Nom : Oublier.

Prénom : Anciennement Uriel, désormais L’Etranger voir Le Brun.

Age : Une trentaine d’années à son actif.

Sexe : Masculin.

Rang : Membre de la guilde des Bannis.

Lieu de vie : Village des Bannis.

Carrière envisagée & tableau de départ avec les 4 PCs :
Carrière du Traqueur

+2 TIR | +1 HAB | +1 INI

Compétences et objets choisis :
Pistage | Chasse | Tir Lourd | Tir à déclenchement rapide

Arc court (+ carquois) | Hache de jet | Peau d’ours

Ce qui marque, en premier, quand on appose son regard sur l’Étranger est sans aucun coute sa couleur de peau brunâtre rappelant fortement au yeux du monde entier son ascendance étrangère. Bon nombres de surnoms désobligeants apparurent et restèrent dans sa vie tel que le Brun, L’Étranger ou encore plus récemment l’Atlas.

Atypique serait assez faible pour décrire tant l’accoutrement que le physique de l’homme.

Aussi épais qu’un tronc d’arbre, son corps pesant plus d’une centaine de kilogrammes est revêtu d’une imposante musculature qui se veut par ailleurs clairement afficher. Dans la nature, trop occuper pour survivre, nul n’a vraiment le temps de s’enticher du regard des autres. Culminant à plus deux mètres de haut, son corps domine largement l’ensemble des autres hommes du contée, rare sont ceux qui peuvent se targuer de l’égaler et ceux dans bon nombres de domaines. Il est littéralement une force de la nature et est très souvent comparer à un ours.

À l’orée de l’humanité, il réussit à s’assimiler du mieux qu’il le put avec cet écosystème nauséabond et fangeux. Le mot adéquat pour caractériser son style serait « tribal ». Comparer à l’homme de la ville, le bannis ne prend absolument pas soin de son apparence, aux antipodes totales, même parmi les autres bannis, il ne porte que des peaux de bêtes et forcement le strict nécessaire afin de ne pas le bloquer dans ses mouvements. Une peau d’ours est porter avec ostentation sur son crâne.

Son corps ne reflètent qu’une sauvagerie animale qui ne se veut absolument pas cacher. Pourtant, son visage, quant à lui, arbore une complèxe miséricorde. Ses traits dures, ne sont qu’une caparace parmis tant d’autres que l´homme c’est forger dans cette aventure solitaire.

Homme Bête — Son visage profondément ancré dans cette peau d’ours terrifiante, l’homme est difficilement comparable à ses homologues. Son caractère très légèrement civilisé de l’époque n’existe désormais plus, la nature a reprit ses droit sur cette créature à la frontière de l’humanité. Lorsqu’il fut bannit, il n’était pas vraiment different d’un animal domestique relâcher contre son gré dans la nature. Pour beaucoup d’entre eux, ils meurent à défaut d’être capable de s’habituer et de changer drastiquement. Ce ne fut pas le cas du Brun, mû par cette envie de survie, avec du temps, il réussit à transcender sa simple condition d’homme. Désormais véritable bête sauvage, il se veut à la fois traquer par la milice et par les fangeux, véritable jeux de piste auquel il s’adonne pour survivre, continuellement et auquel il s’éprend d’un certain plaisir macabre.

Solitaire — Il fut seul, toujours et irrémédiablement seul. Il a beau chercher, pendant de longues heures, au plus profond de sa psyché, sa vie fut toujours ponctué par cette solitude inhérente à son statut sociale : insignifiant. Voir le jour auprès d’un peuple renfermer et baser sur des inepties flagrante comme la différence parmi les hommes est un fardeau propre à tout « étrangers », ce qui diffère de la normalité est toujours très mal vu dans de telle situation. Different, il a pourtant toujours chercher à briser cette monotonie, être irréprochable pour n’être considérer finalement que comme l’un des leurs... Mais toujours en vain. Il n’a jamais réussit à pouvoir outrepasser cette condition. Après des décennies de solitude et d’errance, le bannis ne se complaît plus auprès d’autres congénères. Malgré avoir rejoint la guilde des Bannis, un pseudo havre de paix pour beaucoup de ses comparses, il n’est clairement pas à son aise et passe le plus clair de son temps seul, ne cherchant absolument pas à s’intégrer à un monde qui n’est plus le sien

Bilieux — Un trait de caractère que le Brun à longtemps chercher à combattre pour se faire accepter. Quand on est different, on ne cherche pas à attirer le regard plus qu’il ne le faut. Malheureusement, on ne peut réellement changer un homme. Belliqueux, depuis son bannissement, il ne cherche absolument plus à se contenir. Son image n’a plus d’importance. Dans la nature, c’est la loi du plus fort qui prévaut sur le reste. La noblesse n’entre plus en jeu, il n’y a plus ce voile protecteur qui protège les faibles individus. Véritable boule de colère, le bannis est extrêmement instable, nerveux de nature, son courroux peut venir foudroyer quiconque et parfois pour de piètre raisons.

Sagacité — Malgré cet apparat colérique, l’Atlas ne reste pas moins un esprit brillant ou plutôt cartésien. À défaut de savoir lire ou écrire voir même de posséder une éducation tout ce qu’il y a de plus normal, sa longue errance lui a permit d’accroître drastiquement sa débrouillardise. Professionnelle dans l’art du système D, il sera toujours capable - ou essayera du moins - de se sortir des pires situations. Capable de transformer un simple morceau de végétation en outil pour sa survie ou celle d’un groupe, il se veut, en théorie, le parfait allié dans les contrées dangereuses.

Sectaire — Uriel est un fort croyant, très fort, parfois même à la limite d´un extremisme radicale. Fortement dévouer aux divinités, plus jeune, il comptait même devenir l’un des plus influant Haut-Prêtres de Marbrume. Mais c’est envies ont du être revu à la baisse, le brunâtre, en raison de sa différence n’aurait jamais pu porter un rôle de la sorte face à tant de concitoyens. Pour certains voir la plupart, c’était une aberration que de laisser une telle chose se produire. Finalement, la destinée avait bien d’autre perspectives pour lui. Suite à son bannissement, attrister par son sort et pensant que la Trinité l’avaient renié, ses croyances mutèrent en tout autre chose et se rallièrent au Cloaque. Mais l’apparition des Fangeux marqua une nouvelle fois la vie de l’homme, voyant en eux les envoyés de la Trinité n’ayant que pour seul rôle de punir les infidèles, il finit par se rallier au culte des Purificateurs.

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