plaintes, pas de pitié. La victime est exposée aux yeux de tous, avant d’être sobrement égorgée. Pas un mot n’est échangé, il n’y en a pas besoin, la vision seule de ce corps étalé au sol dans une mare de sang, laissant la vie le quitter au rythme de ses spasmes d’agonie permet de suffisamment marquer les esprits. Le faible périt, le fort survit.

Plus les années passent, moins les apprentis qui se regroupe chaque année dans l’attente morbide du châtiment se font nombreux. Beaucoup meurent lors des entraînements. Telle est la volonté des dieux… Et Meser survie. Le futur assassin regarde avec horreur chacune des exécutions, priant de longues heures durant pour essayer de se sortir de l'esprit l'image de ces jeunes gens égorgés comme de vulgaires porcs, tressautant au sol dans les gargouillis sanglant de leur agonie.



A sa sortie de formation, après avoir réalisé son premier assassinat qui se déroule dans les faubourgs, l’homme retourne à Marbrume, direction la maison familial que Meser trouvera déserte. Questionnant ses anciens voisins, qui ne reconnaissent pas l’enfant déclaré mort devenu grand, l’homme aux yeux dragées apprendra que ses géniteurs, dans le désespoir de la perte de leur enfant, ont été rappelés auprès d’Anür.

L’assassin se fait embauché comme charpentier sur le port, retrouvant bien vite les habitudes et savoir que lui a légués son paternel. Le bruit se répand dans les bas-quartiers après plusieurs mois d’installation et de vie civile, qu’une nouvelle lame est à louer pour des travaux, très spécifiques. Nous sommes en 1162 et Meser aspire à vivre enfin sa vie.

Alternant entre ses diverses activités, l'homme aux yeux bleu cherche à rester discret, les assassinats dont il est l'auteur sont alors peu nombreux. Profitant de l'allégresse d'être vivant et surtout libre, le charpentier cherche à rattraper ses années de captivité en succombant aux tentations de la vie et de ses délices. Femmes, alcool, nourriture, l'ancien détenu découvre tout ceci avec un empressement mesuré, sa paye d'ouvrier ne lui permettant guère d'excès mirobolant.

Il n'est pas rare d’apercevoir l'homme en tenu de travail, sur les bords du port, contemplant pendant de longs moments les étendues immenses lui faisant face, se délectant d'un moment de calme, seul face à la mer.

Meser ne prête que peu d'attention aux rumeurs et on-dit des bas quartiers, aussi le fléau de la Fange n'est pour lui qu'une élucubration de fous durant les premières semaines. Cependant, l’afflux de plus en plus important de réfugiés pousse l'homme aux multiples facettes à se rendre à l'évidence, ces créatures de cauchemars sont bien réelles.

Le charpentier essayera avec d'autres de ces collègues de travail d'utiliser les chutes de bois pour réaliser des abris de fortune, mais l’affluence grandissantes de réfugiés voua la tentative à l'échec, ceux-ci s'entassant dans les bas-quartier, les petites-gens laissées à l'abandon.

L’apparition de la Fange empêche l'acheminement des matières premières, le bois devient une matière première rare, donc le travail manque. Ainsi, si l’on pouvait se payer ses services contre espèces sonnantes et trébuchantes, désormais la promesse d’un repas chaud et gourmand est suffisante pour mettre un terme à une vie. C'est durant l'hiver 1164 que la lame de l'assassin a le plus travaillée. La mort du roi et de toute son armée n'est pas faite pour rassuré le sentiment que possède l'assassin sur les Fangeux. Il commence à cette époque à penser qu'il s'agit d'un châtiment divin.

L'invasion des Fangeux dans le quartier de la Hanse provoque un sursaut d'anxiété chez l'assassin. Vivant non-loin de se quartier, il se considère comme chanceux d'avoir survécu à cette invasion de cauchemar, remerciant toujours Rikni. Les morts s'entassent dans les rues et la vie devient de plus en plus difficile, Meser ré-apprend à rationner ses denrées, subsistant comme il peut pour survivre à ce nouvel enfer.

La libération du Labret est vécu comme une bouffée d'oxygène pour les petites gens, et l'assassin en profite pour essayer de reprendre une vie normale, profitant de la diminution de la famine, de l'apport en matière première et de l'attrait pour la pêche pour essayer de se faire recruter sur les chantiers d'entretient et rénovations des bateaux.

Cette bouffée d'oxygène prend fin rapidement, lorsque la Milice impose le couvre-feu à tous les habitants suite à la tentative d'assassinat sur le Duc. Les fouilles et le climat de tension qui règne alors en ville rendent le travail difficile. Il est à présent compliqué pour Meser d'accepter un assassinat, mais l'hiver approche, et la surpopulation est toujours présente.


Derrière l'écran


Certifiez-vous avoir au moins 18 ans ? [42 est la réponse universel. Est-ce que ça compte ? (oui)]

Comment avez-vous trouvé le forum ? [Je me baladais dans les limbes de l'internet... QUAND SOUDAIN ! Mon moi futur de dans 35 ans est apparu par la fenêtre ! "FILS !" (oui c'était bizarre) "Si tu ne rejoins pas CE FORUM ! Tu le regretteras toute ta vie et tu finiras par faire du rp chaton dans un forum animalier !!! "
Je suis arrivé ici. Après avoir perdu mes pauvres neurones à lire PRESQUE tout le contexte, je décide de vous présenter l'un de mes persos que j'adore incarner.]

Vos premières impressions ? [C'pas mal. Manque de cookie dans le fond, de lasers aussi. Et si je peux me permettre... Le rose, c'est le nouveau vert.]

Des questions ou des suggestions ? [42. (Si quoique ce soit dérange, ne SURTOUT pas hésiter à le signaler.)]

Souhaitez-vous avoir accès à la zone 18+ ? [Moi ? Non. Mais Meser en aura besoin.]


Modèle de fiche codé par Aure et Séraphin Chantebrume



Dernière édition par Meser Glasobrin le Ven 26 Avr 2019 - 18:53, édité 10 fois
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Merrick LorrenCoutilier
Merrick Lorren



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MessageSujet: Re: Meser Glasobrin - Validé   Meser Glasobrin - Validé EmptyDim 21 Avr 2019 - 5:27
Bienvenue à toi, l’ami !
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Victor de RougelacGouverneur de Sombrebois
Victor de Rougelac



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MessageSujet: Re: Meser Glasobrin - Validé   Meser Glasobrin - Validé EmptyDim 21 Avr 2019 - 8:22
La bienvenue.
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Sydonnie de RivefièreSergente
Sydonnie de Rivefière



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MessageSujet: Re: Meser Glasobrin - Validé   Meser Glasobrin - Validé EmptyDim 21 Avr 2019 - 9:26
Bienvenue parmi nous o/

Si tu as la moindre questions, il ne faut pas hésiter à nous solliciter Seraphin ou moi même :)

Bon courage pour ta fiche ♥️

:bvn:
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Josselyne TourbièreMilicienne
Josselyne Tourbière



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MessageSujet: Re: Meser Glasobrin - Validé   Meser Glasobrin - Validé EmptyDim 21 Avr 2019 - 9:32
Bienvenue à toi, et à ton humour :bounce:

Bon courage pour ta fiche :)
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Ancien prédéfini IdalieBanneret
Ancien prédéfini Idalie



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MessageSujet: Re: Meser Glasobrin - Validé   Meser Glasobrin - Validé EmptyDim 21 Avr 2019 - 10:24
Bienvenue parmi nous :3
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Isaure HildegardeBannie
Isaure Hildegarde



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MessageSujet: Re: Meser Glasobrin - Validé   Meser Glasobrin - Validé EmptyDim 21 Avr 2019 - 10:26
:bvnu:

Bienvenue parmi nous, mh, une double personnalité comme ça, encore un très agréable personnage sans aucun doute.

Ne te promène pas trop dehors, tu pourrais trouver des marqués qui voudraient bien t'utiliser !
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Roland de RivefièreComte
Roland de Rivefière



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MessageSujet: Re: Meser Glasobrin - Validé   Meser Glasobrin - Validé EmptyDim 21 Avr 2019 - 10:37
Bonjour et bienvenue à toi o/

Bon courage pour la rédaction!
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Séraphin ChantebrumeAdministrateur
Séraphin Chantebrume



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MessageSujet: Re: Meser Glasobrin - Validé   Meser Glasobrin - Validé EmptyDim 21 Avr 2019 - 15:21
Bienvenue à toi et bon courage pour la fin de cette fiche!

Comme l'a dit Sydo, on est là si besoin Wink
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Joséphine ClaircombeMilicienne
Joséphine Claircombe



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MessageSujet: Re: Meser Glasobrin - Validé   Meser Glasobrin - Validé EmptyDim 21 Avr 2019 - 17:16
Bienvenue ! Bon courage pour la rédaction !
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Eurybia PyritForgeronne
Eurybia Pyrit



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MessageSujet: Re: Meser Glasobrin - Validé   Meser Glasobrin - Validé EmptyDim 21 Avr 2019 - 19:25
Bienvenue artisan !!! Courage pour ta fiche !
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Sydonnie de RivefièreSergente
Sydonnie de Rivefière



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MessageSujet: Re: Meser Glasobrin - Validé   Meser Glasobrin - Validé EmptyMar 23 Avr 2019 - 9:00
:bvnu:

Bonjour, bonjour,

Je vais être la modératrice en charge de ta fiche, je vais commencer par te souhaiter officiellement la bienvenue parmi nous. Je dois avouer que la fiche fut particulièrement agréable à lire, cependant, tu vas le voir, j'ai de nombreux petits points à revoir, pas de panique surtout, pour quelques uns, ce n'est qu'un complément d'information Meser Glasobrin - Validé 2254173148

On y va, je vais tout reprendre point par point, pour plus de clareté et de facilité à te repérer :

Identité :
- « Stylet x1 » => Nous n’avons pas ça chez nous, il faudrait te référer à notre listing d’arme que tu peux retrouver juste ici => remplacer par poignard, ou dague je pense.

Description psychologique :
- « Les fangeux ne l'effraient guère, mais le dérangent grandement » => J’ai beaucoup de mal avec cette affirmation qu’il faudrait à mon sens atténuer pas mal. Comment on ne peut pas avoir peur de ce qui provoque la fin de l’humanité ? De quelques choses de plus fort de plus rapide qui a chamboulé tout un quotidien, comment ne peut pas ressentir juste un infime sentiment de crainte ? Je doute fortement que si ton personnage se retrouve face à un fangeux, il ne sera pas traversé par un sentiment de peur.

- « En effet ceux-ci rendent les déplacements nocturnes plus dangereux. » => Ce n’est même pas ‘plus dangereux’, si c’est dehors, c’est quasi impossible.

- Après lecture de ta fiche, il me manque les faiblesses de ton personnage, j'ai la sensation qu'il n'est pas réellement équilibré et peut-être me trompais-je, mais qu'il n'est finalement pas atteignable. Il a une résistance à la douleur accrue, personne ne sait ce qu'il fait, il peut tuer sans aucun problème, il n'a quasiment pas d'émotion, il a peur de rien même pas de la fange (oui il a un besoin de contrôle, mais c'est tout). Je veux bien qu'un assassin soit formaté, mais cela n'en fait pas un homme surhumain non plus. Il faudrait atténuer ou rajouter de quoi montrer, qu'il n'est pas si intouchable que ça non plus.

Histoire :
- « Le châtiment est moins long que d'habitude aujourd'hui, loin de s'en réjouir Meser en profite pour se ressourcer. » => Là aussi, j’ai un peu de mal, je pense qu’il faut atténuer et que profiter d’une petite séance de coup de ceinture pour se ressourcer, c’est trop fort. Qu’elle soit la 150 ème ou la première, s’il peut avoir une résistance psychologique plus importante, la douleur, elle est quand même là.

- Pour toute la partie torture, enfermement, moi il me manque une étape, qui l’a mis là ? Comment il s’est retrouvé dans cette cellule, qui le torture ? Où ? Parce que bon, il faut quand même un lieu isolé pour pouvoir espérer faire subir tout ceci à des mômes sans jamais se faire repérer ou attirer l’attention, ou être fouillé par l’armée

- Ensuite il me manque une grande grande partie de ta fiche finalement… Tu termines en 1162, nous sommes en 1166, tu prétends que ton personnage n’a jamais été impacté par la fange, mais c’est impossible. Je t’invite à regarder notre chronologie générale qui devrait te permettre de te donner une idée, mais je vais quand même te refaire un point des événements marquants de Marbrume :

-> Premièrement, les conditions de vie change du tout au tout, avant la fange et après la fange, après la fange, les bas quartiers sont entassés de survivants, de réfugiés, on meurt, on crève de faim, il n’y a pas de la place pour tout le monde, le taux de criminalité augmente et le fossé entre « bourgeois/noble » et « petits gens » se creuse davantage.

-> Septembre 1164 : L’affaire de Sarosse fait grand bruit dans toute la ville, le duc vient d’ordonner de fermer les portes de la ville devant une famille noble et beaucoup d’autres petits gens, malgré les supplices intérieurs et extérieurs du domaine, les portes resteront fermés et tout le monde pourra entendre et voir les bêtes se rassasier -> Même si cela ne t’impacte pas réellement toi, cela a dû faire réagir les clients de ton personnage, cela a dû faire grand bruit.

-> En Janvier 1165, on réunit les nobles autour d’une table pour déterminer la suite des événements, si cela ne te concerne pas, la suite beaucoup plus. La fange réussi à s’infiltrer dans la ville pour la première fois dans le quartier de la Hanse par les égouts et ce sont de nombreuses pertes qui sont à déplorer.

-> Février - Mars 1165 : Reprise du Labret, beaucoup beaucoup de pertes, mais le Labret est repris ce qui offre une petite trêve niveau famine. Par la suite le Labret est sécurisé difficile, puis reconstruit, alors que tout le peuple s’occupe durant un événement amusant, une chasse d’enquête, de jeu, bref la belle vie, pendant que les mains armées meurent. Suite à cette reprise, le Duc manque de mourir, assassiner par des bannis et des lâches. Un couvre-feu et mit en place, la pression est réelle dans la ville, tout le monde est fouillée, le bannissement n’existe plus, c’est la peine capitale pour la moindre faute. Ca va créer une ambiance très lourde, qui doit mettre à mal ton petit boulot, celui de l’ombre ou l’officiel.

- Globalement j’ai fait le tour des choses importantes, tu n’es évidemment pas dans l’obligation de tout reprendre (au niveau des situations chronologique), mais c’est pour toi avoir une idée, je dois vraiment ressentir dans ta fiche le avant la fange et le après la fange. Un personnage, même ayant toujours vécu à Marbrume et n’ayant pas mis un seul petit orteil dehors ne peut pas être épargné par la fange. Parce qu’elle a réussi à s’infiltrer dans la ville une fois, parce qu’elle a tué le Roi et son armée entière, obligeant le duc à prendre le pouvoir, à reformer une milice en catastrophe, parce qu'elle apporter une surpopulation de la ville avec ses dérives, parce que les gens meurs de faim...

Voilà, je te souhaite plein de courage pour les modifications, si tu as besoin je reste évidemment à ta disposition o/
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MessageSujet: Re: Meser Glasobrin - Validé   Meser Glasobrin - Validé EmptyVen 26 Avr 2019 - 18:57
La fiche est à présent modifiée !

J'ai rajouté d'avantage de détails offrant une meilleur "humanité" au personnage, une meilleur vision de ses faiblesses. (notamment vis à vis de la Fange, mal évaluée. )

Comme tu le souhaitais, une annexe sur le "Où/pourquoi ?"

Je me suis inscrit de même dans le lore, pour a voir une meilleur vision du "avant/après"

Enfin, vu q'il s'agit d'un assassin, et le jeu du chat et de la sourie étant la base de ce rp, j'ai toujours en réserve 2/3 indices qu'il laisse sur les lieux de travail comme "preuve" de passage.

Bisous baveux.
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MessageSujet: Re: Meser Glasobrin - Validé   Meser Glasobrin - Validé EmptyVen 26 Avr 2019 - 19:44
Hop, j’arrive, me voilà, me voilà, on reprend point par point comme ça c’est plus simple. Félicitations déjà pour les modifications :

• Identité :
- RAS

• Apparence :
- RAS

• Personnalité :
- RAS

• Histoire :
- RAS

On est bon \o/

De ce fait, je t'ouvre les portes de nos terres et d'un coup de baguette non magique je t'offre une belle couleur jaune pipi.

Pour le petit tour de la maison, tu peux commencer par faire une demande de RP en passant cette porte ou aussi répondre à une demande évidemment. En continuant la visite, tu peux si tu le souhaites créer un journal d'aventure à ton personnage, ou consulter celui de tes futurs partenaires. Par la suite, une fois plus à l'aise dans ton nouvel environnement de jeu tu peux faire un tour dans les quêtes et les missions.

Enfin, ce qui doit, j'en suis convaincue t’intéresser le plus, tu peux retrouver ta jolie carrière comprenant ta réputation, ton tableau de HF et la répartition de tes compétences et points de compétences. C'est ici que tu pourras faire tes achats avec l'XP durement gagné. (Chaque achat coûte 25XP -que tu gagnes en votant, participant aux concours/animation du forum, ou en participant à des missions/quêtes.

En parlant d'animation, n'hésite pas à participer a l'animation de pâques.

N'oublie pas que toutes tes compétences débutent au niveau 1 et peuvent être augmenter jusqu'au niveau 3. (1 étant le niveau d'apprentissage, 3 la maîtrise complète de la compétence)

Pense également à mettre tes liens importants dans ton profil (Fiche, journal et carrière)

J'ai fais le tour, je te laisse découvrir l'ensemble tranquillement, si tu as des questions il ne faut pas hésiter à passer sur la CB ou à MP Seraphin ou moi même.


Bon jeu parmi nous et puisses ton personnage parvenir à survivre et à ne pas se faire trop d'ennemis cheers
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