Tout est une question d'affaires [PV Victor] [Terminé]

Cela faisait déjà plusieurs années que Victor s'était associé à la sulfureuse Veuve Noire du nom d'Aalicia Caldéran. Amis de longue date, amant, le duo partageait beaucoup de choses à vrai dire. Une vrai complicité était née, même si dix ans les séparait. Victor avait connu les déboire maritales de la noble déchue et l'avait toujours soutenue tout en gardant pour lui les terribles secrets qu'elle ne pouvait révéler à autrui. Ils vivaient donc en parfait accord dans une vie professionnelle et personnelle assez atypique qui les liait sans tabou ou presque.

Plongé lui aussi dans l'étude des affaires de leur établissement de l'Effeuill’Âge, il s'attelait à tenir les comptes à jour. Ses dernières semaines auraient pu leur apporté plus de profit que le prévisionnel ne l'avait indiqué. Ma fois, cela arrivait, surtout à l'aube de troubles qui frapperait sans nul doute la Cité de Marbrume. C'est donc dans un silence, uniquement perturbé par le son des pièces en sonnantes et trébuchantes, que le Compte tenait son fameux registre avant d'envoyer ses bénéfices à son agent en charge de faire fructifier les richesses de l'établissement.

L'irruption soudaine de Livia lui fit soudainement perdre le cours de ses calculs, une colonne de pièces soigneusement empilé s’éparpillant sur le planché de son étude. Serrant la mâchoire alors, l'homme releva la tête, le regard noir fusant en direction de son employer, qui avait omis la bienséance. Le ton grave et inquisiteur de sa voix allait refroidir la bougresse.

- Ne t'ai-je pas déjà dit de frapper avant d'entrer! Bonté Divine! Je vais devoir tout recommencer depuis le début!

Excédé, il envoyait valser son livre de compte à l'autre bout de la pièce, avant de la fusiller du regard.

- J'espère que tu ne me dérange pas pour rien, Livia! Allez parle!

La jeune femme se recroquevilla sur elle même, avant de bredouiller quelques mots.

- Par... pardonnez moi... c'est dame Caldéran qui m'envoi vous... vous quérir... elle... elle vous attend aux Thermes.

Victor reprit alors son sang froid à cette annonce. Hochant de la tête, quelque peu exaspéré.

- Il faut toujours qu'elle me cherche quand je suis concentrer sur une tâche! Elle ne changera jamais!

Quelque peu râleur, il n'en appréciait pas moins son amant, mais il fallait tout de même marqué le coup devant l'une de leur employer.

- Bon... Je n'ai guère le choix... Je me demande bien ce qu'elle mijote... Toi, range moi l'étude et remet les pièces dans le coffre. Et ne t'avise pas de me voler, tu sais que j'ai une bonne mémoire visuelle!

Sur ce, il quitta son bureau pour se rendre à l'endroit indiqué, d'un pas pressé. Que voulait son associé d'assez urgent pour ne pas la faire attendre. Il l'a connaissait, cela pouvait être tout aussi important qu'insignifiant, cela faisait parti de la personnalité de la jeune femme.

Passant les portes des thermes, il se dirigea vers le bassin principal, cherchant sa sulfureuse complice du regard. Son attention se tournant rapidement vers l'eau stagnante où dépassait le minois de l'adorable Aalicia qui avait le chic de l'agacer et de le faire fondre tout autant.

Le Comte s'était à peine approché du bassin que sa petite protégée, jusque là immobile dans l'eau, vint s'accouder au rebord non loin de lui. Lui avouant alors qu'elle rêvassait, repensant à la fois où il lui avait déclaré sa flamme, une flamme qui le consummait mais qui jamais ne pouvait s'embraser par un mariage pourtant interdit. Victor la fixa, toute nervosité se dissipant en cet instant, elle avait ce don d'influencer ses émotions. Son visage jusque là fermé vit naître un sourire à la commissure de ses lèvres.

- Comment ne puis-je point me rappeler de ce moment... ma petite araignée...

Il lui avait donné quelques surnoms, celon l'humeur de cette dernière. Pourtant, ce petit Prélude intimiste s'effaça bien vite. Souvent d'ailleurs, lorsqu'Aalicia avait à faire des reproches à son amant et associée, elle s'employait à le mettre en confiance avant que la foudre ne frappe et c'est bien ce qui se produisit ensuite.

Révélant à Victor que deux de leur employés pillaient leur fortune, il avait tout comme elle, constatait quelques incohérences dans les comptes de leur affaires. Melina et Alanna, encore elles, tou jours elle. Si le Comte ne les avaient pas protégé jusqu'à aujourd'hui du courroux de la Veuve Noire, du fait qu'il entretenait avec elles des relations intimes, elles auraient déjà été envoyées ou pire encore, assassinées par son amie. Devait il, pouvait il encore prendre leur défense?

- Il ne t'as pas échappé ce fait, mais es-tu bien sûre que ce soit elle? Les as-tu prises la main dans le sac?

Cela suffira-t-il à sauver les deux donzelles? Victor resta figé alors qu'Aalicia quittait l'enveloppe chaude du bassin, s'affichant de tout ses atouts ruisselant d'eau devant le Comte de Rougelac. Elle était belle, une beauté presque démoniaque, des courbes tentatrices, un minois mi ange mi démon où sa longue chevelure obsidienne venait enlacer ses épaules jusque dans son dos.

Cherchant son contact, il ne bougea pas, envoûté, qu'importe si ces braies prenaient l'eau. Telle une prédatrice, elle se colla à lui, cherchant le goût de ses lèvres. Mais au moment où il se pencha, la séductrice Calderan se transforma en froide inquisitrice l'attrapant par le cuir chevelure, le forçant à s'abaisser à sa hauteur.

Ce n'était jamais très agréable, mais impossible pour Victor de réagir et la punir, il était incapable de lever la main sur elle et elle se savait bien, consciente qu'elle pouvait se permettre ce genre de réaction.

Serrant la mâchoire pour ne pas montrer à son amant qu'une vive douleur le prenait subitement à la base du crâne, il écouta ses réprimandes. Ainsi elle était au courant qu'il troussage ses deux petites chipies. Elle lui rappela oh combien elle se trouvait être des plus possessive vis à vis de lui, allant quelques fois à choisir pour lui ses amants et lui interdire certaines relations.

Hochant la tête, il ne chercha pas à retrouner la situation, conscient qu'elle pouvait lui faire vivre un Enfer! Ces petites cachotteries avec le personnel allait prendre fin, cela ne faisait plus aucun doute au vu de l'attitude déterminée d'Aalicia. Mais que leur réservait elle? Il fallait pourtant commencer par tempérer l'humeur de sa complice.

- Nous sommes clairs ma petite Araignée. Lâche mes cheveux maintenant... je ferais le nécessaire pour que cela ne se reproduise plus...

En fait, il ne ferait rien, c'est elle qui allait remédier à cet épineux problème dans leur affaire interne. Et comme toujours, quelque soit ses agissement, il fermerait les yeux et la protégerait, il en était toujours ainsi et en serait toujours ainsi. Victor s'était depuis longtemps, bien trop longtemps, englué dans sa toile. Il craignait pourtant à ses paroles de "remédier définitivement" qu'elle ne se transforme à nouveau en un être démoniaque sous ses allures de petite princesse innocente.

Aalicia ne semblait aucunement prendre l'affaire à la légère et Victor semblait être le premier à subir les foudres de son associée. Osant remettre en doute ses certitudes, il comprit très vite son erreur. Elle semblait totalement sûre d'elle, aucune place possible au moindre doute! Grondant sur son ami et amant, l'homme pourtant 10 an son aîné, ne broncha pas, connaissant parfaitement de quoi était capable cette démoniaque créature aussi envoûtante qu’athlétique, pouvant le mettre à terre sans l'ombre d'un soucis.

Impossible de se défaire de son emprise, elle ne lâcherait pas sa tignasse tant qu'il n'avait pas comprit la gravité de la situation. Toute tentative de négociation semblait impossible au sujet des deux jeunes femmes incriminées. Aalicia ne prenait pas son rôle de femme d'affaire et surtout d'ange noir protectrice à la légère, d'ailleurs, souvent, même si ces paroles étaient directes voir crues, elles n'en restaient pas moins d'une franchise implacable. Oui, s'il devait régler le problème il risquait de s'enliser à nouveau dans ses propres démons de la luxure, pardonnant à ses deux subalternes en un rien de temps qu'elle s'allongerait pour se faire trousser.

Ces deux femmes semblaient avoir depuis trop longtemps et en toute impunité dupé les deux associés. Victor, toujours plié, n'émit aucune autre remarque, conscient que son Araignée ne reviendrait pas sur sa décision. Finalement, la sentence fut prononcé et de manière irrévocable au grand damne du Comte de Rougelac. Ce soir, les deux filles disparaîtrons et en cela, Victor en comprit immédiatement les aboutissants : Aalicia allaient les supprimer, leur prendre la vie, leur faire payer au prix fort ces mois de vols dans les propres caisses de la florissante affaire de l'Effeuill'Âge, gérée par les deux complices de longues date.

Elle relâche finalement cette douloureuse étreinte pour lui offrir ce terrible sourire dont il ne pouvait qu'en mesurer le sens. Il n'aurait aucun droit à la parole et d'ailleurs, elle scella cette décision en l'embrassant avec fougue avant de réaffirmer sa place auprès de lui. Il lui appartenait, elle décidait de ses amants, Victor était son territoire, et il ne fallait jamais qu'il ne l'oubli.

Tout homme censé, saint d'esprit aurait prit al poudre d'escampette, mais pas le Comte. Aussi paradoxale que cela pour paraître, l'attitude, la poigne, la fermeté de sa complice l'excitait en un sens. Bien qu'évidemment, ne pas être libre de décidé de son propre chef le gênait, il se pliait à cette règle, c'était si difficilement explicable d'ailleurs, mais tout en revenait toujours à leur liens si fusionnel, à leur passé commun, aux secrets qui scellaient leur amitié peu conventionnelle.

Lorsqu'elle acheva sa phrase, il l'empoigna par les hanches avant de la serrer par la taille, venant poser ses lèvres dans son cou encore humide, son visage se mêlant aux long cheveux détrempée d'Aalicia, lui murmurant finalement.

- ...Je sais mon Araignée... je ne l'oublierais jamais plus... Quand aux filles... fait cela proprement... je ne veux aucune trace... pour ton bien.

L'enlaçant, il respira à plein poumon, cherchant cette drogue qui n'était autre que cette peau qui lui était interdite à marier. Un frisson le parcouru, il savait que la démone allait à nouveau faire surface et cela stimulait inconsciemment car finalement, il n'était pas plus ou moins saint d'esprit qu'elle ne l'était. Une certaine adrénaline ressortait de cet échange musclé aux conséquences si sombres et funeste. Aalicia... l'Ange... Aalicia... le démon, le Ying et le Yang.

Oui, évidemment, Victor savait bien que son Araignée exécutait toujours ses tâches proprement, mais il ne pouvait toutefois le lui rappeler, tel un grand frère toujours soucieux pour son cadet. Il se tut esquissant simplement un léger mouvement de tête approbateur.

Enlacé contre cet être si différent du commun des mortels, il senti ce frisson la parcourir, signe qu'elle semblait toujours réceptive et stimulé à son contact. Cela le rassurait car, à la quarantaine, même si l'homme semblait toujours aussi bien conservé par les années, il avait toujours cette hantise qu'elle se libère de lui.

Le Comte de Rougelac espérait aussi que la Veuve Noire retrouve son calme et les premiers signaux semblaient l'en faire croire lorsqu'elle appuya son étreinte lui caressant ses cheveux au lieu de le lui les arracher. Mais avec Aalicia, rien n'était prévisible. Son humeur était souvent changeant et pouvait re-basculer en une fraction de seconde sans aucun signe extérieur.

Le regard hébété, il se senti soudainement propulser vers l'arrière, ses mains quittant l'enveloppe de chair de son amant et associée. S'écrasant sur la chaise longue qui se trouvait juste derrière lui, il n'eut même pas le temps d'entre ouvrir sa bouche que l'araignée lui grimpa dessus à califourchon. Telle une proie, piégée par cette démoniaque créature, Victor comprit très vite pourtant, par un simple regard, que sa protégée, cherchait à obtenir de lui son affection. Ses mots confirmait cet état d'esprit, elle avait besoin d'être rassurer sur les sentiments de son amant à son égare.

Les paumes du Comte se posèrent tendrement sur ses hanches, son regard noyé dans celui d'Aalicia. Contemplant un cours instant ce corps meurtri par deux mariage forcé, ses doigts vinrent s'égarer sur les cicatrices qui témoignaient du douloureux passé de l'Araignée. Malgré cela, elle resta belle, sa peau à la pigmentation poudré était une tentation que jamais Victor ne pourrait repousser.

- Jamais je ne te délaisserais mon Araignée. Tu es la seule et unique, personne ne sera jamais ton égal... je t'aime à jamais de cet amour pourtant interdit.

Serait-ce suffisant pour apaiser son associée, cet être si cher à ses yeux? Accepterait-elle un mariage d'intérêt si le cas devait se présenter? Jusqu'où irait sa possessivité et sa jalousie? Victor était à la fois inquiet et passionné à l'égare de ce bout de femme qui l'avait enfermé dans sa toile. En tout cas, l'homme ferait toujours ce que lui dicterait sa Veuve Noire qui tirait les ficelles de leur relation si complexe.

Les mots rassurant de son amant allaient-ils suffir ? Il semblerait que non, oubien ce n'était qu'une des subtiles manière de l'araignée pour que le Comte s'offre à elle? En tout cas, Victor était à présent partiellement trempé et cela n'allait pas en s'améliorant alors que le contact physique entre les deux associés se faisait plus pressant.

De Rougelac laissa volontier la maîtrise de la situation à une Aalicia qui semblait le réclamer corps et âme. "Tu es à moi, tu as toujours été à moi, tu le seras à jamais" déclara-t'elle en caressant ses lèvres, son menton, son cou tout en affichant un sourire victorieux. L'insaisissable Veuve Noire termina sa possessive déclaration en venant se coller à son amant de longue date. Victor ne pouvait résister à son envoûtement, elle l'avait ensorcelé, piéger dans ses griffes.

Frissonnant de tout son épiderme, le Comte ne semblait plus en mesure de compter sur la moindre défense psychologique face à cet être avec qui il avait en quelque sorte scellé son destin. Le fameux Rituel allait encore une fois se produit. Car en effet à chaque fois que la Veuve Noire se mettait en tête de faire disparaître un être humain, elle venait puiser chez son amant de toujours une force vitale lui permettant d'être indirectement accompagné par ce dernier lorsqu'elle commettait l'irréparable.

Biensure, même s'il s'adonnait volontier à cette pratique et qu'il exprimait, comme il venait de le faire, la soumission de coeur à Aalicia, il lui fallait à chaque fois ne pas perdre la face et jouait son rôle de mâle. Ainsi, après avoir relever la nuque pour venir poser quelques minutes ses lippes contre les tétons de son amante diabolique, les sucants sans complexe, il attendit que cette dernière soit déstabilisé par ses attentions pour inverser le rapport de force, passant un bras autour de sa taille, avant de glisser, pivoter et retourner son associée contre le dossier de la chaise longue.

Se redressant alors, il la toisa de son regard le plus passionné, déclarant.

- Donne toi à moi avant d'exécuter ton oeuvre mon Araignée !

Retirant alors ses braies, il ne la quitta pas du regard, appréciant ses courbes, sa beau ébène, ses atouts féminins qui faisaient céder n'important quel homme.

- Mon corps t'appartient.

Sa nudité révéla sa son chibre dans toute sa splendeur. Le temps n'avait pas sembler si mal faire vieillir cet homme de la noblesse.

Aalicia et Victor se comprenaient et se complétaient. Reversant la situation à son avantage, le Comte dans sa tenue de chair, avait pourtant à faire à une femme qui n'avait ni la langue dans sa poche, ni l'envi de passer en cet instant par quelconque préliminaire. Elle lui rappela un fait indéniable, c'était à lui de pénétrer ses muscles intimes. Il appréciait ses traits de caractères, l'Araignée aimant le taquiner lorsqu'elle pouvait trouver la moindre faille.

Et oui, elle avait raison. Et oui, au vu de sa position lassive, elle réclamait son dû séance tenante sans autre forme de procès. Victor esquissa un sourire en coin avant de se mettre à rire à gorge déployée, ravi, conquis comme toujours par l'attitude sans détour que lui proposait son associée.

- Trève de plaisanterie en effet. Pourquoi Diantre as-tu toujours raison et tu as toujours les mots juste !? Allez, je vais te faire taire sur le champ.

Sans attendre il glissa son corps viril contre celui si doux de sa Muse. Le contact était toujours aussi plaisant. C'était comme s'il explorait ce corps pour la première fois tout en le connaissant sur le bout des doigts. Embrassant avec fougue son Araignée, il laissa sa langue se lier à la sienne, profitant de ce moment où sa partenaire ne pouvait parler pour attraper le dessous de ses cuisses légèrement galbées afin d'offrir à son membre veineux un chemin totalement libre vers sa destination, son terrier chaud et humide.

Un coup de hanche, doux mais précis allait lui permettre de prendre possession de ce territoire poudrée qu'incarnait Aalicia. Il était sienne mais elle était aussi sien! Cette cavité intime, il l'à connaissait bien, sachant exactement quels mouvements quelques endroits lui procuraient le plus de sensation.

Il n'en était qu'au début de cet ébat. Quelques coups de hanches plus tard, il quitta l'étreinte de ses lèvres pulpeuses pour venir l'embrasser torridement à la base de sa nuque.

Aalicia n'était pas une femme patiente et quand elle voulait quelque chose c'était tout de suite, sinon, elle savait réprimander de manière subtile mais non moins douloureuse tout impaire. Et lorsqu'enfin le Comte de Rougelac prit possession de son corps dans une Brûlante étreinte mêlée à des mouvements de hanches doux mais non moins précis, une vive douleur le lança au niveau de sa lèvre inférieure. Il venait tout simplement de se faire mordre et il savait pourquoi! Elle l'avait punit !

Un rouge carmin apparut, une goutte tombant sur sa partenaire qu'il vint lécher avant de reprendre son balais de brûlant baisés. Comme à chaque fois, l'Araignée semblait réceptive au doux traitement de son amant. Le couple interdit était tactile, très tactile d'ailleurs et lorsqu'Aalicia parcourait son torse de ses mains, lui ne se gênait pas de palper ses cuisses, dessinant du bout des doigts ses contours.

Gémissante, haletante, elle s'offrait au Comte telle un fleur épanoui, ce dernier conscient qu'elle pouvait encore exprimer ses désirs en griffon son corps comme ça, subitement sans crier gare, sans signe exterieur. Victor plongea alors volontier son visage dans une nuque totalement dégagée et appétissante à souhait, osant lui laisser un suçon alors que ses coups de reins s'accéléraient. Il se figea finalement, ressortant de cet écrin humidd son glaive de chair, lançant un sourire joueur à sa partenaire, pour tout à coup se remettre en action.

Ainsi il s'amusa à la trousser alternant son rythme durant plusieurs minutes avant de lentement s'arrêter, glissant tel un serpent entre les cuisses de la Veuve Noire. A genou, il lui lança un regard provocateur, affamé de pouvoir goûter de sa langue l'abricot de chair, source d'un nectar qu'il appréciait tant. Il appréciait également ses jeux de regard complices, et d'ailleurs devant autrui, s'en était un avantage pour les deux associés qui pouvaient se comprendre sans avoir à se parler.