On a faim ! [Alexandre, Alix, Taïdor, Aurélien]

J'observai alors les quatre brigands. Ils semblaient avoir confiance en l'espace restreint de cette bicoque qui handicapait grandement ma manière de combattre avec ma hallebarde mais il ne faut jamais sous estimer son adversaire. C'est alors que trois bandits me foncaient dessus pendant que le quatrième s'échappa par la fenêtre. Avant d'envoyer un coup de hampe dans le visage du premier coupe jarret je dis:

"Poursuivez le !"

J'envoyais ensuite mon pied droit dans le ventre de celui que j'avais à moitié assommé avec mon arme et le second homme envoya son surin vers mon armure, mais le couteau de mauvaise facture ou complètement rouillé, se brisa sur cette dernière. Je lui envoya alors la lame de mon arme vers sa gorge, il l'a prit de plein fouet, le premier revenait à la charge et je lui envoya un coup de boule dans son visage et je lui pris son surin puis je lui trancha la gorge.
Le dernier me fonça dessus et il ne fût pas assez rapide car il prit le couteau en plein dans son oeil droit. Il hurla de douleur, lâchant son arme à cause de la douleur en se tenant l'oeil de ses deux mains, il pissait le sang et essayé d'enlever le surin. Je lui envoya un dernier coup de poing enveloppé dans mon gantelet de fer sur le manche du couteau. Ce dernier s'enfonça encore plus et le coupe-jarret lâcha un ultime cri de rage et tomba dans les pommes.

Je me retourna alors vers les miliciens arrivaient derrière moi et tout essoufflé j'ordonna qu'on aide la famille du défunt boulanger, puis je repris ma Hallebarde dans le corps de l'homme et je retourna dehors dans le chaos de l'émeute, cherchant le fuyard.