Nom : Dumoulin
Prénom : Salvin
Surnom : Salvin la Poisse
Âge : 23ans 1/3
Sexe : Masculin
Rang : Banni et pirate
Carrière envisagée & tableau de départ avec les 4 PCs : Traqueur
HAB +1 INI +1 PAR +1 TIR+1
Compétences :

ADRESSE AU TIR : Votre personnage se révèle être particulièrement adroit au tir avec un type d'arme précis (à déterminer à l'acquisition de la compétence) et gagne un bonus de +1 à tous les tests de tir avec des armes de ce type. (Exemples de types d'armes de tir : arcs, arbalètes, etc…)
AMBIDEXTRIE : Votre personnage peut utiliser ses deux mains avec la même habileté et dextérité et ceci sans subir de malus lors des tests. En ce sens, il ne subira aucun désavantage lorsqu'il, pour une raison ou une autre, combattra ou tentera une opération quelconque avec l'une ou l'autre de ses mains. De plus il ne subit pas le malus prévu pour la relance d'attaque ratée lors d'un combat avec deux armes.
REFLEXES ECLAIRS : Votre personnage est très réactif, il possède des réflexes développés. Il bénéficie d'un bonus de +1 à ses tests d'INI en réaction aux situations de surprise.
TIR EN MOUVEMENT : Votre personnage a développé cette technique de tir. Cela lui permet d'annuler les malus que, normalement, l'on adjoint à la résolution d'un tir en mouvement. (Dans le cas, par exemple, d'un tir effectué depuis un support en mouvement. L'exemple principal est celui d'un cavalier sur une monture en mouvement voulant tirer sur quelqu'un)(Le MJ peut tout de même décider de faire intervenir des modificateurs lorsque d'autres sources de difficulté peuvent exister : Conditions climatiques, faible visibilité, stress, etc.)

Objets choisis :

Salvin possède un arc et des flèches. Il a bien évidement une épée, sans quoi il n’aurait su se défendre dans la fange. Une armure de cuir termine sa tenue. Ajouter à cela une besace lorsqu’il se déplace afin de contenir ses effets personnels, tel qu’une gourde d’eau, un morceau de pain, sa boussole et une carte abimé.

Ne pouvant être poisseux en tout, la nature avait côté Salvin d’un physique fort avantageux. Arborant fièrement un corps musclé et agile, il s’en sert occasionnellement pour aider ses amis à séduire des donzelles déjà fort facile des maisons closes. Son entrainement quotidien lui a permit de sculpter son corps, de la course pendant la chasse, le bandage de son corps et bien évidement un combat au corps à corps avec ses partenaires de frégate, une manière de s’occuper en mer.

Ses cheveux brun et long était nouer de manière ample derrière sa nuque, et ses yeux bleu/gris transperçait du regard quiconque le regardait trop intensément. Il se laisse pousser une légère barbare pour se donner un air plus viril.
Etant banni de Marbrume, Il a prit s’habitude de se masquer le visage d’une grande capuche, lui offrant plus d’anonymat. Bien que ses imbéciles de la milice ne le reconnaitrait probablement pas et que sa marque est bien camouflé sous ses vêtements. En parlant de vêtement, ceux qu’il porte ne sont en général pas très voyant, une chemise de lin légèrement recouverte d’une veste ample. Suffisant pour s’habillé et le mettre en avant.

Assez étonnement, Salvin est toujours très positif dans sa manière de voir le monde. Cherchant le meilleur en tout, sans doute parce qu’il lui arrive toujours les pires situation. Il garde son humour parfois cinglant.
Il garde son sourire constamment, mais lorsqu’il devient sérieux, son regard s’obscurcit considérablement et ce n’est pas une compagnie souhaitable. Bien qu’il soit d’un tempérament assez calme, mieux vaut ne pas le chercher trop longtemps car la plaisanterie peut très vite tourner au vinaigre.
Toujours prêt à défendre la veuve et l’orphelin, il s’est mit plus d’une fois dans des situations délicates.

Mauvais timing.

Deux mots qui résume à merveille la vie de notre protagoniste. Toujours au mauvais moment. Ce qui lui avait valut le magnifique surnom de La Poisse.
Pour expliquer l’arrivé de ce surnom il faut remonter très loin dans sa vie. A vrai dire, au jour même de sa conception.

Ce jour là il y’avait une fête au village, un petit hameau d’une dizaine de maison à deux lieues d’Usson. On célébrait le retour de l’été en grande pompe, un feu de joie, de la viande en abondance, les premiers légumes récolté et de l’alcool pour faire glisser toute cette nourriture.
C’est ainsi qu’un peu alcoolisé, deux jeunes paysans avaient quitté le centre de l’attention pour aller s’acoquiner dans une grange, à l’abri des regards. Mais s’ils avaient réfléchit par deux fois avant leur acte de copulation bestiale, ils se seraient probablement arrêté car ils n’étaient pas marier et que c’était le bon moment pour eux que la vie apparaisse de leur semence entremêlés.
Ils n’étaient que de jeunes adultes frivoles, voulant se découvrir d’une manière plus qu’inapproprié. Trop jeune et pas assez amoureux pour devenir parents voire époux. De cette grossesse arrivé au mauvais moment, en a découlé un mariage d’obligation pour accueillir les enfants à venir.

Oui ce n’est pas une faute que le narrateur (moi) a commise de mettre au pluriel enfants. Quand on est malchanceux c’est toujours au maximum. Ainsi, ils y avaient deux enfants, de faux jumeaux.
La poisse voulut que deux évènements se rejoignent. La mort de sa mère en le mettant au monde, car mettre deux enfants au monde fut bien trop éprouvant pour elle, et son jeune âge n’avait pas laissé sa croissance se terminer.
En résumer en quelques heures, il perdu, sa mère et sa soeur jumelle, morte née, le laissant seul avec son père. Celui-ci l’abandonna bien vite à la famille de sa femme afin d’aller se chercher une nouvelle épouse plus à son gout que la première qu’il avait eut le malheur de culbuté un soir.

Nous arrivons désormais à la quatrième poisse de sa vie. Alors qu’il n’avait que quatre printemps à son actif. Le grand père de notre protagoniste rendit l’âme après une crise cardiaque. De tristesse, il se réfugia dans la grange pour y cacher ses pleurs. Sa grand mère vint péniblement le rejoindre dans le grenier afin de le consoler. Mais en faisant une crise de colère en sautillant sur le plancher endommager du grenier.
Le poids de la vieille dame, ajouté au vibration, firent céder le plancher. Un grand plongeon qui scella la disparition de sa famille proche. Il fut ensuite balloter de proche en proche pour terminé à Marbrume, seul, rôdant dans les rues pour obtenir de la nourriture ou de l’argent.

Ayant rejoint un groupe d’enfant tout aussi solitaire que lui, il avait apprit a chasser au abord de Marbrume, parfois plus loin lorsque le soleil se couchait plus tard. Il s’était en effet fabriquer un arc et des flèches de fortunes, et avait développé une certaine habilité à tirer sur des cibles en mouvement. Bien que la chasse lui était interdite car réservé au noble, il ne pouvait décidément pas rester à crever de faim en ville. Au diable les punitions et les remontrances, un enfant devait-il être punit de mourir de faim?
La poisse ne s’était pas enfuit. Alors qu’il chassait, il ne fut pas le seul à traquer la même proie. Un voleur était aussi présent, et sa flèche lui transperça l’épaule de plein fouet. La peau de cerf avait son prix sur le marché noir, car seuls les nobles étaient habilité à la chasse. Impressionné par le tir, Salvin fut immédiatement recruter par le chef de la guilde des voleurs, un ancien bourgeois déshérités pour avoir ridiculisé la famille.
Embringuer de force dans un combat qu’il ne désirait pas suivre. Dans son malheur, il eut tout de même de la chance, tombant sur un homme lui apprenant les ficelles du métier, à lire, écrire et compter. Le considérant comme son fils, et le traitant comme tel. Ils n’étaient pas très doués pour l’apprentissage de la lecture, et le faisant encore avec difficulté. Certes incapable de lire de la poésie et d’en comprendre le sens, mais capable de rédiger une missive ou de la lire.

Malheureusement, un incendie l’emporta deux ans après avoir recueillit Salvin.
Pensant être maudit, il se disait qu’il devait positiver et que peut être la chance lui sourirait. Mais chacune des filles dont il tombait amoureux le repoussait pour ses amis les plus proches. Bien évidement en cas de pépin on se tournait vers lui, car il était bon combattant et une bonne oreille pour quiconque prenant le temps de le connaitre.

C’est ainsi que d’une pierre deux coups, il se trouva bannit et pirate. En effet, par un soir des plus étranges, il se trouva prit dans l’assassinat d’un notable, se trouvant au mauvais endroit au mauvais moment, accusé de mettre et bannit de la cité. Mais Séraphin, eut vent de ce meurtre et trouva fort agréable d’engager le meurtrier de son ennemis.

La Fange n’en était qu’à son commencement, mais n’ayant pas les pieds sur terre, il ne craignait rien.

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