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 Arzhvael TRISTANE [En attente de modifications]

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MessageSujet: Arzhvael TRISTANE [En attente de modifications]   Arzhvael TRISTANE  [En attente de modifications] EmptySam 8 Juin 2019 - 1:08





Arzhvael, Survie aujourd’hui pour avoir l’occasion de te venger de la vie demain.




Identité



Nom : TRISTANE

Prénom : Arzhvael

Age : 27ans

Sexe : Masculin

Situation : financière : correcte. Conjugale : ne s’encombre de personne

Rang : Civil de Marbrume

Lieu de vie : Maison close de Marbrume

Carrière envisagée & tableau de départ avec les 4 PCs :
voleur
+2 Hab et +2 Ini


Compétences et objets choisis :
Chance, Séduction, Baratin, Volonté de fer
Poignard, gant en cuire usé, jambière en cuir (concrètement c’est juste les botte alors je sais pas trop) et tenue en lin pour le reste.


Apparence


Avant toute chose, dire que le corps de Vael est sa première source de revenu serait un euphémisme. Dames frustrées, bourgeoises en quêtes de débauche, veuves fortunées, beaucoup de femmes se payèrent ses services. Il devait par conséquent s’entretenir et prendre soin de lui. On ne parle pas de simplement manger à sa faim et faire attention à sa ligne ni d’un coup de « maquillage », aussi rudimentaire soit-il à notre époque. Non, pour un homme c’est beaucoup plus compliqué. Comprenez bien dans un premier temps qu’il y a deux « type » de cliente.

Celles qui souhaitent des hommes viriles, couvert de cicatrices, dégageant un sentiment de puissance. Elles veulent ressentir le frisson d’être à la merci d’une force qu’elles ne pourraient pas arrêter, d’être dans le creux de la main d’êtres pouvant l’utiliser pour assouvir tous leurs désirs sans considération, de plier à leurs volontés des hommes capable de les briser en deux. Ces femmes ayant la plupart du temps une vie bien monotone, faite d’obligations et de devoirs sans intérêts, désirent simplement mettre un peu de piquant dans leur misérable petite vie. Évidemment dans ce cas l’homme doit avoir des allures de général de guerre. Vétéran de nombreuses campagnes il rentre enfin à la maison en vainqueur prendre un repos durement mérité. Couvert de cicatrice et les muscles saillant, il revient enfin honorer sa compagne.

L’autre type de cliente est un peu différent. Ces femmes ne veulent qu’une compagnie agréable, quelqu’un de galant n’ayant d’yeux que pour elles, un charmeur baratineur. Elles ne veulent pas qu’il leur fasse oublier leur vie, ni qu’il remplace un mari trop absent. Non, elles veulent simplement avoir à disposition un jouet qui fasse baver de jalousie leur entourage. Elles veulent un bel homme tout comme il faut. Un jeune homme dont la silhouette se dessine imperceptiblement dans ses vêtements et qui fasse rêver une fois sa chemise ôtée, plus proche de l’athlète que du barbare.

Bien évidemment Vael ravissait les femmes de la seconde catégorie, un home de compagnie de luxe pourrait-on dire. Pas un seul poil sur le corps, si ce n’est un fin collier savamment taillé et sa patte remontant jusqu’à la lèvre inférieure. Les cheveux bruns, longs et attachés en chignon haut, ou les mèches de devant tressés en arrière pour maintenir l’ensemble derrière afin de garder le visage découvert. Musclé juste ce qu’il faut, c’est l’entretient de ce corps qui demandait le plus d’efforts. Il était nécessaire de manger suffisamment, ce qui n’était un problème que lorsqu’il n’était pas employé, et bien entendu maintenir l’hygiène irréprochable toute relative de notre époque.

D’un point de vue vestimentaire, il revêtait les cadeaux de ses différentes maîtresses. Vêtement de bonne facture, parfois coloré, jamais troué ou abimé. Il était habillé comme un noble modeste et seul le port de l’épée pouvait le différencier de ces derniers d’un simple regard. Bien évidemment, les véritables nobles ne se laissaient pas avoir. Vael ne se prenait pas pour eux, il connaissait sa place, c’est surement pour cela qu’il n’y eu que très peu d’accrochage à ce sujet.

Depuis l’apparition des fangeux les choses ont été un peu différentes. Les clientes plus rares, les échauffourées plus nombreuses. Il n’était plus question de porter ces vêtements qui attiraient trop l’intention, qui le transformaient en cible. Il récupéra des vêtements sombres et commença s’habiller sobrement. Il perdit du poids et ne pouvait plus se laver, ce qui le rendit de moins en moins désirable et l’entraina dans un cercle vicieux. Puis le monde s’écroula. Les règles changèrent. La mort violente et volontaire courrait les rues, tout autant de viande pour remplir les estomacs vides de ceux arrivant à mettre de côté les aprioris conventionnels, Vael fit parti de ceux-là. Durant un temps au moins, puis il y eut du nouveau, d’un point de vue légal, pour la prostitution. L’argent ne fut bientôt plus un réel problème. Tout comme l’hygiène.

Vael redevint rapidement plus comme avant. Jeune, musclé, rasé de près, propre, mais un peu plus sombre. A première vue, il ne donne pas l’impression d’être différent des autres, ni à l’extérieur, ni dans la maison close. Mais de temps en temps, si vous vous attardez sur son regard, une sueur froide coulera doucement le long de votre dos, sans trop savoir pourquoi.


Personnalité


Fils de catin, il fût balloté de bras en bras au gré des clients, fréquenta des endroits peu adapté à un enfant et appris en premier lieu à fuir les gardes. Soit un environnement stable, rassurant et propice au bon développement d’un bambin. Surtout quand on sait que les paroles qui le bordaient le soir étaient « survie aujourd’hui pour avoir l’occasion de te venger de la vie demain ». Survie et vengeance. Il avait à peine 5ans quand ces mots prirent tout leur sens. Trop grand pour qu’une des femmes s’occupent de lui mais trop jeune pour travailler, il devait s’occuper seul, laissé à son sort jusqu’à ce que sa mère arrête de travailler.

Durant cette période d’errance journalière, qui dura plusieurs années, Vael fut obligé de laisser les instincts les plus bas de l’humanité l’envahir. Vol, meurtre, racket, chantage, rien n’était trop. Il faisait ce qui était nécessaire pour sa survie. Ce que tous les autres se refusaient de faire, il le faisait. Pas de mal, pas de bien, pas de moralité, juste l’instinct, la nécessité et la haine. Dans ce genre de moment difficile l’Humanité à tendance à se séparer en deux.

Ceux qui se referment sur eux même, haïssant le monde et refusant toute aide aussi sincère puisse-t-elle être. Ils ne se morfondent pas, ils luttent de toutes leurs forces. Seul face à cette réalité trop dure pour se contenter de rêver à des jours meilleurs, ils plongent dans un état second ou le terme d’Humanité ne veut plus rien dire. Où tous les autres deviennent des ressources à utiliser, à exploiter, à consommer. Arrivé à ce point, au bout du chemin, sur la falaise, ils ne regardent pas l’horizon en espérant un lendemain meilleur. Ils ne se jettent pas vers la mer espérant une fin rapide et sans douleur. Ils ne contemplent pas la vue magnifique en espérant qu’elle dure éternellement. Ils cherchent. Ils cherchent un voisin pour lui dérouler les tripes et s’en servir de corde pour descendre affronter le nouvel obstacle qui se présente devant eux. Tout n’est que provocation, obstacle et épreuve. Ils ne peuvent pas s’arrêter, de peur de se noyer dans cet océan de solitude.

Les autres se rassemblent. Trouvant du réconfort en partageant la douleur des autres. A eux tous il ne forme plus qu’un et c’est cette unité qui les rend plus fort. Ensemble ils bâtissent un rêve, un rêve de jours meilleurs, de liberté et d’espoir. Ils cherchent à vivre, à ne pas devenir des monstres, à rester humains. Pour ça ils suivent un code, des règles et profitent de chaque petit moment de joie que la vie leur apporte pour se raccrocher à leurs espérances. Ils partagent tout, se privent pour les autres et maintiennent la communauté dans le respect du bien commun. Les plus forts protègent les plus faibles, les compétents essaient de se rendre utile, les moins doué mendient. Véritable société parallèle, ils laissent la tempête passer au-dessus d’eux en rattrapant tous ceux qui commencent à se laisser emporter.

Vael ne faisait pas partie de cette dernière part de l’Humanité, mais bien de la première. Les choses changèrent légèrement durant les deux années qu’il passa loin de Marbrume. Il apprit à utiliser les autres, à les manipuler, à les comprendre et à exploiter leurs faiblesses. De simple brute violente il passa à stratège affectif. Il comprit qu’il n’était pas seul contre le monde, mais un être parmi tous les autres, désirant anormalement vivre et se donnant les moyens d’y parvenir. Absout de toutes barrières psychologiques, sociétaires et morales, il arpente aujourd’hui les rues du dernier bastion de l’humanité déterminé à profiter de cette vie quoi qu’il lui en coûte.



Histoire


La vie est un cadeau donné au commun des mortels par la triarchie. Mettre fin à la vie, par un concoure de circonstance, d’un homme ou même d’un enfant est quelque chose d’acceptable. Mais refuser la vie d’un potentiel était impardonnable, quitte à le laisser entre les mains des divinités dès sa naissance. C’est pour cette unique raison que la mère de Vael n’avorta pas, oui même à notre époque l’avortement est possible, artisanal certes mais possible : coup dans le ventre, choc psychologique, trop grande privation, un mixe de tout ça. Non, la vérité était que ce morpion avait de grande chance de la délivrer de ce monde infernal. En plus de ça elle allait compliquer la vie de ses « collègues » encore plus si le bébé venait à vivre et elle à mourir. Elle en était sûre, cet enfant serait sa délivrance. Ainsi naquit Arzhvael, en l’an de grâce 1139, enfant désiré d’une prostituée qui le maudit dès son réveil pour ne pas l’avoir emportée.

La solidarité du trottoir étant ce qu’elle est, la jeune maman ne put rester alité bien longtemps et retourna rapidement exercer son métier. Ainsi Vael fut élevé par la communauté où il ne reçut en aucun cas l’amour de cette dernière. Car si la mère de l’enfant ne s’était pas trompée s’était bien sur le fait qu’il allait rendre la vie de tout le monde beaucoup plus complexe. Les femmes se le filaient en fonction de leur emploi du temps et du va et vient des clients. De temps en temps sa mère le gardait avec lui, espérant qu’il pleure et que ses cris énervent son client, qui passerait alors ses nerfs sur l’enfant et la dédommagerait pour la vie de son fils. Mais ça n’arriva jamais. Inconsciemment ou touché par la grâce de Rikni, l’enfant devait savoir dans quelle situation il se trouvait, car il était particulièrement sage, il ne pleurait presque pas, c’était à peine s’il réclamait à manger et les femmes changeaient ses linges que quand l’odeur en devenait insoutenable.

Trop peu d’années s’écoula avant que les choses n’empirent. Il avait alors 4 ou 5 ans, ne parlait presque pas et avait le regard si dur que personne ne pouvait le prendre en pitié, quand sa mère l’envoya parcourir les rues du lever du soleil, jusqu’à ce qu’il ne soit plus. Habitué à ne pas manger à sa faim, Vael tenu quelques jours avant de fouiller les restes jetés dans la rue et de dévorer les aliments commençant déjà à pourrir. S’en suivirent des jours de vomissement et de douleur à s’en tordre par terre, mais la faim reste plus difficile à encaisser que les conséquences dues à son élimination, aussi partielle soit elle. Mais ces jours malheureux où Vael se limitait à respecter la loi ne durèrent qu’un temps.

Le matin du bouleversement Vael trouva un pain pas trop mal en point. Il en mangea un morceau et garda la plus grosse partie pour le reste de la journée, voir pour le lendemain matin. Son pain sous le bras, il continua sa journée comme toutes les autres, en explorant la ville. Mais le commencement était proche, et au tournant d’une petite ruelle, trois jeunes lui tombèrent dessus. Le passèrent passablement à tabac et lui prirent son pain. Puis, le laissant à son triste sort, ils partirent en riant. C’est ainsi que Vael rencontra la rage pour la première fois. Contrit de douleur, il se releva, passablement en sang et boitant, il entreprit de suivre ses agresseurs. La journée passa, mais pas sa haine, le pain n’était plus mais les jeunes dormaient devant lui. Il avait réussi, miraculeusement, à ne pas perdre leurs traces et à ne pas se faire remarquer. Armé d’un couteau récupéré discrètement sur une étale du marché, il s’accroupi délicatement au-dessus du gamin qui lui avait volé son pain et lui enfonça son arme dans l’œil le plus fortement qu’il en était capable. Pour aussitôt après, sans vérifier quoi que ce soit, il se mit à courir dans la direction de laquelle il venait.

Arzhvael commit alors ses premiers crimes : Vol, agression et finalement meurtre. Puis, après deux ou trois jours à craindre le moindre bruissement métallique en attendant l’inévitable intervention des gardes, rien ne se produisit. Ce fut une révélation pour cet enfant d’à peine 7ans, faire des choses « mal » étaient sans conséquence. Mais l’excitation, la peur, le pouvoir et la fierté ressentie à toutes les étapes de sa réalisation était ce qu’il avait connu de mieux jusqu’à maintenant. Dès le lendemain la vie devint plus palpitante et plus facile. S’il voulait quelque chose, il le prenait. S’il avait faim, il se servait. S’il n’aimait pas quelqu’un, il l’agressait. La seule règle était de toujours s’assurer d’être capable de fuir avant de se faire prendre. Mais les bons moments sont toujours de courte durée et ce que l’on pardonne à l’enfance ne l’est bien souvent plus à l’adolescence et bien qu’étant devenu assez doué pour ce genre de pratique, Vael fini par devoir limiter son activité solitaire et trouver quelque chose de plus « correcte » pour occuper ses journées et continuer de vivre.

Il devint l’homme de main de personnes peu recommandables, aida les commerçants itinérants à déballer et remballer leurs affaires, chargea et déchargea des cargaisons de bateau et réussit à faire tout cela sans jamais marquer son visage. Déjà beau garçon à 16ans, il finit par exercer le seul métier dont il avait l’habitude. Il se mit à vendre son corps. Surement l’un des premiers hommes à se prostituer, il devait dragouiller pour réussir à avoir des clientes. Se découvrir légèrement et mettre sa poitrine en avant n’avait aucune chance de fonctionner, il n’essaya même pas. Il dut trouver une autre façon de se mettre en valeur et de donner envie à ces femmes de profiter de lui. La tâche fut complexe, il n’était pas très doué et n’arrivait pas à juger si la femme était seule ou non. Il réussit malgré tout à éviter les bagarres qu’aurait dû déclencher ce genre de comportement, demander pardon, se rabaisser, s’humilier si nécessaire, sont des choses qu’il ne rechignait pas à faire. Contrairement à un homme qui avait essayer de l’éduquer un peu, il ne prêtait aucun intérêt à l’honneur ou à ce genre de choses, tout ce qui comptait était de rester en vie.

Chance ou destinée, les situations complexes avaient tendance à ne pas durer dans sa vie. Alors qu’il s’essayait une fois de plus à une femme plus fortunée, et un peu plus mûre, cette dernière fini par le regarder d’un air malicieux, elle avait une proposition pour lui.
Unique héritière d’une famille noble proche de la ruine, elle fut contrainte à un mariage politique avec un bourgeois. A la mort de son père, aimé de tous, la gouvernance échoua alors à son époux. Violent, infidèle et tyrannique, il gouverna d’une main de fer par la peur et la répression. Particulièrement proche de son argent, l’homme n’entreprenait rien qui engendrait trop de frais et l’état des terres ne fit qu’empirer. Même sa propre famille finie par être emprisonnée, pour avoir été en désaccord avec lui, à de trop nombreuses reprise. Il s’assura cependant d’avoir la fidélité du trésorier du « royaume » ainsi que sa garde rapprochée, le rendant ainsi, lui ou un héritier de son sang, indispensable pour exploiter sa richesse personnelle. Il s’assura ainsi que personne ne tenterait de l’assassiner, et comme il était de notoriété publique qu’il ne touchait pas sa femme, aucun héritier de l’opposition ne pouvait voir le jour.

Mais à force de trop tirer sur la corde, on finit par se dire qu’il vaut mieux n’importe quoi plutôt que cet homme. Un plan vit alors le jour. L’héritière légitime du roi, aimé de tous, se rendit à l’étranger pour trouver un nouvel époux, véritablement noble afin de ne plus dépendre de la richesse du seigneur actuel. Dès que la perle rare serait trouvée, elle enverrait un message pour que son mari soit assassiné, chose facile quand on connait ses penchant pour les jeunes femmes et la boisson. Personne ne dirait rien à son arrivé, tous trop soulagé par la mort du tyran, et heureux que leur « princesse » se soit trouvée un homme qu’elle peut aimer et noble de surcroit. Ce plan loin d’être infaillible devait être tenté. C’est donc dans ce contexte qu’à peine un mois après son départ, elle rencontra un jeune homme dont elle était de plus de 20 ans son ainée. C’est à ce moment précis que le plan changea.


La proposition qui en résulta était des plus simples. Il devait aller à l’étranger avec elle, faire semblant d’être le fils du seigneur, lui laisser la régence et disparaitre avant ses 21ans, durant se laps de temps il serait éduqué comme s’il devait prendre les rênes de ses terres. Vael comprit « Viens vivre au château, je m’occupe de tout, je t’apprendrais comment survivre chez nous mais dans 5 ans je te tue. » Il avait donc 5 ans pour mettre au point un plan d’évasion, il avait le temps. Il accepta et prit alors le bateau en direction de terres dont il ignorait jusqu’au nom. Ils mirent ce trajet de quelques semaines à profit, Vael fut mis au courant de la situation du royaume et son rôle lui fut expliqué en détail. Consciente du risque incommensurable qu’elle prenait avec lui, elle lui fit un certain nombre de promesse, essayant ainsi d’avoir sa collaboration pleine et entière.

Loin d’être stupide, contrairement à ce que son nom suggère, Arzhvael avait très bien compris l’importance qu’il avait pour eux, mais aussi que si ce peuple était prêt à faire autant pour améliorer sa condition, il pouvait très bien recommencer pour moins que ça. Alors même que tous ses sens lui hurlaient de faire son possible pour renverser cette vielle, de prendre le pouvoir et de garder ce royaume pour lui-même, il comprit que ce n’était pas possible. Son plan à lui fut claire dès cet instant, il profiterait de cette occasion pour apprendre tout ce qu’il pouvait sur les nobles et sur la cour. Il allait apprendre leurs manières, leurs habitudes, leurs envies, leurs vices, leurs passions. Il les malaxerait comme il faut pour les aligner avec ses propres besoins et loin de vivre à leurs crochets il exploiterait leurs faiblesses pour obtenir d’eux ce qu’il souhaite, ici mais surtout à Marbrume quand dans cinq ans il serait de retour.

A leur arrivée, le royaume était en deuil, leur seigneur venait de mourir et l’arrivée d’un héritier n’avait pas encore été rendue publique. Les choses allèrent très vite. Pas pour empêcher de potentiels dissidents de réagir, personne n’était dupe mais les choses convenaient à tout le monde en l’état, mais parce que ce peuple avait trop longtemps souffert et qu’il était enfin temps de remédier à leurs maux. Vael passa la plupart de son temps en salle de réunion ou sur le trône en session de doléance. Il n’était qu’un décor nécessaire, personne ne s’attendait à ce qu’il ait un avis sur les questions, ou à ce qu’il interfère de quelque façon que ce soit. Sa seule importance dans ce processus était de faire des demandes officielles au trésorier qui, impuissant face à la situation, l’avait exigé. Ce manège dura quelques jours, puis quand la ligne de conduite était claire pour tout le monde, les choses se calmèrent pour lui. Il eut quelques jours de repos, puis ses mestres arrivèrent.

Lecture, écriture, histoire, mathématique, art de la guerre, bienséance, religion, politique, économie et bien d’autres encore. L’idée devait être de le noyer sous le travail afin qu’il n’ait pas l’occasion d’interférer avec les affaires du royaume. Ce ne fut pas pour lui déplaire. Il se transforma rapidement en monstre d’apprentissage, il ne lui fallut pas longtemps pour comprendre que savoir lui donnait un certain pouvoir sur les autres, ça le rendait admirable, enviable et faisait reluire son image. Il s’investie donc autant qu’il le put dans ces études, renvoyant les mestres de matières inutiles, tel que l’écriture, la lecture et l’histoire de ce royaume. Quand il était lassé ou qu’il pensait avoir appris ce qu’il lui fallait dans une matière, il congédiait le mestre et en faisait venir d’autre pour d’autre sujet, comme la médecine ou l’herboristerie. Il est évident qu’il ne retenait pas grand-chose de tout ça, ce qu’il désirait était simplement d’en avoir entendu parler, de pouvoir faire une phrase ou deux dans tous les domaines, de donner l’impression qu’il s’y connaissait, de pouvoir faire appel à de vieux souvenirs vagues dans le futur. Et puis avoir la réputation d’être un seigneur savant lui plaisait, il avait ainsi l’impression d’utiliser son pouvoir factice à des fins personnelles.

Il passa ainsi ses deux premières années sur ces terres. Navigant entre les salles d’études, la salle du trône, la salle de réunion, la salle du banquet et sa chambre. Il va de soi que le vin, la nourriture et les femmes étaient à sa disposition. Il avait d’ailleurs un mestre de d’éducation sexuel, non pas qu’il avait besoin qu’on lui explique la chose mais il était intéressé d’apprendre comment les nobles en parlaient, leur façon d’approcher le sujet et surtout leurs habitudes à ce propos. Il n’eut pas grands choses à apprendre de cet homme, qui n’y connaissait rien aux femmes et se bornait à répéter quelque chose comme « vous êtes un seigneur, quel que soit ce qu’elle dit, elle sera ravie et honorée ». Ce mestre repartit rapidement chez lui.

Vael fit alors quelque chose que personne n’avait envisagé, il fit venir une « madone » ou quelle que soit le titre qu’avaient ses femmes ici. L’éducation des femmes était différente de celles des hommes, elles n’avaient pas de mestre et n’étaient pas versé dans l’art de la guerre, la politique et d’autres sujets considérés comme exclusivement masculin, elle avait une femme qui avait pour charge de leur apprendre uniquement les choses qu’une femme et qu’une épouse doit savoir, faire et connaitre. Il apprit de cette femme de la même façon que s’il en était une lui-même, puis quand ce fut terminé il lui demanda de lui apprendre l’inverse. Non pas ce que les femmes devaient faire ou ne pas faire, mais ce que les femmes voulaient, ou voudraient tout du moins, qu’il soit, comment il devait de se comporter pour les ravir, ce qu’elles attendaient réellement de lui en tant qu’homme et non en tant que seigneur. Il alla même jusqu’à la convier lors de rapports sexuels, entre lui et une autre femme, afin qu’elle puisse le conseiller et l’aiguiller pour satisfaire le mieux possible sa partenaire, qui acceptait en premier lieu car il était leur seigneur et ne regrettait finalement pas. Ainsi, selon la situation, il gardait près de lui soit son mestre de bienséance soit sa madone, voir les deux lors de gouter par exemple. Soucieux de ne pas faire de faux pas, et d’être réellement prêt pour son retour à Marbrume.

Il avait rajouté la traque, le pistage, la chasse et la survie en territoire hostile à son arc de compétences. Pour lui apprendre, n’était-ce que les bases, il avait fait mander les meilleurs que le château disposait, une simple étude théorique n’aurait pas été suffisante. Les deux autres années passèrent aussi simplement. Parfois un étranger ou un dissident politique demandait un entretien privé avec lui. Dans ces moments délicats il était impossible pour les partisans de la reine, ou pour elle-même, de s’y opposer, ils devaient alors s’en remettre à la bonne foi de leur pantin. Vael ne leur fit jamais défaut. Il espérait ainsi que son « évasion » serait facilité, et inconsciemment qu’ils l’inviteraient à rester parmi eux. Mais le cinquième anniversaire de son arrivée en ces terres approchait et avec lui l’annonce de son intronisation, pour autant personne n’était venu le voir.

Durant ces quelques années, son cœur et son esprit s’étaient radoucie. Même si dans un premier temps il avait continué de se méfier de tout et de tous, la sécurité est le pire des poisons. Petit à petit elle s’insinue en vous, elle vous donne tort, vous surprend, vous apaise et vous rassure. Ensuite elle vous fait baisser votre garde, vous incite à profiter de la vie, à donner votre confiance. Vous en oubliez vos peurs, vos méfiances et vos réticences. Vous finissez par vous fondre dans sa masse, vous vous sentez intégrer et accepté. Puis cette sécurité vous trahie de la pire des façons. Elle reprend tout ce qu’elle vous a donné, elle vous renvoie tout ce qu’elle vous a fait oublier, et surtout, quand elle le fait, il est déjà trop tard pour vous. Même les plus méfiants, les paranoïaques, les théoriciens du complot, les religieux les plus fervents, tous, ils se font tous avoir.

Alors, même s’il le savait, s’il le redoutait depuis maintenant plusieurs semaines, quand, au banquet du soir, on annonça l’exécution publique de plusieurs traitres pour le lendemain, malgré le regard insistant du bourreau, les larmes de sa madone derrière lui, il ne fit pas le rapprochement. Au milieu du repas il se senti mal et fatigué, comme s’il avait abusé de la boisson, ce qui n’était pas particulièrement dans ses habitudes. Il s’excusa alors à ses convives et préféra quitter la grande salle, accompagné comme toujours de deux gardes. Il s’effondra rapidement après avoir refermé les portes. Le réveil fut assez désagréable. Il était sur un navire, d’après le capitaine une femme d’un certain âge avait payé très chère pour qu’il l’emmène à Marbrume. Il n’en savait pas plus. Le voyage se fit sans encombre et Vael finit par débarquer dans la ville qui l’avait vue naître.

La ville n’avait pas beaucoup changé, les gens non plus. Il prit quelques jours pour refaire ses marques, se souvenir de la vile, repérer les coins sympas, les endroits utiles, ceux à éviter. Le contenue du sac rassemblant ses « effets personnels » lui permirent de ne pas se poser trop de questions durant ces journées de repérage. Ce fut plus facile que prévus. Avec l’éducation qu’il avait récemment reçue, il pouvait tromper plus facilement les autres et accéder à des endroits qui lui étaient normalement interdits. Après l’exploration il passa à l’intégration, s’invitant aux différents banquets et cérémonies données par les nobles et les bourgeois, il arrivait maintenant à trouver la poire qui le ferait entrer, après l’avoir caressé dans le sens du poil et lui avoir servis un gros mensonge appuyé par l’étiquette qui convenait. Toujours au bon endroit au bon moment, il vécut quelques temps ainsi, le secret étant de changer de quartier bien avant que les habitants ne s’habituent à vous et d’éviter quelques temps ceux que vous avez déjà bernés.

Mais les banquets, tout comme les quartiers, étaient bien trop peu nombreux pour qu’Arzhvael puisse prospérer ainsi. Il finit par faire payer sa compagnie, à vendre son corps, à enseigner, principalement aux bourgeois avide de connaissance et souvent peu intelligent. Il fut ainsi logé et nourrit en plus d’être payé. Etablir sa clientèle presque régulière lui prit plusieurs années. Mais sa vie prit une nouvelle tournure et la sécurité s’installa de nouveau. Puis les premiers rapports inquiétant arrivèrent. Il avait depuis longtemps oublié comment lire, une connaissance bancale non entretenue finie par disparaître, mais sa proximité avec certaines nobles lui permettait de se tenir quelque peu informé, qui donnait tous les détails des affaires aux femmes ? C’est à ce moment que tout bascula.

La peur commença à prendre l’ascendant sur la raison. Tout le monde devint méfiant, plus personne ne pensait à s’amuser ou à prendre du bon temps. Vael fut inviter plus ou moins poliment à retourner dans la rue d’où il venait. L’affluence de réfugier ne fit qu’entretenir la peur. Les gens commencèrent à s’entasser les uns sur les autres, les normes et conventions clandestine de territoire fut complètement bouleversé. Très rapidement la nourriture vint à manquer et même l’argent ne pouvait combler convenablement ce manque. Vael commença à dépérir. De moins en moins de gens se laissaient berner. Il eut réellement l’impression de repartir de zéro. Il était à nouveau ce gamin des rues, seul. Luttant comme tous les autres pour survivre. Son corps et son aspect si bien entretenue laissèrent place à la saleté et à la maigreur de la pauvreté en période de famine.

Un soir, son instinct lui revint en pleine face. Il assista à une scène devenue commune, un homme violait une femme. Cette dernière s’étant trop débattue avait reçu quelques coups et ne bougeait plus vraiment. Vael ne pouvait détacher son regard du corps de la femme, probablement morte. Quand l’homme eut fini et fut parti, Arzhvael s’approcha du corps laissé tel quel. Cela faisait maintenant plusieurs jours qu’il n’avait pas mangé, il passait ses journées à errer sans conviction à la recherche de quelque chose à voler ou d’un animal à attraper, quoi que ce soit, juste de quoi faire taire son estomac qui avait eu le temps d’oublier ce qu’était de vivre sans suffisamment de nourriture. Alors cette chaire fraiche, qui n’attendait qu’à être découpée juste devant lui, était pour lui au-delà de l’irrésistible. Il se servit donc et commença à manger, cru. Ce fut une révélation. Cet endroit, cette ville regorgeait de nourriture ! Il ne fallait que se baisser et la ramasser. Le flux constant de réfugier était le plus efficace des approvisionnements.

Voleur à toute heure, prostitué le jour et le soir, cannibale meurtrier certaines nuits. Voilà à quoi en était réduit le seigneur fictif d’un royaume éloigné. Ces repas bienvenus lui furent bénéfiques, l’afflux de protéines permit à son corps de retrouver des forces et Vael retrouva quelques couleurs. Les affaires reprirent peu à peu, la capacités d’adaptations de l’Humanité étaient impressionnantes. Après seulement quelques mois de peurs paniques généralisées, les Hommes reprirent leur vie aussi normalement que possible. Tout n’était pas pareil, eux n’étaient plus les mêmes, mais les habitudes avaient la vie dure, ceux en bas de l’échelle faisaient tout ce qu’ils pouvaient pour ne pas tomber, ceux du milieu voulaient monter quelques soient les moyens, ceux en haut en profitaient un maximum avant de tomber et ceux au sommet se contentaient de faire en sorte que personne ne les rejoigne. Chacun à leur place, chacun jouant son rôle et ce n’est pas quelques centaines de millions de morts reprenant vie qui y changeront quelque chose.

L’Homme est faible et égoïste, d’ailleurs ces heures sombres seront certainement connues comme « la période où une maladie ressuscitant les morts a échoué à éradiquer l’Humanité mais a permis la légalisation de la prostitution ainsi que l’ouverture de maisons closes ». Oui, les viols à répétition finissant régulièrement par la mort de la femme avaient fini par obliger les dirigeants à autoriser les relations rémunérées, donnant à l’occasion un toit à de nombreuses personnes, dont Vael. Ce ne fut pas la seule décision intelligente qu’ils prirent, l’exode rurale forcée contribua aussi grandement à la stabilité de la ville, limitant par la même occasion la famine, la surpopulation et prodiguant un rempart vivant à toute invasion potentielle de la ville et renforçant en même temps cette dernière grâce aux cadavres qui gonflerait ses rangs. Mais ces morts qui marchent ne seront un problème pour lui que quand il en aura un devant lui.

En attendant, tant que les murs de la cité tiendraient, qu’il y aura des imbéciles mariés prêt à se suicider pour protéger les lâches, Vael continuera de mener sa vie comme il l’entend, profitant de toutes occasions pour continuer à vivre et ne reculant devant rien pour avoir un lendemain.



Résumé de la progression du personnage :


(Pour les anciens membres souhaitant réactualiser leur personnage, ne pas tenir compte de cette section en cas de nouvelle inscription.)


Derrière l'écran


Certifiez-vous avoir au moins 18 ans ? Yep

Comment avez-vous trouvé le forum ? Top-site

Vos premières impressions ? Hâte de commencer et voir si je peux vivre plus que 2 sujets xD

Des questions ou des suggestions ? un discord plutôt que la chatbox ?

Souhaitez-vous avoir accès à la zone 18+ ? Yup, on sait jamais


Modèle de fiche codé par Aure et Séraphin Chantebrume




Dernière édition par Arzhvael Tristane le Sam 22 Juin 2019 - 20:59, édité 9 fois
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MessageSujet: Re: Arzhvael TRISTANE [En attente de modifications]   Arzhvael TRISTANE  [En attente de modifications] EmptySam 8 Juin 2019 - 1:19
Bonsoir et bienvenue parmi nous, :bvnu:

Je vais être honnête, à la lecture de cette "fiche" je me suis demandée si c'était un troll... Malaise Je me le demande toujours d'ailleurs.... Dans le doute, je vais conserver ma neutralité la plus complète.... Allons y !

Je vais donc commencer par te souhaiter la bienvenue parmi nous, officiellement et de bon coeur. Cependant, il est absolument hors de question que je modère "ça". Je vais donc te demander de retravailler entièrement l'ensemble et de fournir une véritable fiche, convenable, avec une vraie psychologie qui tient la route, une vraie histoire qui tient la route, l'intégration du BG etc etc...

On ne parle pas du règlement dans une fiche, on ne parle uniquement que de son personnage et aucun cliché ne sera validé sur ce forum.... Il va falloir faire preuve d'un peu de recherche, j'en suis désolée.

Bon courage pour le boulot à fournir, si besoin, je reste néanmoins à ta disposition pour t'aider dans l'avancement et la réalisation de l'ensemble.

Ps : Il n'y aura jamais de Discord ici, navrée.

Bon courage !
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Merrick LorrenCoutilier
Merrick Lorren



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MessageSujet: Re: Arzhvael TRISTANE [En attente de modifications]   Arzhvael TRISTANE  [En attente de modifications] EmptySam 8 Juin 2019 - 1:35
Bienvenue à toi noble assassin ! Coucou

Je te souhaite bon courage pour ton apparition soudaine dans la cité !
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CesarePrêtre responsable
Cesare



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MessageSujet: Re: Arzhvael TRISTANE [En attente de modifications]   Arzhvael TRISTANE  [En attente de modifications] EmptySam 8 Juin 2019 - 1:44
Bienvenue parmi nous , sombre spadassin au passé tragique !

Bon courage pour ta fiche des plus particulières !
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Ambre Rosélia
Ambre Rosélia



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MessageSujet: Re: Arzhvael TRISTANE [En attente de modifications]   Arzhvael TRISTANE  [En attente de modifications] EmptySam 8 Juin 2019 - 1:45
Bienvenue à toi belle plume dans ces contrées difficiles !

Bon courage pour la rédaction de ta fiche Wink.
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Mathilde VortigernFermière
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MessageSujet: Re: Arzhvael TRISTANE [En attente de modifications]   Arzhvael TRISTANE  [En attente de modifications] EmptySam 8 Juin 2019 - 1:58
Salut Vael,

file donc voir quelques fiches de pj pour voir le genre d'écrit attendus par les membres du fofo, ça t'orientera pas mal.

Bon courage,
passe nous voir sur la cb si tu as besoin d'aide :D
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MessageSujet: Re: Arzhvael TRISTANE [En attente de modifications]   Arzhvael TRISTANE  [En attente de modifications] EmptySam 8 Juin 2019 - 2:32
Bienvenue en ces terres sauvages et inhospitalières jeune rhododendron maladif!


Quelle fiche que voilà!

Je vais tout de même me permettre d'approfondir l'analyse de notre modératrice bien aimée (loué soit son nom):

Pour ce qui est de l'apparence, tu as oublié de parler des nuages de poussières qu'il soulève à chaque pas (on le voit en bas à droite sur l'image). À part ça, ça retranscrit bien l'idée d'un rôdeur solitaire et puissant. Ça me fait frissonner un peu.



Pour le caractère, rien à redire, je me reconnais même dedans. Enfin si, juste un truc...laisser des femmes sans souvenirs de la nuit qu'elles ont passé avec toi, ça craint du boudin un peu non?


Enfin, pour l'histoire: c'était émouvant, impressionnant, parfois drôle. Je trouve quand même qu'elle tire en longueur sur la fin. J'ai pas compris pourquoi le bateau revenait si souvent...


Du coup, bonne chance et à bientôt dans la faille de l'invocateur, Hérault de la nuit!
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MessageSujet: Re: Arzhvael TRISTANE [En attente de modifications]   Arzhvael TRISTANE  [En attente de modifications] EmptySam 8 Juin 2019 - 9:52
Merci à tous ^^

@Raphael : non ça craint pas, l'objectif n'est pas de laisser bonne impression ou de se faire une réputation, c'est simplement de se faire plaisir sans conséquence ^^.

@Sydonnie : Oh non ! Pas la psychologie... J'y arrive jamais xD Hum, alors un troll euh, oui et non. Parlons plutôt de premier jet pour donner un aperçut. Je te refais ça sérieusement ce week-end ^^. J'ai une question néanmoins pour ne pas avoir à la refaire encore plusieurs fois, et que tu ne me prennes pas pour un véritable troll alors que c'est simplement ma façon d'écrire en général :
Le narrateur peut briser le 4ème mur ou pas ?
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MessageSujet: Re: Arzhvael TRISTANE [En attente de modifications]   Arzhvael TRISTANE  [En attente de modifications] EmptySam 8 Juin 2019 - 10:17
Hérald. Je me disais que c'était surprenant de ne pas t'avoir encore ici. Malheureusement, non du coup, il ne peut ni briser le quatrième et tu ne peux malheureusement pas t'inscrire ici pour des raisons évidentes que non n'allons pas détailler ici.

Bonne journée.
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MessageSujet: Re: Arzhvael TRISTANE [En attente de modifications]   Arzhvael TRISTANE  [En attente de modifications] EmptySam 8 Juin 2019 - 10:41
euh je te mp parce que là je comprend pas tout '-_-
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MessageSujet: Re: Arzhvael TRISTANE [En attente de modifications]   Arzhvael TRISTANE  [En attente de modifications] EmptySam 8 Juin 2019 - 11:31
Comme évoqué lors de notre échange MP, je te laisse le bénéfice du doute.

Bon courage pour la rédaction de ta fiche, il y a un peu de boulot
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Amélise LamerÉleveuse
Amélise Lamer



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MessageSujet: Re: Arzhvael TRISTANE [En attente de modifications]   Arzhvael TRISTANE  [En attente de modifications] EmptySam 8 Juin 2019 - 14:28
Bienvenue parmi nous, je suppose !

Bon courage pour ta fiche !
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MessageSujet: Re: Arzhvael TRISTANE [En attente de modifications]   Arzhvael TRISTANE  [En attente de modifications] EmptyDim 9 Juin 2019 - 13:49
Bienvenue !

L'avatar est intriguant, et le prénom est original, j'aime beaucoup !
Hâte d'en savoir plus sur cet énigmatique personnage...

Bon courage pour la rédaction de ta fiche !
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Isaure HildegardeBannie
Isaure Hildegarde



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MessageSujet: Re: Arzhvael TRISTANE [En attente de modifications]   Arzhvael TRISTANE  [En attente de modifications] EmptyMar 11 Juin 2019 - 19:38
Bienvenue parmi nous,

Une représentation très sombre, j'espère que ton personnage ne sera pas un horrible monstre...

Bon courage !

:bvnu:
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MessageSujet: Re: Arzhvael TRISTANE [En attente de modifications]   Arzhvael TRISTANE  [En attente de modifications] EmptySam 22 Juin 2019 - 21:03
Fiche terminée !
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MessageSujet: Re: Arzhvael TRISTANE [En attente de modifications]   Arzhvael TRISTANE  [En attente de modifications] Empty
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