Nom : Koëning
   Prénom : Louisa
   Surnom : Mini Koëning
   Date et Lieu de Naissance : Le 18 Novembre 1146 ; 19 Ans / Marbrume
   Sexe : Jouvencelle
   Rang : Actuellement Bannie de Marbrume. Anciennement gueuse d'un couple de domestiques pour sa Majesté le Duc de Sylvrur.
   Qualités : Courageuse, Gentille, Loyale, Habile, Amicale, Bonne vivante, Serviable.
   Défauts : Niaise, Illettrée, Naïve, Timide, Énervante, Émotionnelle, Gourmande, Idiote.
   Religion : La Trinité. Croyance très prononcée. Plus précisément, depuis qu'elle est bannie, Louisa prie Rikni pour son salut et sa survie. Sérusse pour trouver de la nourriture. Anur pour éviter de rencontrer des Fangeux / Ne pas se transformer en Fangeux. Finalement, elle prie l'ensemble pour sa famille, qui vit toujours à Marbrume.
    Autres : A des problèmes de prononciations en "S" et "Ch"
   Carrière envisagée & tableau de départ avec les 4 PCs : Aucune des trois carrières des bannis ne correspond à ma personnage je trouve. Je peux vous demander une carrière du genre, survivante, s'il vous plait ?

FOR - END - HAB - CHAR - INT - INI - ATT - PAR - TIR - NA - PV  8        9       10       8       8      8       8       9      8      1    60

  
Compétences et objets choisis :

Cuisine : Apprentissage en compagnie de son père.
Chance : Les dieux ont fait d'elle une survivante.
Dressage : Aime les animaux, surtout son chien : Soap.
Fuite : Tout autant douée pour fuir les ennuis que pour les attirés.

Son chien ; Soap

Description de Soap:

Chemise en Lin
Vieux poignard en acier
   

Description Physique : Louisa, une beauté inconnue et insoupçonnée, une douce et délicate fleur qui ne demande qu'a s'ouvrir et s'épanouir. Ses cheveux noirs brillants (couleur naturel) sont fins et lisses, mi-longs avec certains reflets bruns foncés. Elle possède deux prunelles plutôt courante, l'iris, bleu foncé changeant vers le vert au soleil est protégé par de longs cils noirs. Ses yeux en amande ne sont jamais maquillés, forme artistique seulement réservés aux noble dames. Ses paupières grande ouvertes lui procure un regard de biche pouvant attendrir le plus ignoble des fangeux.
Pour approfondir son visage, la jouvencelle possède un nez aquilin en bec d'aigle, et une fine bouche aux lèvres légèrement ourlées. Sa tête est ronde, bien potelée, et pour finir, elle possède un grand sourire éclatant pouvant raviver la flamme des plus malheureux.

Sa peau de bébé rosée est brillante et est parfois couverte de boues ou de transpirations, et pour son plus grand plaisir, rarement cependant, couverte de crèmes pâtissière. Celle de son père étant bien entendu la meilleure de Marbrume. Elle est douce mais surtout sensible au soleil, un bronzage prolongé se finira automatiquement avec des grosses plaques rouge.
Depuis l'invasion des Fangeux, Louisa à beaucoup maigris. Taille moyenne et corpulence dans la moyenne. La poitrine de la jeune fille est très discrète, peut-être même jalouse des poitrines imposante qu'on pourrait voir dans les quartiers Sud de Marbrume, plus précisément dans les bordels à putains.
Elle possède des grains de beautés sur le dos et une tâche de naissance sur la fesse gauche, tout comme sa mère.

Très sportive, Louisa est habituée à courir et est endurante. Elle est plutôt habile et discrète, la jeune fille à même tendance à s’effacée en groupe. La plèbe de Marbrume la voit comme une fille discrète et joviale, sympathique, peut-être un peu trop juvénile.
Ah ... La voix de Louisa est spécial, très aiguë et insupportable mais chaleureuse. Rendant la jeune fille parfois énervante. Elle complexe sur sa voix et c'est aussi de la que lui vient sa timidité. Pour finir, Louisa ressemble très fort à sa mère, ne tenant presque rien de son père si ce n'est la cuisine.
A contrario de sa voix, elle est très fière de son nez.  

Friperies : Louisa ne porte que des vêtements pratiques, elle ne s'ennuiera jamais avec des robes, ce n'est de toute façon par pour une domestique. Elle préfère des vêtements sombres et discrets avec un style décontracté (Les torchons de la demeure du Duc lui iront à ravir.). Elle n'aime pas les vêtements amples ou épais et choisit donc des chemises légère favorisant les aptitudes physiques. Pour résumer, entre une robe de soies, de dentelles et brodées d'or ou un torchon, elle choisira le torchon.
   

Louisa est différente de la plèbe qui parcourt le Pays. N'étant pas de haute lignée, elle est pourtant éduquée et connaît les bonnes manières. Capable de manier les mots aussi bien que le guerrier manie l'épée. Comment cela se fait-il ? Pensez-vous que l'on se comporte ou que l'on s'exprime de la même façon en compagnie de Sa Majesté le Duc de Sylvrur qu'avec de vulgaires bouseux ? Et bien non. Sa mère lui a enseigné les rudiments du savoir-vivre ainsi que la façon d'être une bonne mère au foyer tandis que son père lui a enseigné à préparer les victuailles. Grande gourmande, qu'elle aimait s'attabler avec son père et sa mère autour d'un bon brouet puis de déguster une poularde à la broche ou encore ces gâteaux rempli de crème pâtissière. Louisa à toujours aimer détendre son gosier avec une choppe de cervoise durant les dîners. Loyale amie des bêtes, elle aimait ramener les chiots ou chats abandonnés à la maison pour les soignés. A 15 ans, son père et sa mère lui offrirent Soap, un chien de guerre. Se construisit une amitié indestructible entre la fille et le chien protecteur.

Quand elle était petite, la gamine prenait un malin plaisir à se faufiler à travers la cuisine du Duc pour monter sur une chaise, puis sur la table, lorsque personne ne surveillait pour plonger son doigt dans la nourriture et le lécher. Gare à elle lorsqu'elle se faisait prendre lors de ce larcin, son père lui donnait des fessées et elle gardait des rougeurs plusieurs jours durant ! Elle admire son père, qui est le chef cuisinier du Duc mais aussi le meilleur cuistot de Marbrume. Louisa, lorsqu'elle ne chapardait pas en cuisine ou ne préparait pas la victuaille en compagnie de son père, aidait sa mère aux tâches ménagères de la demeure.
Ne vous méprenez point, elle n'était guère avare ou égoïste et partageait volontiers ses possessions avec les autres manants.

Lorsque la cuisine manquait d'un produit ou l'autre, elle aimait déambuler en courant dans les rues jusqu'au marché de la ville pour acheter ce qu'il fallait. Toute pucelle qu'elle est, la jeune fille n'est pas initiée aux fornications et est donc assez innocente, bien que sa mère lui avait déjà parler de quelques astuces pour satisfaire son futur époux. Ses épousailles était programmé avec un jeune et bel homme, un fils de forgeron, il avait tout pour plaire, Louisa n'était pourtant pas convaincue. Bien qu'elle était quand même ravie d'être promise à un avenir.

Joviale et sympathique, elle est le soleil qui illuminait la vie de ses parents, jusqu'au jour où elle fut bannie. Déjà très croyante, cet événement fit que sa ferveur soit doublée. Elle pria avec encore plus d'assiduité pour ne pas mourir. Elle aime la Trinité et ce sent protégée par elle.
   

   

Martin et Annie Koëning sont tout les deux mariés et ont un enfant, Louisa Koëning. Martin travaille en temps que chef cuisinier dans les cuisines du Duc. Il se murmure même qu'il serait le meilleur de Marbrume, rumeurs non vérifier. Annie travaille en tant que domestique dans la demeure de sa Majesté De Sylvrur. Elle y fait les tâches ménagères pour la plupart du temps et aide pour servir le repas du matin, midi et soir. La petite famille Koëning est heureuse, les parents ont un travail décent et un salaire qui leurs permettent de vivre normalement. Ils habitent à résidence, près du château du Duc. Martin et Annie travaillaient à tour de rôle, Martin, avant les repas. Annie, entre les repas.

Durant la journée, chacun à leurs tours, ils pouvaient allés s’occuper de Louisa pour ne pas la laissé seule. Qu'ils aimaient leur petite fille et elle le rendait bien. Pleurer, crier, piquer des crises, se rouler à terre, renverser des objets et j'en passe. Très active, elle ne faisait que des bêtises. Malgré cet amour, quand la petite Louisa, très capricieuse, poussait à bout Martin, il n'était pas rare qu'elle reçoive une fessée puis un baiser d'Annie. Par contre, Louisa à déjà bien essayer de maîtriser sa mère étant bébé, de pleurer pour avoir tchic ou tchac, de crier, mais rien n'y faisait. Si Annie n'aime pas la violence, n'osez pas crier en publique, cela va à l'encontre même des bonnes manière qu'elle tente d'inculquer à sa fille déjà au plus jeune âge.

Martin et Annie sont très croyants. Lors de la naissance de Louisa, Martin avait déjà tout prévu pour la cérémonie de naissance. Des effigies de Sérusse, collier en bois de cerf, ... Tout avait était fait dans les traditions pour que la petite Louisa reçoive les bénédictions de Sérusse.


Monsieur et Madame Koëning discute, ils ont un grand sourire aux lèvres et ils se rappellent les bêtises de Louisa. Par exemple, quand elle mit son doigt dans un plat pour lécher les restes d'une préparation, elle renversa le bol, ce dernier à directement atterrit sur la tête de Louisa, couverte de beurre et de lait. Puis elle tomba en arrière de la chaise et provoqua un effet domino en renversant un cuisinier qui tenait une cruche de lait, la cruche tomba par terre et Martin glissa à la renverse.
Ou encore, quand elle sautait à plusieurs reprises sur la chaise en bois avant le repas, à la maison. A force de sauter, la petite fille tomba. Pensez-vous qu'elle pleurait pour autant ? Non, pas Louisa, elle rigolait puis remontait sur la chaise et c'était reparti pour un tour !

Elle n'a jamais apprit à lire ou écrire par contre, elle savait cuisiner, connaissait le bonnes manières et savait parler. Bien sûr, rien de toute ça aussi bien qu'un noble de naissance. De toute façon, elle préférait jouer avec Aymeric, Gauvain, Tristan, Iseult, Morgane et enfin Viviane. Il n'était pas rare que le petit groupe ce moque de sa voix, malgré cela, ils étaient de fier amis qui partaient à la conquête de Marbrume chaque fois qu'ils avaient du temps libres. Ils jouaient à la guerre contre un groupe de gamins des quartiers plus au Sud. Épée en bois, bouclier de fortune, armure en paille, les voilà prêt pour conquérir le Pays !

C'est ainsi que Louisa passa une enfance heureuse avec ses parents, ses amis, son travail, ... Des souvenirs qu'elle gardera toujours en elle, précieusement.


Peu de choses à dire ici. C'est là que Louisa commença à réfléchir et à grandir, bien qu'elle resta toujours peu mâture, préférant s’amuser. Louisa débuta le sport, la course et l'endurance, elle à toujours aimer courir, toujours plus vite et plus longtemps.
Elle développa ses talents culinaires tandis que ses talents ménagers n'étaient plus à prouver ! Balais en main, chiffon à sa ceinture, seau d'eau chaude sur le sol, aucune saletés ne lui échappait !

A ses 15 ans, elle reçu un chien de guerre offert par Martin. Louisa l'éduqua alors qu'il était tout bébé et tout les deux, se lièrent d'une forte amitié. Louisa protégeait Soap et Soap, Louisa.

A ses 16 ans, Martin, Annie et Louisa sont allés au temple de la Trinité pour que la jeune adolescente reçoive la bénédiction de la fécondité par Sérusse. Il était important qu'elle porte un enfant pour que les Koëning ne s'éteignent pas. Puis de toute façon, le fils du forgeron, Akim, voulait une femme féconde.

A 17 ans, alors que l'ancien groupe d'amis était réunit, les trois garçons, dans la fleur de l'âge voulurent chasser la garce. Aymeric, Gauvain et Tristan chassèrent Louisa, Iseult, Morgane et Viviane. Louisa ne sait pas ce qui est arrivé aux autres mais dans son cas, il est certain qu'elle eut de la chance. Accompagnée par son fidèle protecteur, lorsque Tristan la trouva durant cette petite partie de chasse et voulut attraper son trophée, Soap grogna et bondit sur la jambe du jeune homme, la lui déchiquetant. Louisa rappela son chien et Tristan partit, saignant, jurant sur Anur qu'il se vengera ! Choquée, en pleurant, elle revint chez ses parents en compagnie de son chien toujours. Louisa ne revit jamais ses anciens ami(e)s tandis que son père, Martin, tua Tristan pour l'honneur de la famille Koëning.


L'âge adulte, la période la plus sombre de sa vie. Louisa à 18 ans, elle revient du temple, après la cérémonie de passage à l'âge adulte. Nous sommes en Novembre 1163.
Pour le plus grand malheur de Martin et Annie, Louisa ce fit bannir de Marbrume peu après l'attaque des Fangeux, en Juin 1165. Elle rencontra, un mois avant, le Sergent de la Milice, Elric Beaumont. Une relation est née avec ce vieux milicien dégarnis. Lorsque celui-ci n'eut plus besoin de Louisa, il s'arrangea pour la faire marquée au fer rouge et la jetée de Marbrume. Elle eut seulement le droit de prendre un vieux poignard rouillé et son chien avec elle, dans les marais.

Aux portes de la ville, Louisa pleura et supplia pour rester à Marbrume, rien n'y faisait. Lorsque les portes se refermèrent derrière elle, la jeune fille fut prise d'un sentiment de peur, de solitude... Tout un tas de choses se bousculèrent dans sa tête d'idiote.
   

   Certifiez-vous avoir au moins 18 ans ? Bha oui.
   Comment avez-vous trouvé le forum ? Topsites, je sais plus lequel.
   Vos premières impressions ? J'adoooore l'univers.
   Des questions ou des suggestions ? Ah j'en avais mais j'ai oublié, si ça me revient j'en ferais part dans le topic prévu à cet effet.