Chapitre 1: Naissance d'un jeune Seigneur
-"C'est un Garçon !"Voici le cri de joie presque enfantin de la vieille sage femme au service des De Terresang depuis des décennies. Le vieil homme à côté d'elle me prit dans ses bras et dit à ma mère:
-"Voici enfin l'héritier tant attendu des Terres de Sang. Vous avez fait un excellent travail ma douce ... j'espère seulement qu'il ne mourra pas avant d'avoir su marché."
La femme était pâle comme un ligne et transpirée abondamment, elle dit dans un murmure;
-"Comment voulez-vous l'appelé ?"L'homme réfléchis un moment et dit avec un sourire:
-"Alexandre ! Alexandre de Terresang IIIème du nom ! Héritier des Terres de Sang, Seigneur des Frontières du duché de Morguestanc, Vassal de la Famille Ducale !"Et voila. Vous savez comment je m'appelle mais vous ne savez pas où je suis né ! Je suis né dans les Terres du Sang, nom de la frontières Morguestienne en 1124. Ma Maison les de Terresang y règne depuis des siècles en appliquant les lois de la Maison Ducale à la frontière. Je suis l'héritier d'une lignée de Vicomtes Tyrannique, réduisant presque leurs serfs en esclavage et le peuple leur vouaient et voue plus une haine farouche que de la vénération.
En effet alors que j'avais 10 ans, je faisais comme tout bon héritier devait faire: Se montrer parfois en public, sympathiser avec les paysans ..etc. En effet, je n'étais pas comme mon père ou même mes aïeux, je ne voulais pas qu'ils me haïssent et je ne voulais pas régné par la terreur.
A l'âge de 17 ans, je pensais déjà que j'étais un homme fait et je savais déjà lire et écrire comme tout bon fils de Noble (heureusement soit disant en passant)mais j'en avais cure. Ce que je voulais c'était de me rapprocher de mes futurs serfs en allant aidé tout les matins aux champs ou même faire construire de meilleures bâtisses pour les paysans, donner plus de biens aux gueux en absence de mon père ..etc. Je m'étais fait des amis parmi les paysans et les petites gens des Terres mais certains se méfiés et c'était compréhensible. Cela ne plaisait pas à beaucoup de monde qui eu tôt fait de prévenir mon père. Un jour, il me convoqua dans son bureau où nous eûmes une violente dispute.
-
"On m'a rapporté que tu aide nos paysans et autres gueux aux champs ou financièrement. Est ce vrai, fils ?"
Bien sûr qu'on le lui avait rapporté mes faits et geste. Un Terresang aidant un gueux était rare dans la région.
"Oui Père. Tout cela est vrai ... mais ... "
-"Fi ! Fi, de tes excuses qui ne m’intéresse aucunement. Tu va m'arrété cela ! Tu est un Terresang , un homme d'une Noble Lignée servant le Duc depuis des siécles et non un vulgaire roturier mendiant pour gagner sa pitance."Je le regardais du haut de mes 17 ans, j'étais plutôt bien bâti faisant déjà un mètre quatre-vingt dix et ma chevelure noire retombait sous mes oreilles. Je m'avança un peu plus du bureau de mon père et je lui répond alors:
" Vous croyez qu'en faisant régné la terreur dans le cœur de nos serfs qui crèvent de faim à qui vous prélevez des impôts exorbitants, que c'est ainsi que vous aurez leur loyauté ? Un jour ces hommes, femmes et enfants se rebelleront et vous n'aurez plus aucunes terres, plus aucun suzerain à qui rendre des comptes ! Vous serez enchaîné au piloris sur la Grand-Place à la place de ce malheureux gosse qui n'avait rien fait à part tirer la langue à un de nos soldat !" L'homme se leva et me regarda avec un air froid
-"Comment ose-tu me parlé de rebéllion ?! Est-ce que mon propre fils serait entrain de fomenté une révolte contre moi ? Mes aïeux et les tiens ont toujours gouvernés ainsi ! Et il n'y a pas pour autant eu de révoltes !Au fond de moi, j'avais peur de la réaction de mon père mais je le coupa net:
"Pensez vous vraiment que je risquerais une révolte sans le soutien de notre armée .. et comment ces ci-grand dirigeants sont-ils mort ? Ne me mentez pas Père, j'ai consulté les archives de notre bibliothéque. Votre père, le Vicomte Karl de Terresang est mort d'une flèche dans le crâne lors d'une bataille et cela ne venait pas des lignes ennemis mais des nôtres. Ou encore votre grand père. Mort 3 jours après sa montée au titre de Vicomte. Empoisonné ... veuillez m'excusé Père mais ... je ne veux pas finir mort assassiné. L'homme vit rouge et contourna son bureau pour ensuite m'administré une violente gifle en plein visage, encaissant le coup comme je pûs, il me dit:
"Continuez à me défier Alexandre et je vous jure que sur feu votre grand père que vous avez osé souiller en tenant de tels propos que je vous pendrais haut et court pour trahison envers votre Maison et celle du Duc. Je le regardais malgré mon oreille sifflante à cause de la gifle, je lui souris narquoisement
"Vous n'oseriez pas Père. Je suis votre seul héritier et Mère n'en pondra pas un de sitôt ... ou alors cela sera peut être d'un autre. Vous êtes devenu infertile et ma naissance est tout bonnement issus d'un miracle d'Anür L'homme ne savait plus quoi dire, j'avais mis en doute sa virilité en doute et il n'avait plus de répartie. Je me dirigea vers la porte et au moment où j'allais l'ouvrir, il me menaça.
" Alexandre ! Je vous jure sur les Trois que si vous franchisez cette porte sans avoir fait d'excuse à votre Seigneur et Père, je fais pendre une vingtaine de vos paysans bien aimés ! Je me retourna et dit avec un sourire
" Je croyais que c'était moi qe vous vouliez pendre ? Mais faîtes Père, faîtes. Et moi, je vous jure sur ma propre vie que vous n'aurez pas le temps de voir le prochain solstice d’été."
Puis je partis de son bureau, laissant mon père à l'étude de ma menace.
Le lendemain, mon père avait mis sa menace à exécution en pendant dix hommes, tous père de famille, tous paysan et dix femmes, laissant ler enfants mourir de faim. Ce jour, je me promis à moi même de mettre ma menace à exécution mais pas dans l'immédiat. Il fallait avant que les esprits se refroidissent.
Chapitre 2: Massacres et MensongesA mes 20 ans, je fus nommé Commandant des Armées Frontalières et j'accéda au titre de Vicomte. L'accident d'y il y a 3 ans avec mon père fût oublié par lui mais pour moi, la vengeance était encore tenace dans mon esprit. Durant des mois, j’entraînais des vertes recrues jusqu'au jour où mon père partit avec la totalité de notre armée en campagne contre un comté voisin qui avait juré allégeance à un autre seigneur que celui du Morguestanc. Il me laissé donc seul, avec mon armée de jeunes recrues, les vieillards, les femmes et les enfants dans la Forteresse qui servait de "capitale" aux Terres du Sang. C'est alors qu'un petit baron ambitieux arriva des terres au delà des frontières du Morguestanc, j'appris plus tard, qu'il fût payé par mon père. Ils établirent le siège de notre forteresse sans aucun moyens d'évasion et de communication pour moi et mes hommes. Ils avaient massacrés des serfs de nos villages alentours et j'avais juré que j'aurais la tête des responsables.
Après plus de 2 semaines de siège, je me résigna. Nous avions engrangé ce qu'il fallait pour tenir 2 Hivers mais nous sentions de la tension parmis nos rangs. Et il était de mon devoir d'avertir le Duc de cette invasion qui n'était peut être pas au courant.
"Tu sais ce qu'il te reste à faire Tommy. Galope jusqu'à Marbrume et averti le duc de l'invasion !" Le jeune homme était frêle, vêtu d'une simple tunique de lin déchirée mais son cheval faisait parti des Haras personnels du Vicomté. Cependant, le jeune homme avait peur et cela se voyait sur son visage.
"Mais .. mais ... si j'arrive pas? Je lui pris fermement les épaules, plongeant mon regard bleu-vert dans le sien et je lui dis:
"Tu y arrivera mon petit. Tu est le meilleur chevaucheur de cette forteresse. La vie de tout les habitants est entre tes mains. Un homme basané d'une trentaine d'années borgne de l'oeil gauche, assez grands, ds yeux marrons et une chevelure brune. Il était vêtu d'une armure intégrale avec un heaume sous son bras gauche arriva derrière moi.
" Messire. La cavalerie est à la porte Sud, la 2ème brigade à la Nord et la 4ème et 6ème brigade à la porte Ouest. Nous avons posté tout nos arbalétiers et archers sur les remparts conformément à vos ordres, Commandant." Je me retourna vers l'homme et dit avec un sourire
"Nos scorpions et nos catapultes ? " Sur les tours, Messire. Nos servants sont prêt à en découdre. "Très bien. Donnez une tunique de cuir au petit. Je vais sur la Rempart Nord avec les archers. Bonne chance Capitaine de Rossal. "Vous aussi, Messire. Puis je monta en toute hâte sur le rempart Nord, les archers étaient en pleine préparation lorsque leur chef de section allait à ma rencontre.
"Vot' grandeur" "Sergent. Alors ?" "Prêt à transpercer ces fils de catins, M'sire ! Ils auront pas le temps d'implorer l'trois qu'ils auront l'gosier troué ! Je le regardais avec un sourire puis je m'approcha du créneau. Je pris la longue vue que l'archer me tendait et je lorgna à l'intérieur. J'observa une petite activité dans le camp ennemi, ils ne se douté absolument de rien, si la cavalerie à la Porte Sud était , assez réactive , elle pourrait faire d'énorme dégâts. Les Brigades d'Infanterie auront le soutien des archers. Un plan parfait et grâce à ce même plan, le petit aura peut être assez de temps pour parvenir à Marbrume. J'ordonna alors à l'homme à côté de moi
"Sonne le rassemblement pour la soupe !Etonner, l'homme s'exécuta tout de même et on entendit la sonnerie dans toute la forteresse et c'est alors que le chaos de la guerre apparu. La Cavalerie mena son assauts sur les combattants encore endormis, l'Infanterie allait en toute discipline, l'écus en avant, lance piquant vers l'avant. Je souris en voyant le massacre de l'ennemi par les miens quand quelque chose capta mon regard. Je pointa ma longue-vue dessus et je vis un contingent d'archers loin devant. Ils avaient les armoiries des Terresang, je fus interloqué mais j'avais compris. Ils se mirent en ligne et étaient prêt à faire feu quand mon infanterie sera à bonne distance, j'ordonna alors:
"Qu'on redirige la Cavalerie vers les archers ennemis ! Que la moitié couvre l'infanterie ! Dîtes aux archers du Rempart Ouest, Sud et Est de faire feu !"Mes ordres fût transmis directement et tout de suite après la moitié de ma cavalerie survivante attaquait les archers ennemis. Satisfait, je vis une percée dans le côté droit du camp ennemi.
"Dîtes à l'escorte du petit de se préparer à y aller ! Qu'on envoie une escadre de frontaliers vers le côté Nord !"Puis au bout de 10 minutes, la moitié du camp ennemi fût sous le contrôle de mes hommes. Mais un messager essouffler arriva alors pour me transmettre de mauvaises nouvelles.
"Que ce passe t-il ?""L'nobliau a établi un aut' campement à une demi lieue d'ici ! Les cavaliers ennemis sont d'jà en approche, la Porte Sud risque d'être submergé "Ordonne aux Scorpions de rediriger leurs tirs vers la cavalerie et que les archers ouvrent le feu dès qu'ils seront sûr de pouvoir les tuer ! Et à ce moment, je n'avais pas vu les 3 archers en position près d'une tente enflammée et ces derniers étaient entrain de mettre le feu à leurs fléches. 2 flèches vint se fichées dans la tête de deux de mes archers et une autre me frôla la chevelure. Cette dernière ne m'avait que frôlée mais cela avait suffit pour que mes cheveux prennent feu. Je fûs pris d'une violente panique mais mes hommes eu une bonne réactivité : Avant que mon crâne ne soit trop attend, ils m'avaient envoyés de l'eau et appliquer un linge sur ma tête. Je tomba alors dans une profonde catatonie.
Une semaine passa, puis deux. L'ennemi avait été repoussé grâce à l'arrivée de mon père et de notre armée. Ayant retrouvé un peu de mes forces, je me leva et traversa le château pour aller dans la salle du conseil. Je le trouva en compagnie du Capitaine Arthur de Rossal, mon homme de confiance. Un certain Commandant Arnold de Nouet, Capitaine de la Garde du Sang -celle de mon père-, d'un Sergent et d'un serviteur. Les 2 gardes devant les portes ne voulaient pas me laissé entrer jusqu'à ce que je dise qui j'étais.
J'entra alors et les portes se refermèrent. Mon père me dit alors sur un ton étonné
"Fils ? Tu est guéri ?.. J'avais franchis les quelque mètres qui nous séparés et je lui administra un violent coup de poing du gauche dans le visage. Il tomba sous le choc de mon coup et me regarda d'un air interloqué
" Menteur !" lui criais-je.
L'homme basané me retenait par les épaules pendant que le sergent allait mettre la poutre sur les portes de la salle, sur ordre du Capitaine. Le Commandant de la Garde allait vers son Seigneur et le releva.
Tu est un menteur ! L'homme avait repris sa position droite comme un manche de pelle, son nez pissant le sang et me regarda avec ses yeux sans couleurs, sans émotions.
"Allons fils, calme toi. Tu est encore sous le choc et tu dis des bêtises."
Je me débattis alors sous l'étreinte du capitaine.
" Tu est un menteur ! Tu n'étais pas en campagne ! Tu étais à Meutesang ! A moins de 4 lieues d'ici. Le Baron qui nous à attaquer était un de tes hommes de mains ! Tu l'a payé pour massacré des innocents ! Des ENFANTS ! DES PERES DE FAMILLES ! DES FEMMES !"
Je sentis l'étreinte de De Rossal se détendre et je m'y ôta. Je m'approcha de l'homme qui était mon père et j'essaya de lui administré un autre coup de poing au visage.
"Après avoir massacré des paysans innocents pour me mettre à genoux, tu n'a pas supporter qu'ils me soient encore fidèle malgré ça ! Tu à donc voulu me punir plus durement ! Tu à prit la totalité de notre armée, tu m'a laissé avec nos recrues et nos serfs ! Tu a ordonné au Baron de Frayer de te fournir en hommes que tu ne voulais pas perdre ! Je lui renvoya alors un coup de poing du gauche mais le Garde de Sang se mit devant son Seigneur et prit le coup sans sourcilier. Il m'envoya alors un coup de poing dans le visage et un coup de pied dans le ventre. Je tomba à terre, une douleur lancinante dans l'abdomen. Le capitaine sortit son épée bâtarde et se mit devant moi pour me laissé me relever. Il dit alors à mon père tout en regardant le garde.
"Est-ce vrai Vicomte ? Vous avez fait cela ?" [/b
"Allons, Arthur ! Vous n'allez pas croire ce jeune impudent ! Il divague !
Je repris alors la parole malgré mon visage crispé par la douleur
"Menteur ! J'ai vu nos armoiries sur un des officiers ennemis ! Je l'ai reconnu ! C'était le fils de De Rossal !
"Qu .. quoi ? Il se tourna vers mon père, son regard emplit par la haine et dit:
"Vous avez fait participé mon fils à ce massacre ? Vous l'avez convaincu de tuer des hommes qui était ses frères d'armes et des innocents ! Vous ... vous m’écœurez Vicomte ! " Il alla vers mon père et avant que le Garde de Sang ne pût l'arrêter, sa tête roula par terre. Le sergent l'avait décapité et retourna à son poste près de la porte.
Je m'approcha alors du corps de l'homme et pris sa dague se situant à sa ceinture. Je m'approcha du Capitaine et dit tout en lui mettant une main sur son épaule:
"Laissez moi faire. Vous seriez accusé de meurtre, si je vous laisse faire.
Je hocha la tête pour montrer ma réticence à ne pas le tuer moi même.
"Bien". Il s'approcha rapidement de mon père et lui administra une volée de coup dans le visage et lui prit les bras par derrière. Je m'approcha par la suite et lui murmura à l'oreille.
"Je vous l'avez dit, Père. Vous n'auriez jamais dû me menacer."
Puis je lui planta ma dague dans son cœur et il tomba alors à terre dans un ultime souffle. Je me tourna par la suite vers le Sergent et le serviteur.
"Vous ! Allez prévenir les Terres de Sang que le Vicomte Victor de Terresang est mort, assassiné de la main du Commandant de Nouet, Chef de la Garde de Sang, éliminer par les valeureux Sergent Théodebald de Garrois et du Capitaine Arthur de Rossal et que Alexandre de Terresang, Seigneur des Frontières du Duché de Morguestanc, Libérateur des Serfs des Terres de Sang et Vassal de la Famille Ducale, je reprend de plein droit et en toute légitimité de par mon sang et mon rang, le titre de Vicomte, Seigneur des Terres de Sang !
Les hommes acquiescaient et partis de la salle du conseil. Je regarda le corps de mon père et celui du Garde de Sang.
Cela ne doit pas être répété. Faîtes exécuté le Serviteur dès qu'il aura remplit sa mission et le Sergent ... mutez le au Mur de Sang et qu'il aie un "accident" en cours de route. " Dis-je à l'encontre du Capitaine.
"Bien"
Et la vie reprit son court. J'étais devenu Seigneur des Terres de Sang en tant que tel, j'avais fait renforcer les frontières, en ayant renforcé mes propres armées et éliminant les ennemis du Duc de Morguestanc. En quelque années, les armées de ma Seigneurie c'étaient fait un nom. Ont les appelés les "Guerriers de Sang"
Lorsque le Fléau s'abbatit sur le royaume de Langrés ce fût la panique. Mes hommes se faisaient tués par dizaine. Je fus rappelé à Marbrume pour assuré la défense de la ville. Depuis ce jour, mes hommes furent incorporés dans la Milice de la Cité pour combattre la menace et moi même ainsi qu'une petite cinquantaine de mes meilleurs hommes arpentons la campagne et les marais pour combattre les Fangeux sur ordres exprès du Duc Sigfroi. Même si je ne jure que pour sa mort, je ne peux qu'exécuter ses ordres étant mon suzerain et moi son vassal. Depuis environs une semaine, après de lourdes pertes, je suis de retour à Marbrume avec le reste de mes chevaliers
(Qu'a vécu votre personnage jusqu'à présent ? Comment a-t-il grandi, comment a-t-il été éduqué, quelles sont les périodes marquantes de sa vie ?)
Résumé de la progression du personnage :
Alexandre revient de son exil à l'orée des marais après sa prise de bec avec son épouse, ce dernier décide de revenir à la Résidence de Terresang pour superviser les opérations de l'Ordre de l'Astre d'Azur pensant que ce dernier doit se montrer au grand jour pour commencer les reconstructions nécessaires au relogement des réfugiés déjà ben trop entassés dans la cité. Il décide alors avec l'accord du Duc de mettre des points relais dans chaque quartier de la Cité pour commencer les recrutements. Bien entendu, pour le moment ce n'est qu'un projet et seul un point de recrutement est mis en place, ce dernier se situant dans le quartier le plus surchargé en matière de population est le Goulot. Alexandre compte également monter une expédition pour reconstruire un village près de Traquemont.
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