Marbrume


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 Elias d'Armesac - "Grosso-modo, on est quand même un beau tas de consanguins..." [finie]

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MessageSujet: Elias d'Armesac - "Grosso-modo, on est quand même un beau tas de consanguins..." [finie]   Elias d'Armesac - "Grosso-modo, on est quand même un beau tas de consanguins..." [finie] EmptyMar 3 Nov 2015 - 13:10




Elias d'Armesac




Identité



Nom : fils d'Armesac (dit "d'Armesac")
Prénom : Elias
Âge : 27 ans
Sexe : ♂
Rang : homme du Peuple (malgré un titre de comte des plus obsolète), conscrit, fermiers, contrebandier, maquereau.

Physique




Homme d'un mètre soixante-quinze aux fins cheveux blonds et aux yeux jonglant entre le bleu et le vert, Elias est un jeune guerrier âgé d'une vingtaine d'année. Son visage comme son corps (musculeux, élancé et décoré par de nombreux tatouages) arborent de nombreuses cicatrices, fines ou épaisses, résultat des nombreuses batailles qu'il pu mener dans sa vie.

Malgré le fait que certaines mauvaises langues le qualifieraient de « chef barbare », il est loin de se vêtir uniquement de cuir ou de peaux de bêtes, du moins pas uniquement. En effet, il ne sort jamais en ville dan de tel accoutrements, préférant dans ce genre d'endroits des tenues plu sobres, adaptées à un homme de la populace citadine.
Ses longs cheveux blond sont généralement coiffés en arrière ou attachés en un chignon primitif, plus pratique qu’esthétique, et son menton est orné d'un bouc qu'il ne soigne que pour certaines occasions.

Il porte régulièrement une ou deux arme sur lui, (épée, couteau etc.) qu'il exhibe fièrement comme pour dissuader de potentiels agresseurs, ou bien cachées à la vue de tous, selon son humeur.
Mais c'est avant-tout un homme qui sait se battre, et qui ne manque pas une occasion de le faire savoir.

Personnalité



Fougueux, avare, mais un homme intelligent. Voici ce qui qualifie le mieux notre homme. Car c'est avant-tout un homme comme les autres, ne désirant rien d'autres que la fortune et la sécurité des siens. En ça, l'on peut au moins reconnaître une chose : rien d'autres ne lui importe plus que la survie des siens, ou du moins de ce qu'il en reste. Et le fait que son peuple ait pu éclater ainsi, il ne le digère qu'à moitié.
C'est en partie pour cela qu'il c'est mis à se lancer dans divers trafics douteux (prostitution, contrebande).
Et gare à celui qui viendrait lui mettre des bâtons dans les roues

C'est également quelqu'un de fier, qui n'a jamais eu l'envie de se terrer dans une ruche puante pour se sentir à l’abri, raison pour laquelle il n'a aucune crainte de vivre à l'extérieur de la ville, contrairement aux autres membres de sa maison (bien qu'il continue d'entretenir avec eux de bonnes relations). Ses terres sont toujours ça que les Fangeux n'auront pas, et d'aucun pensent que c'est en partie cette fierté qui l'a, au départ poussé à s'engager dans la milice, et ce bien qu'humblement.
Car même si ses acquis militaires feraient de lui un excellent soldat, il préfèrent de loin se concentrer sur ses trafics et ses putains, plus lucratif. Paradoxalement à son presque-statut de gardiens de la paix, il n'a jamais eu aucun scrupule à cacher un bannis en sa demeure. Après tout ce n'est pas un voleur de poule qui menace l'espèce humaine, n'est-ce pas ?

Histoire



Le fer de hache virevolte dans les air, teinté de rouge, et vient se planter dans le nez du premier homme qui passe à sa portée.
D'un coup de bouclier, Elias frappe un autre ennemi d'un coup de bouclier dans la mâchoire, ce qui le met à terre, avant de l'achever, ramassant une masse qu'il abat sur le crâne du pauvre homme.
Derrière le jeune guerrier blond, un groupe d'hommes, ses frères d'armes. Dans la main de l'un d'eux, la hache qui fut lancée, et qui lui sauvât la vie.

Tous s'élancent en direction de la colline, là ou le gros de la bataille se passe. Ils perdent. Engagé à deux contre un, le chef de guerre tente, désespérément, de rattraper les pertes de leur camps. Il tue un homme, puis un deuxième. Le troisième le plaque à terre, tente de lui trancher la gorge, les rôles s'inversent. Il le tue, se relève, attaque un quatrième qui lui tient tête avant de planter son estomac.
De rage, Elias charge ce quatrième, le tue à moitié. Il s'acharne sur son crâne à main nues avant de ramasser l'épée de son père, prêt à faire à la trentaines d'hommes encore debout.
Ses frère d'armes le retiennent, le ramènent à la raison : le comte est mort, il doivent se replier.

Une nuit est passée. Conan, fils d'Erbin, et chef de la maison d'Armesac, est mort, tué de la main d'un des guerriers de la comté d'Argon. C'est à son fils, Elias, de prendre le commandement. À 27 ans, il est bien en âge de commander.
Avec lui ses conseillers, ceux de son père, et parmi eux ses plus fidèles frère d'arme.

Elias est comme eux : un enfant du pays que seul son statut d'g=hériter du trône démarquait des autres, aimant rire, jouer, parfois se moquer de son prochain, mais ne le prenant jamais de haut. Sa terre était une simple petite ville, un hameau ou aucun noble ne peut se permettre de mépriser son peuple. Puis, comme tout les autres garçons de son âge, il appris à aimer la mer, la pêche ainsi que les joies de la boisson accompagnées des nuits d'ivresses enjouées et les douloureuses gueules-de-bois qui s'ensuivaient.
Et tous avaient depuis longtemps compris que les filles n’étaient pas toute « nulle », comme ils le pensaient enfant.

Et comme tout les hommes, Elias appris un jour ce qu'était la guerre, le fracas des fers, le goût du sang et l'indescriptible sensation une fois la bataille finie et que l'on était là, en vie, parmi une centaine de cadavre. Sa famille c'était faite bien des ennemis au fil du temps, et chaque querelle se réglait dans le sang et les larmes. Mais nul-par sur un champs de bataille Elias ne c'était sentit plus vivant.

Et aujourd'hui, alors que son père était enterré, sa rage, elle, était à son paroxysme. Les priorités étaient restées les mêmes : veiller sur le bien de son peuple. Or, le comte d'Argon, annexant et conquérant chaque années de nouvelles terres, était devenu une menace, une menace qui mettait l'existence même de la comtée en péril, et en cela chacun était d'accord.

-Notre priorité est d'éradiquer ces bâtards, purement et simplement ! Des objections ?


Aucune objection. Seul l'un des 8 présents autour de la table ose lever la voix. Cet homme, c'est Enède, qui n'est autre que son bras droit, en plus d'être son meilleur ami.

-Et comment comptes-tu t'y prendre mon frère ? Argon à désormais plus d'homme que nous n'en aurons jamais, un affrontement direct serait voué à l’échec !

-Nous rallieront à nous les familles environnantes. Certaines maison nous doivent leur existence, ils n'oseront pas refuser !

-Les plus importants comme les Salmer et Migralle nous ont payés leur dette depuis longtemps, je ne pense pas qu'ils s'engageront dans une guerre qui ne les concerne pas.

C'est Alvin, l'un des conseillers du précédent chef, qui à prit la parole.

-Alors nous les enrôlerons de force !

-Tu te rend compte de ce que tu dis mon frère ? Tu t'apprête à chier sur une amitié vieille de trente ans !

[color=#669933]-Ou ils nous suivent, ou nous mourront tous ![color]

Enède tente de le calmer.

-Tu laisse la rage t'envahir mon frère ! Ceux que tu t'apprête à envahir restent bien plus fort que ce que nous sommes devenus, si jamais nous échouons ce sera la mort de notre peuple.

Elias voit dans le regards des autres conseillers l'approbation des dires de son frère, il peste.

-Très bien. Nous enverrons d'abord un messager prévenir chaque villages voisins que les Armesac cherchent des alliés pour faire face aux Argons, en précisant qu'il en va de leur survie. Je m'occuperai de rendre visite aux Salmer, aux Migralle et aux Armac. Nous déciderons de la suite plus tard.

3 heures après, 8 hommes partirent au galop quérir l'aide des clans voisins. Parmis eux, 3 seulement acceptèrent se joindre à la Vendetta contre les Argons. Conan, au fil des ans, avait réussis à se faire des alliés fidèles, rares certes, mais assez proches pour désirer venger sa mort. D'autres encore craignait eux aussi pour la survie de leur peuple.

Les autre ne virent aucun intérêt au fait de se mêler d'une guerre qui ne les concernait en rien.
Pendant ce temps la ville de la côte fut déserté, car l'on cagnait une attaque en masse de la par de l'ennemi, qui n'allait certainement pas rester sans rien faire après une telle victoire. Par chance, la position du village était bien cachée, et les guerriers avaient pris soin de brouiller les pistes lors de leur retraites.

De son côté, Elias était partis rendre visite aux trois comtés les plus proche de la région. Les Armac avaient toujours été fidèles au clan d'Armesac, et vice-versa. De nombreuses batailles avaient été menés et gagnées grâce à leur alliance, et quelques échanges commerciaux faisaient qu'il n'eut aucun mal à les joindre à sa cause.

Il essuyât un refus des Salmer, ainsi que de Migralle.
Le chef de ce dernier, Albert de Migralle, était lui aussi proche du père d'Elias, mais un pacte avait déjà été passé avec les Argon, garantissant la paix pour son peuple en échange d'un impôt mensuel.
Un lâche et un paresseux, se disait le jeune guerrier, et il n'était pas le seul à le penser.
Lui et ses hommes furent invités à passer la nuit au village, avant de retourner chez eux.

-J'ai parlé aux homme d'Albert, peu sont d'accord avec ce qu'il fait, et certains n'auraient rien contre botter le cul à ces salopard.

Le gros Alvin avait toujours été bon pour tisser des liens avec les étrangers, et cela avait toujours été utile lors de moment critiques.

-Dit-leur que ce soir ce sera réglé.

Albert n'était pas seulement un lâche, c'était aussi un ivrogne comme l'on n faisait plus. Elias ne pouvait pas vraiment le lui reprocher, ç’aurait été bien hypocrite de sa part, et ce soir, cela arrangeait grandement ses affaires.

-Dit aux hommes de se tenir prêt.

Alvin lui glissât un surin dans la man et partit en informer les hommes.
Albert était torse-nu, de la mousse de bière plein la barbe.

Elias se dirigeât vers lui et l’empoignât rapidement par les cheveux avant de plonger sa tête dans le fut d'alcool juste à côté, alors qu'au même Alvin et le reste de l'escorte d'Elias, ainsi que les quelques soldats ralliés à sa cause, dégainèrent leurs armes, menaçant quiconque oserait s'interposer de le saigner comme un cochon.

Se noyant dans sa bière, Albert se débattait férocement, et Elias lui donnat deux coup de surin dans les reins pour le calmer.
Hurlant de douleur, le pauvre homme eut tôt fait de boire la tasse, avant de s'étouffer. Le spectacle morbide semblait durer une éternité pour les pauvres ères qui regardait, impuissant, leur chef se faire « liquider » de la sorte, jusqu'à ce qu'il cesse enfin de bouger.

Le lendemain, le clan Migralle se trouvât sous la juridiction d'Arnold de Migralle, le principal opposant d'Albert, qui les suivit pour s’occuper du cas des Salmer.
Les deux clans frappèrent de nuit. L'attaque fut rapide, brutale, efficace, et rencontrât peu de résistance.
Elias et Arnold conclurent un accord quand partage des terres et continuèrent leur route, allant prévenir les Armac que les affaires à l'est étaient réglées.
Plus tard les autres clans ayant refusés l'offre acceptèrent de se joindre à l'armée d'Elias, devenue des plus conséquente, et les derniers récalcitrants furent écrasés et enrôlés de forces.

Les jours passèrent, et la reconquête des côtes martimes sonnât enfin. Abandonné, leur village avait été prit par Angus d'Argon, grand chef du clan, qui en fit son nouveau lieu de résidence (et il n'y eu aucun doute qu'il ne l'avait fait par pure provocation).
Les troupes Migralle, Armac et Armesac avançaient. Plus d'une centaine d'hommes composait les ranges de chaque clan : c'était plus ou moins le même nombre d'homme que contenait l'armée d'en face.

Alertés par des postes de gardes improvisés postés aux alentours, les Argons avaient tôt fait de se préparer pour l'assaut qui allait suivre.
La bataille n'eut lieue qu'à quelques mètres du village. Rapidement, les clans alliés prirent le dessus, ce qui ne les empêchait pas d'essuyer maintes pertes conséquentes.
Au final, ils gagnèrent, et le village fut repris. Mieux encore : Angus, l'homme à l'origine de tout ce chaos, fut fait prisonnier.

Quand les armes furent déposées, seul la rage d'Elias demeurait, et cette rage il eut tout le temps de la déverser sur le pauvre chef vaincus : enfermé dans une grange, seul face à son bourreau, Angus appris très vite ce qu'un homme pouvait faire endurer à son prochain.
Le blondin ne sortit qu'une demie-heure après, et les cris qui avaient put être entendus durant ce laps de temps étaient proportionnels à l'état du cadavre qu'il avait laissé.

-Jetez-le dans la fosse à purin, demain nous partons pour les finir.

Personne ne comprit. Le hameau avait été repris, et Angus mort, n'ayant pas de fils, le clan Argon mettrait du temps avant de se reconstruire, certainement assez pour que les alliances conclues finissent par ce briser et que tout ce Angus avait bâtis jusqu'ici soit réduit à néant.

-Tu ne comprend pas. Je ne veux pas uniquement voir ce salopard mort, je veux chier sur tout ce à qui il tenait.


Une fois de plus, Enède se dresse contre son frère.

-Tu te laisse aveugler par la vengeance mon frère, nos hommes sont épuisés, nous avons assez essuyés de perte pour aujourd'hui !


-Si tu n'es pas fier de l'avenir que te propose tu n'as qu'à foutre le camps, toi et et les cheins qui te suivent !


-Ces « chiens » comme tu dis, c'est ton peuple !! Si tu continue à faire passer ton intérêt avant les leurs, alors mieux vaut que tu abandonne le trône dès maintenant.

Et à qui le laisserait-il le trône? A lui ? Elias commençait à le soupçonner de vouloir lui ravir sa place.
Ce qui s’avérât être vrai : le lendemain, un duel entre les deux frères eut lieu. Au milieu de la zone de combat, l'épée d'Elias était plantée, c'était le seule arme autorisée. Celui qui parviendrait à récupérer l'épée et à faire flancher, si ce n'est tuer son opposant, deviendrait le nouveau maître de la comté.

Au fond de lui, Elias n'avait jamais voulu en arriver là. Enède était plus déterminé que jamais. Quand le départ fut donné, Elias se ruât d'abord sur l'épée. Il ne voulait pas tuer son ami, et priait pour un abandon e sa par. Son frère le chargeât et le plaquât au sol.
Les deux hommes luttèrent longuement. Le siècle régnait, seul les bruits de chair contre chair et les glissement dans la boue encore fraîche se faisait entendre. Enède s’emparât de l'épée et tenta de frapper son ancien chef. Lui esquivât le coup et parvint à le plaquer au sol, enfonçant son visage dans la boue, et récupérant l'arme dont il glissât la lame sous sa gorge.

Il le supplie d'abandonner, il n'a jamais voulu ça.

« Fait ce que tu as à faire, mon frère » furent ses derniers mots.
Ce jour là, Elias tuât son tua son meilleur ami. Il s’enfermât dans la salle du conseil, buvant jusqu'au lendemain, ou les troupes partirent pour achever leur travail.

~.~

Pour régler cette affaire efficacement, ils attaquèrent d'abord les ville set villages en grand nombres. Plus ils avançaient, et plus la défense ennemie s'amenuisaient. Au bou de trois jours pillages, l'on décidât que chaque camps devrait partir de son côté afin de terminer le travail, avant de se rejoindre au cheateau d'Armesac.
Elias et ses troupes se retrouvèrent devant leur dernier village à mettre à sac, néanmoins quelque chose d'étrange c'était apparemment produit : le village était désert. Quelqu'un les avait-ils prévenus de leur avancée ? Possible. Il fouillèrent chaque recoins, chaque parcelle de terre. Ils ne trouvèrent rien, rien d'autre que des os, et une inquiétante odeur de sang. Bien sûr c'était bien loin de les rassurer, et Elias. comme ses hommes n'avaient qu'une seule envie au fond d'eux-mêmes: foutre le camps, (bien que personne ne l'avouât publiquement).
C'est alors qu'un homme apparut. Il était nu, sa démarche était des plus étrange. Borg, l'archer, prit les devants.

-Qui êtes-vous ? Donnez votre nom !

Il ne répondit pas. Au lieu de ça, il chargeat ver la troupe de guerriers en hurlant. Borg eut tôt fait de lui décocher une flèche que d'autres hommes surgirent en hurlant de la même façon.

Leur apparence était humaine, mais leur force et leur sauvagerie surpassaient le pire des guerriers présent. Ces choses massacrèrent et tuèrent, pire même, dévorèrent chaque homme qui passaient à leur portées. Une dizaine de guerriers, tout au plus, réussirent à s'enfuirent en compagnie de leur chef.

Ce qu'ils ignoraient alors, c'est que leurs alliés partis assiéger leur zone respectives connurent le même sort, à la différence qu'eux n’eurent aucun survivant.
Le village de la côte était dans le même état : mis à sac, mais, par chance, aucune de ses bêtes n'y avaient élu domicile. Là aussi quelques rares survivants avaient réussis à s'enfuir dans la grotte qui leur servait de cachette durant les grandes batailles.
Alvin et sa famille avaient survécus, ainsi que Claudius et Borg l'archer. En tout ce fut une trentaine d'hommes, femmes et enfants qui furent chassés de leur terres natales par ces immondes créatures.

~.~

Des mois passèrent. Des mois de migrations, de faims et de pauvreté. Deux femmes, un homme et deux enfants moururent lors de cette période. Il s apprirent que les créatures qui les avaient attaquées ce soir là portaient désormais le nom de « Fangeux », et qu'ils représentaient désormais la pire menace que le royaume avait affronté jusque là.

Ils apprirent aussi que les survivants se terraient désormais dans une ville du nom de Marbrume, qui n'allait pas tarder à devenir le dernier bastion de l’humanité.
Une porcherie, et Elias fut désolé de voir les membres de son propre clan lui tourner le dos pour un tel endroit.
Seul Alvin, sa femme et leur deux filles, ainsi que Borg et Claudius s'installèrent à ses côtés dans un village de l'extérieur.

Lui et ses frères s'engagèrent alors dans la milice. Claudius y trouvât une vocation, un moyen de se faire une place dans ce nouveau monde et de se venger, un jour, des monstres qui avaient prit le vie de sa femme.
Alvin étai beaucoup trop âgé pour ça.
Elias et Borg préférèrent rester plus humble dans leur engagement, aucun deux n'ayant pour ambition d'embrasser une carrière militaire au service d'un supérieur idiot. De plus, plus de la moitié éradiqué, tout ce qu'il avait mis tant de peine réduit à néant, Elias sombrât lentement dans une profond dépression, et, évidement dans l'alcool et autres substances tueuses de sens.

C'est un soir qu'il fut chassé du bordel qu'il avait l'habitude de fréquenter, fautes d'avoir de quoi payer. Ne pas pouvoir payer, dans ce genre d'endroit, peut souvent s'avérer douloureux, et vomir sur les bottes du patron dans cette situation là peut s'avérer fatale.
Il se réveillât dans une fosse à purin. Son corps tuméfié lui faisait mal, il puait la pisse, la merde et sa propre gerbe.
On l'avait jeté ici. Lui, le comte d'Armesac, celui qui avait mis à genoux des familles jadis invaincues, on l'avait jeté dans une fosse à merde.
Inacceptable.

Une nuit, il envoyât un message anonyme au tenancier, dans une rue peu fréquentée, néanmoins assez pour que quelques gardes vienne t y faire leur ronde.
L'homme et ses deux gorilles y trouvèrent le cadavre d'un soldat, la jugulaire ouverte au couteau, le sang encore chaud.
Derrière eux, Silas criât à l'aide, au meurtre, et planta le premier hommes à côté de celui dont il voulait la peau. Il agitât son couteau pour les éclabousser de sang et se ruât sur le maquereau pour lui ouvrir la cuisse avant de se faire passer à tabac par le dernier homme à avoir accompagner son employeur.
Il se dégageât plantât sa lame dans son pied avant de lui ouvrir le ventre. Il jetât ensuite son arme au tenancier (toujours souffrant, et qui, pour le coup, fut pris au dépourvu) et cognat son visage contre le mur, alors que les gardes arrivaient.

Il leur expliquât qu'il avait entendus du grabuge au coin de la rue, et que lorsqu'il s’avançât vers le grabuge en question, il avait vu ces trois hommes saigner le garde dont le cadavre gisait sur le sol.
N'écoutant que son courage, il lui était venu en aide, malheureusement bien trop tard, et c'était vu obliger de tuer ces deux agresseurs, ou ils lui auraient réservés le même sort qu'au pauvre malheureux.

C'était sa parole contre celle de trois mort, que la sale réputation précédaient, il n'eut donc aucun mal à leur faire avaler cette histoire.

-Je vous félicite pour votre courage et votre sens du devoir, camarade !

-Je n'ai fait que mon devoir civique monsieur !


La maison-close avait ainsi perdu son propriétaire, et l'homme responsable de cette situation fut également celui qui la rétablie.
Empruntant de l'argent à Borg et Alvin, le premier ayant ouvert une forge avait de l'argent et n'eut pas à réfléchir une seconde quand au fait de diriger un bordel et le second, devenu brasseur, c'était au final fait un assez bonne situation et ne voyait aucun intérêt dans le fait de s'occuper d'un second établissement (et les putains étaient très loin d'être sa tasse de thé, ni du goût de sa femme) il rachetât l'établissement et recommençât une nouvelle vie, en compagnie de son ami forgeron.

Tout deux avaient conclus un pourcentage égale à la part de travail (Borg s'occupant du gros du travail, il prenait 5 % de plus que son ami, qui de toute façon avouait lui-même ne pas avoir besoin de plus, vu l'argent que l'affaire rapportait).

D'autres affaires suivirent, souvent toutes aussi louche, mais l'important était fait : il était à nouveau de retour.

Soi réel




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Dernière édition par Elias d'Armesac le Mer 4 Nov 2015 - 18:54, édité 14 fois
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Ambre de Ventfroid



Elias d'Armesac - "Grosso-modo, on est quand même un beau tas de consanguins..." [finie] Empty
MessageSujet: Re: Elias d'Armesac - "Grosso-modo, on est quand même un beau tas de consanguins..." [finie]   Elias d'Armesac - "Grosso-modo, on est quand même un beau tas de consanguins..." [finie] EmptyMar 3 Nov 2015 - 13:11
Bienvenue parmi nous, Elias ! En espérant que tu te plairas ici ; surtout n'hésite pas si tu as des questions !
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MessageSujet: Re: Elias d'Armesac - "Grosso-modo, on est quand même un beau tas de consanguins..." [finie]   Elias d'Armesac - "Grosso-modo, on est quand même un beau tas de consanguins..." [finie] EmptyMar 3 Nov 2015 - 20:05
Je te remercie, donzelle, et t'annonce que j'en ai terminer avec ma fiche !
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Aigrefin
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MessageSujet: Re: Elias d'Armesac - "Grosso-modo, on est quand même un beau tas de consanguins..." [finie]   Elias d'Armesac - "Grosso-modo, on est quand même un beau tas de consanguins..." [finie] EmptyMer 4 Nov 2015 - 19:56
Bonsoir, et bienvenue sur Marbrume !

Très belliqueux, comme personnage ; une chance que ton suzerain fût sûrement un gros hobereau empoté qui passait davantage de temps à chasser qu'à se soucier de ses vassaux. :mrgreen:

Malgré des fautes qui auraient pu, je le pense, être évitées grâce à un bête correcteur orthographique, c'est une bonne fiche (même si j'ai tilté à cette façon de départager deux prétendants, mais, au fond, qu'importe).

Je te valide, et bon jeu parmi nous !
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MessageSujet: Re: Elias d'Armesac - "Grosso-modo, on est quand même un beau tas de consanguins..." [finie]   Elias d'Armesac - "Grosso-modo, on est quand même un beau tas de consanguins..." [finie] EmptyMer 4 Nov 2015 - 22:49
Je te remercie grandement !
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Aigrefin
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MessageSujet: Re: Elias d'Armesac - "Grosso-modo, on est quand même un beau tas de consanguins..." [finie]   Elias d'Armesac - "Grosso-modo, on est quand même un beau tas de consanguins..." [finie] EmptyJeu 5 Nov 2015 - 1:05
Une question en plus, en fin de compte ;

Te considères-tu davantage milicien ou souteneur ? Pour savoir si je te laisse vert ou te mets jaune. =P
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MessageSujet: Re: Elias d'Armesac - "Grosso-modo, on est quand même un beau tas de consanguins..." [finie]   Elias d'Armesac - "Grosso-modo, on est quand même un beau tas de consanguins..." [finie] EmptyJeu 5 Nov 2015 - 5:14
J'aurais plus mi jaune ouai =p
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Aigrefin
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MessageSujet: Re: Elias d'Armesac - "Grosso-modo, on est quand même un beau tas de consanguins..." [finie]   Elias d'Armesac - "Grosso-modo, on est quand même un beau tas de consanguins..." [finie] EmptyJeu 5 Nov 2015 - 12:23
Au temps pour moi ; c'est corrigé, donc.
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MessageSujet: Re: Elias d'Armesac - "Grosso-modo, on est quand même un beau tas de consanguins..." [finie]   Elias d'Armesac - "Grosso-modo, on est quand même un beau tas de consanguins..." [finie] Empty
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