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 Le Corbeau

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MessageSujet: Le Corbeau   Le Corbeau EmptyJeu 9 Juin 2016 - 12:43




Le Corbeau




Identité



Nom & Prénom : Inconnus.
Surnom : Le Corbeau.
Âge : 20 ans.
Sexe : ♂.
Rang : Soldat, Milice extérieure (milice affiliée à l’exploration des terres).
Carrière envisagée & tableau de départ avec les 4 PCs :
• Carrière du milicien.
• +1 FOR ; +1 HAB ; +1 ATT ; +1 PAR.

Compétences et objets choisis :
• Arme de prédilection (Épée à une main); Coups puissants ; Coriace ; Sang froid.
• Épée courte ; Poignard.
• Rondache.
• Chapel de fer ; Gants en cuir usé ; Gambison ; Jambières en cuir.



Physique



Ramassé un jour sur le bord de la route par une bande de mercenaires, celui qu’on nomme le Corbeau, « Corbac’ » ou encore Freux – à défaut d’autres noms - a grandit dans un milieu rude et rustre où l’on se contente du peu qu’offre la vie simple mais dure du soldat. Élevé dans les coups et les estafilades, l’enfant chétif qu’il avait été autrefois sorti de l’adolescence avec le corps d’un homme. De haute stature, on devine sous la simple tunique de lin qu’il porte usuellement, un torse puissant et des bras aguerris et forts, sous ses braies, des jambes musclées entraînées à la course et à l’équitation. De cette jeunesse spartiate, le jeune freux ressorti l’anatomie marquée ça et là de cicatrices, les mains larges et rugueuses, la peau brunie par le soleil. Si au nom qu’on lui donne répondent ses iris sombres et la chevelure brune venant garnir le sommet de son crâne, c’est tantôt plus aquilin qu’apparait son profil. Son visage, anguleux, comme taillé à la serpe, présente des pommettes saillantes et des traits sévères que vient prononcer un nez busqué, donnant au jeune homme un air d’oiseau de proie.

Accordant peu d’intérêt aux modes et aux artifices, le Corbeau est un homme qui favorise d’avantage une esthétique sobre et pratique en matière d’accoutrement. Peu dépensier, il réserve la plus grande part de sa paie de soldat au maintien et à l’évolution de ses outils de travail. Lors de son service, il revêt soit un gambison soit un haubergeon qu’il agrémente de brassards en cuir, moyen pragmatique de se prémunir contre tout accident qui aurait pour conséquence de lui interdire le retour à Marbrume, le doute n’étant pas permis. Bien que sa vie de légionnaire l’ai amené à rencontrer et à se servir de beaucoup d’armes, le Corbeau préfère le contact viril et franc d’une bonne épée à tout autre forme d’arme, bien qu’il sache se servir correctement d’un arc, d’une hache ou bien encore d’une hallebarde. Il sait aussi apprécier l’aide honnête d’un bouclier. Lors de ses rares périodes de repos, le soldat échange ses lourds équipements pour une tenue plus proche du commun, bien qu’il conserve toujours à son ceinturon un long poignard effilé, vieux réflexe de militaire prévenant.

Pourtant, malgré ses traits aiguës et sombres, le jeune homme, bien loin de provoquer chez ses pairs une certaine inquiétude dégage plutôt l’humeur et la force tranquille des braves garçons sur lesquels on peut compter. Dans son regard d’attentif guetteur, si l’on ne distingue de bienveillance, au moins perçoit-on une quiétude, un ordre qui rassure en des temps de chaos. Y reflète l’horizon simple du légionnaire, aguerri par chaque jour d’une vie de combat, impassible car déjà prêt pour les combats de demain. Pour autant, la présence du freux n’a d’agréable qu’en ce qu’elle participe de la sûreté militaire. Elle ne semble intéresser outre mesure, ni suscite d’autre sympathie que celle passagère que ressent naturellement le citadin redevable envers celui qui le protège des griffes des Fangeux. Les corbeaux volent rarement en bancs, après tout.

Personnalité



Sans famille ni histoire, un miséreux, un gamin loqueteux de la route, tantôt voleur tantôt dépouilleur de cadavre, piquant sur les macchabée pour survivre comme le font les corbeaux pour se nourrir, voilà quel fut le terreau de sa jeunesse. Comme tous les freux, notre homme est un animal solitaire. Né d’une catin et d’un gueux, de l’union réprimandable d’une jeune fermière et d’un soûlard ou peut-être encore d’une rapine, les mémoires de jeunesse du Corbeau restent vagues quant à ses origines. Toujours sait-il que le destin le mena vite à la rue, puis sur les routes, seul, et que, contre toute attente, par les grâces ou un hasard dont on ne sait trop s’il est heureux, il parvint à survivre. Il trouva par la suite dans la troupe de mercenaire qui le recueilli à l’âge de douze ans la seule famille qu’il n’eut jamais, parmi ces hommes rudes il trouva ses pères et ses frères de substitution. Ceux-là, bien que prêtes-lames, vivant du mal des guerres pour vivre, n’étaient pas dénués de moral ni de l’autorité nécessaire à la faire appliquer. À l’univers d’insignifiance et d’errance qui jusque là avait mené son existence, ils extirpèrent le noir oiseau pour l’éveiller aux principes d’honneur, de fidélité et de vérité, parfois payés de coups et d’hématomes. Au foyer de son âme, ils firent briller un ordre nouveau, posèrent les fondations d’un esprit assermenté aux idées supérieures.

N’ayant connu que le métier des armes, le Corbeau hérita de sa rigueur, de la simplicité qu’elle offre en contrepartie de la constante tension qu’elle exige. De ses vieux maîtres, il sut retenir le sens de la hiérarchie, l’abnégation servant les causes plus grandes et le ton assertif des hommes que l’on suit au combat. De ses compagnons, la camaraderie, l’esprit de corps nécessaire dans la bataille et l’humour potache des veillées auprès du feu. Le Corbeau est avant tout un militaire, un soldat. C’est un homme d’Ordre, qui aime les choses régulières et à leur juste place ainsi que l’excellence honnêtement acquise. C’est pourquoi il s’adapte mal à la vie civile et à toute les compromissions quotidiennes avec soit même qu’elle implique ainsi qu’à l’impuissance à laquelle elle condamne. S’il n’en retire aucun mépris pour le commun, il se sait lui-même incapable de vivre loin d’une caserne, seul lieu où il retrouve un commun esprit et qui fut toujours son foyer premier. On aurait en outre tord de reconnaître dans son mutisme chronique ou l’indifférence que reflète parfois son regard une forme de froideur, aimable et poli lorsqu’adressé, l’homme reste taciturne de caractère et préfère l’action à la parole. En cela, il accuse également un certain détachement du monde, trouvant peu d’intérêt à parler de choses qu’il juge futiles, ce qui le rend difficile d’accès même à ses propres camarades. S’il n’est pas prompt à abandonner un camarade, il a appris à garder la tête froide et à ne pas agir de manière inconsidérée sur une impulsion, sachant d’expérience que tous les hommes n’ont qu’un temps en ce monde et qu’un soldat tombé dans la tentative d’en sauver un autre est une sentinelle de moins sur les remparts de demain. Ainsi pourrait-on le méprendre insensible, voir cruel, il n’est est rien sinon une certaine résignation à la fatalité, au froid et inéluctable destin qu’est la mort. Cette fatalité se retrouve dans un adage qu’il aime souvent à citer : « la vie est un combat », sentence d’autant riche de sens maintenant que l’espèce humaine semble menacée dans son existence propre.

Pourtant, le Corbeau ne sait trop s’il faut voir dans l’apparition des Fangeux un châtiment divin ou bien la simple nature, telle qu’elle fut toujours, simplement mise en exergue dans ses aspects les plus primaires. Résolument plus mystique que religieux, le jeune homme demeure dans l’incertitude la plus totale aux sujets des dieux. S’il a l’intuition du principe divin qu’il ressent comme nécessaire, il se garde d’en faire une quelconque interprétation quant à sa forme ou même force sur les éléments de ce monde. C’est une des questions, avec celle de ses origines, qui alimente ses tourments – l’une paraissant aussi insoluble que l’autre – et alimente sa quête de sens de l’existence.

Histoire



I – Cycle premier, temps premier


Le Corbeau ne conserve de sa prime enfance que des souvenirs nébuleux où ne se trouvent pas plus de visages familiers que de voix bienveillantes ou de protection paternelle. Les racines du jeune homme restent un mystère pour lui-même, ignorant jusqu’à son nom, si jamais il n’en eut un. Sa mémoire brumeuse lui fait défaut et il serait aujourd’hui bien en peine de retrouver le petit village qu’il quitta alors qu’il avait à peine sept ans, petit garçon loqueteux qu’il était, en arpentant les bois. Son histoire aurait pu se terminer là, avec ce que la route apporte de mauvaises rencontres. Pourtant, il n’en fut rien. Ses premières mémoires se fixent sur la poussière ocre des routes vides, l’humidité et l’effluve âpres des ruelles pisseuses des bourgs dans les marchés desquels il allait quémander l’aumône, souvent ignoré. Les vagabonds crasseux n’éveillent guère les sympathies, quel que soit leurs âges ; ils sont comme les noirs rats venus des villes, porteurs de mauvais présages et des maladies de la route. Il ressenti la solitude, offerte sous le maigre bout de pain qu’on donne pour se donner bonne conscience, d’un enfant qui ne savait trop ce qu’il faisait. Survivre. S’abreuvant dans les flaques d’eau, volant la nourriture des porcs et les œufs des poules, dormant dans la chaleur odorante de la paille des étables, il survécut un temps. Le destin voulut mettre sur sa route un marchant dont la conscience encore rechignait à laisser un gamin sur le bas-côté du sentier. Arrivé dans une grande ville portuaire de l’ouest du royaume de Langres, le commerçant réticent voulut confier la charge du petit orphelin au clergé local. Il y trouva compagnie ; le port étant un grand carrefour commercial dans la région, il rapportait des flots son lots de matelots plus ou moins séditieux, d’aventuriers et de commerçants que le temps passé en mer plongeait dans une terrible fièvre de femme qui chaque nuit jetait sur la ville un chapelet d’amours interdits et d’enfants mal nés. L’éducation des pères ne put grand-chose contre la bande proliférante de gamins en haillons qui jetait ses troupes de chats décharnés et de chiens malingres sur les marchés de la ville afin de glaner quelques précieux trésors pour leur terrier. Les aînés commandaient et faisait régner leur lois de petits despotes, n’hésitant jamais à menacer de leur lames pointues la marmaille désobéissante. En se replongeant dans son passé, le Corbeau se remémore parfois Théofred, dit « Fred le Pouilleux ». La face ensanglantée de ce dernier lui apparaît alors et l’écho de ses petits jappements semblent alors sonner de nouveau à ses oreilles, ravivant la mémoire d’une vengeance juvénile, du premier sang versé. Contraint à fuir la ville par la promesse de la réprimande du surin, le jeune orphelin foula une fois de plus les sentiers alors qu’il avait douze ans.

II – Cycle premier, temps second


Sitôt de nouveau jeté sur les routes, le jeune garçon retrouva une existence plus miséreuse encore que la précédente. Errant sans feu ni lieu, à la simple difficulté de chaque jour lutter afin de voir le soleil prochain vint s’ajouter l’insécurité dans laquelle une querelle d’aristocrates vint plonger les contrées environnantes, aiguisant partout les méfiances, amenuisant les bontés et jetant sur les routes rescapés de toutes sortes et bandits de grand chemin. Dans de telles circonstances, l’hiver s’annonçant, le jeune garçon s’attacha rapidement à soulager les macchabées malchanceux du poids de leur possession terrestres. Partout, ils germaient peu à peu au bord des sentiers comme des fleurs mauvaises. Le gamin anonyme raptait la misère que semaient derrière eux les séditieux et les êtres vils dont les appétits sordides avaient été réveillés par les troubles du temps. Ainsi, la mort devint familière, la tranquillité inerte des cadavres presque rassurante, l’étrangeté macabre le lot du quotidien, la vie absurde. Les deux mains du noir enfant auraient été intraitablement sectionnées si l’on avait eu le malheur de le surprendre à une pareille besogne que la morale entière réprouvait. Du moins, fut-ce sa première crainte lorsqu’un jour s’éleva derrière lui une voix ironique, alors même qu’il dépouillait un pauvre bougre blanchi par la mort et le givre.

« Regardez-le, freux parmi les freux. À la robe noire comme la leur, et aussi avide que ses sombres frères. La mort lui profite, à ce sale oiseau ! Mais sans doute serait-il bien hypocrite de ma part de m’élever maître et juge de pareille créature, car il est vrai après tout, que nous aussi, pauvres âmes, nous tirons notre sève de ce lourd suc pourpre. N’est-il pas ? », la tirade fut suivi de ruminements approbateurs et de rires roques.

Faisant volte face, le jeune garçon découvrit lui faisant face une bande d’une demi-douzaine d’hommes en armes. Celui qui avait déclamé sa prose moqueuse portait une large moustache grisonnante qui contrastait avec son crâne dégarni, son visage se flétrissait en une expression ironique mais son regard bleu et perçant, lui, foudroyait impérieusement la silhouette frêle de l’enfant visiblement terrifié.

« Quel est ton nom, gamin ? » demanda-t-il d’un ton inquisiteur.
« Je n’en ai pas. » répondis faiblement ce dernier.
« Te voilà bien miséreux, toi qui n’a même pas la richesse d’un nom. Désormais tu seras Corbeau, cela sied à ton noir plumage. Suis-nous. » répliqua l’homme d’un ton sans appel.

III – Cycle second


Le temps passa, les mois se transformèrent en années, la vie misérable de celui qu’on surnommait désormais le Corbeau se substitua en un quotidien martial fait de rigueur et d’efforts. Sa rencontre avec Wilhfred, chef d’une petite compagnie de lansquenets, avait clôturé un cycle de son existence pour en ouvrir un autre qui se plaçait sous le signe solaire du renouveau. Il marquait la fin d’un réprouvé et l’ouverture d’une ère de redressement tant moral que physique. Nourri convenablement, endurci par les entraînements journaliers de ses maîtres d’armes, le corps du jeune homme en devenir se développa, gagnant en puissance et en masse. Parmi ses camarades, il trouva la ressource affective qui jusque là lui avait cruellement manqué. Il puisa au contact de ces hommes désormais familiers et animés par une certaine droiture la matière de ses aspirations ardentes à un monde plus juste et beau, sensible aux chansons dédiées à la gloire et aux rêves d’une nouvelle pureté chevaleresque. Éduqué au métiers des armes, le Corbeau s’était découvert rapidement une affinité et un talent particulier pour l’escrime. Ainsi, bien que formé à la manipulation des armes de tirs, de jet ou d’hast, ses aptitudes quant à ses dernières restèrent toujours assez modestes tandis que ses talents de bretteurs étonnaient jusqu’à ses maîtres, bien qu’il ne voulurent jamais l’admettre par soucis d’excellence.

De ces jeunes années, le Corbeau conserve ses meilleurs mémoires, celles de la franche camaraderie, des longues veillées auprès du feu crépitant sous la voûte enchantée des étoiles, des balades épiques et des vins enivrants. Il garde également le souvenir des combats au service du roi de Langres, de la traque des bandits et des déserteurs, d’une existence où l’exaltation du combat côtoie le culte de la mort glorieuse agissant comme la mystique motrice des hommes ardents et fiers. Leur combat, peu soucieux des noblesses ou des justifications théologiques, se voulait volontiers la matrice d’un type humain héroïque, à la fois stoïque et tragique, bien plus qu’une entreprise à vocation lucrative. Au contraire, ils préféraient à l’abondance et aux richesses corruptrices le dépouillement et l’ascétisme garant de leur idéal commun. Mais tout cycle est promis à une fin, et bientôt devait se clore le temps des espoirs et des rires pour amorcer une nouvelle chute.

IV – Cycle nouveau


Comme pour bien d’autres, l’émergence des Fangeux motiva le départ de la petite troupe mercenaire vers les territoires de l’est dans l’espoir d’y trouver une grande armée de reconquête à laquelle se joindre. Très vite passé la témérité des premiers affrontements avec les créatures, le courage céda rapidement la place à la crainte et à l’incompréhension d’un ennemi inconnu, à la fois terrifiant et terriblement redoutable même pour ces hommes rompus au combat. La nuit, qui autrefois savait se faire joyeuse, devint le royaume des ombres, inquiétante et mère de toute les inquiétudes. Les tours de garde, devenus un supplice de solitude et d’effroi parmi les ombres rôdant dans la nuit et les craquements nocturnes apportés par le vent, étaient lieu de toutes les nouvelles superstitions. A cela s’ajoutait une peur inavouée - mais ressenties par tous – semblable à celle des bêtes traquées, l’impression viscérales d’une course contre le temps vers les terres orientales que les créatures de la nuit semblaient remporter peu à peu. Au fur et à mesure que progressait leur avancé vers l’est, les rangs de la compagnie s’amenuisaient ; les hommes disparaissaient dans la nuit, des éclaireurs ou des arrières gardes ne revenaient jamais, parfois un cris s’élevait dans la nuit suivi d’un silence terrifiant agissait comme la prémonition que les hommes se réveilleraient moins nombreux que la veille. Désormais, on évitait les villes et les bourgs, préférait les sentiers peu fréquentés et les villages isolés pour se ressourcer, les grandes agglomérations semblant être les premières touchées par le fléaux des Fangeux. Ainsi continua jusqu’à ce que le duché de Morguestanc fut atteint, il ne demeurait alors de la trentaine d’homme initiale qu’une poignée de survivant éreintés. Ils avaient convenu de se débarrasser des biens les plus encombrants et de ne garder que le strict minimum afin de chevaucher au plus vite jusqu’à la ville fortifiée de Marbrume, où les rumeurs laissaient espérer un refuge. L’aventure semblait aller bon train lorsque, lors d’une halte dans les marécages, s’éleva des eaux troubles les créatures honnis. Dans la panique, l’ordre fut donné de se disperser. Mais lorsqu’au sortir des marécages, le Corbeau se retourna pour prendre état de ses camarades, ne restait d’eux qu’un pesant silence. Les eaux marécageuses avaient retrouvés leur tranquillité, sans doute satisfaites du festin qu’elles venaient de recevoir en offrande. Le jeune homme atteint finalement Marbrume, le cœur lourd, persuadé d’être le dernier de ses camarades. Pourtant, il ne lui fallut pas longtemps pour rejoindre le corps expéditionnaire de la milice locale, porté par l’espoir secret de retrouver les ultimes traces de ses frères disparus.

Soi réel




Certifiez-vous avoir au moins 18 ans ? En effet.
Comment avez-vous trouvé le forum ? (Topsites, bouche à oreille...) Presque au hasard, alors que je cherchais un forum de jeu de rôle dans un univers médiéval réaliste.
Vos premières impressions ? Excellentes, que ce soit esthétiquement ou au niveau de la trame de fond, le forum à tout pour plaire. Le contexte apocalyptique ajoute au l’univers un soupçon d’angoisse et de danger fort appréciable et apprécié.
Des questions ou des suggestions ? Aucune.


Marbrume soutient la création; cette fiche a été codée par Orange de CSSActif



Dernière édition par Le Corbeau le Sam 11 Juin 2016 - 23:03, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Le Corbeau   Le Corbeau EmptyJeu 9 Juin 2016 - 13:04
Bienvenue parmi nous Le Corbeau ! N'hésite pas si tu as besoin de quoi que ce soit pour la fiche ! Préviens-nous lorsqu'elle est terminée =)
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MessageSujet: Re: Le Corbeau   Le Corbeau EmptySam 11 Juin 2016 - 23:10
Je vous informe que ma fiche est complète, je vous laisse donc délibérer à son propos. Bonne lecture à vous!
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MessageSujet: Re: Le Corbeau   Le Corbeau EmptyDim 12 Juin 2016 - 13:04
Bonjour Corbeau, et encore bienvenue parmi nous !

Une très belle plume que voilà, et je n'ai vraiment rien à redire à ta fiche. Je te valide de ce pas, et bon jeu parmi nous ! Je suis sûre que ton personnage sera très apprécié !
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MessageSujet: Re: Le Corbeau   Le Corbeau Empty
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