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 Le voleur à la langue bien pendue [PV Orian]

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Noah NouetMilicien
Noah Nouet



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MessageSujet: Le voleur à la langue bien pendue [PV Orian]   Le voleur à la langue bien pendue [PV Orian] EmptyMar 29 Juin 2021 - 22:47
2 Janvier 1167

Voilà maintenant plus d'un mois que je traque la moindre information à propos de l'assassin, du moins de la personne qu'à louée ses services pour commettre le meurtre de Lise. Je me remémore cette journée sinistre, je me souviens encore de cette personne comme si c'était hier. Ce masque tourmente parfois mes nuits, je frissonne de dégoût quand je finis par me souvenir de son dernier cadeau d'adieu. Lors de notre échange, j'étais persuadé qu'il s'agissait d'un homme, mais pendant ce court échange nos corps n'ont fait plus qu'un et incapables de réfuter ses formes je n'ai pu que constater mon erreur. Peut-être que cette faible information me servira un jour, j'en doute et je ne souhaite pas vraiment recroiser sa route malgré nos différents.

Néanmoins je m'égare, ce qui m'intéresse s'est déroulé avant toute cette mascarade. Je me souviens encore clairement de ses paroles, jusqu'à la moindre intonation de sa voix lugubre. "Voici donc mon indice. Celui qui a voulu sa mort l’a fait pour sa réputation, et celle-ci serait bien entachée si on venait à se rendre compte que la petite que tu viens de sauver a exactement les mêmes yeux que lui. En plus joli !" L'indice peu subtil me laisse malgré tout dans une impasse, j'eus compris que la petite Mélisandre avait hérité des yeux de son père. Pourtant Lise n'a guère pris la peine de m'en dire davantage sur cet homme et je n'avais pas envie d'en savoir plus à l'époque.

Les premières semaines je n'ai pas réussi à profiter des pistes encore fraîches à cause de mon désespoir, je mentirais de dire qu'il a disparu car cette peine me ronge encore de l'intérieur telle la peste. Je regrette aujourd'hui d'avoir perdu autant de temps à me morfondre de façon si lamentable plutôt que de traquer le véritable responsable. La chance semble pourtant me sourire, mes longues beuveries pour tenter d'oublier mes problèmes de cœur mon permis de me faire des connaissances peu recommandables, mais pas pour le moins inutile. D'après l'un d'eux, un homme à reçu dernièrement une somme très importante pour retrouver une gamine. D'ordinaire je n'aurais pas prêté attention à ce ragot, mais celui qu'a accepter le travaille est réputé pour être un voleur à la langue bien pendue. Un soir il a révélé plus en détail son travail un peu particulier. Une jeune enfant, dont l'iris et la chevelure sont précisés et dont la dernière résidence connue fut le temple. Trop de coïncidence pour être ignoré. J'ai fini par me mettre à la recherche de ce voyou.

Malgré sa réputation de bavard, peu de gens connaissance l'endroit où se trouve cette personne. J'ai parcouru nombre de tavernes, payer d'innombrable chope pour contraindre certain à dénouer leur langue sur la moindre information pouvant me servir. Sans réel résultat satisfaisant pour me permettre de le débusquer. C'est finalement une belle-de-nuit, au détour d'un trottoir qui m'accoste pour gagner sa pitance qui contre une somme d'argent bien au-dessus de ses tarifs habituelle m'offre la révélation tant attendue. "Il se cache dans les faubourgs, une maison délabrée. Il m'a emmené une fois pour notre petite affaire, c'était vraiment lugubre la-bas mais on ne peut pas être d'un difficile nous autre. Bon, on s'y colle mon mignon ? Je n'ai pas toute la journée." Sans réclamé mon dû à la belle-de-nuit je pris la direction des faubourgs, un sourire en coin d'avoir enfin a porté de main la personne dont je traque depuis maintenant quelques jours.

Quand j'arrive à destination le soleil est encore haut dans le ciel, nul doute quand cette période de l'année cela n'est pas pour autant une raison pour relâcher sa vigilance, surtout en dehors des murs où la mort nous guettes aux moindres tournants.

Je commence par faire le tour de la maison, à la recherche d'un signe de vie à l'intérieur du bâtiment. Le calme plat, peut-être dort-il de jour et commet ses méfaits de nuits à l'abri des regards. Je finis par décider d'entrer par la grande porte, d'un simple geste j'entrouvre la porte pour rester discret, mais le grincement de la porte me trahit, dans la précipitation j'abandonne l'idée de ne commettre aucun bruit pour l'enfoncer avant qu'elle ne se referme aussitôt suite au rebond que l'élan à provoquer sur le mur. Je me hâte à vérifié chaque pièce, le vacarme l'a très probablement réveiller et je n'ai pas envie de voir tous mes efforts être réduits à néant si près du but. Après être sorti de la dernière pièce je retourne dans la pièce principale complètement dépitée. Aucune trace du voleur, et après avoir pris un peu de recul, je remarque d'aucun objet de valeur n'est présent dans ce repaire. Certaine trace montre même des preuves d'un départ sur les chapeaux de roues.

Dans un ultime soupir, je m'énerve, renversant la table en bois sans retenue couvrant ainsi le bruit des nombreuses injures que ma bouche exprime sans la moindre retenue. Une fois que j'eus fini de me défouler, je tente de reprendre mon calme, cherchant à comprendre la raison de mon échec. La réponse est pourtant évidente, après plusieurs jours à chercher dans les tavernes et autres coins perdu, quelqu'un a dû l'informer qu'un homme d'apparence à être un milicien le recherche depuis maintenant plusieurs jours. Néanmoins, je remarque un détail encouragement. Sur la table se trouve un repas, il n'est pas chaud sans pour autant froid. Il n'a pas pu aller très loin, peut-être il se balade encore dans les faubourgs bagage à la main.

J'entendis la porte s'ouvrir, perdu dans mes réflexions je ne le remarque pas immédiatement et je prends plus de temps qu'a mon habitude pour dégainer mon arme et mettre ma rondache en position. "Qui va là !?" Dis-je avec agressivité, comme si je nourris l'espoir de voir le propriétaire des lieux refaire soudainement surface.

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Note HRP spécial, le dialogue en violet représente les paroles de Sélène Loite lors du RP : Un assassin face à un milicien accompagné de la petite fille.
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Orian LarcherMilicien
Orian Larcher



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MessageSujet: Re: Le voleur à la langue bien pendue [PV Orian]   Le voleur à la langue bien pendue [PV Orian] EmptyMer 7 Juil 2021 - 12:21
Haletant, je sautais du dos de mon fier et étonnant destrier, arme improvisée brandie dans la direction de la porte d'entrée de ce que j'espérais bien être la demeure de mon ennemi du jour. A l'intérieur, beaucoup de grabuge, comme si l'on démolissait les lieux.

Prenant une longue inspiration, j'enfonçais la porte, poussant un bref « AHA ! », l'attitude bien plus fière que je n'aurais dû l'être, alors que l'homme se dressant devant moi s'exclamait d'un « Qui va là !? » avant de me découvrir armé d'une lourde louche de cuisine, complètement nu si ce n'était pour une écharpe lilas enroulée autour de mes parties intimes en culotte improvisée, et accompagné du braiement colérique de l'âne qui me servait de monture.

Inutile de vous dire que les faits m'ayant amené à cette situation ne sont pas simples à résumer, mais laissez-moi essayer de vous conter les fières épopées d'un homme acteur de sa propre mésaventure.

Plus tôt, entre la fin de matinée et le début d'après-midi, se réveillait un Ori au meilleur de sa forme, s'étirant de tout son long en tâchant de ne pas réveiller la compagne d'un soir au corps à nu la tête sur son épaule. Que n'aurait-il voulu prolonger l'agréable moment, si ce n'était pour le réveil de sa belle, et son départ qui serait bientôt nécessaire - nul doute que son père, noble de son statut, n'aurait apprécié d'apprendre que sa fille partage sa couche avant le mariage. Et s'il ne devait rentrer avant quelques heures, prendre un quelconque risque n'était pas dans mes habitudes.

Sortant du lit avec un dernier sourire enjôleur à l'adresse de Natalie, belle blonde à la poitrine opulente, le brave Ori ouvrait la porte qui reliait la chambre et le salon dans le plus simple appareil. Quand soudain le trio - oui, le trio - se mit à crier de surprise, car s'ils l'avaient tous trois cru, aucun d'entre eux n'étaient seuls : ni le couple de libertins, ni le voleur qui venait d'attraper un collier orné d'une gemme d'un rouge si vif qu'il criait la richesse de sa propriétaire.

Et j'abandonne ici la troisième personne pour mon autobiographie, puisque la suite n'est ni héroïque, ni reluisante. Approchant de l'intrus encapuchonné, ce dernier brandit une dague menaçante dans ma direction me forçant à reculer en levant les deux mains. Il ne dit mot, mais je pouvais lire dans son regard l'expérience d'un homme qui n'hésiterait pas à s'en servir si le besoin s'en faisait sentir.

« Monsieur, permettez-moi de calmer la tension : je n'ai guère à coeur de mourir, et je vous doute que vous ayez pour objectif de devenir meurtrier », plaidais-je. « Aussi je vous propose de vous en aller avec votre dû actuel. Le temps que je m'habille devrait vous laisser plus le temps nécessaire pour disparaître, et nous serons tous deux débarrassés de notre nuisible. »

Pari gagnant : ce dernier pris la poudre d'escampette sans plus tarder. Me tournant vers ma conquête, l'air triomphant et souriant de toutes mes dents, la douche froide ne se fit pas attendre, prenant la forme de la paume d'une main marquant ma joue.

« Tu l'as laissé partir ?! », s'écria-t-elle, le coin des yeux légèrement brillant, et l'attitude entre peine et autorité. « Ce collier est le dernier souvenir de ma mère, imbécile ! »

« Madame, je compatis mais voyez les choses sous le bon angle : nous sommes en vie, et votre vertu est préservée. »

« Pas pour longtemps, Ori. Si tu ne retrouves pas mon collier, je devrais en parler à mon père. Toi compris. »

Ecarquillant lentement les yeux, je laissais l'information traverser ma cervelle en imaginant toutes les conséquences qu'elles auraient tant sur ma personne que sur ma réputation. Bon, soit : place au brave Ori, sauveur de ces dames. Reprenant mes esprits, j'attrapais une écharpe violette qui traînait sur le dossier d'une chaise, ceinturant ma taille puis masquant mes parties, attrapait la première arme contondante qui m'était offerte, une lourde louche de cuisine en bois, avant de me m'élancer vers le balcon qui donnait sur la cour. Sans faute, je retrouvais plus bas notre voleur passant discrètement dans l'angle mort de l'un des gardes de la propriété. Et bien entendu, n'étant pas censé être là, je me voyais mal le héler pour requérir son aide.

Scrutant en contrebas, j'inspirais profondément avant de débuter ma descente, profitant du peu de hauteur jusqu'au sol et de l'attrait des nobles pour les structures gravées, qui m'offraient pour l'occasion moultes prises multiples auxquelles me raccrocher. Manquant de tomber plusieurs fois, j'arrivais finalement au sol ... Nez à nez avec le palefrenier.

« ... Ori ? Qu'est-ce que tu fous ic- », s'étonna-t-il, en m'observant de haut en bas avec toute l'incrédulité de l'univers sur ses épaules.

Reprenant le souffle qui m'avait été coupé, je remerciais la Trinité, les esprits de mes ancêtres et toute la chance de l'univers de m'avoir mis en face de l'unique palefrenier avec lequel j'avais passé mes soirées et noué une amitié il y a quelques semaines de cela.

« Rikni soit louée, c'est toi John ... J'ai pas le temps de m'expliquer, peux-tu me prêter une monture discrètement ? C'est une question de vie ou de mort ! »

« Je ... Hein ... Quoi ? », balbutiait-il. « Y'a bien Bernard devant la porte arrière, mais ... »

« Merci John, je te revaudrais ça ! », lançais-je en m'élançant dans les couloirs qui menaient à ladite entrée, ne lui laissant le temps de donner plus d'information, de peur qu'il se ravise.

« Ori, attends ! », s'écria-t-il, plus de surprise que de colère, sans pour autant me suivre. Parfait.

Ouvrant la porte, sûr de moi-même, je tombais de haut en découvrant la vraie raison de l'hésitation de John. Bernard était une monture, personne n'aurait pu le nier, mais pas exactement celle que je m'imaginais. Poussant un soupir assez puissant pour détruire toute l'Esplanade, je chevauchais l'âne en direction des ruelles parallèles à l'avenue principale - il me paraissait logique qu'un voleur ne souhaiterait prendre les allées les plus peuplées, surtout en plein jour. Et à nouveau, pari gagnant : je retrouvais l'étrange figure beaucoup plus loin, au détour d'une ruelle. Et bien que beaucoup de regards aient été braqués sur moi sur le chemin, il était assez loin pour n'avoir eu le loisir de m'apercevoir, me laissant tout le plaisir de le suivre de loin, tout en subissant les regards courroucés, choqués, incrédules, ou parfois même envieux des badauds et des passantes. L'unique milicien croisé avait commencé à faire un pas dans ma direction, avant de me reconnaître, de partir en fou rire, et de courir en direction, je n'en doutais point, de l'un des lieux que nous partageions dans le cadre de notre métier ... J'allais en entendre parler, de cette aventure, c'était certain.

Finalement, le voleur il emprunta un couloir entre deux bâtiments. Perdu de vue, j'improvisais en questionnant les passants sur un possible voisin aux airs louches, jusqu'à arriver devant une banale maison, indiqué par un proche commerçant en ayant bien plus qu'assez de son voisinage. Et ainsi ... Haletant, je sautais du dos de mon fier et étonnant destrier, arme improvisée brandie dans la direction de la porte d'entrée de ce que j'espérais bien être la demeure de mon ennemi du jour. A l'intérieur, beaucoup de grabuge, comme si l'on démolissait les lieux. Prenant une longue inspiration, j'enfonçais la porte, poussant un bref « AHA ! », l'attitude bien plus fière que je n'aurais dû l'être, alors que l'homme se dressant devant moi s'exclamait d'un « Qui va là !? » L'intérieur bien trop sombre et la différence entre la luminosité du dehors et l'obscurité du dedans ne me permettaient pas encore de confirmer s'il s'agissait bel et bien de celui que je recherchais, mais ... Après tout, n'étais-je pas chez lui ?

« Ainsi nous nous retrouvons, voleur ! Rendez-moi le collier immédiatement, ou vous allez goûter de ma louche. Et croyez-moi, vous n'avez pas envie de découvrir par où elle est passée ! » Et à nouveau, mon fidèle Bernard me secondait en braillant pire qu'un âne bât- ... Ah, non en fait, exactement comme un âne bâté.
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MessageSujet: Re: Le voleur à la langue bien pendue [PV Orian]   Le voleur à la langue bien pendue [PV Orian] EmptySam 24 Juil 2021 - 19:35
La scène qui se présente à moi n'a aucun sens, au point que cette réalité me parut soudainement plus proche d'un mauvais rêve que du monde réel. Ma fureur s'étant dissipée suite à la parure du nouveau arrivant, je ne pus réagir de façon raisonnable comme à mon habitude.

Je tique sur sa réplique, m'insultant de voleur et de lui remettre le bien précieux que je lui aurais dérobé. Je ne sais pas si je dois m'énerver contre lui ou tenté de le raisonner. Puis surtout lui demander la raison de cette tenue, de ce destrier et le plus important du choix de son arme. Nous sommes dans les faubourgs, quel idiot irait uniquement armer d'une arme pareil

"Ai-je vraiment l'apparence d'un voleur à tes yeux ? Tu disais chercher un collier ? Désolé de te l'apprend, mais il n'y a rien de si précieux ici." Dis-je pour renforcer mon argumentation. Ma tenue de milicien devrait être une preuve de mon innocence, pourtant nombreux sont les hommes peut scrupuleux dans notre métier, pot-de-vin, rackette ou chantage sont parfois présent. "De mon point vu, tu ressembles plus à ce voleur que je recherche activement depuis plusieurs jours." Ma posture pointant mon arme dans sa direction montrant la méfiance que je lui accorde. "Je te le redemande une seconde fois, qui es-tu ? Et qu'est que tu fiche dans cette ten... Non, oublie, je pense que je n'arriverais pas à te croire de toute façon." Dis-je en pointant mon arme dans sa direction, malheureusement qu'importe que sa réponse, je doute fort pouvoir le prendre au sérieux dans cette ambiance étrange.

Je me suis rapproché doucement lors de notre conversation, il n'est pas impossible qui puisse avoir l'idée de fuir avec sa monture peu commune. Néanmoins, à force que je m'approche, son visage me semble familier, comme si nos chemins s'étaient déjà croisés à multiple reprise sans vraiment prendre la peine de converser.

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MessageSujet: Re: Le voleur à la langue bien pendue [PV Orian]   Le voleur à la langue bien pendue [PV Orian] EmptyVen 30 Juil 2021 - 17:39
Je plissais les yeux pour y voir plus clair, le contraste entre intérieur et extérieur m’ayant brièvement aveuglé, avant de découvrir la nature du métier de l’homme qui me faisait face grâce à son uniforme : un milicien … Décidemment, ils avaient tous décidé qu’aujourd’hui était le jour parfait pour me croiser dans cette posture bien plus qu’embarrassante. Au moins, je ne reconnaissais pas celui-là, bien qu’il ait été possible que nous nous soyons déjà croisés dans les couloirs. Lentement, je baissais ma louche.

« Monsieur, vous n’avez effectivement pas l’air d’être le voleur que je recherche – et qu’en réalité, nous recherchons tous deux, manifestement. Moi-même, ai-je l’air plus d’un voleur, ou d’un volé ? », lançais-je en m’observant. « Non monsieur, je ne suis non plus notre voleur, guère plus qu’un pauvre mécréant témoin du vol d’un bijou familial, qui ne tend qu’à le rapporter à sa belle. »

J’entrais lentement pour ne pas laisser sous-entendre une quelconque hostilité, laissant Bernard sur le palier après avoir attaché ses rênes à une poutre proche. Sans davantage m’expliquer, ni porter plus d’attention à mon compagnon d’infortune, je commençais à fouiller en tournant le dos au milicien.

« Et si nous voulons le trouver, il nous faudra rapidement trouver des preuves. Je l’ai suivi jusqu’ici, il vous a donc entendu en arrivant avant de prendre la fuite. Peut-être même pourrais-je lui emprunter de quoi couvrir mes parties les plus sensibles, avant le froid du soir. »
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MessageSujet: Re: Le voleur à la langue bien pendue [PV Orian]   Le voleur à la langue bien pendue [PV Orian] Empty
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